Le jour de mes 18 ans, je reçus de Maman, le plus merveilleux cadeau quun jeune homme puisse rêver. Mais commençons par le commencement. Cest lors dun repas anodin que Maman mannonça quelle souhaitait savoir ce que je désirais pour mon prochain anniversaire, et quelle voulait me faire un merveilleux cadeau, un cadeau hors du commun, majorité oblige ! Je lui dis que jy réfléchirais et la remerciais, mais déjà, dans ma tête, je songeais à quelque chose dinavouable. Jai toujours été amoureux delle, un amour qui sest construit au fur et à mesure de mon enfance et mon adolescence. Maman nétait pas spécialement pudique et il était arrivé de nombreuses fois quelle se promène nue, en sortant de la douche, pour aller dans sa chambre shabiller. Je la croisais alors, troublé au plus haut point, elle me souriait tandis que mon regard sattardait souvent sur son entrejambe garni dune belle toison sombre triangulaire, ou sur sa poitrine lourde ou encore ses fesses volumineuse et cambrées. Ajouté que Maman, avait souvent eu recours à la fessée pour me punir (mais jamais, elle noubliait le câlin réconfortant ensuite), jai toujours nourri une sorte dadoration, voire de vénération envers elle, empli de respect et de soumission à la fois. Bref, je caressais le désir de lui avouer cet amour « particulier » et aurait voulu quelle me donne à nouveau une bonne fessée, disons, plus érotique. Mais jétais trop timide pour lui dire en face. Je décidais de lui écrire ce que je ressentais vis-à-vis delle et mettait la lettre dans la boîte avant de partir au lycée le matin. Je savais quen rentrant le soir, elle laurait lu. Cest donc le cur battant à toute vitesse que, sur le chemin du retour, en fin de journée, je ne pouvais mempêcher de penser à sa réaction. Toute la journée, je navais pu me concentrer sur mes cours, me demandant si javais eu raison ou tord de me dévoiler ainsi. Un coup dil sur la boîte en arrivant attesta que la lettre avait bien trouvé sa destinataire. Elle maccueillit toute souriante.oufet habillée très sexy en petit tailleur bleu marine juchée sur ses escarpins noirs. Elle était magnifique de prestance dans sa jupe courte, mettant ses jambes gainées de soie très en valeur.
« Tu as bien travaillé mon chéri ? »
« Euh oui Maman ! » fis-je timidement
« Ah bon !…parce que jai eu ton professeur au téléphone qui na pas la même version »
Sur linstant, jétais un peu perdu. De quoi parlait-elle, puis dun coup, je crus comprendre son petit jeu.
« Parce que tu sais ce que méritent les jeunes hommes qui ne travaillent pas bien pour leur bac ? »
Je croyais rêver. Elle excellait dans son rôle. Jétais aux anges et en même temps, étrangement, je me sentais redevenir comme un petit garçon pris en faute. Alors que jen avais rêvé, un sentiment de crainte menvahit en devinant quelle allait mettre son plan (le mien), en action. Le rouge me monta aux joues. Je me lançais dune petite voix fluette :
« Une fessée Maman ? »
« Exactement ! » fit-elle triomphante en se débarrassant de sa veste quelle posa sur le dossier dune chaise », et une bonne fessée, crois moi, que tu nauras pas volé ! »
A cet instant, elle défit un à un les boutons de son chemisier, quelle retira, dévoilant un magnifique soutien gorge transparent en dentelle, quelle dégraffa dans la foulée libérant ses 2 seins qui jaillirent sous mes yeux. Je ne les avais pas vus depuis longtemps et ils étaient toujours aussi beaux. Puis elle ôta sa jupe pour se retrouver en porte jarretelles noir avec le petit string assorti. Le geste assuré, elle saccroupit pour déboutonner mon pantalon, et le descendre prestement à mes chevilles. Mon cur battait la chamade. Je me laissais faire docilement. Comme à ses plus belles heures, elle attrapa mon slip par les côtés et me déculotta recto-verso à mi-cuisses, sans hésitation, faisant fi de mon intimité.
Javais toujours été habitué à être fessé de la sorte, et, instinctivement, le naturel revint vite. Donner une fessée, cest comme savoir faire du vélo, çà ne soublie visiblement pas. Se relevant, elle me prit ensuite sous son bras, contre sa cuisse, me ceinturant solidement la taille dans cette position inconfortable, à moitié en équilibre sur mes deux pieds. Ma tête était plaquée contre sa fesse. Ainsi maintenu, je distinguais vaguement la ficelle de son string qui remontait en haut de la raie de ses fesses.
Cétait linstant T.
Je navais plus quà attendre le moment où sa main allait sabattre. La première claque me fit sursauter, et très vite les autres suivirent en alternance sur mes deux globes à cadence régulière et soutenue. Je me retrouvais plongé une bonne dizaine dannées en arrière, sauf quà ce jour, cette fessée, je lavais souhaitée et voulue, et Maman était bien décidée à exaucer mon vu. Une chaleur envahit rapidement mon postérieur et mobligea à serrer les dents. Je pinçais mes lèvres. Quelques larmes me montèrent aux yeux. Les longs doigts de sa main fine, continuaient de fouetter sèchement à un rythme toujours aussi régulier ma paire de fesses que je devinais virer du blanc au rouge.
Mes pieds qui touchaient le sol sinvitèrent à une danse censée atténuer lincendie qui se propageait sur le bas de mes reins.
Elle cesse quelques secondes, relâcha son étreinte, et surprise, se débarrassa de son string. Elle appuya sur mes épaules, me forçant à me mettre à genoux sous ses seins. Ma tête se trouvait alors à hauteur de sa toison. Elle poussa mon visage contre sa chatte. Ny tenant plus, jenlaçais ses fesses de mes bras, et couvrit de bisous ce sexe qui soffrait à moi, tandis que le mien sétait considérablement endurci. Elle semblait apprécier, puis tout à coup, me fit relever et me reprit sous son bras. Elle baissa ma culotte, cette fois aux genoux et reprit une série de claques sur le haut de mes cuisses. Je tressautais tant la cuisson était à la limite du supportable.
Infatigable, elle revint sur mes fesses, ravivant le brasier qui sommeillait, tandis que le bruit caractéristique de la fessée résonnait dans la pièce dont les murs avaient été si souvent témoins de ces punitions magistrales.
Javais limpression que mes fesses et sa main ne faisaient plus quun, comme si elles allaient à sa rencontre, nos corps mêlés, dans un ballet dont elle était la reine Jétais habité dune multitude de sensations, la douleur se mélangeant à lexcitation devant Maman, femme et maîtresse à la fois. Enfin, la fessée sarrêta. Je me laissais tomber à nouveau à genoux, haletant
« Merci Maman. »
Je la regardais sourire
« Je crois que tu en avais besoin » me fit-elle « çà tombe bien, jai adoré te donner cette fessée ! »
Elle se retourna et moffrit ses fesses, en écartant la raie. Son petit trou me tendait les bras. Ma langue se jeta sur cette offrande, ce qui la fit rapidement gémir de plaisir. Javais souhaité une fessée, jétais gâté au delà de mes espérances. Puis, elle me prit par la main et memmena dans sa chambre sasseoir sur le lit. Elle me fit coucher en travers de ses cuisses pour que je tête ses seins. Je ne me fis pas prier et exécutais son désir sans sourciller. Mes lèvres allaient et venaient dun sein à lautre, avalant goulûment, à la fois laréole et le téton avec gourmandise tandis quelle caressait mes cheveux. Ma bite avait, évidemment pris une dimension en conséquence. Elle la prit dans sa main et me masturba doucement avant de mordonner de mallonger sur le lit. Elle vint se placer au dessus de mon visage, puis sassied à califourchon, son sexe sur ma bouche :
« Lèches moi ! »
Je frémissais à ses ordres et mempressais de la satisfaire en buvant goulûment ce nectar qui se dégageait de cette chatte maternelle. Elle ondulait le bassin de plaisir, ses halètements se firent plus réguliers et saccadés, puis, prise dun orgasme, sécroula en avant. Reprenant ses esprits, elle vint se mettre entre mes jambes et prit mon sexe en bouche. Il ne me fallut pas longtemps pour éjaculer entre ses lèvres quelle laissait sentrouvrir tandis que le liquide sécoulait le long de ma hampe dans un tableau dont je navais osé rêver !
Cette première allait déboucher, désormais, sur une relation autrement différente, quelques fessées suivies dun moment de réconfort, jalonnant alors notre existence !