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Les aventures de Caro – Chapitre 15




Ma tante se dévergonde

Samedi 20 juillet 1991

En fin d’après-midi, nous arrivons chez Valy ou il est prévu que nous dormions, la chambre de Ben étant libre car il est allé chez son père pour tout le week-end.

Ma cousine me confirme la nouvelle qu’elle m’avait annoncée au téléphone. Nico l’a quittée car il a été un peu dépassé par la tournure que prennent nos jeux. Il a été un peu gêné la dernière fois de devoir sucer Ju, et surtout que ce dernier se soit frotté le gland dans sa raie en insistant sur son anus en lui demandant si ça le tentait de se faire enculer. Dommage

D’autre part, je sais par Valy que mon cousin a eu d’autres érections en famille, et que sa mère a fini par ne plus rien dire contre ça.

Marie-Lou est d’ailleurs maintenant très libre avec la nudité, puisqu’elle est a poil dans la cuisine quand nous arrivons et qu’elle n’a pas fait attention au fait que Valy aurait pu être vue nue depuis la rue quand elle est venue nous ouvrir. Elle ne met pas d’objection au fait de passer une soirée naturiste même si elle a l’air toujours un peu gênée par le matériel imposant et l’épilation de Ju.

Après le repas déjà bien arrosé, nous nous installons au salon avec un petit digestif. Valy qui a bien chargé sur l’alcool, un peu pour oublier qu’elle vient de casser avec Nico, ce qui la prive (et nous avec) d’une bonne bite, a un gros coup de pompe et décide d’aller se coucher.

Nous restons tous les trois dans les canapés, et comme l’alcool nous a échauffé nous aussi, je fais partir la conversation sur le cul:

— Valy m’a raconté ton incursion dans sa chambre l’an dernier

— Ah bon, tu es au courant?

— Oui, est-ce que tu as essayé son vibro, comme elle te l’avait proposé?

— Euh, ça me gêne un peu de parler de tout ça, surtout devant Ju.

— Mais non, il connait ce genre de choses. Alors, oui ou non?

— Eh bien oui, j’ai fini par essayer récemment, parce que j’étais vraiment en manque.

— Et c’était bon?

— Je dois reconnaitre que oui, mais je n’ose pas trop le lui emprunter.

— Tu devrais lui en parler, elle le partagera volontiers, je pense. Ou en acheter un rien qu’à toi. Comme ça tu pourras te branler tant que tu voudras.

— Oh, Caro, comme tu parles de ça! Mais c’est vrai que c’était bon de jouir.

Ju bande à fond et s’est décalotté le gland, mais comme il est à côté d’elle et qu’elle est tournée vers moi, elle ne l’a pas vu. Jusqu’à ce qu’il attaque:

— Et j’imagine que tu en préfèrerais un vrai, pas en plastique, non?

Elle se tourne vers lui en lui répondant:

— C’est certain, mais Oh!

— Eh oui, de parler de tout ça, ça m’a mis dans une forme olympique!

Je la rassure immédiatement:

— Allez Marie, tu en as déjà vu d’autres. Et t’inquiète pas pour moi!

— Euh, non, en fait, j’ai connu que celle de mon mari.

— Et aussi celle de Ben, et même très en forme, il parait

— Ah, Valy t’a aussi raconté ça?

— On se raconte tout, en effet. Alors, tu aimes bien voir ton fils en forme?

— Pour être franche, ça me gêne un peu qu’il bande car ça laisse à penser que c’est à la vue de sa sur ou de sa mère.

— Et alors, c’est flatteur dans tous les cas, non?

— Peut-être, mais tout de même, c’est gênant. Et là, celle de Ju est tellementplus

— Grosse? Tu sais, tu peux la toucher pour mieux te rendre compte du volume!

Et Ju lui prend la main et la pose autoritairement sur sa bite à la verticale dont le gland bat contre son nombril. Elle hésite un peu à l’empoigner franchement, mais elle ne se retire pas et referme ses doigts sur la base de la tige.

Je la pousse un peu plus:

— Allez, n’aie pas honte, branle-le, il adore ça! Et je suis pas jalouse.

— Non, là, devant toi? Tu déconnes

— Mais non! Tu voudrait quand même pas le faire en cachette dans mon dos? Je vais même me branler pendant ce temps, la situation m’excite!

Je le prouve en commençant à me caresser ouvertement le clito face à elle.

— Oh, Caro, tout de même! Et si Valy redescendait?

Ju balaie son argument:

— Ça m’étonnerait, elle doit ronfler comme un diesel en ce moment. Allez, lâche-toi!

 

Finalement, elle est tellement excitée qu’elle s’y met et le branle vigoureusement:

— Je le crois pas, ce que je suis en train de faire!

Ju la laisse faire un peu, puis il envoie sa main entre ses cuisses. Elle les ouvre sans hésitation et s’abandonne à la vague de plaisir qui la submerge.

Il est temps d’aller plus loin. Ju lui demande une fellation, mais elle nous révèle qu’elle n’a jamais fait ça. Je l’aide à se lancer en allant m’agenouiller devant lui:

— Allez, je commence, pour te montrer. Mais ensuite, c’est à toi!

Elle me regarde le sucer, puis se décide et me rejoint. Je lui tends la queue qu’elle commence à lécher timidement avant d’oser gober le gland. Je partage équitablement cette pipe à deux, et elle s’enhardit en le prenant de plus en plus franchement en bouche. Je lui cède complètement la place et je m’occupe d’elle.

Tant que je la caresse sur le corps, elle se laisse faire, y compris lorsque je lui malaxe les tétons et les fesses.

Elle a un petit sursaut de retrait quand elle sent mes doigts s’aventurer dans sa fente que je trouve bien humide:

— Oh, Caro, non, ça c’est trop

Mais trop excitée maintenant, elle abdique complètement et je la chauffe tellement qu’elle se cabre de plaisir et c’est ma langue qui remplace mes doigts.

Enfin, Ju nous fait arrêter et se glisse derrière elle pour la prendre en levrette.

Je me glisse sur le canapé devant elle et lui présente ma chatte.

Elle ne dit plus rien et me bouffe le clito en se laissant baiser à fond.

Elle jouit à nouveau et Ju lui annonce la figure finale:

— Et maintenant, une autre grande première pour toi, je pense. Tu vas me faire jouir en me suçant et tout avaler!

Elle le fait avec beaucoup d’application et il éjacule enfin, ce qui la fait un peu étouffer. Mais elle garde tout et déglutit plusieurs fois avant de venir s’écrouler près de moi sur le canapé.

Ju vient s’assoir sur son autre côté et passe son bras sur ses épaules:

— Eh bien, Marie, tu as rattrapé le temps perdu, non?

— Ah oui, ça c’est certain, et même plus encore! J’avais jamais fait plus que recevoir les assauts de mon ex-mari, mais alors là

— C’est vrai, fellation, levrette, dégustation de sperme, échangisme avec ta nièce.

— Dit comme ça, quand j’y pense, c’est dingue ce que j’ai osé faire!

— Tu avais des talents cachés. Mais je m’y attendais un peu, ça doit certainement se transmettre dans les gênes, vu les talents de ta fille.

— Comment ça, les talents de ma fille? Ne me dis pas que Valy

Je prends le relais:

— Eh oui, tu as bien compris, on a fait ça avec elle aussi. Tu devais bien te douter qu’on s’était pas contenté de simple naturisme, vu ses changements d’attitude, non?

— Euh, oui et non, je ne pensais pas que vous étiez allés jusque là.

— Et même à quatre, avec Nico pour tout te dire.

— Oui, maintenant que tu le dis, et vu ce qui vient de se passer, ça parait évident, tout ça. Je suis vraiment une grande naïve. Mais, comme apparemment vous vous racontez tout, j’aimerais que notre petite aventure reste entre nous. Ça me mettrait vraiment mal à l’aise qu’elle le sache.

— Bon, je veux bien faire une exception à mes confidences pour ce qui concerne notre petit échange sexuel. Mais alors tu me laisse faire demain matin.

Et c’est sur cet accord que nous allons tous nous coucher.

Dimanche 21 juillet 1991

Nous sommes toutes trois en train d’attaquer le petit déjeuner quand Ju fait son entrée, nous gratifiant d’une superbe érection matinale, tout gland dehors.

Valy jette un coup d’oeil intrigué vers sa mère qui ne réagit pas à cette vision:

— Mais, maman, comment ça se fait que tu ne dises rien, là, alors que tu en fais toute une histoire quand c’est Ben?

— Oh, c’est bon, je crois que je commence à me dire que c’est la nature. D’abord ton frère que j’ai vu en érection plusieurs fois, puis Ju hier soir. Et Caro m’a raconté pour toi à Barcelo. Du coup, le mieux c’est que je m’y fasse.

— Comment ça, hier soir, et raconté quoi?

Elle se retourne vers moi, mais je désamorce la situation:

— Oui, on parlait de votre mésaventure du vibro, et vu notre état d’ébriété, Ju n’a rien contrôlé. Et contre toute attente, son érection a beaucoup fait rire ta mère, qui avait un peu picolé. Alors on a fini par lui avouer que tu l’avais toi aussi déjà vu en grande bandaison chez nous, dans des circonstances identiques. Voilà toute l’histoire!

Sa mère et elle semblent soulagées par cette version. Ju profite qu’elles sont face-à-face à table pour passer derrière elles à tour de rôle et se branler dans le dos de chacune avec un gros clin d’il à l’autre. Comme ma tante est la première à aller prendre sa douche, il baise Valy debout devant le plan de travail et c’est moi qui bénéficie de son éjaculation qui rejoint mon petit-déjeuner dans mon estomac. Puis nous allons enfin nous habiller pour repartir vers les Alpes, non sans les avoir invitées à venir nous voir. Puis nous allons enfin nous habiller pour repartir vers les Alpes, non sans les avoir invitées à venir nous voir.

A suivre

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