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Comment j'ai connu ma femme – Chapitre 1




Je vais vous raconter comment j’ai connu ma femme, avec qui je suis marié depuis douze ans maintenant. La rencontre de l’épouse est un des événements les plus importants de la vie d’un homme, qu’il s’ensuive malheur ou bonheur. Pour moi, ça s’est passé l’été 1988, j’avais alors dix-huit ans. Je campais avec un camarade dans la tente que m’avaient prêtée mes parents. Le soir, on sortait, ou plutôt on traînait la plupart du temps, faute d’argent pour aller en boîte. Alors qu’une nuit je rentrais d’une virée au village, pas très excitante, j’ai croisé une voiture garée près du camping, avec une femme appuyée sur le capot, comme on voit sur les publicités pour les bagnoles, sauf que ce n’était pas une pin-up mais une dame plus âgée. Quand je suis passé à côté, j’ai vu un bonhomme qui ronflait, la tête sur le volant. Il semblait avoir bu un coup de trop. La femme n’était pas si mal physiquement, un peu excentrique tout de même. Elle portait un drôle de soutien vert sur d’énormes seins. Elle avait une jupe-culotte ample rouge vif et de longues jambes très blanches. On voyait à peine quelques vergetures sur ses cuisses qui étaient musclées et donnaient l’impression d’une personne dynamique.

    J’ai risqué un bonsoir. La dame en a profité pour faire exploser son ressentiment. Elle revenait avec son mari d’une soirée entre amis où elle s’était fait chier (selon son expression) et maintenant l’époux qui avait trop picolé la laissait en rade en bordure de route. De toute la nuit, j’étais la première personne sympathique qu’elle rencontrait, parole ! Tout en parlant, elle me détaillait avec des sourires en coin pleins de gentillesse.

    – Dîtes donc mon garçon, vous ne savez pas où il y a des toilettes par ici ?

    J’étais surpris de cette question. Les dames de quarante ou quarante-cinq ans comme elle m’avaient habitué à bien plus de discrétion sur le sujet ! Je lui ai dit qu’il y avait un bloc sanitaire au camping.

    – Vous pouvez me montrer où c’est ?

    On est donc partis direction les WC… On a continué à discuter. La femme s’appelait Arlette, elle était caissière dans une supérette et là, elle avait vraiment une grosse envie de faire pipi ! Sa familiarité me troublait. C’était une grande personne comme ma mère, pourtant elle me faisait plutôt penser à mes jeunes s?urs, turbulentes et impudiques. Pendant que j’attendais qu’elle ait fini, j’ai réalisé qu’elle m’attirait. Toutefois je n’osais rien imaginer au-delà, tant l’idée me paraissait déraisonnable et saugrenue. Son mari sommeillait à deux pas et surtout, oui surtout : elle était beaucoup plus vieille que moi ! J’avais remarqué ses fines rides au visage, au coin des yeux et aux commissures des lèvres. A ce moment, je l’ai entendue dire :

    – Jeune homme, passez-moi du papier hygiénique, il n’y en a plus à l’intérieur !

    Alors que je m’apprêtais à le lui tendre par l’espace sous la porte, cette dernière s’est ouverte. Arlette m’a pris le rouleau des mains, sans se cacher.

    – Je ne vous choque pas, au moins ? Non, bien sûr… vous connaissez les femmes, n’est-ce pas ?

    Son ton était amical et moqueur à la fois. Si je connaissais les femmes ? Affirmatif, puisque j’avais perdu mon pucelage six mois plus tôt. Négatif, dans la mesure où je n’avais ’connu’ que deux femmes, plus exactement deux filles, je veux dire deux copines de lycée. Et là, ce qui me frappait, c’est que le sexe d’Arlette ressemblait à s’y méprendre à celui de mes jeunes amoureuses : le même triangle de poils frisés, de mols coussinets identiques, les chairs roses toutes pareilles…

    Elle a voulu voir ma tente. C’était une tente pour six personnes, avec deux coins pour dormir. Aussitôt entrée, Arlette m’a fait signe d’être silencieux :

    – Il y a votre copain qui dort, me dit-elle en riant.

    Sur ce, elle s’est déshabillée, sans me demander mon avis. Je ne bandais pas franchement ! C’était la première fois que je voyais une vraie femme (c’est à dire une adulte) entièrement nue. Elle a passé les bras autour de mon cou et m’a embrassé sur la bouche (dire qu’elle m’a roulé une pelle d’enfer serait plus approprié). Puis, elle m’a déboutonné et m’a sucé… j’étais consterné, apeuré à l’idée que mon copain ne se réveille.

    – Dis-moi, je suppose qu’une coquine te l’a déjà fait ?

    – Eh bien… , ai-je dit en bafouillant.

    – Je vois qu’il va falloir que je t’apprenne les choses de la vie…

    Elle m’a léché le gland à grands coups de langue gloutons. Ca m’a déclenché une érection des jours de fête ! Dans ces cas-là, j’avais l’habitude de me masturber, comme le font la plupart des jeunes de mon âge. Arlette devait lire dans mes pensées, elle m’a dit :

    – Ca fait du bien, c’est meilleur que de se tripoter tout seul, non ?

    J’ai fermé les yeux, absorbé par la nouveauté de la sensation. Mes testicules montaient dans les bourses, je sentais que le sperme prenait son élan, j’essayais de me contenir… A vrai dire, la situation m’échappait totalement. Arlette m’a doucement poussé sur le matelas pneumatique, tel un enfant malade dont elle allait s’occuper, et s’est allongée sur moi. Ses gros seins recouvrait ma poitrine, la chaleur de son corps m’enveloppait d’un cocon vaporeux, j’avais une impression de protection maternelle. D’un lent mouvement des reins, Arlette a fait glisser mon sexe dans son ventre. Mon dieu, quelle sensation ! J’avais dix-huit ans et je découvrais vraiment les plaisirs de l’amour avec cette inconnue. Maladroitement, j’ai tenté des va-et-vient. Ca lui a plu, elle m’a murmuré :

    ’Oh oui, c’est bon, ne t’arrête pas chéri…’ me griffant les épaules comme une chatte qui vous pétrit en ronronnant.

    J’étais fier de moi, j’aurais voulu que l’étreinte dure une éternité, mais je sentais bien que je n’allais pas tarder à éjaculer. J’ai donc accéléré franchement, Arlette a poussé un cri et soudain c’est parti, avec une violence étonnante. Arlette qui tremblait de tout son corps s’est collée à moi, contractant des muscles insoupçonnés pour bien me conserver à l’intérieur. On est resté comme ça, immobiles pendant plusieurs minutes. Puis Arlette s’est relevée, interrogatrice :

    – Alors, qu’est-ce qu’on dit ?

    – Merci madame…

    – Au moins, tu auras appris quelque chose aujourd’hui et puis, j’ai bien aimé, me dit-elle tendrement.

    Un bruit a interrompu notre conversation : mon copain avait fini par s’éveiller et regardait la scène avec effarement ! Il était en pyjama, tout près de nous mais on l’avait oublié ! Depuis quand ne dormait-il plus ? En tout cas, ce n’était pas difficile de constater que ce qu’il avait vu lui avait fait de l’effet ! Bruno avait le même âge que moi et je ne crois pas que du côté de la ’chose’ il était très aguerri.

    – Tu t’appelles comment, mon petit ? lui a demandé Arlette.

    – Bruno, madame.

    – Pauvre garçon, regarde dans quel état tu te trouves ! Ce serait dommage de rester frustré comme ça, qu’en penses-tu ?

    Arlette s’est approchée de Bruno et lui a caressé le torse. Puis elle a promené la langue sur ses tétons durcis. Le regard exorbité de Bruno était perdu entre les gros seins d’Arlette qui balançaient indolemment.

    – Mais madame, ce n’est pas possible !

    – Tu bandes comme un taureau en me voyant, et moi tu me plais aussi, pourquoi se priver si on en a envie tous deux ?

    Arlette a légèrement écarté les jambes, faisant comprendre à Bruno qu’il devait entreprendre quelque chose…

    – Allez, touche, ce serait dommage de ne pas en profiter…

    Bruno restait interdit. Il faut dire que pour lui, tout ça était absolument inattendu.

    – Très bien, alors c’est moi qui vais tout faire… a déclaré Arlette.

    Elle a extirpé le sexe de Bruno du pyjama et s’est mise à le sucer goulûment. Bruno l’a d’abord laissée opérer sans réagir mais des tas d’idées avaient l’air de lui défiler dans la tête. Il a fini par se reculer, comme pour se dégager.

    – Salope ! a-t-il craché méchamment…

    Arlette ne s’est pas vexée. Au contraire, elle s’est amusée de cette rébellion.

    – Ecoute mon petit, tu es stupide, on a l’occasion de se faire plaisir… just do it ! un jour tu me remercieras de t’y avoir fait goûter, tu peux me croire…

    Bruno boudait dans son coin. Pourtant, il demeurait là, hésitant. Peut-être se disait-il que le mal était déjà fait, qu’il y avait une occasion à saisir, mais il ne se décidait pas.

    – Regarde ma minette, n’est-elle mignonne ? Pousse-toi un peu, ton copain va te montrer comment la sucer.

    Je ne me suis pas fait prier ! Agenouillé entre les jambes d’Arlette, j’ai brouté son gazon sans retenue. Enfin Bruno s’est manifesté. Je lui ai cédé la place. Il a lancé quelques coups de langue prudents qui sont devenus plus francs pour se transformer en une lècherie gourmande et sonore, avec des ’slurp’ assez comiques. L’inhibition était tombée ! Bruno semblait ne plus devoir s’arrêter, comme un gamin qui découvre un nouveau joujou. Arlette le contemplait, satisfaite, avec des sourires de connivence à mon intention.

    – Si tu veux y mettre la queue, chéri, c’est le moment. Je ne peux plus rester trop longtemps, il y a mon mari qui m’attend…

    Subitement, comme à bout de nerfs, animé d’une force animale, Bruno est passé à l’action. Il a écarté les cuisses d’Arlette et l’a pénétrée d’un coup, engloutissant son sexe d’une poussée, les testicules y réchappant à peine. Il y est allé de va-et-vient déchaînés, avec des râles glauques. Arlette a dû ressentir des trucs spéciaux car elle s’est mise à pousser de grands cris, tellement fort que j’ai été obligé de lui presser un mouchoir sur la bouche pour ne pas réveiller les voisins de tente dans le camping. Ca s’est terminé par un violent orgasme de Bruno qui s’est écroulé sur sa couche, épuisé, en sueur, méconnaissable… en ronflant !

    Arlette devait partir et je l’ai bien sûr raccompagnée jusqu’à la voiture. Chemin faisant, elle m’a confié qu’elle avait une fille de mon âge, dont elle était très proche, prénommée Estelle. Sa fille lui donnait du souci : elle lui avait demandé la permission de prendre la pilule parce qu’elle voulait ’concrétiser’, comme elle disait. Arlette n’était pas contre mais elle aurait voulu qu’Estelle fasse ça avec un gars clean, qui mette un préservatif et tout.

    – Tu le ferais pour moi ? m’a-t-elle demandé.

    Je n’ai pas osé refuser, d’autant qu’on arrivait à la voiture : le mari était éveillé et je ne voyais pas comment parler de ça devant lui.

    – Tu as bien dormi mon amour ? a lancé Arlette à destination du type. Pendant que j’attendais, tu sais que je crois avoir trouvé un amoureux pour Estelle… qu’en dis-tu ?

    Le bonhomme semblait s’en foutre un peu. Et c’est ainsi que le lendemain, je me suis retrouvé assis au Mac Do en face d’une créature de rêve, pétulante rousse, mignonne à croquer, présentée par sa maman. Quelque chose contrariait Arlette, elle a réprimandé la fille sur sa tenue :

    – Regarde comme tu es fagotée, tu le fais exprès ?

    – Mais maman, c’est toi-même qui a choisi ma robe…

    – Je ne parle pas de ta robe mais de ce que tu as mis dessous. Fais-moi le plaisir d’ôter ce soutien ridicule. On voit toutes les coutures, c’est grotesque !

    Estelle s’est absentée un court instant pour revenir en t-shirt moulé sur des seins nus qui oscillaient insolemment sous le fin coton. J’étais étonné des rapports complices qu’entretenaient les deux femmes. Arlette a demandé à sa fille :

-Alors, tu ne le trouves pas mignon ce gars ?

-Elle est convenue en riant que sa mère avait bon goût ! Savait-elle qu’Arlette et moi nous étions vus la nuit même sous ma tente ? Quoi qu’il en soit, elle a tout de suite été d’accord, en posant toutefois une condition qui m’a stupéfié : elle désirait que sa mère reste avec elle ! Moins d’une demi-heure plus tard, nous nous sommes retrouvés au camping, sous la tente de mes parents. Une crinière d’un roux flamboyant encadrait le visage d’Estelle. Elle avait de grands yeux pâles et un sourire d’une gaieté juvénile. Je m’interrogeais : tout cela était-il bien moral ? C’était à tout le moins inhabituel. Devais-je vraiment me prêter à ce jeu ? Lâchement, je me suis allongé sur un matelas, laissant aux deux femmes la responsabilité de ce qui allait suivre.

    Estelle s’est penchée sur moi et m’a baisé le front. Elle m’a fixé, solennelle, grave mais contente. Ses tétons tendaient l’étoffe du t-shirt juste sous mon nez. Elle m’a ouvert la chemise et collé les lèvres à mon ventre, alternant baisers, succions et légères morsures. Inutile de préciser que je bandais sévère ! Elle a dézippé mon jean et, glissant la main entre mes cuisses, m’a saisi la queue, la serrant très fort. Je ne m’attendais pas à un tel geste ou, du moins, à tant de rapidité : j’ai eu peur de jouir sur-le-champ ! Je me suis redressé précipitamment pour un chaste baiser sur la bouche. Mais Estelle était décidément très chaude : elle m’a empoigné une main qu’elle a placée sur sa culotte. Son sexe m’a semblé chaud, humide et apparemment tout lisse. Je l’ai caressé à travers le slip un bon moment, pinçant et roulant les chairs entre les doigts. Estelle se tordait en gémissant, retenant ma main entre ses cuisses serrées. J’ai fini par me dégager et j’ai sucé juste à l’endroit où la culotte était mouillée. Etendue sur le dos, jambes écartées, tête renversée, yeux grand ouverts, Estelle haletait comme un jeune animal tandis que je la dévorais à travers la cotonnade trempée.

    – N’oubliez pas que vous êtes là pour ’concrétiser’ mes enfants, a commenté Arlette.

    J’ai donc ôté la culotte d’Estelle. La vue était sublime : une fente rose, luisante, parfaitement épilée, admirable ! J’ai senti, la narine frémissante : elle exhalait une odeur sucrée, tiède et attachante. J’avais la queue enflammée…

    – Très bien : le préservatif maintenant et tu y vas, a commandé Arlette.

    J’ai enfilé le caoutchouc que me tendait la maman puis j’ai rampé sur la fille, enfilant au passage son sexe entrouvert. C’était très étroit, j’ai dû forcer pour y arriver. Estelle poussait de petits cris désarticulés, se serrant contre moi, très fort, comme pour m’étouffer. Puis j’ai accéléré mon mouvement de bassin, jusqu’à perdre haleine, encouragé par Arlette qui me tapotait les fesses en cadence. Estelle a fini par jouir. Elle a d’abord dit : ’Ca vient, maman, ça vient !’ et puis elle s’est tendue, émettant une longue série de jappements. Le corps cambré, tous les muscles raidis, le visage crispé noyé dans ses longs cheveux roux répandus sur le matelas, elle était extraordinairement belle.

    Estelle et moi nous sommes quittés sur un long baiser, sous les yeux embués d’Arlette. Les deux femmes m’ont donné l’adresse de la famille. Je suis allé leur dire bonjour, de plus en plus fréquemment, jusqu’au jour de 1990 où j’ai épousé Estelle. A la cérémonie, il y avait mes parents qui ne se sont jamais douté du rôle qu’a joué leur tante dans ma vie. Il y avait aussi mon beau-père, un peu grisé, et Arlette, ma charmante belle-mère ! C’est Bruno qui a été mon témoin de mariage. Il s’est montré très sérieux, j’ai essayé de l’être également ! En sortant de la mairie, il m’a juste glissé au creux de l’oreille :

    – Ne t’en fais pas, Arlette va vous lâcher les baskets : je l’ai bien en main et beau-papa ne se doute de rien !

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