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tu es une putain – Chapitre 1




Notre dernière partouze ta entièrement changée : tu étais sensuelle, tu me demandais souvent de te baiser, nimporte quand, mais pas nimporte où. Maintenant, tu veux jouir dès ton réveil. Tu nas plus de pudeur, tu as oublié le peu de pudeur que tu avais. Tu deviens, non pas une salope, mais une vrai pute. Quand je rentre le soir, un peu tard, je te trouve sur le divan, les jambes grandes ouvertes, une main sur ton bouton et lautre pour rentrer dans ton con. Cest à cet instant que tu me fais part de ton intention, te prostituer, pour baiser souvent, même si, parfois, tu rendras largent à ceux qui tauront bien fait jouir.

Tu as tout prévu, tu as déjà loué une piaule en ville. Tu continues ta masturbation comme si de rien nétait. Jai beau penser et te dire que tu nes quune vielle truie vicieuse, que si tu fais ça, tu vas de retrouver avec des gens pas très catholiques. Tu ten fous. Je dis que je ne pourrai plus te baiser, surtout que tu seras un sac à sperme.

Tu me promets de penser à moi à chaque baise et de tout me dire. Rien à faire tu veux absolument vivre cette expérience de vendre ton corps.

Tu tiens parole, un soir vers 22 heures, tu me donne un rapide baiser sur la bouche, je nai même pas le temps de mettre ma langue que tu es déjà loin. Pourtant, rien que de savoir que tu vas baiser me donne la trique, je bande, je me mets nu, comme quand tu te masturbes, je me couche et je prends ma bite dans ma main droite. Je serre un peu le prépuce. Je sens que sous lui, mon gland demande sa dose. Je le découvre pour le caresser directement avec mes doigts, pleins de salives Je ne lavais jamais fait, je découvre ce nouveau plaisir, je te le demanderai la prochaine fois, ça me servira ainsi quà tes clients.

Le lendemain matin, tu rentres exténuée, tu a baisé avec une quinzaine de mecs, aussi vicieux les uns que les autres. Tu nen as pas fait payer que deux. Tu ma racontes ta nuit pendant que je te montre ma découverte. Tu me branles ainsi et tu me fais jouir.

Ainsi, ta nuit a plutôt bien commencé.

Le premier était un grand bien baraqué. Tu pensais que cétait une affaire pour toi, quil allait te faire jouir. Tu tes mise nue devant lui, avant quil te touche, tu lui a demandé 100 quil ta donnés. Tu tes couchée, les jambes ouvertes, tu pensais encore à tous ces hommes qui tavaient baisée en ma présence. Cette fois, tu étais une vrai pute des bas-fonds, comme je te lavais dit, une salope sans foi ni loi. Tu prends sa bite qui est plutôt petite. Tu la lui prends pour quil puisse venir en toi. Tu nas pas le temps daller et venir quil jouit au fond de ton con. Il part sans demander son reste. Les autres clients sont du même acabit, cest normal, pour eux, tu nes quune putain, ce qui est vrai.

Par contre, tu te souviens de deux qui tont faite jouir. Le premier était bien monté. Tu ten serais voulue si tu ne lui prenais pas la queue dans ta bouche. Tu es la reine de la pipe, tu prends sa bite avec tes lèvres pour la ressortir, pour en sucer le bout. Ensuite tu fais aller et venir ta bouche sur sa pine bien grosse. Tu vas jusquau bout, il jouit dans ta bouche. À linverse des autres filles, tu ne te lèves pas pour aller cracher dans le lavabo : Tu le regardes bien dans les yeux, comme tu le fais avec moi et tu dégustes le sperme avec délectation. Tu gardes cette bite dans ta bouche en lui caressant les roustons. Tu vas même jusquà lui mettre deux doigts dans son cul, il se laisse faire, alors tu arrives à le faire bander encore plus. Il a ses exigences : Il veut te la mettre au cul. Pas folle, tu lui demande encore 100 supplémentaires. Bien-sûr quil accepte, après ton cul est à lui puisquil la payé. Tu sais, toi, que sa queue dans ton cul va de faire du bien. Tu mouilles ton anus avec ta cyprine, puisque contrairement aux autres putains, tu mouilles toujours en baisant. Il te fait coucher sur le ventre : tu aurais préféré en levrette. Tu es donc sur le ventre, ton entrée de cul bien mouillée. Tu lui prends la pine pour bien la mettre sur ton trou. Après tout, tu nest quune pute, il na pas à faire attention. Bien-sûr quil ne te fait aucun bien quand il entre dans ton cul. Il ne commence à te limer que quand il est au fond de ton ventre, un peu comme moi. Par contre, ton cul bien habitué par ma bite souvre bien plus que nécessaire. Tu commences à sentir le plaisir monter jusquà, lexplosion dans ton bas-ventre. Quand il jouit dans tes intestins, tu jouis encore une fois.

Le second, qui au début, te paraissait malingre, tavertit avant de commencer : il en a une très grosse. Tu en mouilles déjà. Quand il est nu, tu vois, quen effet, il est muni dune véritable bite dâne. Comme il est en érection, tu commences à avoir peur, dautant plus quil te dit que presque toutes les putes refusent de baiser avec lui. Pour toi, cest une découverte. Tu acceptes de te la faire mettre, moyennant un supplément de 50 . Il accepte, poussé par le besoin de te la mettre. Il aurait bien voulu ton cul, mais là, tu refuses. Il te fait coucher sur le côté et non pas sur le dos. Ca te convient : en cas dincident, tu pourras mieux te dégager. Il prend une de tes jambes pour la lever le plus possible. Tu commences par avoir mal aux muscles de la cuisse. Quand il veut te la mettre, tu le laisses faire. Il commence par entrer jusquau niveau de la fin du gland. Il arrête : tu as un peu mal, le temps de dhabituer à cette grosse présence. Comme il est très doux, il arrive à entrer le principal de sa pine. Comme il reste immobile, tu commences, toi-même, à bouger. Cette présence grâce à laquelle tu commences à avoir un orgasme, te va bien ; tu en prends encore un peu plus dans ta moule. Cette fois encore, tu jouis. Il arrive à te la mettre jusquau fond de ton sac à jus de couilles. À son tour, il jouit en toi : il te semble quil y en a des litres.

Tu ne veux surtout pas que nous baisions, pas encore, non pas que tu nen aie pas envie : tu veux simplement de laver le con et les fesses pour te débarrasser de tout ce foutre dans ta chatte et dans ton cul. Je t accompagne dans la salle de bain. Tu es sur le bidet, les jambes ouvertes, pour bien te laver. Ce nest pas assez. Il te faut une bonne douche. Nous savons, tous deux, ce que cela signifie : au bout dun instant, après têtre légèrement douchée normalement, tu vas faire couler leau très fort sur ton entrejambe, surtout que depuis quelques temps, tu as fait lexpérience nouvelle de te branler le con, mais aussi le cul. Cette fois, tu commences par ton anus : tu touvres un peu tes fesses et tu pars dans un énorme orgasme. Tu recommences, cette fois, sur ton con : le résultat est le même. Tu me demandes de venir avec toi : cest à mon tour de « subir » le même traitement sur ma bite. Tu me surprends quand ton jet est sur mon cul, je fais comme toi, jouvre les fesses à deux mains. Je ne sais comment tu y arrives, en tout cas, tu me fais jouir : mon sperme va se perdre avec leau de la douche. Tu ne perds pas le nord, cette fois tu marroses la bite et je jouis aussitôt, comme le ferait une femme.

Tu tiens à continuer tes passes de putain. Tu mapportes de largent à la maison, tu baises de mieux en mieux. Je ne men plains pas, jen profite, je suis devenu, sans le savoir, ton souteneur. Ainsi, chaque matin, outre ta recette de la nuit, te me racontes tes nombreuses baises. Et nous nous douchons ensemble !

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