Ma reine pour ma marraine en fait, elle a la cinquantaine mais on lui donne facilement 10 ans de moins. Elle nest pas très grande, a une belle grosse poitrine quelle a dailleurs fait un peu réduire à cause de son dos. Elle nest pas grosse mais pas maigre non plus, comme il faut en fait. Moi pour ma part jai 26 ans, je nai pas connu beaucoup de filles, dailleurs je nai jamais présenté de copine à ma famille.

Un après midi, lors de mes congés ma marraine mavait demandé de passer chez elle pour lui donner un coup de main pour divers truc vu que jétais disponible.

Lorsque jarrivais, elle ma donné un café et nous avons un peu discuté. Elle était très jolie, elle aime shabiller sans être provocante. Durant la conversation, elle a abordé un sujet sensible, elle sinquiétait pour moi. Elle me demanda si jétais homosexuel, bien quelle nait rien contre eux, mais je pense que tout le monde aimerai que sa famille ait une sexualité « normale ». Interloqué, je lui répondis que non, malgré le fait quelle ne mait jamais vu avec une fille ne voulait pas dire que je létais.

Elle me demanda alors de le prouver. Le prouver ? Comment ? Elle me demanda de lui montrer quune fille pouvait mexciter. Je lui dis alors que jétais un peu gêné par sa question et quil faudrait une fille pour ça.

Elle me répondit juste quelle est une fille, je fus vraiment troublé. Elle memmena à létage pour quon soit plus tranquille et quau cas où quelquun viendrai on ne serait pas surpris.

Jétais toujours gêné, je ne savais pas quoi faire, même si jai déjà fantasmé sur elle, c’était différent là.

Jétais debout face à elle et me pris ma main quelle posa sur son sein me faisant amorcer le pelotage. Jétais entre deux monde, entrain de la peloter et me demandant ce que je faisais. La réaction ne mis pas longtemps à prendre, je sentais ma bite gonfler dans mon pantalon. Elle commença à me caresser à travers mon jean, ce qui accéléra mon érection. Sans men rendre compte jétais en train de la peloter avec mes deux mains, elle de son coté avais déboutonné mon jean et sorti ma bite, la caressant. Elle me dit avec un sourire quelle était contente quelle me fasse cet effet. Puis elle me donna deux baisers sur la bouche, au troisième jai goûté son rouge a lèvre avec ma langue, elle paru un peu surprise. Et la comme une douche froide tout redevenait clair dans mon esprit. Je lui dis que je ne pouvais pas, que si on faisait ça, on ne pourra pas revenir en arrière.

Elle me dit quelle le voulait, elle membrassa langue la première et me roula une pelle danthologie, on sentait quelle avait « faim ».

On se déshabilla rapidement, jétais nu et elle en string soutif et bas, elle était vraiment belle, je lallongeais dans son lit et commença à lembrasser tout en la caressant. Je noubliais rien, ses lèvres, son cou ses seins. Je lui dégrafais le soutif et commença à lui lécher ses gros seins avec des gros tétons. Elle gémissait et ça mexcitais beaucoup, je vins devant elle pour une branlette espagnole, je ne contrôlais plus trop mes désirs, je les exécutais au fur et à mesure quils venaient. Elle nétait pas très à laise, elle devait être « vieille école » ou la sexualité nétais pas aussi débridée quaujourdhui. Puis je lui présentais mon pénis pour quelle le suce, et même chose, soit elle ne lavait jamais fait, soit pas souvent. Je mallongeais pour la laisser me sucer tranquillement cétait divin.

Puis mon tour venais, je la débarrassais de son string et vit sa toison, je voyais quelle avait commencé à bien mouiller. Je léchais son sexe de bas en haut dans lintégralité, je me délectais de son jus. Puis je me concentrais sur son clito, en la fourrant en même temps avec un doigt. Elle gémissait beaucoup mais se retenais, jimagine une habitude quon prend quand on a une famille et quon ne veut pas se faire remarquer.

Malgré cela, je pense quelle prenait son pied, sa main me caressais les cheveux, maccompagnant dans mon mouvement. Dun coup, elle se crispa, dans un gémissement un peu plus fort je compris quelle jouissait, je terminais ce cuni et revint vers elle lembrassant, ma bouche pleine de son jus.

Sans un mot je passais à la suite, comme si tout était prévu, elle se remit bien dans le lit et écarta les jambes, je me plaçais au dessus delle et commençais un classique missionnaire, classique mais efficace, jétais très excité et navais pas baisé depuis longtemps, je sentis rapidement que ça montait très vite. Je me retirai et lui demanda de se mettre sur moi, ce quelle fit et très bien. Jen profitais pour la peloter et quelquefois elle sabaissait pour membrasser.

Rapidement lexcitation refaisait son effet, je linvitais une nouvelle fois à changer de position, mais pour une levrette cette fois. Elle navait pas lhabitude, elle se mit à quatre pattes et recommençait mon affaire. Je pouvais Contrôler un peu mieux mon excitation, jalternais les cadences, je profitais de ce moment divin. Pendant cette levrette, jai réussi à lui donner un autre orgasme. Je décidais que cétait bon pour moi. Je la remis allongée et décidait de finir en missionnaire. Dans une cadence rapide, je décidais de prendre un max de plaisir. Je sentais que ça montait vite et jai joui râlant de satisfaction, jai senti trois gros jets partir, jétais au ange.

Ma marraine ma embrassée, me disant quelle était heureuse, et quelle na pas envie que cela se finisse. Nous avons pris une douche et repris des activités normales. Depuis dès quon le peut, on se comporte comme un couple sembrassant et baisant. Je raconterai peut être dautres aventures que nous avons vécu.

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