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Pour la jouissance – Chapitre 1




Comme je l’ai raconté dans les récits "Meilleurs voeux", Sylvia était devenue une accro du sexe et, bien que nous nous soyons séparés, nous avions gardé des rapports téléphoniques fréquents. J’ai changé de région, mais je suis toujours en relation avec mes amis. De plus, Arnault me téléphonait souvent et il me narrait les exploits sexuels de mon ex-chérie.

Un jour, j’ai reçu un dvd, avec un petit mot d’Arnault.

« Regarde bien, apprécie et appelle-moi après. »

J’ai été étonné de ce courrier, mais comme je n’avais guère le temps ce jour-là, j’ai remis cela au lendemain.

Le lendemain, j’ai pris le temps de visionner ce dvd, qui m’a aussitôt mis dans un état de surexcitation.

C’était un film amateur, pris avec un caméscope numérique, qui devait être bien caché, car les personnes dans la pièce ne s’en apercevaient pas et agissaient avec naturel. J’étais au courant qu’Arnault possédait les dernières techniques et quil était un accro de la vidéo.

La scène se passait chez lui, j’ai reconnu de suite son appartement, et il y avait Sylvia, avec une robe très sexy, assez courte, se déboutonnant devant jusqu’à la ceinture. Elle était assise sur un grand canapé de cuir. Lorsqu’elle se penchait pour prendre son verre sur la table, on s’apercevait bien que ses seins étaient libres sous la robe. Arnault était assis à côté d’elle et il avait sa main autour de ses épaules. Une troisième personne était assise sur un fauteuil en face, et je ne la voyais que de dos. C’était apparemment une femme, vu son opulente chevelure. Ils discutaient tous les trois et le dialogue était assez clair pour que je n’en perde pas une miette.

Leur conversation était assez banale. A un certain moment, Arnault s’est penché à l’oreille de Sylvia et il lui a susurré quelque chose. Elle a souri et elle a répondu :

— Moi aussi, j’en ai envie.

Leurs bouches se sont rejointes et j’ai vu la main de Sylvia se poser sur la cuisse d’Arnault et la lui malaxer.

Après leur baiser, Arnault s’est adressé à la personne devant lui et il lui a demandé :

— Ça ne t’embête pas ? Elle me fait bander et j’ai envie de la sauter.

— Non, au contraire ! C’est même très excitant, répondit l’inconnue.

Arnault attira de nouveau Sylvia vers lui et il recommença à l’embrasser. Sa main libre se posa sur sa poitrine et il lui caressa un sein, faisant ressortir le téton qui pointait sous la robe. La caresse dura quelques minutes et on entendait déjà le souffle de Sylvia s’accélérer. Ils reprirent leur souffle et ils repartirent dans un baiser fougueux. Les doigts d’Arnault s’attaquèrent aux boutons de la robe et il glissa sa main directement sur la peau.

On voyait très bien la main s’affairer sur le sein et sur le téton. Sylvia appréciait réellement car sa main s’est dirigée entre les jambes d’Arnault et elle a commencé à le masser à travers le jeans.

A ce moment-là, la personne assise dans le fauteuil, s’est déplacée et est venue s’asseoir à côté de Sylvia. J’ai très bien reconnu Catherine, la voisine du dessus d’Arnault. Elle les a regardés un moment, en se passant nerveusement une main sur la cuisse, et je sentais bien que la scène l’excitait.

Catherine a posé sa main sur le genou de Sylvia et elle a commencé à la caresser du bout des doigts. Sylvia a sursauté et elle s’est écartée d’Arnault avec un air étonné.

— Laisse-toi faire. Tu vas voir. C’est très bon et tu vas prendre ton pied.

— Mais je n’ai jamais fait ça. Je préfère une bonne bite comme la tienne.

— Essaie d’abord et tu me diras. Ne crains rien. Tu la prendras partout, ma grosse bite.

Il lui avait déboutonné sa robe jusqu’à la taille et dégagé ses seins, et il s’est penché pour lui sucer les tétons.

Les doigts de Catherine étaient remontés très haut sous la robe, au niveau de la dentelle du bas auto-fixant, et ils commençaient à caresser la peau.

Sylvia a laissé échapper un râle de contentement, s’est calée bien au fond du canapé. A ma grande surprise, elle a décroisé les jambes, en les écartant assez pour laisser Catherine pousser son investigation.

J’avais les yeux grands ouverts. Elle m’avait toujours affirmé que jamais une femme ne la toucherait, que c’était dégueulasse…

Décidément, Arnault avait fait delle une grosse cochonne. Il avait réussi là où j’avais toujours échoué. Je bandais dur et je m’appliquais à une masturbation en règle.

La bouche de Catherine s’est posée sur le téton d’un sein, le suçant, le mordillant, le léchant amoureusement, pendant que ses doigts frottaient la vulve de Sylvia à travers sa culotte très transparente, où l’on pouvait voir, sa fine toison et sa chatte bien dessinée.

Elle émettait un ronronnement de satisfaction et elle a plaqué la tête de Catherine contre elle, pendant que son autre main s’activait sur la queue d’Arnault, qu’il venait de sortir.

Il s’est levé, laissant les deux femmes seules sur le canapé, et tout en regardant le spectacle il s’est déshabillé.

Les doigts de Catherine sont partis à l’assaut de la chatte de Sylvia, pendant que sa bouche se soudait à la sienne. Quand les doigts ont atteint le bouton d’amour, Sylvia a laissé échapper un râle de bonheur et son bassin a commencé à bouger d’avant en arrière. On voyait bien les doigts de Catherine s’enfoncer dans la chatte, sortir, s’aventurer vers son petit trou et revenir sur son clito.

Après un long baiser ponctué de râles, Catherine est retournée s’occuper des tétons de Sylvia et celle-ci a pu s’exprimer :

— Oh ! Comme c’est bon ! Elle me branle bien. Je ne savais pas que c’était aussi bon.

Elle a fixé Arnault debout devant elle et qui se masturbait lentement en regardant le spectacle, et elle lui a dit:

— Ah, mon salaud, ça t’excite. C’est ce que tu voulais, que je me gouine comme une salope. Tu es bien comme Claude et ça vous fait bander. C’est vraiment trop bon ! Je vais jouir… Vas-y ! Défonce-moi la chatte. Je vais te tremper les doigts, sale gouine !

Elle est partie dans une longue jouissance, qui n’était pas feinte, tandis quelle laissait échapper des cris de plaisir.

Catherine l’a branlé encore un peu, puis elle a sorti les doigts pour les porter à la bouche de Sylvia, qui les a sucés avec avidité.

Catherine a allongé Sylvia sur le canapé, puis elle s’est positionnée au-dessus d’elle pour l’embrasser.

Arnault était toujours debout et il continuait à se caresser lentement. Il s’est adressé à Catherine:

— Vas-y ! Baise-la maintenant. Fais-la jouir ! Elle est à toi. Je vais te chercher ce qu’il faut.

Arnault est sorti du champ de la caméra. Catherine caressait les seins de Sylvia pendant quelle ouvrait son chemisier. Sylvia, qui refaisait surface, a posé ses mains sur cette jolie poitrine qui se présentait à elle. Catherine s’est penché pour que la bouche de Sylvia puisse atteindre les tétons durcis, et elle les a frottés contre ses lèvres gourmande.

Arnault est revenu, toujours en pleine forme, et il a déposé sur le bord du canapé, deux gros godes, dont un sur ceinture. Ensuite, il a aidé Catherine à se déshabiller entièrement, en lui prodiguant au passage quelques caresses bien appuyées.

La bouche de Catherine est descendue tout le long du corps de Sylvia, s’attardant sur les seins, le ventre, pour atteindre le puits d’amour qui s’offrait à elle.

Sa bouche s’est emparée de l’abricot juteux, et sa langue titillait le clito extrêmement tendu. Sylvia s’est arcboutée sur le canapé et ses râles ont repris de plus belle, ses mains enserrant ses seins et triturant les boutons. La langue de Catherine faisait des ravages entre les cuisses de Sylvia, en s’attardant sur sa rondelle, qu’elle forçait avec sa langue.

— Vas-y, grosse salope, lèche-moi bien. Tu es meilleure qu’un mec, défonce-moi avec tes doigts. Hum!!! C’est trop bon.

Catherine ne se privait pas et ses doigts s’enfonçaient largement et facilement dans cette chatte bien lubrifiée. Elle ressortait ses doigts pour aller titiller l’anus, et elle commençait à le forcer, après l’avoir lubrifié avec la mouille qui coulait du vagin.

— Vas-y ! Défonce mon cul ! J’en ai envie… Encule-moi avec tes doigts, élargis ma rondelle.

Les propos de Sylvia étaient vraiment salaces, et je n’aurais jamais cru qu’elle pouvait tenir un langage aussi trash.

Catherine ne s’est pas privé de la défoncer, avec un, puis deux, et enfin trois doigts, qu’elle faisait aller et venir dans cette grotte accueillante et très humide.

Elle a retiré ses doigts pour se saisir d’un gode de bonne taille, et d’après ce que je pouvais voir, un peu moins gros que la queue d’Arnault, qui passait sa langue sur la fente de Catherine pour bien la lubrifier.

Catherine a présenté le jouet à l’entrée et elle a commencé à le pousser lentement, lui imprimant de léger va-et-vient. Elle l’avait enduit de la mouille de Sylvia pour une meilleure pénétration. L’engin est entré assez facilement, vu qu’elle avait quand même pris l’habitude de se faire défoncer par de gros calibres, comme celui d’Arnault ou de Sylvain, un beau black ami d’Arnault.

Arnault avait entrepris d’équiper Catherine du gode ceinture, dont une partie entrait dans sa chatte, l’autre étant destiné à baiser Sylvia. Sa langue continuait de la lécher, pendant qu’elle entrait et ressortait le gode du cul offert devant elle.

— Oh oui ! Que c’est bon ! Tu me défonces bien le cul ! Que c’est bon de se faire fourrer comme ça ! Je ne regrette pas.

Arnault s’est adressé aux deux femmes :

— Vas-y maintenant ! Baise-la à fond. Je vais t’aider à l’enculer, pendant que tu lui défonceras la chatte. C’est bon, hein, ma salope ? Tu prends ton pied. Je vais te remplir la bouche et me vider les couilles.

— Oui, viens me baiser la bouche, salaud. Tu me fais prendre mon pied. Je suis une belle salope et maintenant une gouine, Hum j’aime ça… Elle me baise bien…

Catherine venait de rentrer le gode ceinture au fond de la chatte de Sylvia et elle exécutait de lents va-et-vient, sur toute la longueur du gode.

Sylvia hurlait de plaisir et se tordait dans tous les sens. Arnault, tout en s’occupant du gode planté dans le cul de Sylvia, lui mit sa queue dans la bouche pour se faire sucer et lui envoyer son foutre.

Sylvia attrapa le sexe dur et elle se mit à le branler frénétiquement, pendant que Catherine lui défonçait la chatte et qu’Arnault lui bourrait le cul.

Son orgasme n’a pas tardé à venir. Elle s’est raidie d’un seul coup et un long râle s’est échappé de sa bouche, étouffé par le mandrin qui lui baisait la bouche.

Catherine a accéléré ses mouvements, elle s’est figée au fond de la grotte de Sylvia et elle lâché un cri de plaisir rauque, indiquant qu’elle atteignait aussi le sommet du plaisir.

Arnault a légèrement ralenti ses va-et-vient pour retarder sa jouissance et laisser les deux femmes récupérer, et pour quil puisse leur offrir son jus. Il a sorti sa queue et il s’est mis à se branler au-dessus de la bouche de Sylvia. Sa respiration est devenue de plus en plus rapide, ses cris augmentaient et sa main accélérait sur sa queue. Il s’est contracté et le jus est sorti, en longues saccades, directement dans la bouche de Sylvia, qui déglutissait au fur et à mesure que les giclées arrivaient.

Il s’est retenu un peu, il s’est tourné vers Catherine, il l’a attrapée derrière la tête et il lui a mis sa queue dans la bouche pour lui envoyer encore deux longues saccades au fond de la gorge.

Toujours imbriquées l’une dans l’autre, les deux femmes se sont appliquées à lui laver la queue à coups de langue. Ensuite, elles se sont embrassées et Catherine a repris son mouvement de va-et-vient dans la chatte de Sylvia. Ce ne fut pas long. Les deux femmes se sont mises à jouir rapidement, en se roulant des pelles et se bataillant avec leur langue.

Le calme retrouvé, elles se sont assises et Sylvia a dit:

— Saloperie que c’était bon ! J’ai pris un pied d’enfer… Moi qui n’ai jamais voulu baiser avec une femme, je n’aurais jamais cru que j’aurais un orgasme aussi fort… On recommence quand tu veux… Je ne suis jamais senti aussi salope et je t’en remercie…

— Si tu crois que je vais en rester là, dit Catherine. J’ai bien l’intention de te baiser jusqu’à ce que tu cries grâce. Arnault tient à nous défoncer toutes les deux. Ceci n’était que l’apéro. Passe un moment avec moi et je ferai de toi une belle gouine soumise au plaisir, ce qui ne t’empêchera pas de te taper des mecs et de te faire bien baiser. La bisexualité a du bon.

Elles se sont embrassées et le film s’est arrêté. Arnault devait avoir une télécommande, car, pendant qu’il les regardait, j’avais à plusieurs occasions des zooms dignes d’un film porno.

Bien sûr, je me suis masturbé et j’ai déchargé une bonne quantité de foutre, j’ai juste regretté de ne pas être là.

J’ai appelé Arnault, qui ne m’a répondu qu’a mon deuxième appel. Il était occupé, et il m’a simplement demandé si j’avais apprécié. Je lui ai dit que oui, mais que je lui en voulais un peu d’avoir réussi à la faire baiser par une femme. Il m’a dit qu’elle y avait pris goût, et que depuis la dernière vidéo, elle s’était fait défoncer plusieurs fois par Catherine et par une de ses copines. En se moment, elle était dans la chambre avec Sylvain et Catherine, qui s’occupaient d’elle et qui allaient la baiser à trois. Il ajouta qu’il était en train de filmer et que j’allais bientôt recevoir la vidéo.

Il a encore ajouté qu’elle regrettait que je ne sois plus là pour participer et qu’elle ne me remercierait jamais assez de lui avoir fait découvrir ce genre de baise.

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