Pendant la semaine, je restais en contact régulier par SMS avec Natacha. Elle avait su percevoir chez moi une très grande solitude et une tristesse en lien avec ma rupture avec Laura. Elle prenait chaque jour de mes nouvelles et m’informait de l’évolution de la production de la scène qu’elle avait prévue pour moi. Elle entretenait aussi tout autant le mystère autour du grand projet qu’elle souhaitait me proposer.

Un jour, je reçus l’appel de Natacha m’indiquant que tout était prêt pour la scène et que le rendez-vous était fixé au samedi suivant, la scène se déroulant l’après-midi mais la rencontre et les essais maquillage et tenue étaient prévus le matin dès onze heures.

Le samedi, j’arrivai donc au studio habillé d’une robe pull-over ceinturée blanche, d’un collant opaque blanc et de bottes assez hautes. Natacha m’accueillit et me présenta à Eléonore, la maquilleuse et costumière. Elle aussi avait été auparavant une actrice porno mais avait dû arrêter après avoir donné naissance à deux enfants. Natacha me fit me mettre nue et, après avoir donné quelques conseils à Eléonore sur mon relooking, s’approcha de moi, me demandant de me pencher en avant. Ceci fait, elle me glissa dans l’anus un plug afin, dit-elle, d’élargir mon trou pour cet après-midi.

Eléonore me prit alors sous son aile et commença par épiler les derniers poils que je n’avais pas su remarquer puis me maquilla et me parfuma. Enfin, elle décida de m’habiller en me faisant mettre plusieurs tenues mais, selon elle, elle n’arrivait pas au résultat voulu. Elle appela Natacha qui me fit remettre ma tenue perso, me mit des lunettes et m’attacha les cheveux de manière à me donner l’air d’une secrétaire très stricte. Natacha tourna autour de moi, s’attarda sur mon entrejambe et me mit une grosse fessée comme un éleveur marquerait une bête nouvellement acquise pour son profit personnel et m’attacha autour du cou un collier en cuir.

L’heure du tournage arriva vite et je fis connaissance des acteurs qui, quelques minutes plus tard allaient me défourailler. Ils étaient tous bien bâtis et bien membrés. C’était donc cela la surprise de Natacha : un gangbang. Quelle coquine !

Je fus assez surprise de voir que l’équipe de tournage se résumait à Natacha, la réalisatrice plus deux cameramen et le décor à un tapis de salon avec, en arrière-plan, une fausse cheminée. Hollywood nous met vraiment des stéréotypes dans la tête avec des décors toujours plus beaux.

La scène allait débuter. Natacha s’approcha de moi et m’enleva mon plug en me regardant droit dans les yeux et dit :

— Voilà, on va commencer. Ne stresse pas, laisse-toi aller, prends du plaisir et tu verras : tout ira bien. Et ne t’inquiète pas : je suis là et je te guiderai si besoin.

Je l’entendis dire action et voilà que je me retrouvais là, à genoux sur le tapis, entourée de mes cinq prétendants totalement dénudés. N’écoutant plus que mon instinct, je les fis se rapprocher de moi. Je pris alors la queue la plus proche en bouche et en branlai une dans chaque main. Je sentais les autres sexes sur mon visage, la nuque ou encore sur le haut de la tête comme pour me montrer qu’il ne fallait pas les oublier. Je dois dire que pendant les dix minutes qui ont suivi, je me suis retrouvée, dans cette forêt de bites, à sucer toutes celles se présentant à moi. J’entendis alors la voix de Natacha dirigeant les caméras pour ne pas en louper une miette puis cette même voix nous indiqua de passer à la suite.

On me fit mettre à quatre pattes et je sentis qu’un des étalons me vidait un tube entier d’eau légèrement gélifiée pour faciliter la pénétration. L’un d’eux accrocha alors à mon collier une laisse puis, tout en me pénétrant d’un grand coup, tira dessus pour me mettre la tête en arrière.

Ils se séparèrent alors en deux groupes. Trois d’entre eux se relayèrent pour m’enculer et accroître mon plaisir et les deux autres m’obligèrent à les sucer ou plutôt prirent ma bouche pour un vagin. Au bout de quelques minutes de cette cavalcade, je me mis à jouir comme une folle sous les encouragements de Natacha.

Ensuite, l’un d’entre eux me releva et Natacha m’attira hors du champ pour me dire que ce qui allait suivre était une petite surprise et que je devais suivre le mouvement. Je réapparus alors dans le champ des caméras. Un des hommes s’était allongé et l’on m’accompagna pour que je m’empalasse sur son pieu. Il m’allongea sur lui, mon dos collé contre son torse, puis je vis alors un de ses collègues présenter son gland à mon sexe déjà bien rempli. Je fermai alors les yeux et, après quelques difficultés à s’introduire pour lui et une petite douleur pour moi, ce que je croyais impossible était sur le point d’arriver. J’allais faire l’objet d’une double pénétration. Et comme si cela ne suffisait pas, l’un d’entre eux me présenta sa queue pour l’enfourner dans la bouche.

J’étais littéralement pleine mais, pour ne pas faire de jalousies, je dus prendre les deux queues restantes dans les mains et les branler. Je vis alors les cameramen se rapprocher et essayer de trouver un angle pour filmer cet exploit. Je sentis alors, dans mes entrailles, bouger ces deux sexes si raides pour essayer de se faire plus de place puis ils commencèrent à me limer tous deux. Je ne sais pas si c’était le fait que deux queues est égal à deux fois plus de plaisir ou si c’était la situation qui m’émoustillait mais il est vrai que la jouissance que je ressentis à ce moment-là était énorme, à tel point que la queue que j’avais en bouche ne put plus contenir mes cris.

Je sentis alors venir l’assaut final. Les deux queues en moi se déchargèrent et je sentis le sperme dégouliner de mes fesses en feu. Les trois autres se prirent aussi en main pour finir par m’éjaculer sur le visage et le corps. J’avais du foutre partout sur moi. J’entendis alors « Coupez » et mes cinq Don Juan me laissèrent seule, allongée sur le tapis, complètement exténuée.

Après quelques secondes, Eléonore me releva et m’entoura d’une serviette. Elle me conduisit jusqu’à une douche où elle m’aida à me laver tellement j’étais fatiguée. Je pus, après tout cela, me reposer un moment et, après avoir eu les félicitations de Natacha, je rentrai chez moi.

Le samedi suivant, je reçus l’appel de Natacha m’invitant à venir visionner le film. Je me rendis donc au studio où Natacha m’attendait pour visionner la bande. Nous regardâmes alors la vidéo montée avec soin par Natacha. Il est vrai que, pendant la projection des images, des souvenirs de cette expérience revenaient et mon envie de recommencer devait se lire sur mon visage puisqu’à la fin du film, Natacha me dit :

— Je vois que cela t’a plu. Viens avec moi dans le bureau, j’ai quelque chose à te proposer.

Elle me fit m’asseoir en face d’elle puis commença :

— Voilà, comme tu le sais, je t’avais parlé d’un projet sur lequel je suis et pour lequel j’ai besoin d’une fille comme toi. Je vais donc être directe et te poser la question qui orientera définitivement mon choix sur toi.

Un peu interloquée par ce ton très sérieux que venait de prendre Natacha, je n’étais plus aussi à l’aise qu’à la minute précédente. Mais de quoi elle voulait bien me parler ?

Natacha reprit alors :

— Tu n’as jamais pensé à changer des choses en toi ?

— En moi ? C’est-à-dire ?

— Je parle de te féminiser encore plus. Tes seins, changer tes lèvres, ce genre de choses.

— Devenir transgenre et faire ma transition ?

— Oui, tout à fait.

— C’est vrai que je me suis déjà posé la question mais je n’ai l’argent ni pour les opérations chirurgicales ni pour payer le traitement hormonal à suivre. De plus, les formalités administratives en vue des opérations sont très longues.

— Oui, tu as raison mais, sans ces soucis, tu le ferais ?

— Je pense, oui. Sofia est vraiment ma personnalité alors, si je pouvais la devenir au quotidien, je serais enfin épanouie. Mais pourquoi cette question ?

— Voilà, j’ai une proposition de film à te faire. J’ai reçu l’offre d’un groupe chirurgical de Chine. Ils proposent de financer un film porno montrant leurs compétences en matière de chirurgie esthétique.

— Ah. Et ?

— Ils financeraient les opérations sans délai administratif de rigueur en Europe. En contrepartie, ils demandent que le film devienne leur publicité. Ils sont persuadés que nombre de personnes sont dans ton cas, rebutées de passer à l’acte par manque de moyens et par les difficultés administratives. Ils voudraient faire de la publicité pour un marché chirurgical moins cher.

— Quelles opérations ils proposent ?

— Seins, sexe, bouche, nez, pommettes, épilation définitive au laser et le sponsoring des hormones sur le long terme. Tu verras sur place avec eux les chirurgies nécessaires et celles que toi, tu définis comme essentielles. Tu serais excellemment conseillée mais toujours décisionnaire de tout et je serais aussi là avec toi pour te conseiller.

— Mais il y en a, en France, pour des milliers d’euros et des années chez le psy pour le convaincre.

— Ouais et, là, c’est gratuit et dès que possible.

— Et ils sont doués ?

— C’est la crème des chirurgiens asiatiques formés par un spécialiste américain.

— La contrepartie est vraiment aussi simple ou le contrat est piégé et mon image sera à tout jamais à eux et sur la place publique ?

— Non, pas de piège. J’ai lu le contrat et ils ne veulent de toi que sur le film et que celui-ci ne soit diffusé que sur les médias concernés. C’est-à-dire surtout internet et les sites et forums parlant de transsexuelles et de travesties. Les droits du film seront séparés en deux, entre eux et ma boîte de production. C’est à nous que les droits financiers seront reversés mais ils pourront diffuser le film à leur guise. Mais en gros sur les mêmes médias que ceux habituels pour du porno.

— Bien, j’ai combien de temps pour y réfléchir ?

— Une semaine. Après, l’offre sera diffusée aux autres producteurs.

— Pourquoi ne l’ont-ils pas fait avant ?

— Je te rappelle que je me suis spécialisée dans le sexe de transition quand j’ai ouvert ma boîte de production. Il est normal qu’ils me contactent en premier. Je dois t’avouer que je leur ai parlé de toi en ayant donné mon accord de principe pour bloquer l’offre une semaine. J’ai bien fait ?

— Oui, et combien de scènes à tourner ?

— Cinq. Enfin, quatre, car celle de la semaine dernière sera l’introduction pour te montrer avant l’opération. Et je pourrais peut-être voir avec ton ami David pour récupérer les droits de ta toute première scène pour la mettre en bonus.

— On partirait pour combien de temps ?

— La date de fin de tournage est prévue dans quinze mois.

— Quinze mois ?

— Bah oui. Le temps de faire toutes les opérations, que l’hormonothérapie fasse effet, que tu récupères complètement de celle-ci et de t’habituer à ton nouveau corps, il y a au moins un an et, après, le temps de tourner, environ trois mois.

— Euh, et qui s’occuperait de la partie purement administrative de changement d’état civil au niveau de mon prénom et de mon genre sur mes pièces d’identité ?

— Ils ont aussi prévu une assistance juridique totale pour cela. Attends, c’est marqué dans le contrat. Euh… Oui, là. Tiens. Tu vois ? En plus, les connaissant, tu obtiendras tes papiers plus rapidement que si tu le faisais seule. Si tu as vraiment l’idée de le faire un jour, profites-en. Tu n’auras plus jamais l’occasion que cela se fasse dans de si bonnes conditions et surtout gratuitement.

— J’ai une semaine pour réfléchir, je vais voir…

Je passai le reste de l’après-midi avec Eléonore à ranger des costumes et des accessoires pour lui parler de la proposition et qu’elle m’aide à y voir plus clair. Elle était d’accord avec Natacha mais me dit de faire ce choix uniquement pour moi et pour personne d’autre.

Au cours de cette semaine de réflexion, j’essayai d’appeler Laura mais celle-ci ne voulait toujours pas répondre à mes appels. Je tentai d’appeler Julie, sa meilleure amie, qui avait appris notre séparation. Elle m’apprit que Laura était partie rejoindre ses parents aux USA pour oublier tout ce qu’il s’était passé. Je décidai donc au bout de seulement trois jours d’accepter le contrat. Je le signai donc et, une semaine plus tard, Natacha et moi, nous nous envolions vers Hong Kong et, ainsi, me faire apparaître sous les traits de Sofia aux yeux de tous.

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