Il y a un peu plus d’un an, j’avais postulé pour un emploi dans une boite (je suis comptable). L’emploi ne m’intéressait pas spécialement, pour tout un tas de raison, mais il faut bien payer le loyer. Enfin bref, ce matin là, je me présentais à la boite pour un entretient avec la DRH.
Quand je suis entré dans son bureau, j’ai tout de suite pensé "Et merde". Pas parce que la DRH était un thon. La quarantaine, châtain, elle était encore très jolie, et elle n’avait pas l’air spécialement mal foutue dans son tailleur gris. Mais elle avait des traits plutôt désagréables. Ca ne donnait pas envie de lui parler. Comme si j’avais le choix.
Pendant l’entretien, elle n’a effectivement pas été agréable. Elle n’a fait que me descendre en flèche. J’admets que je n’étais pas le candidat idéal, mais je ne méritais pas qu’elle se comporte comme ça. Bref, au bout d’un moment, j’en ai eu marre, et je me suis levé.
"Ma petite dame, même si je ne corresponds pas aux attentes de votre boite, j’ai droit à un minimum de respect. C’est pas parce que vous êtes frustrée du cul qu’il faut être aussi désagréable."
C’était parti comme ça. J’avais conscience que c’était méchant, mais après ce qu’elle m’avait dit, je m’en fichais.
La DRH s’est levée à son tour. "Attendez monsieur F.". Elle s’est approchée de moi, se perdant en excuses. Elle me dit ensuite "Vous avez raison. Je suis une frustrée du cul, même si ça ne justifie pas ce que j’ai dit. Mon mari me néglige depuis des mois. Je me sens laide vous comprenez." Encore en rogne, j’ai failli lui dire que je m’en foutais, mais elle s’est mise à pleurer.
Je l’ai prise dans mes bras, sans réfléchir. D’un coup, ma colère était partie, et je me mis à ressentir de la compassion pour elle. Et entre nous, elle était très jolie en larmes. Je la serrais donc contre moi, et tentais de la consoler. Et là, j’ai fait quelque chose de bizarre. J’ai descendu ma main droite, et je l’ai glissée sous sa jupe. Je ne sais pas vraiment pourquoi. L’envie de lui prouver qu’elle était désirable peut-être. Toujours est-il qu’elle s’est laissée faire, m’encourageant à continuer.
J’ai ensuite glissé ma main sous sa culotte. Quarante ans, négligée par son mari, je m’attendais à trouver une forêt amazonienne. Et bien non. Son sexe était bien épilé, juste un petit triangle de poils au dessus. De plus en plus excité, j’ai commencé à caresser sa fente. Elle arrêta de pleurer, et poussa quelques gémissements. Elle se laissait faire. Je décidais donc de passer à la vitesse supérieure et fis entrer un de mes doigts entre ses lèvres. Je commençais à la doigter doucement. Ses petits gémissements s’intensifièrent.
Je l’ai alors assise sur son bureau, et j’ai repris place sur le fauteuil où j’étais quelques minutes plus tôt. J’ai placé ma main sous sa jupe, et sans qu’elle n’ait le temps de protester, je lui ai enlevé sa culotte, qui était déjà humide du fait de mon petit traitement. Je me suis approché de sa chatte, et j’ai commencé à la lécher, tout doucement. Elle se retenait de crier tant son plaisir était important. Plusieurs mois sans jouissance, elle devait adorer.
"Pourquoi vous me faites ça?
— Tais-toi et profite."
Je n’avais même pas pris le temps d’arrêter de la lécher pour lui répondre. Elle avait toujours ma langue contre son clito, mais elle avait quand même compris. J’ai alors continué à la lécher, faisant entrer ma langue au plus profond de son vagin. Même si elle comme moi voulions faire durer le plaisir, elle ne put retenir longtemps son orgasme, et jouit dans ma bouche.
Elle m’assit sur mon fauteuil, et vint me chevaucher. Elle était essoufflée, mais son visage était rayonnant de bonheur. Elle me sourit, et je l’embrassais doucement.
"Pourquoi vous… tu as fait ça?
— Pour te prouver que tu n’es pas laide. Et aussi pour éviter aux autres postulants de subir ce que j’ai vécu."
Elle rit. Son rire était magnifique. Je caressais son visage et l’embrassais encore.
"Je ne suis pas un peu vieille pour toi? (J’avais 24 ans à l’époque)
— Tu n’as pas besoin d’être jeune pour être désirable.
— Dit surtout que tu espères que je t’accorde le poste."
Ce fut à mon tour de rire.
" Si tu ne m’accordes pas le poste, ce n’est pas grave. Je pourrais revenir quand même.
— Tu as envie de me baiser n’est-ce pas?
— Dit plutôt que tu as envie que je te baise.
— J’avoue."
Elle eu un sourire, à la fois coquin et magnifique. Nous avons alors fait l’amour dans son bureau, puis je suis parti.
Je n’ai pas accepté le poste finalement, j’en ai trouvé un plus intéressant pour moi ailleurs. Mais ma charmante DRH et moi-même nous nous revoyons régulièrement. Son mari doit avoir des cornes grandes comme mon bras maintenant. Ce qui est sûr, c’est que son épouse prend son pied à chaque fois qu’elle me voie.