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[Sci-Fi / Tentacles] Le réveil d'Odin – Chapitre 2




2.

Sud de lItalie Le même jour

Sylla se retournait dans son lit, narrivant pas à dormir. Le mois de juin était déjà chaud, mais la nuit apportait un peu de fraîcheur. Non, ce qui lempêchait de dormir, cétait son mental qui tournait sans arrêt. Elle était très troublée. Bien sûr Angelo était un crétin, et le fait quil ait rompu avec elle aujourdhui ne lattristait pas plus que ça ce qui la tourmentait, cest les dernières paroles quil avait prononcées « De toute façon, tu nes pas comme les autres, tu es bizarre, tout le monde le sait ! »

« Tu nes pas comme les autres ! » Depuis toujours Sylla ne se sentait pas comme les autres. Déjà son drôle de prénom. Cétait plutôt un nom de garçon, or elle était une fille et jolie avec ça ! La peau couleur miel, des cheveux bruns, longs et ondulés, un corps de rêve, avec de jolies formes Mais depuis lorphelinat elle navait jamais connu ses parents elle préférait la solitude. Devenue adulte, elle narrivait pas à se fixer. Elle avait eu des aventures de ci, de là, avec des hommes, des femmes aussi, avait fait plusieurs métiers mais elle ressentait toujours un manque, que jamais elle ne réussissait à combler.

Elle se leva. Sa nuisette collait à sa peau, à cause de la sueur. Elle sapprocha de la fenêtre pour prendre un peu dair. Elle se mit sur le balcon. Son petit immeuble donnait sur une ruelle, déserte à cette heure. Tout était calme et silencieux. Sauf dans limmeuble den face, un étage plus bas, où un petit volet avait grincé Toni, le fils du maraîcher, un adolescent boutonneux, prenait lair, lui aussi Il nétait pas bien méchant, mais dans son innocence et sa fougue dadolescent, il faisait une cour vaine et assidue à Sylla, déposant de petits bouquets de fleurs sur le pas de sa porte, lui donnant toujours les plus beaux légumes lorsquelle allait faire son marché Elle lui sourit, et se pencha un petit peu plus sur le balcon La lumière nétait certes pas très bonne, mais grâce à léclairage public, de là où il était, il pouvait deviner les seins superbes aux sombres tétons de Sylla Il fit un petit salut timide et confus à la jolie femme

Mais un bruit la fit sursauter. Elle tendit loreille. Oui, pas derreur, il y avait quelquun dautre dans sa chambre, elle en était sûr. Elle se retourna et ramassa la petite manivelle de fer quelle utilisait pour déplier lauvent du balcon. De son balcon, Toni vit la belle se retourner et se pencher lui découvrant ses superbes fesses Tandis quil tombait évanouis, comme sil avait vu une apparition de la Madone, Sylla entra doucement dans sa chambre, tenant la manivelle fermement, prête à se défendre mais elle le lâcha de surprise !

Devant elle il y avait bien quelquun non plutôt QUELQUE CHOSE ! Une forme dhomme, mais entièrement transparent, comme sil était uniquement constitué de liquide, et entouré dun halo lumineux blanchâtre. Mais cétait un homme, ça elle en était sûre, au vu de lénorme sexe quil avait entre les jambes !

— Sylla au secours nous avons besoin de toi !

— Mais qui qui êtes vous ?

— Sylla Sylla au secours nous avons besoin de toi !

— Mais enfin, comment me connaissez-vous ? Qui êtes vous ?

— Sylla, je ten prie viens demain à la pleine lune au vieux temple de la colline

Et, en disparaissant lentement, lombre, dans un murmure réitéra son injonction « Sylla au secours nous avons besoin de toi ! »

Sylla était abasourdie. Machinalement, elle ramassa la manivelle et alla la porter sur le balcon. Elle nota du coin de lil Toni qui se masturbait sur le balcon, et qui sarrêta, gêné et penaud, en la voyant. Elle lui fit un petit clin dil, remonta sa nuisette, lui dévoilant son sexe rasé, puis rentra dans son appartement alors que ladolescent éjaculait dans ses mains. Sylla pensait à ce quil lui était arrivé. Elle navait pourtant pas fait la fête hier soir ! Elle était sobre ! Que lui était-il arrivé ? Que pouvait être cette chose ? Il ny avait quun seul moyen de savoir le fin mot de cette histoire. Elle irait au vieux temple !

* *

Le lendemain, elle vaquât distraitement à ses occupations, impatiente de voir le jour se coucher. Lorsque enfin la nuit tomba, elle se mit en route vers le vieux temple. Cétait un temple grec, comme on voit beaucoup dans le sud de lItalie. Il était exceptionnellement bien conservé, ce qui était une manne touristique pour les habitants du village. Portant de petites chaussures plates, pour faciliter sa marche, et une petite jupe qui voletait à chaque pas à mi- cuisse, elle arriva bien vite au temple. Lorsquelle arriva sur le site, cétait effectivement la pleine lune elle pouvait la voir au-dessus du temple, ce qui lui donnait une allure fantasmagorique. Elle fit le tour du temple, mais ne vit personne. Elle rentra alors à lintérieur du temple il y faisait sombre et lendroit semblait désert. « Zut, jaurais dû penser à apporter une lampe de poche ! » pensa-t-elle cela lui aurait été plus utile que le couteau de cuisine quelle avait mis dans son sac au cas où ! « Quelle cloche ! Je me prends pour Indiana Jones ! Bon, assez de fantasmes, je rentre à la maison ».

Elle allait faire demi-tour, lorsquelle entendit un bruit, dans le recoin le plus sombre du temple. Sylla senti le manche du couteau dans son sac, ce qui la rassura un peu

— Il y a quelquun ???

Une voix inconnue vint du coin dombre :

—  ?

— Pardon ? Qui est là ?

— Sylla ? Est-ce bien toi ? fit la même voix

— Oui, cest moi mais qui êtes vous ? Et à quoi rime cette comédie ?

Un homme sortit de lombre. Il semblait très âgé, le crâne dégarni avec une couronne de cheveux blancs comme neige, et une barbe blanche et assez longue. Il était habillé comme un prêtre orthodoxe, à quelques différences près.

— Cest bien que tu sois venue. Très bien. Tu es très courageuse.

— Qui êtes-vous, et à quoi rime cette comédie ? Comment me connaissez-vous, et quest ce que cétait cette chose, chez moi, hier ?

— Oui, si tu acceptes de nous aider, tu mérite des explications. Mon nom na pas dimportance, sache que je suis le dernier prêtre dun ordre fort ancien, un ordre qui préserve des connaissances qui hélas se perdent aujourdhui Dis-moi, crois-tu à la mythologie ?

— Laquelle ? Il existe autant de mythologie que de peuples !

— Exactement ! Mais toutes ont un point commun : elles sont des énigmes, ou des codes, qui racontent une histoire unique. Lhistoire du début de lhumanité, de la lutte entre les créatures de lombres et les créatures de la lumière.

— Mais je rêve ! Cest quoi ce délire ?

— Ce nest pas un délire, la lutte du bien contre le mal existe depuis toujours, on ne peut le nier. Même les religions actuelles le décrivent, différemment, certes, mais cest toujours cela. Or sache que grâce à une femme humaine, les créatures de la lumière on réussit à emprisonner toutes les créatures de lombre. Mais ce nétait pas assez, il fallait les faire disparaître ! Hélas, les humains ont commencé à ne plus croire en ces histoires, et donc aux créatures de la lumières qui tirent leurs forces de la croyance, de la foi que les humains mettent en eux. Et au fur et à mesure que cette foi disparut, les créatures de la lumière saffaiblirent, et petit à petit disparurent Il nen reste plus quun aujourdhui et tu las vu hier

— Cest la chose que jai vu hier dans ma chambre ?

— Oui. Nous ne savons pas comment ni pourquoi, mais léquilibre du monde vient dêtre perturbé. Une créature de lombre a été libérée. Il faut la combattre, et la vaincre, avant quelle ne déverse un flot de malheur sur la terre. Pour cela la créature de la lumière à besoin de toi. Il ta choisi. Il nest plus assez puissant, et pour retrouver sa puissance, il doit sunir à toi

— Hola, sunir à moi oui heu vous fumez quoi en général ? On a bien rigolé, mais là, faut vraiment que je rentre à la maison

Une voix vint de derrière Sylla

— Sylla jai besoin de toi lhumanité à besoin de toi

Elle se retourna dun bloc. Un rayon de pleine lune, passant par une ouverture du plafond, éclairait la base de ce qui devait être un autel. Il nen restait plus maintenant quun grand bloc de marbre, un peu de travers. Devant cet autel, dans le rayon de lune, se tenait la même créature que la veille. Toujours translucide. Sylla allait répliquer, mais son regard se posa sur le sexe énorme de la créature. Elle se sentait fasciné, comme hypnotisé par cette verge translucide, qui petit à petit se dressait. Elle sentit son sexe devenir humide. La créature tendit la main

— Nous navons plus beaucoup de temps, viens à moi Sylla et accomplis ton destin

Comme une somnambule, Sylla marcha vers la créature. Elle rentra dans le faisceau de lune, devant lautel. La créature passa sa main avec douceur sur la joue de la jeune femme. La main était douce mais un peu froide. Elle descendit le long du cou, sur un sein Sylla fut parcourue de frisson. Se tétons durcissait, et commençaient à se voir à travers le T-Shirt quelle avait mis. La créature murmura quelque chose à son oreille, et elle se déshabilla entièrement, puis se coucha sur lautel. La créature sapprocha delle, caressa doucement son front, y posa un baiser, puis caressa les seins de Sylla avec une douceur et une tendresse que Sylla navait jamais ressentie, ces mains caressèrent ses seins, les malaxèrent, puis caresse son ventre, son pubis, passa le long de son sexe la jeune femme se cabra, écarta ses jambes et soffrit à la créature. Celle-ci vint délicatement se coucher sur Sylla. Elle sentit le gland de lénorme verge de la créature se poser contre son sexe à elle, puis doucement la pénétrer. Ce quil était gros ! La créature senfonça complètement en elle Puis lui donna de doux coups de boutoirs, coups de boutoirs qui de doux, commençaient à saccélérer. Le vieux scandait des paroles inaudibles, et frappait dun coups de bâton sur les dalles du temple à chaque coups de queue de la créature. Sylla était complètement remplie, ce sexe aurait du lui faire mal par sa grosseur, mais elle ne ressentait que du plaisir. La cadence saccélérait, Sylla était en extase par la mélopée, les coups de boutoirs de plus en plus rapide et de plus en plus profond, cette verge énorme qui la remplissait complètement, ce gland énorme qui venait taper contre le fond de son vagin il lui semblait que la créature rentrait de plus en plus en elle le plaisir devenait insoutenable la créature semblait devenir de plus en plus fine et de plus en plus longe, se transformant en un pénis géant une vague déferla dans son sexe, une vague de plaisir intense, qui la fit crier de plaisir à ce moment, la créature, qui navait plus forme humaine, mais était vraiment devenue un pénis géant, donna un coup de boutoir plus fort que les autres et rentra entièrement dans le vagin de Sylla : elle avait absorbé la créature le cri de plaisir devint un cri de douleur, une douleur pareille à celle dun accouchement, puis elle sévanouit

* *

*

Europe Centrale, au même moment

Odin, couché dans son sarcophage, sursauta et ouvrit les yeux. Il lavait sentit. La créature de lumière était elle aussi réveillée. « Déjà ! Il ne me reste pas beaucoup de temps, mes forces sont presque régénérées, il faut que je réunisse mon armée ». Il sortit du sarcophage. Il vit à terre les corps dEmma et du professeur. Ils étaient nus, encore éclaboussés du foutre verdâtre de ses tentacules, et semblaient endormi.

— Esclaves, réveillez-vous !

Emma et le professeur se réveillèrent, et comme hypnotisés, vinrent sagenouiller devant Odin. Ils ne voulaient pas lui obéir, ils étaient conscients à lintérieur de leur corps, mais leur volonté nexistait plus les corps obéissaient à la voix dOdin. Celui-ci marcha jusquà la grande porte quEmma avait remarqué la veille. Ses doigts devinrent des tentacules, qui senroulèrent autour de la barre de pierre et la brisèrent en mille morceaux. La porte sentre ouvrit doucement. Derrière la porte, une caverne sombre, insondable. Accroché à la porte, un tambour. Odin le montra au professeur.

— Sonne le rassemblement.

Le professeur alla décrocher le tambour, et commença à faire raisonner le son lugubre de linstrument dans la caverne. Au début, rien ne se passa Puis, deux paires dyeux jaunes apparurent dans le noir de la caverne. Le professeur reposa le tambour et recula, effrayé. Les deux créatures apparurent dans la lumière des troches. Gris et velu, cétaient des monstres ! Ils ressemblaient a un croisement entre homme et sanglier. Ils avaient la taille, les bras et les jambes comme des humains, en plus costaud et plus trapu, et les poils, lodeur et la trogne de sangliers. Ils nétaient vêtus que dun simple pagne, dans un tissu sale et parlaient dune voix très rauque

— Maître, enfin, vous êtes revenus.

— Où sont les autres ? fit Odin, irrité.

— Maître, cest que vous êtes parti longtemps les plus vieux sont mort dépuisement et de faim puis nous avons mangé les plus jeunes enfin il ne reste que nous deux.

— Heureusement que je pense à tout ! Professeur, venez avec moi. Vous deux, prenez lhumaine, et fécondez-là ! Commencez à reconstituer une armée, je vais vous ramener dautres humaines.

Et Odin sorti de la caverne, suivi du professeur.

Emma resta seule avec les deux créatures, qui détaillaient ce corps nu avec gourmandise

— Tu te rappelles des femmes humaines comme cétait bon

— Cela fait si longtemps jen ai la bave aux lèvres

Ils sapprochèrent dEmma, qui recula timidement

— Non, par pitié, ne me faites pas de mal par pitié

Elle essaya de senfuir, mais une des deux créatures lattrapa par le bras et la jette à terre, tandis que la deuxième vint se mettre devant elle

— Tu vas voir quon va pas te faire de mal

Et il arracha son pagne. Emma découvrit un sexe comme elle nen avait jamais vu. Il était aussi long quun sexe humain, mais légèrement plus gros, et de forme ondulée. De plus la créature avait des testicules énormes, deux fois plus grandes que des testicules humaines. La créature avança sa verge vers le visage dEmma. Elle nen voulait pas, ces créatures la dégoûtaient elle voulait senfuir, mais de nouveau, son corps ne lui obéit plus. Elle se mit à quatre pattes et savança vers le sexe du monstre. « Non ! Mais quest-ce que je fais ? » Mais elle navait aucun contrôle sur son corps. Elle prit la verge du monstre dans sa main, et commença à lui lécher le gland, tout en branlant ce sexe ondulé. Puis elle enfourna entièrement ce sexe et commença à sucer le monstre, qui couinait de plaisir, tout en massant ses énormes testicules. Lautre créature vint se mettre derrière elle. Elle le sentit, et contre sa volonté, elle offrit au deuxième monstre sa croupe rebondie. Il frotta son gland contre le sexe dEmma, puis lenfonça dun seul coup dans son vagin déjà fort mouillé. Il la pénétrait comme une bête, et cette grosse queue ondulée procurait beaucoup de sensations dans le vagin dEmma tandis quelle suçait lautre monstre avec gourmandise, se régalant de cette autre grosse queue ondulée Le sexe du monstre commença à battre dans sa bouche Emma voulait se dégager, mais sa bouche resta bien en place, pompant le monstre de plus belle qui éjacula un sperme épais et âcre quEmma avala goulûment, léchant même encore la queue du monstre pour ne pas en perdre une goutte ! Lautre monstre, trouvant sans doute ce spectacle très excitant, donna un dernier coups de reins et explosa, remplissant le vagin dEmma de son foutre épais

Mais les monstres, qui ne sétaient apparemment pas soulagés depuis longtemps, navaient pas eu leur compte. Emma lécha encore les deux queues, qui redevinrent vite raide. Le premier se coucha à terre, la queue bien raide. Emma en avait assez, mais pas son corps ! Il avança vers le monstre, et Emma sempala sur sa queue dressée cela faisait encore plus de sensation ! Elle sentait la queue ondulée glisser dans son vagin, lui arrachant à chaque fois des soubresauts de plaisir Alors quelle sempalait sur le monstre, le deuxième vint derrière elle. Il sagenouilla, et lempêcha de coulisser sur le premier monstre. « Mais que fait-il ? oh non pas ça ! » tandis que son vagin était remplis par la queue du premier monstre, le deuxième colla son gland contre lanus dEmma. Elle ne voulait pas de ça, la queue ondulée du monstre était trop grosse pour son anus étroit ! Mais son corps se positionna pour recevoir les deux queues en même temps. Le monstre pressa sa queue plus fort contre lanus dEmma, qui, sous la pression souvrit et absorba le gland du monstre Emma cria en sentant ce gland en elle puis, poussant encore, petit à petit, le monstre enfonça la moitié de sa queue dans lanus dEmma tandis que lautre recommença à ramoner son vagin Emma sentit dans son anus le passage de chaque ondulation de la queue du monstre. Au début cela faisait mal. Le second monstre commença alors un va et vient plus lent dans son anus Emma, remplie par ces deux énormes queues, sentit la douleur se muer en un insondable plaisir. Elle jouissait et hurlait comme une folle, prise par les deux monstres, se donnant à eux, ses deux orifices intimes remplis par ces queues énormes, les grosses testicules du deuxième monstre qui venait frapper contre ses fesses Ils étaient bestiaux, mais quelles queues ! Le corps dEmma nétait plus que plaisir. Elle jouissait encore lorsque les deux monstres jouirent en même temps le sperme abondant et épais des monstres remplit le vagin et lanus dEmma, débordant de ses deux orifices, coulant le long de ses jambes et encore gourmande de plaisir, Emma se dégagea, puis alla nettoyer avec sa langue les queues des deux monstres, pour ne pas perdre une goutte de sperme. Ces deux derniers grognèrent de satisfaction

— Ce que cest bon et en plus, avec ça, larmée est en cours de production

Et les deux monstres rirent de bon cur, laissant Emma fort perplexe

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