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On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche – Chapitre 2




J’étais parti pour plusieurs années à Paris pour mes études. Evidement j’allais pouvoir rentrer de temps en temps chez papa et maman pour les vacances. J’habitais avec mon oncle Jacques qui physiquement me ressemblait avec vingt ans de plus, des petites lunettes, une calvitie prononcée et un bouc entretenue. Je savais que ma mère ne l’aimait pas trop. Il était son beau-frère et il avait dû y avoir un passif entre eux (dispute ou autre chose). Mon père était quand même parvenu à la convaincre de me laisser partir chez lui (en même temps, financièrement, ils n’avaient pas trop le choix). Tonton était l’archétype du vieux garçon, célibataire endurci. Par la suite j’allais me rendre compte que nous allions bien nous entendre.

Au quotidien, j’arrivais facilement à concilier étude et boulot. Mes études ne me prenaient pas toute la journée et quand je finissais, je partais aider tonton à sa boutique. Ce que j’ignorais (ce que tout le monde ignorait d’ailleurs) c’était qu’en plus de son boulot, il avait une deuxième activité : les photos de charme. Le jour, il développait des photos de famille, il jouait les photographes de mariage parfois, . La nuit, il photographiait des filles à poil. Ensuite, il revendait les photos à des magazines de charme de l’époque et mine de rien, il arrivait à faire son beure.

Cette seconde activité, je l’ai découverte par hasard. C’est le genre de truc qu’il préférait garder secret et ça se comprenait pour l’époque. Très souvent j’étais en boutique pendant que lui, s’attelait à l’arrière. Parfois le soir, il lui arrivait de rentrer plus tard. Il me disait que c’était à cause d’une commande surprise et urgente. Je le croyais. Bien souvent il me disait de profiter de mon Samedi, que lui allait finir certains papiers à la boutique . Je n’avais aucune raison de ne pas le croire. C’est un jour où j’avais oublié certaines de mes affaires de cours à la boutique que j’ai tout découvert.

La veille, j’étais crevé et j’étais parti me coucher en laissant la moitié de mes affaires sur place. J’avais aidé Tonton et j’étais rentré sans faire attention. M’étant rendu compte de mon oubli, j’ai alors pris la clé de la porte de service et je suis retourné à la boutique. Ce n’est qu’après avoir retrouvé mon sac que j’ai entendu du bruit. La porte du studio photo n’était pas fermée et c’est là que j’ai vu Tonton, son appareil dans les mains en train de tirer le portrait à plusieurs jeunes filles de mon âge les seins à l’air. Je voyais ces filles prendre des poses plus ou moins érotiques avec le peu de vêtements qu’elles avaient. Mon oncle les mitraillait en disant « Oui va z y ! Bouge ton corps. Ondule tes formes. Fait l’amour avec l’objectif . »

Moi, à regarder cette scène, je commençais à avoir une sacrée trique, une vraie barre de fer. Je suis alors parti aux toilettes pour me soulager en silence. Je venais de me branler au-dessus de la cuvette des chiottes et de m’essuyer le bout avec du papier hygiénique quand j’ai entendu les filles sortir. Je les entendais rire et visiblement, elles avaient l’air d’aimer se faire prendre en photo très court vêtues. Certaines d’entre elles étaient étudiantes, d’autres des mères célibataires ayant besoin d’argent. J’ai dû rester un moment enfermé aux toilettes qu’elles s’en aillent. Je ne voulais pas être vu et j’imaginais que si tonton ne m’avait rien dit c’était parce qu’il ne voulait pas que je le sache non plus. Ce n’est que quand j’ai voulu partir que j’ai compris que certaines ne faisaient pas que se faire tirer le portrait. Elle se faisait tirer tout court. J’étais sur le point de passer la porte quand j’ai entendu des « Oh oui Jacques, encore, continues, ne t’arrête pas, ». Je me suis rapproché du studio et là je voyais Tonton, en train de prendre fougueusement une des jeunes filles qu’il photographiait et en plus elle semblait en redemander. D’après ce que j’ai compris sur le moment, Jacques avait un calendrier et des commandes de photo à honorer (en plus de ses modèles visiblement). Cette jeune fille avait besoin d’argent et voulait faire des photos supplémentaires mais ne semblait pas prévue sur le planning et pour le convaincre de prendre la place d’une autre, elle a dû se montrer très persuasive. « Bon sang ! Il ne s’emmerde pas le Tonton » me suis-je dit en admirant la scène. Je suis resté là, à attendre qu’ils sortent. Quand Tonton m’a vu derrière la porte, il congédia sa partenaire et comme on s’entendait bien, il voulut m’expliquer. Curieusement il essaya de le faire comme si il parlait à un petit garçon. Je l’ai arrêté en lui rappelant que je n’étais plus un gamin et j’étais même allé jusqu’à lui parler de celle à qui je faisais les devoirs en terminal.

Oui il faisait des photos pornos. Oui il couchait parfois avec ses modèles. Non il ne les forçait pas, il proposait. Moi qui le prenais pour un vieux ringard au départ, j’avais tout faux. Il fallait dire que ma mère m’avait brossé un portrait peu flatteur de cet homme que je n’avais vu que rarement durant mon enfance. Après avoir longuement discuté, je lui ai bien dit que je ne partageais pas le point de vue de ma mère sur lui. Il était célibataire, il faisait ce qu’il voulait. Ça me convenait. Comme je connaissais son secret, une nouvelle complicité était née entre nous et désormais je l’assistais dans tout ce qu’il faisait.

Tous les weekends, je me rinçais l’il. Je n’imaginais pas qu’il pouvait y avoir autant de filles qui pouvaient accepter de se faire photographier à poil. Tonton me montrait les magazines pour lesquels il travaillait et il y en avait un bon paquet. Et oui à l’époque, c’était les débuts des eighties. Pour voir des filles à poil c’était dans des magazines spécialisés. Le genre de magazines que je cachais sous mon matelas quand j’habitais chez mes parents et qu’un jour mon père a trouvé. Tous les samedis et même parfois les dimanches, je voyais défiler ces paires de nibards .. Pff y avait de quoi tourner de l’il. Il n’était pas rare qu’une de ses filles ait besoin de « bosser plus pour gagner plus ». Quand tonton me demandait de payer les filles, de les raccompagner à la sortie pendant qu’il s’isolait avec la dernière je savais ce que ça voulait dire.

Un jour, on venait de finir une séance de shooting, comme on dirait maintenant, et je l’ai vu s’isoler avec deux filles, deux jumelles. Elles avaient déjà bossé avec nous donc je les connaissais. Il les a entraîné dans son bureau pendant que moi je rangeais le matos. A un moment, je l’ai vu arriver. Il avait sa chemise ouverte et, même s’il tenait son falzar avec les mains, on voyait bien qu’il était à poil en dessous.

— Eh, Victor

— Oui ?

— Ça t’intéresse de t’occuper d’une des deux filles ?

— Comment ça ?

— Figure-toi que je ne peux pas m’occuper des deux en même temps et elles sont motivés pour la nouvelle campagne de pub du magazine « jeune, chaude et ouverte ». J’ai qu’une bite et visiblement y en a une a qui tu plais.

— C’est vrai ?

— Elle t’attend les cuisses écartées en se caressant. Elle suce bien et .

— Je fini ça et .

— Magne-toi. Elle est tellement brûlante qu’elle va foutre le feu à mon bureau.

— Ok je ferais ça plus tard, j’arrive.

Je me suis pointé dans le bureau et Tonton était déjà reparti avec sa partenaire qu’il prenait en missionnaire, à même la moquette. Sur le bureau, je voyais cette fille de mon âge, se caressant le bigorneau d’une main qui me faisait signe de venir de l’autre. J’ai fait tomber le futal et j’y suis allé. C’était surréaliste, on était tous les deux dans la même pièce en train de s’envoyer en l’air avec deux surs jumelles. On a même alterné et, désolé tonton de te dire ça mais, elles avaient l’air de plus prendre leur pied avec moi. Il faut dire que je le voyais se fatiguer plus vite. On a limé, on a jouis, elles ont pris leur paye et on est tranquillement rentré à pince. Chemin faisant, je n’ai pas manqué de lui faire remarquer un détail.

— Dis-moi tonton,

— M’appelle plus comme ça. Ça fait vieux con.

— Ok alors, dis-moi Jacques, t’as pas peur qu’elle tombe enceinte ? lui ai-je dis en parlant de sa partenaire

— Pas plus que toi visiblement.

— Moi je me suis retiré à temps mais pas toi visiblement.

— Euh . Ouais . Au pire je lui paie l’avortement.

— Et si elle ne veut pas ?

— De toute façon ce genre de fille ça a des amants dans tous les coins. Va falloir qu’elle le prouve que c’est de moi . Et puis surtout, faudra qu’elle explique comment elle s’est retrouvée dans cet état. Ça fait plus de six ans que je fais ça et j’ai jamais eu de problème.

Moi j’avais fait gaffe, mais lui visiblement non. Après tout il était assez grand pour savoir ce qu’il faisait.

Un jour, on a été appelé pour un mariage. Un homme de bonne famille qui mariait sa fille unique. Compte tenu du boulot que demande ce genre de travail, Ton pardon Jacques, était bien content de m’avoir avec lui pour la manutention. Bon, par contre pour ce genre de journée fallait être habillé classe sinon ça ne fait pas sérieux. Pas de problème pour moi. Vu le boulot pour lequel je me prédestinais, autant s’habituer à ce qui allait être ma future tenue de travail. Il m’a payé mon costard, on a préparé notre matériel et on est parti.

Je n’imaginais pas le boulot que ça allait me demander. Toute la journée, je transportais le matériel, chargeais les appareils, faisait des allers-retours pour aller chercher les pellicules dans la voiture, les bons flashes en fonction de la lumière, . Bref, j’ai fait du sport. Pendant ce temps-là, Jacques tapait la discute avec les familles des mariés. Le matin, on prenait les photos des mariés seuls avec leurs familles. Ils se positionnaient et pendant que Jacques préparait son appareil et choisissait le bon angle moi je voyais qu’il connaissait son boulot. Il avait comme un sens inné pour ça. Je m’en suis rendu compte en voyant le résultat. Les clichés étaient magnifiques.

Après la cérémonie, on s’est dirigé vers un petit château avec dépendances qui faisait de l’élevage de chevaux et qui accessoirement louait des salles pour des événements comme des mariages. Comme nous faisions partie du petit personnel de la journée, on mangeait à part. J’ai passé une grande partie de l’après-midi à faire des photos souvenirs avec un polaroid pour les invités qui voulait un souvenir immédiat de cette journée. Pour les plus jeunes qui ne connaissent pas, c’était ce genre d’appareil photo à pellicule qui sortait les photos sur papier directement après les avoir prises il fallait malgré tout attendre quelques minutes avant de les exposer à la lumière. La qualité restait correcte et Jacques m’avait chargé de cette tâche pendant que lui discutait avec les parents de la mariée à propos de la prestation.

Je n’ai jamais voulu être photographe mais ça restait quelque chose de sympas à faire. Plus tard, à la fin de la journée, je commençais à ranger le matériel et la mariée est venue me voir. Non les gros vicieux je ne me la suis pas tapé. Il ne faut pas déconner non plus. Elle a tenu à me remercier et m’a demandé si j’avais vu ses parents. Je lui ai répondu que non. J’ai chargé le matériel dans la fourgonnette mais je ne trouvais plus Jacques, il avait disparu. J’ai cherché et à un moment je l’ai retrouvé sortant d’un bâtiment. Ça tenue était un peu débraillée, je l’ai aidé à se remettre quand j’ai vu la mère de la mariée sortir du même bâtiment en catimini pour rejoindre les invités suivi de près par son mari. Elle avait sa robe un peu mal mise comme si elle s’était rhabillée à la hâte. J’ai soudain fait le rapprochement.

— Non ! Ne me dis pas que .

— . Que quoi ? Que je me suis tapé la mère de la mariée ? Bah si. Elle voulait une ristourne sur mes tarifs et .

— Oh bordel.

— Ne t’en fais pas. J’ai fait attention et puis son mari voulait regarder alors .

— Remarque, vu son âge, elle doit être ménopausée. Tu ne risques pas grand-chose

— Surement. En tout cas, elle aime la bite. Ça c’est sûr. Bon . T’as chargé la bagnole ?

— Oui

— Bon aller on se casse.

Ce fut une journée chargée mais sympas. Je ne faisais pas que bosser pour Tonton. Parfois en rentrant des cours, je lui disais que j’avais besoin de temps pour moi et mes études et il me laissait ce qu’il fallait. Tous les deux on s’entendait comme larrons en foire. Un jour il m’a annoncé une grande nouvelle. Il allait faire faire des photos d’une grande star du cinéma érotique de l’époque. Le genre de star sur lesquelles je me branlais quand je voyais les photos en pages centrale des magazines ou que j’allais me faire une séance dans une des salles obscures spécialisées dans ce genre de film. Curieusement, cette séance avait été organisée le Weekend juste après mon anniversaire. Coïncidences ? Non, Jacques voulait me faire ce cadeau car il savait que j’en étais fan. Toutefois la vraie surprise est venue après. A un moment Jacques s’est absenté. Je me suis retrouvé seul avec elle et elle s’est mise à me chauffer.

— Alors ça te plait de voir des filles nues poser pour Tonton ?

— Ce n’est pas désagréable à regarder.

— Et à toucher aussi ? demanda t’elle en prenant mes mains et en les plaquant sur sa poitrine.

— Mais . Euh .

— T’en fait pas, quand il est sorti j’ai fermé la porte. Il ne viendra pas nous déranger. Dit-elle alors en commençant à déboutonner mon pantalon.

— Euh vous êtes sûr de ce que vous faites ?

— Oh que c’est charmant ! il est timide. T’en fait pas je suis une pro. Avec moi tu vas prendre ton pied.

Et je l’ai pris. Oh purée ! J’ai baisé avec une star du porno pour mon anniversaire. YESSS ! J’avais plus une goutte de sperme dans les balloches quand on en a eu fini. Elle m’a tout fait et même des trucs que je ne connaissais pas. Elle m’a même guidé pour bien me servir de ma langue pour un cunnilingus. Visiblement, je n’étais pas très bon d’après elle mais avec ses conseils, elle a pris autant son pied que moi (peut-être même plus si ça se trouve). Je réalisai à peine ce que je venais de faire quand elle s’est rhabillé. Elle est parti et quand j’ai voulu la rattraper, c’est là que j’ai vu de loin Tonton lui donner une enveloppe épaisse avec du liquide. Il l’avait payé pour qu’elle couche avec moi. Merci Tonton !

Mes études se passaient super bien. Mon quotidien était rythmé par les salles de cours, mon boulot avec tonton, qui était loin d’être désagréable vu qu’il nous arrivait parfois de coucher avec les modèles (plus lui que moi surtout). Tout se passait super bien jusqu’à ce qu’une surprise pointe le bout de son nez.

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