Cela fait une semaine maintenant que ma mère et moi faisons lamour. Ce qui me plait surtout avec elle, cest quelle nest jamais réticente à tenter de nouvelles expériences.

Un jour, comme je lui avais fait part de mon envie de faire ça dans un ascenseur, elle me dit : « Ça tombe bien. Jai une idée. »

Elle partit téléphoner. Elle revint ensuite pour me dire quelle avait rendez-vous chez le dentiste le lendemain et que je devrais laccompagner. Ah bon ? Pourquoi ? Mais elle ne répondit rien.

Le lendemain, elle sortit du cabinet du dentiste vers 14h30. Je lattendais sur le perron. Une fois dans lascenseur elle me dit :« Regarde ! »

Et elle stoppa lascenseur entre deux étages avant dajouter :

« Prends-moi ! Je sais que tu en as envie et ma chatte est toute mouillée ! »

Je la plaquai contre la paroi dans un fougueux baiser, tandis que ma main glissa sous sa robe. Je découvris quelle navait pas mis de culotte Tout était prémédité ! La coquine !

Je glissai un doigt dans sa fente et je titillai son clito avec le pouce. Puis elle baissa mon pantalon pour libérer ma bite gonflée et impatiente. Sa bouche lengloutit, je sentis sa langue saliver sur moi, elle se redressa, elle prit appui contre la paroi et elle me présenta sa croupe.

« Viens ! Vite ! Prends-moi ! »

Je troussai sa robe sur elle et elle fit coulisser mon membre dans sa chatte humide et offerte. Mes mains glissèrent sous son petit haut blanc et empoignèrent ses seins à travers le soutien-gorge. Je la pistonnai avec force et vigueur. La situation était délicieusement excitante. Je la questionnai :

« Tu avais tout prévu, hein ? Dis-moi… »

« Oui, mon cur ! Tu semblais tant y tenir ! Je voulais te faire plaisir ! »

« Tu sais quoi ? Je vais jouir en toi et tu attendras que nous soyons de retour à la maison pour te laver ! »

« Mais ça va couler le long de mes jambes et »

« Cest comme ça ! Ne me dis pas que tu naimes pas et que ça ne texcite pas ! Tu nes quune cochonne. Je le sais maintenant ! Pas vrai ? Hein que tes quune cochonne qui aime le sexe ? »

« Oui ! Cest vrai ! Mais je ne suis comme ça quavec toi, mon chéri damour ! »

Mon sexe libéra sa semence en elle, ce qui eut pour effet de la faire jouir à son tour. Je restai ainsi, ma bite plantée en elle, sans bouger. Elle se libéra.

« Viens ! Il faut partir ! »

En disant cela, elle sagenouilla et elle nettoya mon gland des quelques traces de sperme qui restaient. Puis elle réajusta sa tenue et elle remit lascenseur en route. En sortant de limmeuble, un couple de personnes âgées nous croisa Sils savaient !

En montant dans la voiture ma mère dit :

« Jen ai plein ! Ça me coule entre les jambes ! »

« Je tai dit. Tu te laveras à la maison ! »

Elle ne semblait pas contre le fait que je la domine. Jeus une idée.

Une fois à la maison, elle fila prendre une douche et elle vint me rejoindre sur le canapé du salon. Jétais en boxer, elle en peignoir de bain. Elle sétendit, sa tête posée sur mes jambes. Javais un début dérection, elle glissa sa main sous sa tête pour tâter ma bosse à travers le tissu :

« Oh ! mais tu ne penses donc quà ça ? Tu es un véritable obsédé ! »

« A qui la faute ? Tu viens là sur moi, à demi-nue… Eh bien oui ! Cest vrai que ça me fait un effet terrible ! »

Elle remua un peu, ce qui eut pour effet dentrebâiller son peignoir. Ma main glissa sur son ventre, remonta pour caresser un sein. Elle se redressa, laissa tomber son peignoir pour apparaitre nue devant moi et elle fit glisser mon caleçon à mes pieds. Ma bite était pointée vers le ciel. Ma mère la prit en main et elle commença à me masturber avec douceur, en me décalottant avec application. Et tandis que son autre main flattait mes bourses, elle mengloutit entièrement, ses lèvres touchant mon pubis :

« Oh ouiiiii ! Que cest bon ! Que tu fais ça bien ! »

Elle lâcha mon sexe, tout en continuant à me branler :

« Tu aimes, mon chéri ? »

« Oh oui, maman ! Et tu sais quoi ? Je vais te faire jouir comme jamais ! »

Elle reprit mon sexe, en le léchant, en le masturbant et en titillant mon gland. Je glissai une main entre ses jambes, passant mes doigts à lentrée de sa cavité. Je sentais ses lèvres chaudes et mouillées. Je mallongeai sur le canapé et elle vint sur moi pour un 69 torride. Je glissai un doigt dans sa chatte débordante de foutre, puis un autre, et je cherchai le point sensible. Comme pour se venger, elle sactivait sur mon sexe et elle gémissait sous mes caresses :

« aAhhhh ! Oui !!! Continue ! Cest trop bon !!! »

« Ne tinquiète pas. Je ne compte pas marrêter là ! »

Nous avions fait lamour une bonne partie de la nuit et je savais que jaurais de lendurance. Elle eut un orgasme qui la fit crier. Je ne marrêtai pas pour autant, mes doigts allant et venant dans sa chatte offerte.

Elle se redressa, elle me fit asseoir sur le canapé, les pieds posés sur le sol, et elle vint sempaler sur ma verge luisante de salive. Je sentais ma bite entièrement en elle, mon gland touchant le fond de sa cavité. Je la tenais par les fesses comme pour quelle sempale encore plus sur moi. Jengloutis un sein, dardant un téton avec ma langue. Les yeux fermés, elle soupira :

« Oh ! Que cest bon ! Si tu savais ! Ta bite dans ma chatte, ta bouche sur mes seins ! Cest trop bon ! Tu as raison, je nai jamais joui comme ça ! »

Pensant à mon idée toute récente, je répondis :

« Ne tinquiète pas. Je te réserve quelques surprises, maman damour ! »

Ses mains me tenant les épaules, elle allait et venait sur moi. Je ne sus combien de temps nous avons fait lamour. Nos corps étaient en sueur, elle eut encore deux orgasmes, mais je navais pas encore joui.

« Eh bien ! Quelle endurance ! Je ne te savais pas si performant ! Mais, pitié, sil te plait… Je déclare forfait ! »

Il est vrai quelle respirait fort et quelle semblait épuisée.

« Ok, maman, mais je nai pas encore joui ! »

« Ne tinquiète pas, mon ange. Je sais ce qui te fait plaisir. »

Elle sagenouilla face à moi et elle glissa ma bite entre ses seins, quelle tenait avec ses mains. Elle ajouta :

« Viens ! Explose sur mes seins ! Arrose-moi de ta semence ! »

Elle me branlait entre ses gros nichons et je sentais que jallais venir :

« Oh oui ! Je viens ! Je viiiieeeeens ! »

Mon sexe gicla sa semence sur son cou, sur ses seins, sur son visage. Il y en avait partout. Je croyais que ça nallait plus sarrêter ! Elle termina de me branler pour lécher les quelques gouttes qui restaient sur ma verge.

Après la nuit précédente et cette journée, nous étions fourbus. Nous partîmes donc nous coucher sitôt le repas du soir terminé. Lovés lun contre lautre, nous avons rapidement sombré dans un profond sommeil réparateur.

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