Charlotte, allongée dans la voiture et bloquée par l’inconnu, se trouvait totalement désemparée par la bien physique et le mal moral que lui procuraient les pratiques sexuelles du capitaine de mer qu’elle venait de rencontrer.
— Mais ça te plaît vraiment, hein, le cunni ? Avoue-le …
Charlotte restait sans mot les yeux fermes.
— Avoue-le, Charlotte …
— Oui …
La gamine enrobée ne pouvait plus nier une telle évidence et cela encore amplifiait sa honte.
— Oui! Embrasse-moi … P’tite coquine !
De nouveau, leurs langues s’échangèrent langoureusement. Charlotte sentit parmi la salive du roux encore un peu de son liquide vaginal et se rappela que ses amies traitaient habituellement de "salope" un tel comportement. " Que suis-je en train de faire ?! " rougissait-elle de honte!
— Oui, je savais que toi, Charlotte, tu étais une vraie cochonne … Montre-moi tes nichons …
Il tira sur son décolleté et ses seins de chair emplis comme des ballons sortirent d’eux même. Ils exhibaient une peau mate unie et, au bout, une pointe rouge et très pointue entourée d’un cercle rose. Ils étaient vraiment gros.
— Je sens que tes jouets vont me plaire, Charlotte !
Le vieux pervers commença par pincer le bout des seins en les tripotant violemment, alternant entre tirer et appuyer. Charlotte gémissait plus distinctement.
— Ouh … ! Ah… ! Doucement … ! Ah … J’ai mal … !
En effet, le marin n’y allait pas de main morte et prenait grand plaisir a mastiquer ainsi sa grosse poitrine. Il attrapa maintenant ses seins en entier et les tenait fermement dans ses mains et les massant, les serrant fort.
— Il est temps de faire de toi une vraie cochonne …
— Ah .. Ouh … ! Doucement … !
Le roux passa une main en bas et enfonça entièrement un doigt jusqu’au bout dans le sexe de Charlotte, lentement mais profondément.
— Aaaaaaaaah … !!!
— Oh oui, t’aimes ça …
Puis le capitaine commença a la doigter efficacement. La chanteuse se mordait les lèvres. Le plaisir la dépassait complètement.
— T’aimes ça, hein …
— Oh… Oh ! Ah … ! S’il vous plaît …
Charlotte se trouvait sonnée par les montées constantes de plaisir. La peur laissait peu a peu place a un état de bien-être incompréhensible.
— Oui, dis-moi, Charlotte ?
— S’il vous plaît … Que … Que m’arrive-t-il ?
— Il t’arrive que tu te sens extrêmement bien parce que tu n’as jamais eu droit a une bonne masturbation comme celle-ci ! Hein, ma grosse cochonne … ?
— Non … Oh … ! Hen … !
Charlotte ne pouvait se résigner a une idée si dégradante. Pourtant, c’était vrai : elle vivait l’histoire de sexe qu’elle avait toujours vivre (peut-être manquait-il beaucoup de romantisme !) et elle se sentait fatalement bien dans son corps boudine. Son complexe avait totalement était chasse par les bouffées de plaisir que lui procurait l’inconnu.
— Alors … Je continue, dis-moi ?
Charlotte attendit un peu puis répondit tout bas, les larmes aux yeux emplis de honte :
— Oui …
— Eh oui, t’aimes ça, te faire branler comme une garce !
Soudain, il ressortit sa main toute humide et la mit devant la bouche de la fille.
— Regarde comme tu mouilles. C’est ton liquide vaginal, ça … Tu mouilles comme une vraie salope, ça, oui ! Goûte ton sperme de femelle en chaleur, ma jolie !
— Non…
Pour le coup, Charlotte en
— Mais si, c’est que font les putes comme toi !
Et il enfonça sa main dans la bouche de la dépravée qui suça son propre liquide.
— C’est bien … T’es une bonne fille, toi. Tu me plais … T’es grosse, pucelle et belle ! Tu as tout d’une bonne lope. Je vais t’apprendre un truc super. Tu vas voir !
L’inconnu prit la main de Charlotte et la plaça entre ses petites jambes. La gamine sentit quelque chose de très gros et de dur.
— C’est l’effet que tu me fais, ça, avec tes gros seins et ta belle chatte. Maintenant, je veux que tu me montres tes talents de suceuse … Car toute vraie salope doit savoir bien faire des pipes, tu vois !
A ces mots, le roux descendit sa braguette et donna une claque a Charlotte pour qu’elle ouvre ses yeux.
— Ah !
La violée aperçut alors un imposant pénis supporte par deux énormes testicules. Le sexe était très poilu et émanait une forte odeur de transpiration mais aussi d’autres choses plus sales… Le gland rose était recouvert d’une fine pellicule jaunâtre et peut-être de petites boules pâteuses blanches. "Depuis combien ne s’est-il pas lave ?!" se demanda Charlotte, terrifiée.
— Mets-le dans ta bouche.
— Je ne peux pas …
— Mais si, mon amour.
La jeune chanteuse reculait la tête au maximum.
— Non …
Le vieux attrapa la tète de la fille et enfonça entre les lèvres rouges sa lourde bite en érection. Le goût dans la bouche s’avérait immonde.
— Toutes les salopes font ça. Tu dois apprendre a te soumettre. Maintenant, lèche bien avec ta langue. Tu dois racler tous les recoins pour qu’elle soit toute propre a la fin. Allez, mon ange, ne me déçois pas… pas maintenant.
La peur se réveille de nouveau sous les menaces du vieux et l’instinct de survie de la lycéenne la guida a sucer du mieux qu’elle pouvait. Le goût écoeurant du vieux sperme et de la pisse conservée sur le gland tout chaud la poussait presque a vomir.
— Applique-toi, une salope digne de toi doit faire mieux que cela !
Et, la tenant par les cheveux, il la força a s’enfoncer tout au bout de sa bite jusqu’aux testicules. Des poils et même quelques boutons rentrait dans la bouche de Charlotte. Puis, elle se laissa guida et enroula de mieux en mieux la bite du marin, un immense goût puant remplissant sa bouche.
— Oui, c’est mieux… Continue, ma grosse …
Charlotte était contente de le satisfaire et se dit que peut-être cela le calmera.
— T’as le droit a une récompense …
Soudain, le demi-chauve enfonça son doigt dans le vagin de Charlotte et reprit de la doigter sauvagement.
— Hummmm… !
Même si elle en avait plein la bouche, la vierge ne pouvait retenir d’exprimer son plaisir. Le gros doigt s’engonçait toujours un peu dans son vagin et l’exciter au plus profond d’elle. La frénésie hormonale força la chanteuse brune a sucer le marin plus torridement, plus machinalement
— Oh oui, t’es une vraie pute soumise, Charlotte …
Disait-il vrai ? La jeune fille enrobée ne désirait pas y penser mais se laisser dominer par ses instincts de femelle en chaleur. C’était tellement plus facile de se soumettre, tellement soulageant … Charlotte, au fond, n’arrivait à regretter.
— Attends un peu … Tu vas me faire venir, sinon … Maintenant, tu es prête pour être dompter comme tu le mérites.
Il retira sa bite de la bouche de la fille, retourna celle-ci sur le ventre de sorte a bien voir ses grosses fesses et approcha son pénis de son vagin dégoulinant. Ainsi, le marin apercevait de même son bel anus, tout petit rose avec quelques poils noirs sur les bords.
Le violeur cola son pénis bandant au bords du sexe vierge même sans enfoncer.
— Alors, Charlotte, c’est comme tu veux … Tu la veux, oui… ? Tu as juste a dire "oui" …?
Charlotte dégoulinait de partout. La lycéenne se trouvait totalement excitée.
— Alors … Je continue ?
Les manipulations de l’inconnu l’avait entièrement retournée et transformée en femelle assoiffée de sexe. Incapable de renier sa nature, la chanteuse chuchota :
— Oui …
— Tu viens d’avouer que tu n’es qu’une vieille chienne soumise.
Et il s’enfonça dans elle, son gland dégoûtant pénétrant en longueur le corps surexcite de la brunette, la dépucelant dans un cri magnifique :
— Aaaaaaah ouiiiiiiiiiii !
L’homme commença alors a baiser la fille, lui attrapant méchamment les seins.
— Tu n’es qu’une salope soumise, tu m’entends … ? Tu n’es bonne qu’a prendre des bites dans le cul … Et moi, je suis le capitaine … Dis-le. "Je suis une grosse salope."
— Hen … Hen .. Hen !
— Dis-le !
Et il donna une fessée claquant sur ses fesses, provoquant chez la dépucelée un mini-orgasme aigu.
— Ahhhh !
— Dis-le !
— Hen ! Hen ! Je suis … Hen ! Une grosse… Salope … Hen ! Hen !
Le quarantenaire procédait des va-et-vient de plus en plus violents dans la bouche de la fille et lui tapait le fond de l’utérus.
— Ah, c’est bien ! Dis-moi "Vous êtes mon capitaine"
Encore une fois, Charlotte ne voyait plus d’alternative et voyait dans la soumission la seule issue possible … Peut-être méritait-elle tout cela ? Peut-être était-elle destinée à se donner à ce "capitaine" autoritaire ? Les ondes de plaisir qui la parcouraient l’obligeaient à répondre :
— Vous … Hen ! êtes mon … Hen ! Capitaine… Hen !
— Maintenant (et il continuait à la niquer sauvagement), tu répondras toujours par "oui, mon capitaine"…. Ho ! … Compris ?
— Hen ! Hen ! Hen ! Oui … Hen !
— Oui qui ?
— Hen ! Hen ! Oui ! Hen ! Oui, mon capitaine ! Hen ! Hen !
— Alors dis-moi qui aime se faire baiser comme une grosse salope par son capitaine ?
— Hen ! Hen ! Hen !
— Qui c’est, ma grosse salope ?
— Hen ! C’est moi … Hen ! Mon capitaine … Hen ! Hen !
Il n’existait pas de mot pour exprimer l’harmonie de honte et de bien-être que ressentait à ce moment précis Charlotte. Cet instant résonnait en elle comme une véritable révélation.
(A suivre … !)