TENDRES RETROUVAILLES

Line a rendez-vous à sept heures. Ahmed a promis une petite collation. Elle sest embrouillée dans ses explications à sa mère qui sétonnait quelle sorte deux soirs de suite.

— Bernard nest pas raisonnable. Je lui en ferai la remarque à la première occasion. Il avait promis de ne pas trop te mettre à contribution.

— Euh Il ne sagit pas dune séance avec Bernard.

— Ah bon ? Avec qui sors-tu ?

— Tu les connais pas.

— Et en plus ils sont plusieurs !

— Je ten prie maman, laisse-moi vivre ma vie.

— Bon, bon, ce que jen dis Ne rentre pas trop tard, tu as cours demain, ne loublie pas.

Elle a réussi à séchapper. Elle hésite avant dappuyer sur la sonnette. Fait-elle bien ? Peut-elle faire confiance aux promesses du jeune ingénieur ? Sa jalousie ne va-t-elle pas gâcher leurs retrouvailles ? Elle hausse les épaules. Il ne sert à rien de sinquiéter à lavance, qui vivra verra

Philippe laccueille sur le palier.

— Bonsoir Line.

Il la fait entrer et la débarrasse de son manteau.

— Oh ! Tu es en beauté ! Je te remercie.

La jeune fille sourit au compliment. Elle a pour la circonstance revêtu une robe rouge fendue sur le côté. Lorsquelle marche, on peut apercevoir un peu de peau nue au-dessus du bas. Il la conduit au salon.

— Ahmed nest pas là ?

— Si, si, il termine de préparer la collation prévue.

Le jeune ingénieur fait son apparition un plateau damuse-gueule entre les mains. Il tremble de saisissement à la vue de la jeune fille. Philippe se précipite et pose les sandwichs sur la table basse.

— Tu vois dans quel état il est ! Cest ainsi depuis que nous sommes rentrés du travail.

Le rire de Line détend latmosphère. Les trois jeunes gens sassoient autour de la table de salon et discutent de sujets anodins tout en engouffrant les provisions et des verres de punch.

— Tas pas de la musique ? demande Line en essuyant sa bouche.

Ahmed insère dans le lecteur un CD. Les notes dun slow connu ségrènent dans la pièce. La jeune fille se lève :

— Faites-moi danser.

Philippe se précipite et lenlace. Elle se colle contre lui. Le couple oscille au milieu du salon. Tout à coup, elle se dégage, tire Ahmed par le bras et se suspend à son cou. Son ventre plat frotte contre la protubérance du sexe masculin qui grossit sous le contact.

Line se laisse bercer quelques minutes puis reprend Philippe. Ses doigts agiles déboutonnent la chemise du garçon. Cest au tour dAhmed de se faire dépoitrailler. Elle tire les pans de chemise hors du pantalon puis se love dans les bras de Philippe. Lui, descend la fermeture de la robe dun petit centimètre, sarrête de crainte dune réaction négative, puis rassuré par la passivité de Line qui joue avec les poils du torse, fait glisser la tirette jusquau bas du dos. Line séchappe pour laisser Ahmed découvrir ses épaules. Le tissu rouge glisse sans sarrêter aux hanches et sentasse aux pieds de la demoiselle. Elle lenjambe et se réfugie chez Philippe dont elle dégrafe la ceinture pendant quil caresse le dos et les reins. Ahmed se retrouve pantalon sur les genoux le temps quil ouvre le soutien-gorge que Philippe ôte tout en perdant son pantalon.

Line passe dun homme à lautre échangeant des caresses. Les slips descendent sur les cuisses franchissent les genoux. Les hommes sont nus, Line conserve son porte-jarretelles et ses bas.

Ils dansent maintenant à trois, serrés les uns contre les autres. Ils se regardent dans les yeux faisant semblant dignorer ce que font leurs mains. Line sent de temps en temps dautres doigts que les siens lui disputer une verge ou découvre que lorifice quelle voulait explorer était occupé. Elle sourit : les mains indiscrètes nappartiennent pas toutes à Philippe ! Ahmed a vraiment changé ! Elle leur offre tour à tour ses lèvres pour un baiser langoureux. Entraînés par lambiance érotique les deux garçons rapprochent leurs bouches mais au dernier moment, Ahmed croise le regard de la jeune fille et détourne la figure.

La musique sarrête. Le trio reste immobile un instant, puis, Line tourne le dos à Philippe, prend la verge dAhmed à pleines mains et pousse lingénieur sur le canapé. Elle lui demande de sallonger et monte le rejoindre à quatre pattes, le cul proéminent la figure à la hauteur de lénorme sceptre vivant quelle samuse à lécher à petits coups de langue. Philippe comprend linvite. Tenant sa bite dune main, il la dirige entre les fesses de la jeune fille. Il samuse à caresser lanus.

— Non, pas là Sil te plait

Elle écarte les genoux, il trouve la bonne ouverture et senfonce lentement. Un même soupir sexhale de leur bouche.

— Oui Baise-moi bien Aah ! Prépare le chemin ouii !

Elle maintient la raideur du sexe dAhmed par des caresses et des léchouilles tout en regrettant de ne pouvoir introduire le gland en bouche. Philippe dans son dos varie la profondeur et le rythme des coups de rein. Passant une main sous le ventre de Line il découvre le clitoris.

— Ouiii !

La main migre vers la poitrine pendante, triture un téton puis revient entre les cuisses.

— Aaah ! Ouiii ! Ouvre-moi !

La cadence saccélère. Philippe halète proche de léclatement.

— Han ! Aaah ! Aaaah !

— Ouii ! Remplis-moi Aaah ! La queue dAhmed glissera mieux !

— Aaargghh !

Line perçoit les jets de sperme, puis la tige dans son vagin diminue de volume. Elle repousse Philippe qui tombe à genoux sur le tapis à la recherche de son souffle. Sans lâcher la queue dAhmed, la jeune fille enjambe ses cuisses et présente le bout du gland contre sa chatte.

Placé en contrebas, Philippe assiste à lopération. Jamais ça ne rentrera, pense-t-il, cest trop gros. Il ne peut détacher son regard tout le temps de la lente disparition du gland puis de la hampe avalée par les chairs dilatées.

— Aaah ! soupire la jeune fille.

Elle est prise dun éblouissement et vacille. Philippe se précipite pour la maintenir droite.

— Merci, lui murmure-t-elle tout en soulevant le bassin et retombant dessus pendant que sa main droite recherche le contact avec le corps de celui qui vient à son aide.

Le garçon se rapproche, tend le ventre. Les doigts touchent la verge souple et humide, senroulent autour. Ahmed ouvre et referme la bouche sur un cri silencieux. Il soutient de ses paumes en coupole les seins qui le surplombent. Une secousse ébranle Line qui cesse tous mouvements.

Lingénieur la prend à bras le corps, se soulève pour la reposer sur le dos sur les coussins du canapé. Line tente de joindre les talons sur les fesses de son pourfendeur. Elle ne peut, gênée par lénormité qui encombre son vagin. Philippe sapproche à nouveau et présente sa queue qui commence à regrossir à la main qui sen empare. Il caresse les fesses de son ami dun doigt fouineur. Ahmed pousse un grognement et écarte un peu les genoux.

La jeune fille exhale un soupir à chaque pénétration. Son vagin a pris la mesure de la queue qui le transperce. Toute gêne a disparu, son bas-ventre ne lui adresse que des ondes bienfaisantes. Une main manchonne le dard de Philippe qui a retrouvé sa raideur et lautre imprime les ongles dans lépaule de son cavalier. Tout à coup une idée traverse son esprit embrumé. Elle se souvient de la vibration particulière quand Ahmed lui faisait lamour tout en étant possédé. Elle veut la retrouver.

— Phil Aah ! Philippe Aah ! encu Aah !

— Tu veux que je lencule pendant quil te baise ?

— Ou Aah ! Oui Tu Aah ! tu veux bi Aah ! veux bien Ah Aah ! Ahmed chéri.

— Pardi quil veut bien !

Philippe récupère sa queue. Il prélève un peu de liquide vaginal entre les cuisses de Line et en tartine lanus de son collègue. Celui-ci ralentit la cadence pour permettre à son ami de se positionner.

— Mmmh ! gémit-il lorsque la queue se fraye un passage dans son sphincter.

— Ouiii ! sécrie Line ravie déprouver à nouveau létrange sensation quelle navait pas oubliée.

Le trio coordonne ses mouvements. Philippe pistonne le cul quil connaît bien à présent. Il envie la jouissance affichée par Ahmed. Tremper sa quéquette tout en étant enculé, le pied ! Ah si seulement son ami navait pas une aussi grosse pine ! Il a trop peur dêtre déchiré pour tenter lexpérience.

Lingénieur est aux anges, ces retrouvailles se passent à merveille. Ah la douceur du con de Line ! Quel massage sur sa queue ! Ajouté à la dilatation de son anus et au frottement dans son sphincter Le plaisir envahit son bas-ventre, grimpe dans la tige il va éclater non ! Pas encore ! Par un effort surhumain, Ahmed arrive à contrôler la montée de la sève. Londe de jouissance satténue. Il peut plus calmement déguster les sensations procurées par ses deux partenaires Jusquà la prochaine vague

Line ne regrette pas dêtre revenue. Les va-et-vient dans sa chatte suffisent à son bonheur actuel. Elle ne se préoccupe pas de ralentir léclosion du plaisir, elle. Elle sait que les vagues de jouissances se succèdent, orgasme après orgasme. Aah ! Un de plus ! Et ce nest pas fini !

Si ! Tout a une fin ! Ahmed succombe enfin. Une onde de pression déforme sa verge. La semence sécoule, abondante, déborde du vagin encombré. Philippe rugit à son tour en se soulageant dans le cul agité par des spasmes de plaisir. Une dernière secousse ébranle Line au moment où le volume du pieu dans son ventre diminue. Elle serre convulsivement Ahmed contre son corps.

Philipe roule sur le côté. Il fait basculer son ami qui libère la jeune fille. Les deux garçons mettent plusieurs secondes à retrouver leurs esprits. Ils sapprochent de Line qui balance la tête de part et dautre, encore sous le coup dune intense émotion.

— Calme-toi, ma chérie, calme-toi, lui dit Ahmed en essuyant le front trempé de sueur.

— Oui, cest fini, ma petite Line, cest fini, ajoute Philippe.

Elle leur sourit, les attire contre elle.

— Vous êtes des amours

Philippe séclipse pour réapparaître avec des verres de jus de fruit.

La jeune fille décline linvitation à rester pour la nuit.

— Non, cest impossible, Je nai pas averti ma mère.

— Téléphone-lui.

— Non, elle naurait plus confiance en moi. Mais je reviendrai, je vous le promets.

Elle se lève à la recherche de ses habits. Cela les amuse de la voir déambuler dans le salon en porte-jarretelles et en bas. Elle les interrompt lorsquils veulent se couvrir comme elle.

— Après mon départ. Dici là je veux que vous restiez nus ! Je veux que vous me montriez combien vous regrettez que je ne reste pas.

Ils laccompagnent sur le palier. Elle leur accorde à chacun une caresse avant descendre les marches. Au tournant de lescalier, elle leur adresse un baiser du bout des doigts. Ils sont appuyés lun contre lautre dans lencadrement de la porte, fiers de leur virilité retrouvée. Larrêt de lascenseur à létage les fait précipitamment rentrer. Line sourit en reprenant la descente : Elle conserve devant les yeux limage de deux verges au garde à vous, celle dAhmed en partie cachée par la main de Philippe. Elle est prête à parier quen cet instant Ahmed ne refuse pas les caresses quelle devine que son ami tente de lui prodiguer. Peut-être accepte-t-il le baiser quil a eu honte de recevoir tout à lheure en sa présence

A suivre

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