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Deux soeurs, un souhait – Chapitre 3




Troisième jour : 7h-12h

Marie se réveilla de bonne heure, satisfaite delle-même et de la gâterie quelle avait prodigué la veille, elle sétira avec délectation dans les draps. La seul ombre au tableau elle sen rendit vite compte, était que son cul la grattait affreusement, mais elle sen fit une raison Après tout, les démangeaisons provoquées par les branches montraient jusquoù elle était prête à aller. Elle avait ainsi prouvé son tempérament de feu et sa témérité.

Cest avec entrain quelle prépara le petit-déjeuner, attendant sa sur pour à nouveau léblouir de ses exploits. Lorsque Sandrine entra dans la petite cuisine en baillant, Marie se fit une joie de lui servir un toast beurré, elle attendit un instant que Sandrine sinstalle et dévore son pain grillé pour lui raconter son aventure. Elle commença, mettant laccent sur son audace, mais abrégea un peu la fin, il était inutile de lui parler des dégradations quavait entrainé son acte. Elle ne put sempêcher de hausser le ton dexcitation au moment le plus fort:

« Alors à ce moment une prof est arrivée, Et je me suis cachée dans un buisson ! Comme je trouvais ça excitant, jai pris sa queue dans ma bouche pendant que la prof lui disait bonjour ! Je tassure il na pas duré longtemps ! »

Sandrine reposa son toast dans sur la table, Marie attendait des félicitations ou de ladmiration mais ce fut un rire tonitruant qui la cueilli à froid.

« Tas fait une petite pipe et tu viens te la jouer Mata-Hari ?! » Sandrine se remit à rire. « Mais cest rien ça, une petite pucelle qui sexcite comme une poule qui a pondu un uf, ma pauvre »

La benjamine était bien décidée à prendre sa revanche sur la journée précédente, elle prit son temps pour finir son toast continuant de se moquer de sa sur. Puis elle entreprit de raconter ses propres tribulations. Pour contraster avec la surexcitation de sa sur, elle parla froidement comme si ce genre dhistoire lui arrivait un jour sur deux.

« Cest intéressant, mais moi jai rencontré un type hier au centre de fitness, dans la soixantaine, pas très beau mais tant que la queue fonctionne on na pas à se plaindre, nest-ce pas surette ? Alors je suis allez voir le coach pour le convaincre de nous laisser une salle, et là pour léchauffer jai jouée à la truie et ça la beaucoup excité il ma même fait une jolie queue en chocolat qui me sortait du popotin. Et après on a fait les porcs.

-Tu mens !

-Oh, vraiment ?»

Sandrine partit dans sa chambre chercher quelque chose. Marie pendant ce temps sécroula sur sa chaise. Elle était dévasté, au fond elle savait que sa sur navait pas mentit. Et elle se rendait compte que son histoire de pipe nallait pas très loin Sandrine revint dans la cuisine trottant légèrement malgré son poids, une culotte à la main.

« Regarde ça ! » Sandrine jeta sa culotte sur la table qui atterrit à côté du bol de Marie. Délaissant son café pour la culotte de sa sur, Marie remarqua dabord quil sagissait dune culotte en dentelle. La lingerie la plus sexy quelle possédait était constituée dun sobre string quelle ne mettait jamais, elle sen voulut de navoir jamais pris le temps de sacheter des dessous plus affriolant. Un examen rapide montrait que cette culotte avait passé par bien des états avant de parvenir à ses yeux. Elle observa une grosse tache brunâtre qui submergeait une bonne partie du dessous, ainsi quun sang virginal imbibant encore plus le tissu. Finalement le tout était constellé de taches blanches quelle supposait être du sperme sec.

"Hey, mais cest dégueu tu tes fait dessus ?

-Mais non, cest du chocolat regarde ! » Dun doigt elle en gratta une mince couche avant de le porter à ses lèvres. « Mmmm, Tu vois ? On cest vraiment comporter comme des cochons faut dire. Dailleurs je vais rester à la maison jai encore du chocolat qui me colle dans le fondement, ça me chatouille drôlement.»

Marie en fût exaspéré, dire quelle était encore vierge pendant que ça sur avait déjà deux trous de déflorés. Elle ne pouvait quand même pas être plus prude quelle ! Elle rentra dans sa chambre les larmes aux yeux. Elle devait prendre des mesures immédiates, si sa sur se tapait des sexagénaires, et bien, elle shabillerait pour faire bander un mort ! Elle choisit un soutien-gorge faisant ressortir de belle manière sa poitrine avant denfiler le chemisier le plus moulant quelle put trouver. Pour le bas, elle fut perplexe devant son string, le trouvant vraiment trop sobre, il était dun gris anthracite quelle trouva des plus utilitaires. Elle hésita un instant mais la colère lui montait au nez et elle perdait beaucoup de contrôle sur elle-même Elle finit par shabiller de sa jupe la plus courte sans rien mettre dessous. En sortant dans la rue, le vent fit voler sa jupe bien haut, et la colère quelle ressentait fut temporairement remplacer par la honte de son comportement, elle hésita à rentrer dans lappartement, mais elle préférait ne pas se confronter une nouvelle fois à sa sur.

Plaquant une main sur le haut de sa cuisse pour éviter que sa jupe ne dévoile trop de son intimité aux passants, elle se pressa daller à la fac. Se remémorant les paroles de sa sur, elle neut bientôt plus quune idée en tête : se faire dépuceler le plus vite possible. Pas de temps à perdre si elle voulait rattraper son retard sur Sandrine. A mesure que sa conviction grandissait elle oubliait de maintenir sa jupe collée à elle, arrivée à lentrée de luniversité, sa jupe voletait au niveau de ses fesses sans quelle sen rende compte. Elle alla directement devant la salle de classe pour trouver Jérôme, mais il semblait absent. Elle commença alors à le chercher dans toute la fac, arpentant les couloirs sans prêter attention aux autres. Elle était focalisée sur une seule pensée trouver celui qui allait lui mettre un coup de rein. Aurait-elle été plus attentive elle aurait remarqué que la longueur de sa jupe et ses seins proéminents attiraient des regards lubriques, et elle naurait pas eu à chercher longtemps pour trouver quelquun qui aurait accompli son souhait.

Ne trouvant pas Jérôme, elle finit par se résigner à aller en cours, zyeutant les garçons qui pourrait la « brancher », lorsque Jérôme entra en retard. Le prof rendait des TP de droit constitutionnel. Elle avait eu 16/20. Deux jours plus tôt elle aurait été joyeuse de ce résultat, mais à ce moment, tout ce quelle avait en tête cétait que le cours se finisse pour que son petit ami lui fasse entrer son engin fissa. Elle narrêtait pas de le regarder, et vu sa tête lorsquil regarda son TP, elle devinait que son travail navait pas été tenu en haute estime par le prof. Peu importait ce nétait pas ça qui allait lempêcher de bander.

A la sortie du cours elle voulut laborder immédiatement, mais se disant que lui demander de la sauter à linstant serait mal perçu, elle chercha un sujet pour arriver ses fins :

« Tas eu combien ?

-Cinq

-Oh pauvre chou, tu veux que je te remonte le moral ? demanda Marie posant une main sur la braguette de Jérôme.

-Quoi, mais tes vraiment pas possible un jour tu veux me sucer, le lendemain tu veux arrêter, et maintenant cest encore autre chose Tes trop compliqué pour moi, tu devrais vraiment songer à prendre un peu de temps pour réfléchir à tes sentiments, et »

Jérôme continuait son discours pendant que Marie se rappelait vaguement quelle avait décidé den finir avec lui la veille. Mais vraiment pouvait-il ne pas comprendre que ses humeurs étaient changeantes ? Et puis elle navait pas envie de passer des heures à écouter ses jérémiades et encore moins envie de devoir lui expliquer que finalement elle le trouvait craquant ou raconter dautres foutaises. Il fallait lentendre parler de réfléchir à ses sentiments Ne pouvait-il pas se comporter comme un mec et sauter la fille qui le lui demandait ! Enfin, sil se refusait à prendre linitiative elle le ferait.

Alors que Jérôme continuait à critiquer ses sautes dhumeurs, elle agrippa fermement la main de Jérôme et la glissa sous sa jupe.

« Merde, tas pas de culotte !

-Jai pensé mettre un string, mais finalement je me suis dit que la foufoune à lair ça te plairait encore plus ?

-Purée oui.

-Allez mets tes doigts tu sens que je suis humide ?

-Hum, pas trop. il lui chatouilla le clito- mais on dirait que ça saméliore vite.

-Tu veux que je te dise ? Je suis vierge et je veux que ce soit toi qui me dépucèle maintenant !

-Euh ok, on na quà aller derrière le bâtiment C

-Ah non ! Pas les buissons ! Frissonna Marie en repensant à latterrissage de la fiente doiseau Non, allons dans les toilettes plutôt.

-Tu veux vraiment perdre ta virginité dans des toilettes ? Je te lai déjà dit, mais tes quand même sacrément bizarre.

-Les toilettes où ailleurs ! Je veux que tu me perces le trou de suite ! Sil te plait !?

Jérôme prenant conscience quil avait toujours les doigts entrain de triturer la chatte de sa copine au milieu dun couloir ressorti vivement sa main de la jupe de Marie. Seuls deux filles quil ne connaissait pas les regardaient avec une certaine stupeur. Prenant Marie par le bras il séloigna rapidement des deux voyeuses et se dirigea vers les toilettes. Il pensa dabord aux plus proches, celles en face de la cafétéria mais cétait aussi celles avec le plus de passage. Il se résolu à aller aux plus lointaines malgré une érection qui ne demandait quà assouvir sa soif. Marie sembla encore plus contrariée du détour. Elle était décidément intenable. Jérôme se fit la réflexion que les filles les plus sages ont leur période de chaleur aussi, il faudrait quil prenne le pli sil voulait continuer à se la taper.

Ils arrivèrent aux toilettes les plus éloignées sans un mot, les seuls pensées dont ils étaient capable concernait la copulation qui tardait à venir, Jérôme voulu vérifier que personne ne se trouvait dans les toilettes pour homme mais à peine avait-il jeté un il aux urinoirs que Marie entrait sans se préoccupée de plus de bienséance. Elle semblait prête à senvoyer en lair au risque que tous ceux voulant alléger leur vessie puissent la voir en action. Jérôme dût la pousser dans un des cabinets fermé pendant quelle cherchait à lentreprendre. Il eut à peine le temps de fermer le verrou, quil sentait les doigts de Marie entrain de dézipper sa braguette. Jérôme était pris dune grosse montée de virilité : une des plus belles filles de la promo voulait se faire allumer par lui, dans la toilette et elle ne portait rien sous ses fringues. Elle était même folle de lui. Il prit son ton le plus macho et lui ordonna :

« Écarte les jambes, les pieds éloignés du trône les mains sur le mur ! »

Marie fut soulager quil prenne enfin des décisions, la perte de sa virginité la préoccupait tellement quelle avait du mal à penser à autre chose quà sa chatte. Elle se retourna face aux WC, la foufoune au-dessus dune cuvette, plus que prête à y recevoir ce quil lui y mettrait. Elle entendit le jean de Jérôme tomber à terre suivit de son slip. Une main frôla ses fesses et elle sentit le tissu de sa jupe se retrousser en accordéon sur son postérieur. Des doigts lui chatouillèrent le vagin.

« -Tes vraiment vierge ou tu dis ça pour mexciter en fait ?

-Je le suis mais » Elle hésita, « je me suis déjà beaucoup doigtée…»

A une époque la pensée quun mâle puisse se prévaloir de lui avoir fait découvrir lamour. Et que ce même mâle se permette de lui déchirer ses parties intimes, voilà qui lui semblait scandaleux. Si elle devait perdre sa virginité, cétait à elle de sen occuper ! Une autre raison, quelle répugnait un peu à admettre, était quelle adorait se masturber. Jusquà ses trois derniers jours elle pensait quune femme avait comme devoir de réguler elle-même ses pulsions sexuelles.

Jérôme la pénétra profondément dans un premier temps, il sinstalla ensuite dans un rythme de croisière faisant durée le va-et-vient en profondeurs. Cette douceur convenait à Marie sexuellement, et au bout de quelques minutes pleine de stimulations elle sentit se dissiper le brouillard mentale quil lempêchait de réfléchir à autre chose quaux coups de boutoirs dans sa chatte.

Et une autre réflexion prenait jour alors quelle sentait son sexe se resserrer autour du pénis, elle trouvait certes ça délicieux, mais elle ne pouvait sempêcher de penser à sa sur au même moment. Celle-ci faisait le porc la première fois où elle sétait faite fourrer, alors quelle devait se contenter dune baise pépère. Cétait révoltant ! Elle se sentit le besoin de faire quelques propositions.

« -Aaah ! Comme cest bon Jérôme ! Mais tu ne voudrais pas que je fasse des bruits danimaux comme une cochonne ?

-Non, prend ton pied et cest tout !

-Mais ce serait plus excitant ! Wouf ! Wouff ! Je suis une chienne en chaleur. »

Le sexe de Jérôme ramollit un peu, était-ce une farce ? Elle ne pouvait pas se contenter de se faire sauter normalement pour sa première fois, et puis ces histoires danimaux cétait débile.

« Ferme-là un peu, tes juste ridicule ! » Et il recommença à la pistonner, son pénis durcissait à merveille, une bonne chatte chaude pour une bonne queue dynamique, voilà ! Cétait ça quil voulait, de la juteuse petite minette

Marie était ennuyée, cette baise lui semblait vaine au fond. Jérôme commençait à y remette du cur, quand la porte des WC souvrit. Jérôme sarrêta net et essaya de faire le moins de bruit possible. Des voix se faisaient entendre derrière la porte du cabinet.

« -Tu vois, je lui dis que le végétarisme cest sans doute chouette pour la planète mais que moi jai besoin de viande !

-Clair les protéines animales, cest essentiel.

-Mais totalement ! Mais elle me dit alors »

Marie rongeait son frein, mais elle ny tint plus ! Que Jérôme soit contrariant et ne veuille pas la prendre comme un animal cétait son choix. Mais alors elle devrait avoir le droit de se faire baiser comme une salope si elle voulait ! De la porte des toilettes on lentendit crier :

« Vas-y, Baise-moi !!

-Chut ! Lui commanda Jérôme

-Quoi ? Je tai bien sucé devant la prof hier, alors cest pas deux types qui vont faire flancher ton dard, non ?

-Mais tes vraiment une garce ! »

Jérôme devait avouer que cette situation lexcitait, ça linquiétait aussi un peu. Mais entre le long chemin pour parvenir aux toilettes, linterruption de la baise et les idées idiotes de Marie, il avait envie den finir et de lui exploser labricot une bonne fois pour toute ! Il recommença alors ses pénétrations avec un entrain redoublé. Marie sentit que Jérôme allait la baiser jusquà ce quil jouisse sans plus sarrêter, elle ne se gêna alors plus pour exprimer son désir dans la plus grande vulgarité.

-Oui ! Vas-y mets la moi profondément ! Hon ! Hon ! Le végétarisme cest pas pour moi, il me faut de la bonne saucisse dans la chatte ! Oui pas une petite merguez, mais une vrai saucisse de Morteau Oh ! Oh ! Elle était puissante celle-là je coule comme un arrosoir Elle sadressa alors à son publique Vous êtes dur les mecs ? Vous vous branlez ?

« Oui ! » et lautre de confirmer en précisant « Grosse pute continue, je te la foutrais au fond ! »

-Oh purée ! Je me fais défoncer comme une grosse pute, je peux pas marrêter si jai pas ma dose de baguette dans le four ! Oui ! Il me faut de la bite dans le trou oh ! Oh ! Cest trop bon, Rempli moi de foutre ! Décharge-moi la purée dedans ! Han han ! Oui tu vas de vider les couilles hein ? Oh oui je sens le foutre en moi, bourres-moi ! Bourres-moi je te dis! Oui! Oui ! Oui ! Je jouis !

Le sperme sécoulait, des gouttes tombaient dans la cuvette des W.C. Elle resta là un moment les mains toujours au mur, quelle salope elle avait été, quand elle raconterait ça à sa sur Elle entendit la porte des W.C. claquer, et elle sortit du cabinet suivit de Jérôme. Passant devant les urinoirs elle vit deux amas de sperme reposer dedans, sa satisfaction de linstant fit place à un sentiment de malaise. Elle sétait donnée en spectacle, alors quau fond elle détestait la lubricité des hommes. Et voilà quon se branlait sur elle, ou du moins sur ses paroles

En quittant les W.C. Elle vit deux types qui semblaient lattendre au fond du couloir, mais ils disparurent avant quelle ne puisse réagir Que se passerait-il sils racontaient quelle se faisait sauter dans les toilettes, elle eut un coup de chaud en songeant aux insultes dont elle serait victime. Quoique elle pensa à des hommes la traitant de salope devant sa sur, ça lui filerait un choc salutaire à la grande sur soit disant mature. Elle séchauffait à cette pensée. Jérôme interpréta autrement sa rougeur et lui dit :

« Hey, si tes encore chaude, jai pensé à un truc qui pourrait te plaire, à propos de ton roleplay

-Hein ?

-Tu sais du jeu de rôle, comme tu voulais que je te prenne comme si tétais une chienne ou quelque chose.

-Ah, tu veux que je fasse petite chatte : Miaou ! Miaou! RRRRrrr !

-Non, pas danimaux, cest naze. Je pensais plutôt à quelque chose comme par exemple je serais un prof, et toi tu serais

lélève.

-Ah, mais je déjà suis une élève. Cest pas drôle

-Euh, cest vrai mais moi je serai le prof.

-Et cest quoi le jeu, tu me donnerais la fessée parce que jai été bavarde en cour ?

-Nan, il faudrait que tu me convainques de te donner une meilleure note grâce à tes charmes.

-Daccord, tu veux faire ça où ?

-Ici, il y a personne pour le moment, tout le monde est en cours. Mais on fait juste une rapide répétition, je veux voir comment tu ty prends. On va imaginer que les toilettes cest le couloir, et le couloir cest mon bureau.

Marie reparti donc dans les toilettes, elle ne ressentait plus durgence sexuelle pour se mettre au niveau de sa sur mais elle ne disait pas non à un bonus. Et puis pour une fois que Jérôme prenait une initiative Elle ferma la porte derrière elle, puis frappa :

« -Toc ! Toc !

-Entrez !

-Oh monsieur le professeur je voulais vous voir parcequ. »

Elle fit tomber assez délibérément sa sacoche.

« Quest-ce que je suis gauche! Laissez-moi ramasser. »

Elle savança dépassant son sac puis se retourna. Elle se courba en deux pour saisir la sacoche faisant bien attention de tirer légèrement sur sa jupe avec sa main gauche, Jérôme avait ainsi une vue claire sur sa chatte et son petit trou que ne cachait aucun sous-vêtement. Elle passa une demi-minute à tenter de maladroitement ramasser sa sacoche. Elle sentit un peu de sperme se frayer un chemin au-dehors de sa chatte quand elle agita son postérieur. Elle finit par réussir à saisir sa sacoche et laissa retomber délicatement sa jupe, caressant doucement sa vulve par la même occasion. Se retournant face à Jérôme, elle porta le doigt qui avait fait frémir sa fente duveteuse entre ses lèvres. Un peu de foutre sétait glissé dessus elle lécha son doigt délicatement avant lenfoncer un peu plus loin dans sa bouche.

« Mademoiselle votre attitude est indécente !

-Oh, jai vous avez raison jai oublié de mettre ma culotte ! Vous savez je suis tellement étourdie ! Cest pour ça jai une mauvaise note à mon contrôle car javais oublié de recopier des paragraphes de mon brouillon, cest fâcheux non ? »

Elle était arrivée tout contre Jérôme et avait commencé à ouvrir sa braguette.

« Je suis sûr que vous pourriez faire comme si je navais pas oublié de recopier ces paragraphes, et me remonter ma note. Et alors, je suis sûr que vous pourriez me remonter autre chose. Lui susurrait-elle à loreille.

Jérôme la repoussa alors assez brutalement.

« -Ouh, vous aimez les petites brusqueries, je suis sûr que je peux être coopérative avec ça aussi.

-Non, laisse tomber on arrête.

-Oh, Pourquoi ? Je crois que je me débrouillais bien.

-Tes excitante, mais cest quand même louche.

-Quest ce qui est louche ?

-Écoute, tu veux vraiment me faire plaisir ?

-Bien sûr !

-Alors voilà, je veux que tu séduises le prof de droit constitutionnel. Pour quil augmente ma note, cest vraiment important pour moi tu sais

Marie réfléchit. Séduire un prof pour avoir une meilleure note et même pas la sienne, mais celle dun garçon abordé deux jours plus tôt cétait tellement garce que Sandrine en serait comme deux ronds de flanc !

« Oh oui, ça me semble génial !

-Ouais, mais il te connait, il sait que tes pas vraiment salope normalement. Enfin ces derniers temps tes bipolaire ou je ne sais pas quoi, mais lui le sait pas. Je veux dire dhabitude tu thabilles pas en pute !

-Merci ! »

Jérôme fut décontenancé un instant, en quoi la traitée de pute était un compliment ? Mais il se reprit :

« En plus tas des bonnes notes, il taurait sacqué ça aurait eu du sens de lui demander daugmenter ta note et la mienne par la même occasion Mais ça pas de sens si tu as eu plus de la moyenne, heu tu as eu combien ?

-Seize

-Voilà ça na pas de sens. Nan, le mieux cest que je lui parle. Entre homme je suis sûr que je saurais le convaincre, toi tu restes là comme une belle potiche idiote et tu nauras quà être daccord avec ce quon dira Oui, je suis sûr que ça pourrait marcher, quest-ce que tu en dis ?

-Je suis partante ! »

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