Après avoir joui pour la première fois de la journée, Danielle se lève, vient vers moi et m’embrasse goulûment.
— Bonjour chéri, bien dormi ?
— Très bien et toi ?
— Extrêmement bien, j’étais un peu fatiguée.
Tout le monde éclate de rire devant Danielle étonnée de cette réaction.
— Eh bien, qu’est ce que j’ai dit de si drôle?
— Après la journée que tu as eue, je ne suis pas étonné que tu aies été fatiguée.
Elle pique un fard et va s’asseoir pour déjeuner.
— Je vais faire des courses avec Sandrine, à tout de suite.
Nous partons avec Sandrine et nous trouvons tout ce que nous cherchions, surtout un très beau gode gonflable, pas trop gros. En fait, nous avons décidé, Caroline, Sandrine et moi même, que cette journée serait la journée des plaisirs de Danielle, exclusivement consacrée à l’amour sous toutes les formes possibles avec Danielle. Nous voulons savoir jusquoù elle peut aller dans la jouissance. Pour cela, nous devons nous occuper tous de Danielle pour la faire jouir sans arrêt, jusqu’à ce qu’elle demande grâce. Quitte à ce que nous ne jouissions pas nous mêmes. De retour, Caroline, les cheveux mouillés, vient nous accueillir.
— On en est à deux, je viens de la faire jouir sous la douche.
— Je m’en charge, nous dit Sandrine.
Elle se déshabille, et nue va vers la salle de bains ;nous entendons Danielle gémir au bout de deux minutes. Quelques instants plus tard, Sandrine nous rejoint et nous fait le chiffre trois avec ses doigts. Danielle apparaît, nue, un large sourire sur les lèvres. Elle va s’allonger sur le canapé et me regarde.
— Chéri, je ne te plais plus ?
— Bien sûr que oui.
— Alors prouve-le moi.
Je me déshabille et avance vers elle. Caroline me suit. Danielle est sur le divan, les jambes écartées, me tendant les bras. Je me penche sur elle et l’embrasse rapidement. Ma bouche descend le long de son corps, stationne sur ses seins, son nombril pour arriver à destination, son sexe. Je commence à le lécher, Caroline se penche vers moi et prend ma bite dans sa bouche pour me faire bander. Danielle ondule du ventre, elle ferme les yeux, elle se concentre sur son plaisir. Quand je la sens prête, je monte sur elle et lui plante mon sexe brusquement dans son con.
— Oui, comme ça, là je te sens bien.
Je la baise violemment, à toute vitesse, elle ne met pas deux minutes pour jouir.
— MMMMMMMMMMMMMMMMM
Ses narines palpitent, elle se cambre, elle me griffe le dos puis retombe, les bras ballants. Je me retire, je n’ai pas joui. Caroline se met entre ses cuisses et lui lèche le clitoris. Danielle lui saisit la tête, appuie le plus possible et part dans son cinquième orgasme de la journée. Sandrine la regarde scotchée, je lis de l’admiration et de l’envie dans son regard. Elle me glisse à l’oreille.
— Putain, c’est pas possible, je n’ai jamais vu une nana comme ça, je suis sûre qu’elle va nous crever aujourd’hui.
— J’en ai bien peur.
Caroline se redresse, regarde Sandrine qui va vers Danielle. Elle se positionne en soixante neuf, Danielle lui attrape les fesses et la plaque contre sa bouche. Sandrine s’occupe de sa vulve, lui introduit deux doigts et la pistonne. Danielle lâche ses fesses et joui une nouvelle fois en bougeant la tête de droite à gauche, les yeux fermés. Sandrine la libère et vient vers Caroline.
— Chérie, fait moi jouir, je n’en peux plus.
Caroline s’accroupit, prend Sandrine par les fesses, lui plaque sa bouche sur le sexe et lui titille le clitoris. Sandrine est tellement sous tension qu’elle jouit presque instantanément. Danielle est toujours sur le divan, les yeux fermés, respirant avec calme ; on dirait qu’elle attend le suite. Je commence à la soupçonner d’avoir compris où on voulait l’emmener et de nous prendre à notre propre piège. Elle écarte un peu plus les jambes comme une invite. Je prend le gode gonflable, l’enduit d’un peu de lubrifiant et le présente sur sa vulve.
— Non, pas là, j’ai un autre endroit pour le mettre qui n’a toujours pas servi aujourd’hui.
Elle se retourne, lève les fesses et me présente son cul. Je pose le gode sur sa rondelle, et appuie pour le faire pénétrer. Il n’est pas gonflé très gros et il entre comme dans du beurre. Une fois entièrement entré, je donne deux ou trois coups de pompe.
— Oui, tu peux le gonfler encore.
Je pistonne Danielle lentement, comme elle aime. Elle accompagne mes mouvements de va-et-vient en faisant onduler ses fesses. Elle se redresse sur ses coudes.
— Une chatte, je veux une chatte à lécher.
Caroline se glisse sous elle, tête bêche, lui présente son sexe tout en se positionnant pour s’occuper de son clitoris. Elle lève la tête et aspire son clito dans un grand bruit de succion. Danielle plonge sa tête dans l’entrecuisse de Caroline. Je la pistonne de plus en plus vite, donne des coups de pompe et le gode arrive à cinq cm de diamètre. Je juge que c’est assez, lubrifie le gode et continue de la pistonner. Au bout de quatre minutes, les deux femmes se raidissent, Danielle se redresse presque à la verticale.
— OOOOOOOOHHHHHHHH oui.
Caroline se laisse aller sur le divan, sur le dos, les jambes ouvertes. Je retire le gode du fion de Danielle, le nettoie, le lubrifie et le présente, toujours aussi gros, sur la vulve de Caroline. Danielle s’en empare et l’enfonce sans ménagement dans le con de Caroline. Celle-ci se cambre.
— Oh Tatie chérie, tu me transperces, oui, vas-y, je viens, je vais jouir.
Danielle accentue ses va-et-vient et Caroline part dans un puissant orgasme.
— Oui, ma Tatie, oui, oui.
Sandrine s’approche de moi.
— Il n’y a que toi qui n’a pas joui, et si tu essayais de me faire aimer les hommes ?
— Non, Sandrine, je ne pense pas que tu sois prête. L’ambiance de cette pièce te fait imaginer que tu as dépassé ton traumatisme, mais je ne veux pas l’accentuer en précipitant les choses.
— Caresse-moi, je veux savoir ce que les mains d’un homme peuvent me transmettre comme plaisir.
Je place Sandrine devant moi et pose mes mains sur ses épaules. Elle ferme les yeux. Mes mains descendent doucement vers ses seins. Je les contourne, passe dessus un doigt, puis deux, puis la main à plat. Sandrine se raidit. Je lui titille les tétons, elle accentue la pression en me plaquant les mains sur ses seins. Elle libère mes mains qui peuvent descendre vers son nombril, je m’y attarde ; comme Danielle, elle est très sensible là. Elle ondule légèrement du ventre. Ma main arrive au abord du sexe, mon index titille le haut de ses lèvres, à la limite du clitoris. Ma bouche se pose sur son sein gauche pour l’aspirer. Elle renverse sa tête en arrière, mais je sens qu’elle se force. Son attitude n’est pas naturelle ; je l’ai vue avec Caroline, elle est plus distante. Je fais signe à Caroline d’approcher mais c’est Danielle qui se précipite. Elle pose une main sur la sein droit de Sandrine, je m’écarte et Danielle s’empare de ce corps offert. Tout à coup, je vois Sandrine se détendre, son visage est calme, lisse, elle sent que ce n’est plus moi qui la caresse. Danielle lui masturbe le clitoris et Sandrine jouit en silence, les yeux toujours fermés, la tête en arrière. Quand elle est plus calme, elle ouvre les yeux, me regarde avec un air d’excuse.
— Tu avais raison, je ne suis pas encore prête.
Elle s’approche de moi et m’embrasse légèrement sur la bouche.
— Merci de ta douceur.
Il est onze heures et Danielle a déjà joui sept fois, mais nous ne comptons pas en rester là. Je m’allonge sur le divan, sur le dos. Caroline vient vers moi et commence une fellation. Sandrine caresse les fesses de Danielle, descend sur son sexe et l’aspire dans sa bouche. Danielle se laisse faire, maintenant je suis sûr qu’elle a compris ce que l’on veut faire avec elle aujourd’hui. Sandrine pousse Danielle vers moi, la positionne sur moi, se saisit de mon sexe et l’introduit dans celui de Danielle. Elle se penche à mon oreille et me dit en souriant ;
— Maintenant tu vas jouir, c’est un ordre.
Danielle s’active sur moi pendant que Caroline et Sandrine s’embrassent et se caressent à côté de nous. Danielle me comprime le sexe avec le sien, elle arrive à maîtriser les muscles de son sexe pour me comprimer la bite. Je ne tiens plus et je me vide dans son puits d’amour.
— Oui, mon chéri, vide-toi en moi, je t’accompagne, je te sens, je jouis, oui, oui, vas-y, jouis.
Je me cabre, me vide en elle et retombe sur le divan. Et de huit, c’est son huitième orgasme !
Caroline et Sandrine se caressent toujours. Danielle se lève et s’approche d’elles. Elle pose ses lèvres sur les fesses de sa nièce, les embrasse, les lèche. Caroline, connaissant l’appréhension de sa tante vis à vis de ce geste, se laisse faire sans bouger. Je m’approche de Danielle, l’observe, je bande toujours un peu. Sandrine s’empare de ma bite, elle la fait gonfler et se redresser. Danielle voit ma bite à côté de son visage. Elle hésite un moment, se retourne vers moi et avance sa tête vers ma bite. Je ne bouge pas. Elle s’approche, comme pour la sentir. Ma bite a encore l’odeur de sa chatte ; Danielle semble s’y faire et avance la tête, la bouche ouverte. Mon sexe entre dans sa bouche mais ne touche aucune paroi, elle a tellement ouvert sa bouche que j’entre dedans sans la sentir sur moi. D’un seul coup, elle ferme la bouche. je sens sa langue sur mon gland. Elle fait des va-et-vient comme si elle suçait une glace. Elle pose ses mains sur mes fesses et se déchaîne sur ma bite. Elle se dégage.
— Quelle conne j’ai été, c’est délicieux. Chéri, je vais aller jusqu’au bout, je veux que tu te laisses aller et que tu jouisses dans ma bouche.
Elle s’empare à nouveau de ma bite et recommence sa succion. N’ayant pas d’expérience dans la domaine, la montée est lente, mais le plaisir sera d’autant plus vif. N’y tenant plus je la préviens :
— Ça y est, chérie, je pars, je vais te remplir la bouche.
Je me vide dans sa bouche, elle récupère tout et avale ce que je lui donne. Elle me libère la bite, s’assoit, les jambes écartées, et renverse la tête en arrière. Elle se couche à même le tapis. Je n’avais pas remarqué qu’elle se masturbait en même temps. Elle part dans son neuvième orgasme en s’enfonçant trois doigts dans le sexe. Une fois remise de ses émotions, elle se lève, pose ses lèvres sur les miennes pour un léger baiser.
— Oui, chéri, c’est délicieux, ton sperme est délicieux, je te promets que maintenant je ne laisserai plus personne te vider les couilles. C’est à moi et à moi seule.
— Tatie, tu es un peu égoïste.
— Oui.
Tout le monde rit. Il est midi, Danielle a déjà jouit neuf fois, ; nous allons manger et continuer la journée des plaisirs de Danielle.
Mais ceci est une autre histoire.