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Mariage méditerranéen – Chapitre 10




Alger, août 2018

Enzo ouvrit les yeux lorsque l’Airbus A320 toucha le sol du tarmac d’Alger. Il était de retour en août, trois semaines après son premier voyage. Il revit en pensées le denier jour de son précédant voyage, sa conversion religieuse éclair, le dernier repas, un repas d’honneur, chez ses futurs beaux-parents, suivi de son retour sur Nice.

Combien sa vie lui avait semblé vide, soudain !

A présent, l’avion suivait la piste au ralenti pour regagner sagement son terminal. Il referma les yeux pour repasser en mémoire ces vingt derniers jours…

Dans l’intervalle, il était resté en contact constant avec Jasmine par WhattsApp. A chaque instant de la journée, ils avaient échangé des photos ou des messages. Elle l’appelait chaque matin et il l’appelait chaque soir. Leur complicité initiale s’était renforcée de jour en jour. Ils formaient dorénavant "un véritable couple", c’était une évidence.

Le français avait été bien occupé, il lui avait fallu réunir l’ensemble des nombreux papiers et documents nécessaires à la (longue) procédure de mariage qu’ils entendaient mener à bien. Il avait même dû monter en voiture en Lorraine pour chercher un extrait de naissance, car celui qu’il avait réclamé tardait à arriver. Au passage, il en avait profité pour rendre visite à son vieux père à Metz et lui annoncer sa décision d’épouser une Algérienne.

Ce dernier avait paru doublement surpris, d’une part par le choix de son fils (n’y avait-il pas assez de femmes en France ?) et d’autre part par la longueur de la procédure (pourquoi ne pas se marier rapidement à Nice ?). Le prof avait eu du mal à se faire comprendre de son père.

Ce n’était pas un handicap, en effet, car ce délai variable compris entre 6 à 18 mois leur permettrait aussi de mieux se connaître et conforter leurs choix. Ils avaient perdu tant d’années avant de se connaître enfin, ils n’étaient plus à un an près. Si l’un des deux n’était pas honnête dans ses sentiments envers l’autre, jamais il ne supporterait une telle attente, après tout.

Un bruit sourd annonça l’ouverture des soutes à bagages, puis celles des portes de l’avion. Les gens se levèrent et commencèrent à descendre de l’avion. Le futur marié récupéra son bagage à main et suivit la foule des passagers pour récupérer sa valise sur un tapis roulant dans le hall. L’air était brûlant, la lumière aveuglante, il soupira. Après avoir recouvré son précieux bien et passé les contrôles, il suivit le long hall de l’aéroport pour rejoindre l’agence Avis qui devait lui remettre les clés d’une voiture.

Lorsque son mobile sonna, il venait de monter à bord d’une jolie petite Peugeot 208 grise.

Allo ! mon Cur, as-tu fait bon voyage ? fit la voix claire et désormais familière de sa future compagne.

Coucou mon Ange, oui, un très bon vol, merci. Je viens juste de récupérer la voiture…

Ah ? Déjà ?

Oui, je pense arriver vers chez toi dans une demi-heure environ !

Parfait, ma mère va nous préparer le thé, chéri… d’accord ?

Avec plaisir, à tout de suite chaton, conclut-il.

Il gara la 208 dans la rue en face de chez elle. En récupérant ses bagages, il leva le nez vers les fenêtres curieusement garnies de grilles à tous les étages. Il pensa qu’il s’était habitué à l’urbanisme local. Mais ces grosses maisons cubiques et adossées les unes aux autres, de trois ou quatre étages, de forme désespérément monotone ne variaient souvent que par la couleur du crépi ou des faïences murales autour de la porte d’entrée ne lui plaisaient vraiment pas.

Des villes entières étaient construites sur ce modèle. Soit les règles d’urbanisme étaient d’une sévérité draconienne, soit les candidats à la construction manquaient cruellement d’imagination. Dans certains quartiers, il était choqué qu’une partie des terrains ne soient que partiellement construits, d’où la présence d’immenses surfaces de murs aveugles, dans l’attente d’un bâtiment hypothétique qui viendrait un jour s’y adosser… Étrange et inesthétique au possible.

Tu ne viens pas ? C’était Jasmine qui avait ouvert et le hélait depuis l’autre côté de la rue.

Si… j’arrive, cria-t-il, en claquant le haillon de la Peugeot.

L’instant d’après, elle était à côté de lui et s’emparait de son sac de voyage, comme une voleuse au grand sourire. Elle disparut en coup de vent dans la montée d’escalier… sans même le serrer dans ses bras… Il est vrai que les amoureux ne doivent pas s’embrasser dans la rue ici, en public. D’autant plus qu’ils ne sont pas encore mariés.

Il verrouilla la voiture et la suivit à l’étage. Ses futurs beaux-parents l’y attendaient et le serrèrent chaleureusement dans leurs bras. Jasmine le regardait d’un air paisible.

Mais lorsqu’il déposa enfin ses bagages dans la chambre, elle se glissa vers lui et l’embrassa vivement sur la bouche en un baiser brûlant de passion. Il se sentit enfin de retour !

Avec les parents, ils se retrouvèrent autour d’un thé à la menthe. Enzo comprit soudain qu’ils n’allaient pas avoir beaucoup de moments d’intimité. Ils seraient désormais l’objet d’une surveillance bienveillante, certes, mais permanente ! Plus question de sortir en amoureux n’importe quand…

Les choses sérieuses commencèrent ; il fallait constituer un dossier administratif très complet, pour obtenir un premier accord de principe à leur union. Enzo se rendit avec sa future femme au consulat de France pour passer un entretien et remettre les papiers destinés à obtenir le feu vert des autorités françaises. Le fameux sésame, nommé "certificat de capacité à mariage", ne serait pas si facile à obtenir.

La diplomate française qui les reçut ressemblait plus à une sorcière qu’à une ambassadrice de son pays. Elle les cuisina de mille questions, dont certaines vraiment intimes, pour conclure finalement qu’elle était opposée à leur mariage. Enzo était consterné, Jasmine ne pipait mot. Ils sortirent pour attendre dans une minuscule salle d’attente.

Le prof avait le moral dans les chaussettes. La comptable avait retiré sa sandale et s’amusa à lui faire du pied, lui caressant les mollets jusqu’à ce qu’une grosse bosse naisse dans son sort. Il soupira, comment pouvait-elle avoir envie de jouer dans un moment pareil ?

Sa courageuse future épouse ne désespéra pas un instant de l’issue heureuse du débat. Une heure plus tard, on leur annonça que leur dossier était finalement accepté, et que le certificat leur serait envoyé dans trois ou quatre mois.

Durant les huit premiers jours qu’il passa à Alger, ils furent malheureusement pour eux accompagnés presque constamment soit par un frère, soit par la sur, soit par une tante, impossible de vraiment se retrouver seuls.

Pourtant, chaque fois qu’ils avaient une minute, derrière une porte, dans un coin de la cuisine, en se croisant dans le hall ou à la sortie de la salle de bains, Jasmine en profitait pour allumer littéralement son amoureux.

Elle tripotait sa queue à travers son short en l’embrassant goulûment, ou bien frottait ses fesses musclées contre lui en lui lançant un regard de braise par-dessus l’épaule. Enzo se retrouvait pantelant de désir plusieurs fois par jour, sans pouvoir la serrer dans ses bras plus d’une ou deux minutes d’affilée. Bien évidemment, ils faisaient chambres séparées.

Un soir, au début de la seconde semaine, ils furent autorisés à sortir au restaurant tous les deux. Ils passèrent à travers des ruelles pour regagner la vieille ville à pied. Lorsqu’ils furent loin de son quartier, elle lui reprit la main. Ils finirent dans une petite taverne qui recelait une cave voûtée. Jasmine avait bien choisi, l’endroit était intime, les tables étant disséminées dans des coins peu éclairés. Ils s’installèrent dans un recoin.

Moi je prendrais bien un "couscous algérien", fit Enzo, qui avait l’eau à la bouche.

Mais ? On ne mange pas de couscous le soir, ça ne se fait pas, mon habibou…

Perplexe, il commanda une soupe et une pizza, tandis que Jasmine demanda une salade algérienne et un gratin de légumes.

Lorsqu’ils furent servis, elle dit :

Bon appétit, Enzo !

Merci, bon appétit à toi aussi, habiba dialy (chérie à moi)… mais faillit s’étouffer. Un joli pied nu venait de se poser entre ses cuisses. Il ouvrit des yeux ronds, tandis que l’Algérienne attaquait sa salade avec appétit. Ses doigts de pieds attaquèrent la bosse qui se formait avec encore plus d’appétit.

Sors ton sexe, souffla-t-elle, le regard brillant…

Mais… Son visage s’empourpra. Ses reins le brûlaient depuis des jours et des jours… Elle l’avait tant chauffé qu’il n’hésita pas longtemps et sortit avec peine son pénis déjà bien érigé.

Tu vois… c’est pas difficile… sourit-elle, perfide. Il sentit ses joues s’empourprer. La confusion s’installa dans sa tête.

Elle avait à cur de lui prouver sa capacité érotique, et de ses orteils habiles commença par frotter son gland. La peau sensible et chaude roulait sous la multitude de ses doigts de pieds humides. Des décharges voluptueuses remontaient de sa tige jusque dans son ventre. Solidement accroché à sa grosse cuillère, il tentait misérablement de boire sa soupe, le souffle court.

Elle compressa son gland longuement sous la plante de pied puis soudain enfonça son talon à l’emplacement ses testicules et les écrasa avec délice. Le français était rouge de confusion et de désir. Elle écarta ensuite son gros pouce des autres orteils et massa son méat urinaire avec son coussinet. Enfin, elle attrapa solidement sa tige gonflée entre deux orteils, pour la masser de haut en bas. D’abord d’un mouvement lent, elle scrutait son futur mari. Il haleta sous cette caresse inattendue. Elle adorait lire sur son visage l’effet direct de ses actions. Lorsqu’elle força le rythme, il ouvrit ses lèvres comme s’il manquait d’air. Elle regardait son visage, fascinée et attentive. Il avait un regard vide et une bouche ronde.

Il essaya de parler, mais les mots tardèrent à sortir:

Je… je vais jouir… fit-il pensant qu’elle arrêterait. Mais pas du tout.

Tiens, prends ça ! Allez vite ! rétorqua-t-elle en lui tendant sa serviette de table en crépon rouge. Et elle accentua sa masturbation. Il lança un regard terrorisé autour d’eux qui fit jubiler Jasmine.

Ommhh pfff… étouffa soudain Enzo dans un spasme violent. L’instant d’après, la serviette était garnie d’un abondant sperme bien crémeux.

Donne… Curieuse, elle inspira son odeur. Son regard était triomphant. Le sperme de son nouvel homme était abondant et chaud, avec une odeur douceâtre. C’était encourageant. Enzo rangea son outil imposant et la conversation se poursuivit comme si rien ne s’était passé.

Ils avaient fini leur repas dans l’ambiance feutrée du toquet algérois et regagnèrent la maison familiale.

La semaine s’écoula calmement, partagée entre les journées à la plage, sous surveillance, et les repas en famille.

L’avant-dernier jour, Jasmine disparut sans prévenir plusieurs heures, pour revenir coiffée et parfumée. Elle s’était absentée pour aller au hammam. Enzo ne comprenait pas, mais ne dit mot.

La veille au soir du jour où il allait repartir, Jasmine décida d’aller ramener sa grand-tante Zuliha chez elle, à 20 minutes en voiture. Ils soupèrent avec elle, qui, malgré son grand âge avait gardé bon pied bon il. Elle sortit son album photo, et leur raconta sa vie en France comme aide-soignante, sa retraite en Algérie et la perte de son cher mari. Après le repas, tandis que l’ancêtre s’était assoupie devant la télévision, la jeune femme prit le Français par la main et l’emmena au premier étage de la grande bâtisse. La visite de l’immense maison s’interrompit évidemment sur le premier lit qu’ils rencontrèrent.

Jasmine avait passé ses bras autour du cou de son amant et dévoré ses lèvres de baisers passionnés… avant de se laisser choir en arrière sur le matelas, l’attirant sur elle. Le cur d’Enzo s’était emballé, il avait parcouru le cou, les épaules, puis les seins de sa bien-aimée de sa bouche affamée.

Son parfum l’enivrait, il tentait de garder le contrôle de lui-même. L’Algérienne se tortilla pour retirer son t-shirt et son soutien-gorge, pendant qu’il lui léchait le ventre. Il remonta ensuite pour lui mordiller les tétons. Ils étaient sombres avec un légère auréole, et dardaient fièrement vers le plafond. Ses seins étaient petits, mais fermes et bien dessinés. La princesse des sables émettait de longs soupirs de désir qui chamboulaient le Français. Il les emboucha à tour de rôle et les suça comme s’il eut été un bébé. Le désir montait en eux.

Elle le poussa pour s’asseoir et ouvrit son jeans qu’elle retira lestement. Il se précipita pour embrasser sa culotte qui était bien humide et dégageait des senteurs de savon et de curry. Son sexe durcissait dans son short, il gémit tout en frottant son nez contre sa chatte tiède. Jasmine se pinçait les lèvres de bonheur. Il se demandait ce qu’elle allait faire.

Alors elle retira sa dernière barrière et il put contempler une merveilleuse petite fente, complètement épilée. C’était donc ça ! Le hammam… Il contemplait un corps quasi adolescent, malgré ses 35 ans.

Elle avait voulu lui faire un somptueux cadeau de départ, une promesse de volupté future.

Oh, mon Dieu, fit-il, subjugué, tu as un corps de très jeune fille !

Vieux pédophile ! rit-elle, tais-toi et embrasse-moi…

Il embrassa ses lèvres chaudes puis descendit tout au long de son corps gracieux… et déposa de doux petits bisous humides sur les longues lèvres de sa vulve quasiment juvénile. Le cur du futur marié chavirait devant tant de jolis trésors !

Alors il insinua sa langue entre elles tout en flattant son clitoris du bout de son nez. Il emplissait ses narines de sa senteur de miel et d’épices, l’instant qu’il vivait était magique !

Il fit pénétrer sa grosse langue dans son vagin étroit, et goûta sa liqueur citronnée. La comptable émettait de longs soupirs pour ne pas trop faire de bruit. Enzo sut instinctivement qu’il allait pouvoir la faire jouir, mais qu’il ne pourrait probablement pas la pénétrer. Ce qu’il vivait était déjà assez inouï pour un pays dont les règles officielles sont strictes.

Sa fiancée voulait lui offrir un gage de son amour, une merveilleuse preuve de son engagement.

Il activa sa langue plus vite en elle, en pressant plus fort avec son nez contre sa boulette durcie. Elle eut un spasme et son ventre frémit sous la jouissance, il prolongea avec des coups de langue sur son clitoris jusqu’à ce que ses tremblements aient cessé. Son corps se détendit lentement.

Jasmine sourit et prit la tête du prof entre ses mains, puis la guida vers sa propre bouche pour de nouveaux et langoureux baisers. Elle adorait sentir l’odeur de sa propre mouille. Pressant des deux mains sur les fesses de son amant, elle l’encouragea à se frotter sur son entrejambe en ondulant du bassin. Elle verrouilla ensuite ses cuisses autour des reins du mâle en chaleur…

Ivre de désir, après cette semaine d’abstinence, le Français se mit à bouger lentement contre elle, frottant sa verge dure dans son short contre ce délicieux pubis nu. Leurs langues se mélangeaient et luttaient de tout leur amour. Au bout de plusieurs minutes, il commença à gémir, alors elle lui souffla à l’oreille:

Allez… Viens, jouis contre moi, mon Chéri… Vas-y, jouis ! Dépêche-toi… jouis !!!

A ces mots se produisit comme un tilt dans son cerveau. Il perdit tout contrôle et explosa dans un cri, vite étouffé par la main chaude de sa complice.

Chuuut…

Mmmhhhh… ommm…

Et elle jouit à nouveau en se frottant contre son gourdin emprisonné qui saccadait contre sa chatte. Ils restèrent un moment allongés, épuisés par l’instant. Jasmine transpirait tandis que le sperme chaud d’Enzo mouillait l’intérieur son slip. Soudain, elle se redressa, croyant entendre un bruit en bas.

Elle monte, c’est Zuliha, je crois ! fit-elle.

Mais non, je n’ai rien entendu, moi… marmonna-t-il.

Lève-toi !

Mais… Jasmine…?

Dépêche-toi ! Va vite aux toilettes pour te nettoyer, moi je me rhabille et je descends !

Le ton était sans appel, l’enchantement était rompu. Il se leva et alla retirer son slip avant qu’il ne tache son short, puis se lava et se sécha le service trois-pièces. Lorsqu’il revient au rez-de-chaussée, Jasmine était en train de dire à sa grand-tante qu’ils allaient rentrer et la remerciait pour la soirée.

Sur le chemin du retour, Jasmine avait les yeux brillants, tandis qu’Enzo était triste. Il songeait à son retour, à la fin des vacances, et à la rentrée universitaire. Il gara la 208 dans la rue et ils montèrent chez elle. Son père était encore devant la télévision, ils n’auraient plus d’intimité ce soir.

Le lendemain, très tôt, Rachid sortit sa Mercedes et conduisit son futur gendre à l’aéroport. Il le serra dans ses bras et souhaita au Français un bon retour.

Enzo avait trouvé l’amour, mais aussi une famille. Il reviendrait dès qu’il le pourrait, c’est-à-dire aux vacances scolaires de la Toussaint, fin octobre.

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