LAGRESSION

— Dis, Martine? Cest pas Luc là-bas? Non te retourne pas, sil te plaît.

— Comment tu veux que je sache si tu me laisses pas voir?

— Attends!

Annie entraîne son amie derrière un tronc darbre dans la cour du lycée. Là se sentant à labri, elles dévisagent le garçon en question. Cest le jeune homme brun, sûr de lui, qui pérore au milieu dun groupe de lycéens suspendus à ses lèvres.

— Oui, cest bien lui, reconnaît Martine.

La sonnerie de reprise des cours retentit. Le jeune homme suivi de sa cour passe nonchalamment à proximité sans leur jeter un regard.

— Quel macho, nest-ce pas? ricane Martine.

Annie ne répond pas. Elle semble fascinée.

— Hé! Annie! la secoue son amie.

— Hein? Quoi?

— Oui, réveille-toi, les maths nous attendent.

Les deux filles rejoignent leur classe, Annie se retournant plusieurs fois pour voir où se dirige ce garçon qui lintrigue. Elle le revoit à linter cours suivant. Il ne lui accorde aucune attention ce qui vexe la jeune fille. A la cantine François leur révèle que Luc a une réputation de tombeur de fille mais qui se fournit en dehors du lycée car paraît-il, il naime pas les intellectuelles.

— Grand bien lui fasse! déclare Martine. Cest pas moi qui lui courrai après!

Annie ne dit rien, bien décidée à attirer son attention. Son amie la regarde inquiète.

— Tenvisages pas de sortir avec lui jespère?

— Pourquoi pas? Ce serait une occasion de lui montrer que les filles intellectuelles ne sont pas si tartes que ça. Tu veux pas maider?

— Ça va pas non?

— Moi non plus, ajoute François jaloux de lintérêt quAnnie porte à ce bellâtre.

— Je croyais que vous étiez mes amis.

— Justement parce quon est tes amis compte pas sur nous pour taider à faire des bêtises.

— Bon, jai compris, je me débrouille toute seule.

Elle quitte le frère et la sur à la recherche de son idole du moment. Elle le rencontre au détour dun couloir.

— Bonjour.

— Bonjour.

— Euh Tes nouveau, je tavais pas encore vu.

— Je termine un stage en entreprise, jen referai un dans trois mois.

Un peu réfrigérée par la froideur du garçon, elle ne sait plus quoi dire et reste là les bras ballants. Luc ne fait rien pour encourager la jeune fille et la dévisage dun air goguenard. Par chance la sonnerie de reprise des cours donne à Annie un prétexte pour sen aller sans perdre la face. Toute rouge, elle rejoint sa classe. Quand elle veut sasseoir à coté de Martine, son amie la snobe et sinstalle à une autre place.

Si Annie sétait retournée en quittant Luc, lexpression du visage de celui-ci laurait mise en garde.

— Elle est bientôt mure celle-là, murmure-t-il.

Son attitude de dédain simulé a porté ses fruits. Évidament quil avait remarqué les deux nanas, parmi les plus jolies du lycée! Il est temps de passer à la vitesse supérieure. Dabord séparer les deux gonzesses. Sa proie sera plus facile à manipuler. Il lobserve pendant la récréation suivante et a la satisfaction de voir Annie quitter sa copine avec un mouvement de dépit et se diriger vers lui.

— Quest-ce que tu as? Tas pas lair de bonne humeur.

— Oh! Cest rien. Juste que Martine ne veut pas réviser avec moi mercredi prochain.

— Cest à cause de moi?

— Elle dit que je devrais me méfier. Quest-ce quelle en sait!

Luc se dit quil faut brusquer le mouvement. La brouille des deux filles ne durera pas. Il faut en profiter, et vite!

— Tu as raison, je suis pas dangereux. La preuve? Je veux bien taider dans tes révisions.

— Mais… on nest pas dans la même classe.

— Tu es en terminale S, nest-ce pas?

— Euh… oui.

— Jai passé le bac il y a deux ans. Jai pas encore oublié. Je peux venir chez toi mercredi.

— Non, pas chez moi.

Luc serre les lèvres sur le cri de triomphe quil a failli pousser. Cest gagné et plus vite que prévu. Ces intellectuelles, ça se croit fortes et ça succombe à des ruses pour débutant!

— Je te donne mon adresse. Tas de quoi noter?

— On on sera seul?

Annie hésite. Ne fait-elle pas une grosse bêtise?

Luc ment avec assurance.

— Mes parents seront là.

Rassurée la jeune fille inscrit ladresse sur la couverture dun cahier. En rentrant en classe elle ignore ostensiblement Martine prête à faire amande honorable.

Luc regarde Annie disparaître. Un morceau de choix cette nana. Il a eu la main heureuse. Voilà de quoi effacer léchec précédent qui a vu le père débarquer à limproviste avant que les affaires sérieuses commencent. Pas de bêtise cette fois-ci. Deux jours, cest court mais cest suffisant pour monter une belle réception. Dabord photographier en cachette la fille avec son portable et transférer le cliché à lOrganisation en leur demandant de préparer lappartement, puis avertir les copains de la bonne aubaine qui se présente.

La jeune fille tait la rencontre à Sylviane. Il nest pas encore temps de lui en parler. On verra plus tard. Joseph est absent. Sylviane lentraîne dans la baignoire pour une séance de caresses quelle rend distraitement.

Annie regarde le numéro de limmeuble puis consulte le cahier où elle a inscrit ladresse. Oui, cest là. Elle sapproche des sonnettes, voilà celle de lappartement de Luc. Elle hésite. A-t-elle raison de faire confiance à ce garçon? Elle hausse les épaules. Que peut-il lui arriver? Quil lui fasse lamour après la révision? Et après? Nest-ce pas pareil avec François? Et peut-être celui là saura lui faire connaître la vraie jouissance. Elle appuie sur le bouton. Une voix linterroge à linterphone, la voix de Luc.

— Oui, qui est là?

— Cest moi, Annie.

— Je touvre.

Le pêne électrique grésille. Annie pousse le lourd vantail. Limmeuble est cossu. Marbre sur le sol et lescalier qui monte au premier étage. Elle se dirige vers lascenseur. Lappartement de Luc est au dernier étage. Un duplex, lui a-t-il dit, avec une grande terrasse qui sera parfaite pour les révisions quand le temps le permettra. Le palier est couvert du même marbre que lentrée. Un paillasson avec linscription « bienvenue » attend les chaussures des visiteurs devant lunique porte. Les parents de Luc sont riches estime Annie pour pouvoir se payer un logement dans ce quartier et dans un immeuble aussi luxueux.

Avant quelle appuie sur la sonnette, la porte souvre.

— Entre vite!

Luc avait guetté les bruits de lascenseur. Il sefface pour lui laisser le passage et referme soigneusement derrière elle.

— Suspend ta veste au porte-manteau.

Annie fronce les sourcils en le voyant mettre la clé dans sa poche.

— Nous avons lhabitude de toujours fermer la porte à clé, explique-t-il. Viens par ici.

Il la pousse dans un vaste salon. Des canapés, des fauteuils, une table basse, pas de surface où travailler constate Annie. Elle commence à redouter une mauvaise surprise. Il montre un guéridon.

— Pose tes affaires là.

Annie les maintient contre sa poitrine.

— Où sont tes parents?

— Euh ils ont du sortir. Ce nétait pas prévu je tassure, sempresse-t-il dajouter devant le mouvement de recul de la jeune fille. Ils vont bientôt revenir.

— Où cest quon va travailler?

— Tout à lheure.

— Mais

Luc lenlace et tente de lembrasser. Annie se défend avec acharnement.

— Laisse-toi faire. Les études attendront. Prenons un peu de bon temps Ouch!

Annie a décroché un coup de genou entre les jambes de Luc. Elle se précipite vers la porte quelle tente sans succès douvrir.

Luc est furieux. Puisque la douceur est inefficace, reste la force. Tant pis pour elle!

— Hé ! Venez maider!

A lappel de Luc trois gaillards se précipitent et maîtrisent la jeune fille.

— Je te présente Marc, Bob et Mario, que jai convié pour passer un bon après-midi Oui, oui, je vois que tas compris ce qui tattend Attention à ses vêtements! lance-t-il aux garçons, il faut quils restent intacts!

— Le mieux cest de la désaper tout de suite!

— Bonne idée mais prenez soin de ses frusques, jen ai besoin.

— Au sec

Une main bâillonne Annie.

— On lemmène dans la chambre?

— Foutez pas le bordel comme la dernière fois, leur rappelle Luc. Et toi, ajoute-t-il à lintention dAnnie, tu peux bramer autant que tu veux, çà excitera mes copains. Lappartement est insonorisé et nous sommes seuls à létage.

Elle est furieuse. Furieuse contre les mains qui la pelote, furieuse contre Luc ce salaud qui cachait bien son jeu, furieuse contre elle qui sest jetée sans précautions dans la gueule du loup. Elle se débat, donne des coups de pied, essaye de mordre, de griffer. Les trois voyous rigolent. La résistance de la fille les met en joie. Quelquun déboucle la ceinture du jeans. Des mains tirent sur le tissu et le descendent à mi-cuisses.

— Aidez-moi au lieu de la peloter! Bloquez-lui les jambes sinon elle va déchirer son falzar et Luc nous engueulera!

— Attends! Sur le plumard ce sera plus facile.

Annie est transportée comme un sac. Elle se retrouve en travers dun vaste lit. Deux garçons maintiennent ses bras pendant que le troisième sescrime avec le pantalon.

— Tenez-la que je lui ôte le jeans.

Dès que ses jambes sont libérées, Annie lance de furieux coups de pieds dans tous les sens. Son talon va à la rencontre de la joue de Marc qui la déshabille.

— Aïe! La garce! Ah! Tu veux tamuser? On sera deux! Tenez-la bien vous autres.

Il arrive à empoigner les cuisses et se glisse entre.

— Eh! Une seconde! intervient Mario. On veut bien que tu sois le premier mais faut la désaper avant, noublie pas.

Le garçon avec une dextérité trahissant une longue expérience la dépouille du t-shirt. Annie en petite culotte et en soutien-gorge, bras et jambes maintenus, fait des bonds sur la couverture.

— Laissez-moi! Je veux partir!

— Ça va? Pas trop de mal? interroge Luc qui rentre dans la pièce en refermant un portable.

— Non, mais elle se défend bien la garce! Marc a reçu un talon en pleine poire!

— Ouais, elle va me le payer. Tas besoin du sous-tif?

— Non, le t-shirt et le jeans me suffisent.

— Les voilà.

Luc emporte les affaires au salon et les dépose avec la veste et le porte-documents sur un fauteuil. Il regarde sa montre.

— Bon encore presque une heure. On a le temps de samuser.

De retour dans la chambre. Il sourit. Annie est nue. Les poignets sont attachés aux barreaux du lit avec le soutien-gorge et le slip lacérés. Marc, pantalon baissé, présente une verge raide entre les cuisses que Bob et Mario maintiennent écartées. Luc sassied sur le lit à proximité de la figure en pleur. Elle est jolie cette nana. Il en aurait presque pitié. Oh! Pas de ce qui lui arrive en ce moment, ça elle la bien cherché, elle navait quà se laisser faire dès le début, mais de ce qui lattend dans lavenir. Il tente une caresse sur la joue. Annie lui crache à la figure. Pif ! Paf ! Un aller et retour lébranle.

— Je te conseille pas de faire la mariole. Tas tout intérêt à te calmer. De toute façon on va te baiser chacun son tour, ty échapperas pas. Il tient quà toi que ça se passe bien.

— Ouille!

Marc senfonce dun seul coup dans le vagin non préparé arrachant un cri de douleur.

— Tes con! sindigne Bob. Et les capotes? A quoi ça sert? Tu auras belle mine sil tarrive un pépin.

— Pas de risque, le rassure Luc. Cest de la bonne marchandise ça. Saine et sans défauts, vous pouvez y aller sans crainte Toi, sadresse-t-il à Marc qui malmène Annie, un peu de calme mon gros. Ces gonzesses, cest fragile. Il leur faut de la douceur pour démarrer si tu veux quelle prenne son pied. Il faut la chauffer Oui, doucement Là Tu vois, elle apprécie. Rien ne vaut la persuasion.

Après la violence de la pénétration, les mouvements amples la font trembler.

— Tu choisis, ou tu te calmes et on va bien samuser ensemble, ou je demande à mes copains de ne pas prendre de gants avec toi Je vois que tu as compris. Est-ce que je peux te détacher?

Annie est incapable de répondre submergée par le dégoût et la crainte de sévices. Luc délie une main, puis lautre. La jeune fille ne tente rien.

— Tu deviens raisonnable, cest bien. Pourquoi il a fallu te forcer pour en arriver là? Décidément je comprendrai rien aux gonzesses! affirme Luc. Nous allons passer une bonne après-midi dont tu te souviendras longtemps. Vous pouvez la lâcher vous autres, elle fichera pas le camp.

Mâtée, la jeune fille subit sans se rebeller lassaut de Marc. Les trois autres en profitent pour se déshabiller. Annie à travers ses larmes voit les trois queues dressées, triomphantes, arrogantes. Un frémissement la parcourt à la pensée quelle va les recevoir, lune après lautre. Son vagin a pris la mesure de celle qui en cet instant linvesti. Une étrange langueur lenvahie. Non, ne pas jouir ! Et pourquoi pas? Pourquoi ne pas retirer une parcelle de satisfaction de ce cauchemar? Non! Ça leur ferait trop plaisir. Elle serre les lèvres pour étouffer le gémissement qui sourd.

— Aaaaaah!

Marc seffondre. Mario le bouscule et prend sa place. Lorifice du vagin na pas le temps de se rétracter quune nouvelle verge sintroduit.

— Aaah! Elle trop bonne cette meuf! Un con en velours quelle possède!

Le compliment fait frémir Annie. Ce nest pas François qui lui dirait ça! Quelquun lui prend la main. Cest Luc. Il la pose sur sa verge qui darde devant ses yeux. Elle comprend et caresse la tige au rythme des pénétrations.

— Et moi?

Annie ne peut sempêcher de ricaner silencieusement à la requête du troisième larron. Au point où elle en est! Elle empoigne la queue quil lui présente et la caresse comme celle de Luc.

— Aah! Cest trop! clame Mario Je vais pas résister! Elle va mavoir la garce! Aaah! la salope Aaah! Je jouis

Il retire son dard et se masturbe vivement.

— Aaaah !

Les jets de sperme jaillissent et vont maculer le ventre et la poitrine de la jeune fille.

(A suivre)

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