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À la mer – Chapitre 3




A la mer (3)

La nuit fut rude car je pensais sans cesse à Tatiana et au fait que selon les règles de son jeu sexuel, je pourrais, lors de notre prochain ébat, faire visiter son minou par ma queue. Même lorsque, finalement, je suis parvenu à m’endormir, c’était pour rêver de cette black élancée et sensuelle.

Aujourd’hui, c’est le deuxième jour que je passe avec Tatiana. Dès le matin, je pars chercher à manger pour le déjeuner à la boulangerie non loin du camping. Lorsque je suis revenu, j’ai trouvé Tatiana en train de faire le café, vêtue seulement d’un petit top qui couvrait seulement ses seins et d’un petit short qui laissait apparaître ses cuisses superbes. Une bosse se formait déjà dans mon short à la vue du top très serré qui moulait fortement ses gros seins.

— Tu as l’air en forme de grand matin, dis moi, me dit Tatiana à qui la bosse n’avait pas échappé. Qu’avons nous pour la suite du programme ?

— Pourquoi pas un tour à vélo? Répondis-je. Il y a des champs ici où on peut se balader à vélo. Et on pourra même manger dans un champ.

Après nous être préparés, nous sommes partis dans les champs, rouler paisiblement. Après quelque temps et de nombreux kilomètres, nous n’avons plus rencontré personne sur la route et nous décidâmes de nous arrêter pour manger.

— Je trouve cet endroit parfait, dit-elle. Avec ces petits bosquets, nous serons à l’abri et ne serons dérangés par personne.

Tout à coup, le désir monta en moi. Nous étions dans un endroit isolé où nul ne penserait à venir. Alors que Tatiana était penchée en avant, dos à moi, pour déplier la nappe, je regardai son cul avec envie et décidai que notre petit jeu sexuel était fini. J’allais sauter quelques étapes et passer à son cul immédiatement. Ainsi donc, je poussai Tatiana à terre et la retournai pour qu’elle se retouve d’abord dos au sol. Je déchirai son chemisier et commençai à l’embrasser fougueusement dans le cou, sur ses seins car cette chienne n’avait pas mis de soutien-gorge. Je me mis donc à mordiller ses tétons devenus durs. Elle haletait mais on voyait bien qu’elle aimait ce que je lui faisais. Puis, je lui retirai son pantalon pour m’attaquer à sa chatte qui était déjà mouillée sans que je n’ai eu à l’entreprendre.

— Oh ouii, me cria-t-elle. Fais-moi plaisir et fais-moi hurler de plaisir. Fais de moi ta chienne et j’exécuterai tes souhaits jusqu’à la fin du séjour.

Me dire cela était comme me donner la permission. Ainsi, pendant que je la doigtais, je retirais tous mes vêtements pour me retrouver nu comme un ver avec la bite au garde-à-vous avec environ 19 cm de long et 4 cm d’épaisseur. Tatiana, nue également, écarta les jambes afin de faciliter mon entrée même si ça n’allait pas être bien difficile avec tout ce qui dégoulinait de son minou. Je m’allongeai sur elle et commençai à la pénétrer sans ménagement ce qui fut d’ailleurs accompagné d’un hurlement de plaisir. Je la martelai à plusieurs reprises pendant quelques minutes, pendant lesquelles on n’entendait que le bruit de mes couilles frappant son vagin, avant qu’elle n’ait un orgasme suivi par mon éjaculation que j’envoyai directement au fin fond de sa chatte. Elle se mit alors à passer son doigt sur sa chatte, puis y entra pour recueillir un mélange de mon sperme et de sa mouille qu’elle mit ensuite en bouche lorsquelle lécha ses doigts. Cela terminé, elle voulut se relever mais, ce faisant, du sperme tomba de sa chatte et coula le long de ses cuisses.

— C’était génial, dit elle. Sentir ainsi ta queue me remplir le vagin était une sensation des plus exquises.

— Tu penses que c’est terminé ? répondis-je.

— Eh bien… oui puisque j’ai eu mon orgasme et que tu as éjaculé.

— Retourne-toi, lui ordonnai-je, et tu verras si c’est terminé. Ce n’était que l’entrée du repas de ce midi et tu vas recevoir le plat à présent.

— Quoi ? Tu as l’intention de m’enculer ?

Ma bite reprenait de la vigueur et sa taille d’attaque. Je ne pris donc pas la peine de lui répondre et allai me placer derrière elle. Je frottai ma queue à l’entrée de son cul.

— Attends, dit Tatiana, ne m’encule pas, stp. Je l’ai fait il y a longtemps et mon trou s’est refermé depuis.

Trop tard, étant plus grand qu’elle, je me suis abaissé quelque peu, puis relevé pour introduire ma queue dans son cul. Elle avait raison. Celui-ci était très serré et je rentrai difficilement dedans. Pour faciliter la chose, je la plaçai à quatre pattes et rentrai plus profond en elle. Je finis par toucher le fond, si je puis dire, puisque mes couilles étaient contre ses fesses et je commençai mes allers et retours dans son cul qui s’élargissait au fur et à mesure. Elle prenait du plaisir même si, au début, ses hurlements étaient plutôt de douleur pour terminer en hurlements de bonheur. Pendant que je la ramonais, je lui malaxais les seins pour qu’elle prenne le plus de plaisir possible. Quelques minutes s’écoulèrent lorsque j’éjaculai à nouveau, mais au fond de son petit trou du cul, cette fois. Mon jus commença à sortir de ses fesses et je le repoussai à l’aide de mes doigts au fond de son cul. Elle finit par avoir un orgasme après mes coups de bite, puis de mes doigts. Sa chatte coula encore et encore, une véritable fontaine. J’arrêtai donc tout mouvement à l’intérieur de l’un de ses trous. Elle haletait et s’allongea par terre pour se reposer et reprendre ses esprits. Après quelques instants, elle se redressa sur les coudes et me regarda.

— Il y a du dessert pour terminer ce délicieux repas ? demanda-t-elle.

— Viens ici, répondis-je.

Après lui avoir procuré le dessert, nous reprîmes nos vélos et retournâmes au camping pour terminer cette fantastique journée.

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