— Salut p’pa !
— Salut les jeunes… Alors ma belle-fille, ils sont bons les coups de bites de mon fils ?
Fasila n’est pas ma femme au sens où nous ne sommes pas mariés. Mais nous sommes en couple et c’était la première fois que je l’amenais chez mon père à la ferme.
— Oui, super, répondit-elle sans se démonter alors que je poussai un : "papa" ! Outré.
Pourtant, je n’avais pas de quoi être surpris. Papa a toujours été un chaud lapin, très porté sur le sexe et les histoires de cul. Pudeur est un mot qui ne fait pas précisément partie de son vocabulaire. Ma mère l’avait quitté, entre autres, à cause de ses multiples infidélités bien qu’elle-même ne fût pas un parangon de vertu.
— Ben quoi "papa"! T’as les yeux en trou de pine mon fils et tu te permets de faire comme si t’étais choqué ! Tu as oublié que les cloisons ne sont pas épaisses… J’vous ai entendus baiser toute la nuit. Faut dire qu’il y a de quoi ! Y a du monde au balcon.
C’est là que je pris conscience de la légèreté de la nuisette de Fasila, mon adorable métisse. Le soleil de juillet entrait à plein par la fenêtre de la cuisine et la mettait en transparence. On voyait sa peau foncée sous le tissu et ses gros seins ronds et pointus qui dardaient fièrement. Mon père la dévisageait ou, plutôt, il l’envisageait et il ne pouvait pas ne pas avoir remarqué la présence de la touffe encore plus sombre puisque Fasila ne portait pas de culotte.
— Il semble qu’il y a aussi du monde au sous-sol, répondit ma femme du tac au tac en dirigeant son regard vers le bas-ventre de mon père.
Papa était déjà, et depuis longtemps, en bleu de travail dont la fermeture éclair était ouverte jusqu’au pubis. Ses poils poivre et sel, très fournis perlaient déjà de sueur accumulée depuis des heures de travail. Il avait dû commencer vers six heures et, à dix heures, il venait prendre un solide en-cas précisément au moment où nous nous levions pour notre petit-déjeuner.
Il avait une belle bosse du côté gauche.
— Tu veux voir s’il y a du monde ma jolie ?
— Papa, tu ne sors pas ton sexe ! Ordonnais-je sachant qu’il n’avait qu’un coup de hanche à donner pour dégager sa bite qu’elle se détende et vienne pointer le bout de son nud en bas de la salopette.
— Oh dit l’autre qui nous montre bien la sienne !
De fait, mon caleçon était tendu. Je dus m’asseoir pour planquer sous la table une érection qui montait.
Mon père nous apporta du café, qu’il venait de réchauffer, en frôlant délibérément ma copine qui ne fit rien pour l’en empêcher.
— Bon, je vous laisse. A ce midi ! Si tu peux donner un coup de main cet après-midi Maxence…
— Pas de problème. Vous moissonnez ?
— Non après-demain je pense, mais on a autre chose à faire. Attention. Il va faire chaud… Tiens d’ailleurs j’vais mettre un T-shirt.
— OK.
Puis il sortit.
Fasila s’assit à côté de moi puis plongea la main sous la table.
— Qu’est-ce que j’ai aperçu tout à l’heure ? Tu bandes hein mon salaud !
Elle attrapa ma bite et se pencha. Je reculai pour la laisser faire. Elle l’extirpa du calbut et se mit à la branler vigoureusement pendant que je passai ma main entre ses cuisses pour commencer à lui titiller la vulve.
— Dis donc, il est bien foutu ton père pour son âge…
— Il n’a que 50 ans.
— N’empêche, il est bien gaulé, musclé pas un pet de graisse et tout bronzé. Y a plus d’un mec plus jeune qui n’en remontre pas autant !
— Bronzage agricole…
— Il travaille souvent à poil ?… car il avait l’air bronzé même du bas…
— T’as regardé par-là toi ?
— Il m’a l’air d’être vachement bien monté !
— Ma bite te suffit pas… t’as pourtant l’air de l’apprécier.
— Hmmmm oui, elle est bonne ta queue mais si tu avais une défaillance…
— Couche-toi sur le dos que je te la foute bien à fond ma défaillance.
Laissant là ce badinage, elle écarta les bols, s’allongea sur la table, ouvrit les cuisses pour m’offrir sa chatte à bouffer avant que rapidement j’y plante mon dard.
Elle m’avait excité la garce aussi la sautai-je sans ménagement, la tenant fermement par les hanches. Ses seins lourds roulaient en cadence. Parfois elle se laissait complètement aller, parfois elle se mettait sur ses coudes pour redresser la tête et me regarder avec provocation.
Il y avait là de la confiture, j’en mis sur le bout de ses seins et les suçai avant de me remettre à piner comme un beau diable.
Tout à coup, j’aperçus une ombre par la fenêtre. Puis l’ombre se fit forme et la forme se cola devant l’ouverture. Papa nous regardait. Il avait sorti sa queue et se branlait. Je m’arrêtai, saisi de stupeur.
Fasila, qui ne pouvait pas le voir me demanda pourquoi je m’arrêtais.
— Pour t’enduire le trou de confiture et le bouffer… dis-je comme si elle venait de me tirer de ma réflexion.
Elle me crut et me laissa faire.
Papa observait toujours. Je restai un long moment entre les cuisses pour bien nettoyer le sexe plein de marmelade. Quand je me redressai, il était toujours là. Je remis ma bite au trou et décidai de rejoindre ma femme sur la table afin de pouvoir lui juter sur les seins. Et il était toujours là, bandant. Quand j’eus fini, il releva son short car, comme il l’avait dit, il s’était changé.
Fasila prit une tranche de pain qu’elle frotta contre sa poitrine pour y étaler mon sperme et sen faire une tartine. Papa s’était écarté pour qu’elle ne le vît pas mais il épiait la scène. Nous prîmes notre petit-déjeuner ainsi puis j’allais me doucher.
Tout en me lavant j’entendais une petite voix intérieure qui me disait que si je restais là trop longtemps, je risquai de me retrouver cocu.
Mon père allait-il se contenter de nous regarder ? J’avais vu comment il avait regardé ma femme… son il concupiscent n’avait fait que précéder le signal donné par son érection. Il n’avait jamais su résister à une belle femme. Combien de types dans le village et même dans le canton lui devaient d’être cocus ? Mais là, c’était ma femme… alors… Ma petite voix me disait de fuir, de partir, d’emmener ma femme au-delà de ce prédateur. Je savais que je devais écouter mon pressentiment, mais avais-je vraiment envie de fuir ou, plutôt n’étais-je pas curieux de savoir s’il oserait et si Fasila résisterait.
Entre un gros queutard et une nana qui aime la bite, c’est comme si j’avais mis moi-même l’allumette au-dessus du baril de poudre. Car ma femme aime le cul. C’est OK entre nous. Nous nous sommes promis de rester libres de notre sexualité à condition de tout dire à l’autre. Quand elle couche avec un autre garçon, elle me raconte tout. Elle m’a ainsi renseigné sur les qualités sexuelles de la plupart de mes potes et moi j’en ai fait de même… donc, si l’on veut je suis déjà cocu et elle l’est elle-même… Mais est-on cocu quand on y consent… être cocu par un pote ou un inconnu… mais avec son propre père… C’était là un débat métaphysique dont le lecteur sent bien toute l’importance… la philosophie sous la douche…
L’après-midi fut consacré aux divers travaux de la ferme et le repas du soir à des nouvelles portant sur ce que faisaient les uns et les autres. Il y eut bien sûr son content d’allusions salaces auxquelles ma femme riait de bon cur. D’allusions salaces en questions grivoises il n’y avait pas loin et, tout à trac, mon père demanda à Fasila.
— Tu bouffes toujours le jus de mon fils ?
— Pardon ?
— J’vous ai vu ce matin. Tu bouffes toujours le jus ?
— P’pa merde ! T’es indiscret.
— C’est pas indiscret de baiser sur ma table ?
— Non je ne bouffe pas toujours le jus, reprit Fasila… mais j’aime bien de temps en temps.
— Décidément, elle est parfaite cette petite… Vous avez déjà baisé à plusieurs ?
La proposition était directe.
— Non, et vous ?
— Non… mais j’crois que j’aimerais ça.
— Bon ben on va débarrasser, hein ! La journée a été dure et si on moissonne après-demain… dis-je pour couper court.
Il était tard déjà mais nous avions traîné un peu en espérant profiter de la fraîcheur qui ne venait pas.
Nus dans notre lit, nous discutions.
— J’suis désolé pour mon père.
— De quoi ? Tu m’avais prévenue et puis j’aime bien les gens directs. Tu crois que c’était une proposition tout à l’heure ? Et puis tu es vraiment aussi désolé que ça ? Dis-le franchement que ça t’excite de le voir me tourner autour !
— Non, non je t’assure. Et de quelle proposition tu parles ? dis-je comme si je ne savais pas où elle voulait en venir.
— Quand il a demandé si on avait fait un plan à plusieurs… c’était un appel du pied ça…
— J’me vois pas faire un plan avec mon père… et toi ?
— Faut voir…
— Ma parole ! Mais tu te laisserais sauter par mon père !
— Lui ou un autre, quelle importance ! J’ai bien niqué avec ton pote… comment il s’appelle là le petit gros… et d’autres que je connais pourtant bien mieux que ton père… et ton père est un autre gabarit que ces gars-là !
— Oui mais c’est mon père.
— Alors comme ça il nous a matés !
— Ben oui…
— Quel gros cochon… et tu l’as vu ! Et tu n’as rien dit ! C’est de famille hein ? Vous êtes de la quéquette… vous pensez qu’à ça, c’est héréditaire à ce que je vois… dit-elle en se penchant vers moi.
— Ça se pourrait… et ça se pourrait que t’aimes les cochons, hein ma salope…
— Hmmmm…
Et sans rien dire de plus, elle me chevaucha.
Nous commençâmes à baiser et, subitement, elle alla ouvrir la porte du couloir. Je crus que c’était pour faire courant d’air car il faisait lourd.
— Je crois pas que ça va ramener de l’air.
— C’est pas pour l’air, c’est pour ton père.
— Comment ça ?
S’il nous entend et quil veut nous mater, il ne pourra pas se planquer derrière la serrure. S’il veut voir, il faut qu’il assume.
Nous laissâmes donc la porte grande ouverte et continuâmes ce bon moment de baise. Elle gémissait plus fort que d’habitude, du moins en avais-je l’impression… Sûr qu’il entendrait.
Nous en étions à une bonne levrette, la tête tournée vers le bas du lit, c’est-à-dire face à la porte. Quand le bruit d’une autre porte grinçant sur ses gonds se fit entendre. Puis la lumière du couloir nous sortit partiellement de l’obscurité.
Notre chambre étant la dernière au fond du corridor, il fallait y venir de façon délibérée pour voir ce qui se passait.
Nous faisions du bruit depuis une bonne vingtaine de minutes et je n’étais pas décidé à plus de discrétion que ma femme.
Tout à coup, papa apparut sur le seuil de la porte, nu, la queue bien en l’air. Il s’appuya contre le chambranle pour nous regarder sans complexe.
Je m’arrêtai quand même surpris par ce culot. Une solide ruade de ma copine me fit comprendre qu’il fallait terminer ce que j’avais commencé.
Je repris donc mes efforts et, rapidement encouragé par Fasila qui se comportait exactement comme d’habitude je repris une contenance normale malgré la présence paternelle.
Celui-ci entra dans la chambre. Il y a un fauteuil bas, genre année 1930, dans un coin. Il l’approcha, s’avachit dedans, écarta les cuisses et se mit à se branler vigoureusement.
Fasila approchait de l’orgasme et lorsqu’il se déchaîna, elle m’entraîna avec elle, j’éjaculai en elle en poussant ma queue de toutes mes forces.
Puis je m’affalai sur le lit. Fasila vint s’étendre à côté de moi.
— Putain c’était trop bon, dis-je
— Une belle scène de cul bien chaude, les enfants, ça me change d’internet, répondit mon père.
Il s’était levé, se tenait debout dans la ruelle, les jambes collées contre le matelas.
Ma femme respirait rapidement, soulevant sa belle poitrine qui luisait sous la sueur.
— Bon ben tu vas peut-être nous laisser maintenant. Tu vas pas rester là à te masturber devant nous toute la nuit.
— C’est clair qu’il y a mieux à faire.
Joignant le geste à la parole, il plongea une main entre les jambes de ma femme qui ne broncha pas et de l’autre écrasa le sein collant de transpiration.
— Qu’est-ce tu fais ?
— On a dit qu’elle aime le foutre… on va pas perdre ça.
Il me montrait ses doigts, qu’il venait de ressortir du vagin. Ils étaient enduits de jus. Il les porta à la bouche de ma femme.
— C’est bon ?
— Hmm… régal.
— T’en veux dautres ?
— Ouiiiii.
Il remit ses doigts. Je m’étais mis sur le côté pour regarder.
— Vous arrêtez vos conneries là !
A nouveau elle suçait les doigts paternels recouverts de ma semence.
— Y en a plus beaucoup petite gourmande. Je te refais le plein ?
— Ouiiii…
Il monta alors sur le lit et s’allongea entre les jambes écartées;
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Tu vois bien que j’vais la sauter andouille ! Elle attend que ça ! Pousse-toi un peu, fais-moi de la place.
Comme un con, j’obéis, et il la pénétra.
— Bordel, qu’elle est bonne. J’aime les femelles bien chaudes comme ça.
Il l’embrassa, lui bouffa les seins et les aisselles. Il lui mangea la chatte.
Impuissant, j’assistai à ce spectacle inédit. Car, si Fasila avait souvent fait l’amour avec d’autres hommes, cela ne s’était jamais passé en ma présence.
Elle était belle dans l’exaltation de son plaisir qu’elle ne dissimulait pas et, d’ailleurs mon père n’était pas mal non plus. Ses muscles le mettaient à son avantage et sa grosse bite lui donnait une assurance que plus d’un professionnel du sexe, hardeur débutant ou même confirmé n’aurait pas eue.
— Viens par là que je t’encule !
Il l’invitait à venir s’asseoir sur lui. Elle s’empala lentement avec précaution pour ne pas souffrir d’une déchirure trop brutale qu’un tel braquemart semblait promettre, et quand elle fut bien figée sur la colonne rigide, ils se déchaînèrent tous les deux ; elle, jouant de ses jambes pour monter et descendre sur le zob, et lui, donnant de grands coups de bite.
Ils gueulaient comme des bêtes. Puis elle se releva, fatiguée par la position. Il la remit sur le dos, souleva bien la croupe pour continuer à la sodomiser ainsi, complètement tendu sur ses jambes et en appui sur ses bras. Je pouvais voir en gros plan l’engin massif éprouver l’élasticité de ma rondelle préférée et la pilonner sans réserve.
— Maxence mon garçon, t’as bien choisi. Ça c’est de la meuf, pas fainéante du cul. Tudieu quel pied !
Ma femme m’insultait :
— Alors mon gros cocu… t’en as fait exprès, salaud, de m’amener là pour me faire fourrer par ton gros porc de père.
— Non, je te jure…
— Il est pas cocu, puisqu’il est là… hein… regarde salope comme il aime bien te voir baisée ton mec. Attends encore un peu et il va se remettre à bander comme un âne. Tu vas être baisée trois fois d’affilée ma mignonne.
Il n’avait pas tort. Comme il est endurant, j’eus tout le temps de me refaire et je me retrouvai en érection avant qu’ils aient terminé.
Il voulut jouir entre les seins dans une branlette espagnole mémorable. Les couilles se vidèrent avec la puissance d’une lance de pompier. La gorge en était couverte. Il y promena son bout pour bien le recouvrir de foutre et le faire décrasser par Fasila qui s’en délectait.
Puis il me regarda reprendre ma femme comme un forcené. Les voir copuler tous les deux m’avait aiguillonné en diable. Je voulais me montrer plus endurant, plus percutant, plus performant que lui et la déglinguer comme une pute.
Elle y eut droit à ma bite, je peux vous le dire ! Agenouillée sur la carpette, le buste écrasé sur le matelas, je la sodomisai en bouledogue. J’enfonçai mon manche jusqu’aux couilles pour bien lui déchirer l’anus. Mon père regardait et nous demanda juste un moment le temps de s’allonger sur le lit pour qu’elle lui bouffe les couilles pendant que je continuai à lui élargir l’anus.
Au moment d’éjaculer je me retirai, la forçai de se retourner pour lui planter mon zob jusqu’à la luette et me vider directement dans sa bouche. Mais, comme je découillais une seconde fois en peu de temps, elle put avaler cette portion raisonnable d’un coup.
Mon père nous quitta non sans avoir roulé une pelle fantastique à sa belle-fille et lui avoir glissé à nouveau deux doigts dans le con.
J’avais prévu de rester une semaine mais nous restâmes quinze jours où l’appétit sexuel de mon père, proprement insatiable, trouva à s’exprimer, d’autant qu’il répondait aux désirs de ma femme comblée par les capacités de ce bon bourrin quinquagénaire.
S’ils se croisaient le matin dans la cuisine au petit-déjeuner, il la montait. En début d’après-midi il s’octroyait une sieste crapuleuse et, le soir nous nous donnions le tour pour sauter la donzelle.
Un matin, comme il était en train de la prendre sur la table de la cuisine, comme je l’avais fait le premier jour, j’eus la curiosité de filmer leurs ébats. A un moment, une voiture entra dans la cour et s’arrêta devant la fenêtre ouverte, comme à l’habitude.
Pas gêné pour deux sous, mon père, la queue dressée et luisante vint au-devant du facteur.
— Dis-donc Philippe, c’est pas ta belle-fille que tu sautes là !
— Comme tu vois !
— Ah putain la belle garce ! Si j’avais le temps ! Je viendrais avec vous… Il est pas là le cocu ? demanda l’employé des postes qui attendait visiblement qu’on l’invite à participer.
— Non !
En fait, comme j’étais dans un recoin, il ne pouvait pas me voir.
— Quand même, faire cocu ton fils…
— Bon… la belle affaire… du moment que ça reste en famille. Allez, à se revoir Alain !
— A la prochaine… mais si vous me donnez du spectacle comme ça tous les jours, je te préviens que rien m’arrête.
— Mais oui, mais oui…
Comme il repartait je demandai à mon père s’il saurait tenir sa langue. Je ne tenais pas plus que ça à ce que l’on sache comment on occupait nos journées et comment mon père s’occupait de ma copine.
T’inquiète. C’est un vieux vicieux aussi. Souvent le dimanche il m’amène sa femme à baiser. Comme il ne veut pas non plus que ça s’ébruite…
Satisfait de ces explications, je le laissai reprendre sa besogne et enfiler ma femme sous le contrôle de mon portable grâce auquel j’immortalisai la scène.
Depuis, à chaque vacances, nous revenons prendre un bon bol d’air à la campagne et, pour ma femme, un bon coup de bite. Je ne me lasse pas de voir le corps blanc de mon père, une fois que l’automne a passé et qu’il a emporté avec lui les dernières marques du bronzage, sur le corps sombre de ma femme. Le contraste des épidermes me fascine, l’harmonie de leur fusion sexuelle me revigore et décuple mon énergie quand vient mon tour de la grimper. Nous y avons encore gagné en intimité.
Alors, amis lecteurs, au terme de cette histoire, puisque j’y consens et que, d’une certaine façon, je l’ai laissé faire voire désiré, peut-on réellement dire que je suis cocu ?