…Jusqu’à la semaine dernière, elle était comme un fruit interdit, inaccessible et lointaine! Nos deux familles respectives se connaissent depuis des années. Son mari est un ami personnel, elle était très liée avec ma femme. On s’invite pour les occasions et même sans occasions. Il faut dire que pour l’homme que je suis elle ne m’a jamais laissé indifférent à sa beauté naturelle, ses yeux rieurs et ses formes épanouies d’une femme de 35 ans. Mais jamais je n’aurais pensé accéder à autre chose que l’amitié et les bons rapports qui nous lient. La pudeur, la peur de détruire et de faire mal m’ont toujours empêché d’aller plus loin que le fantasme! Jamais nous avons eu à échanger ne serai ce qu’un regard ou un signe qui pourrait supposer ou suggérer une envie ou un désir.

Elle était à la maison la semaine dernière avec son mari et ses enfants pour un déjeuner. Nous sommes tous deux fumeurs, on s’est retrouvé à plusieurs reprises dans le jardin le temps d’une cigarette… Lors de nos discussions "tabagiques", nous avons abordé un sujet concernant un membre de sa famille souffrant et qui compte beaucoup pour elle, elle a éclaté en sanglots. Surpris, j’ai essayé de la consoler par des mots adéquats et réconfortants et elle est tombée dans mes bras comme ça sans crier gare… A ce moment là, rien ne pouvait me traverser l’esprit de malsain, la situation ne s’apprêtait pas à une érection ou tout autre idée érotique. Elle a essuyé ses larmes, dessiné un sourire sur son visage et on est rentré rejoindre nos deux familles tout en me demandant de ne pas revenir sur notre échange. Son mari devait reprendre son boulot l’après-midi, elle a préféré rentrer chez elle en laissant ses enfants jouer avec les miens…. Aussitôt arrivée chez elle, elle me téléphone pour s’excuser pour ses larmes en espérant n’avoir pas gâché le déjeuner avec sa tristesse.. Je lui ai expliqué qu’il n’y avait pas de quoi présenter des excuses et je ne sais ce qui m’a pris de lui proposer d’en parler et de crever des abcès quand elle sentira le besoin pour le faire.. Comme on nest pas loin l’un de l’autre Elle m’a proposé d’aller prendre un café chez elle pour continuer une discussion entamée dans mon jardin et suis parti.

Elle m’accueille chaleureusement comme à son habitude, habillée en robe noir et bas noir et nous avons continué à discuter en sirotant un café puis elle est revenue sur les raisons de ses larmes du midi et elle repart de plus belle, je me suis approché d’elle en lui tendant un mouchoir, submergé par une tendresse indescriptible et une envie de la prendre dans mes bras et de la serrer très fort, ce que j’ai fait sans savoir comment ai-je pu oser le faire sans penser à une réaction violente de sa part! J’ai posé un baiser sur son front d’une manière plus paternelle qu’autre chose, elle est restée un bon moment blottie dans mes bras sans aucun mot. Je lui ai dit que je devais partir, on s’est levé au même moment en se tenant la main, elle me regarde avec ses yeux mouillés en me remerciant je la serre encore dans mes bras et j’ai senti une chaleur autre que celle que je sentais auparavant, c’est un frisson indéfini qui me traverse quand je l’ai embrassée, nos lèvres se sont rencontrées brutalement, nos langues s’entremêlent, j’avais une folle envie d’elle et elle ne faisait rien pour m’en empêcher, je caresse ses seins tout en l’embrassant, je la renverse sur le sofa tout en balbutiant des mots dont je ne me souviens même pas de la teneur, elle essayait tant bien que mal de m’enlever ma chemise et moi sa robe tout en passant ma main entre ses cuisses, j’ai réussi à libérer ses merveilleux seins que je me suis empressé de caresser et de mordiller comme un adolescent, je descends tout le long de son corps pour me retrouver entre ses cuisses, je "bouffe" son vagin à travers sa culotte mouillée et dont je devine la forme et sens la chaleur qui se dégage.. Elle gémissait et moi j’étais aux anges guidé par une folle envie et une passion dévorante elle enlève sa culotte aidée par ses jambes, je me débarrasse de mes habits pour me retrouver nu, mon sexe dressé devant ses yeux, surprise par sa taille et son érection qui m’a moi même étonné elle l’a pris de ses deux mains pour l’engloutir dans sa bouche qui avait du mal à le contenir soudain elle s’arrête et pour la première fois elle parle: "prends-moi" me dit-elle, je l’ai renversée sur le sofa, elle écarta ses cuisses pour laisser apparaître un merveilleux vagin rasé que j’entreprends de caresser avec une langue avide puis je l’ai pénétrée lentement comme si j’avais peur de brusquer la délicatesse de ce qui s’offrait à moi, je la sentais étroite en me frayant un chemin dans son ventre, elle s’ouvrait de plus en plus en me sentant entièrement en elle et elle gémissait à chaque poussée, je cherchais ses lèvres en sentant mon plaisir monter et mes va-et-vient en elle devenaient de plus en plus rapides et profonds elle s’accrochait à mon dos en haletant en un râle hallucinant je commençais à déverser en elle toute la passion et la force du plaisir, je me sentais me vider en elle comme l’explosion d’une fontaine en plein désert et au même temps je sentais ses spasmes et les contractions de son vagin sur mon sexe, un courant électrique nous traversa…..

Blottis l’un contre l’autre nous avons évité nos regards pendant un moment puis on a éclaté de rire et on s’est embrassés tendrement.

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