Dès que je lai vu, jai eu envie delle.

Boucle dOr, cest la première image qui mest venu à lesprit lorsque je lai vue. Blonde, le visage dun ange et linnocence dune jeune fille qui na pas encore connu dhomme. Un beau corps aux formes prometteuses, mis en valeur par un jean taille basse et un corsage léger et ouvert sous lequel elle ne portait rien. Ayant moi-même une fille de cet âge, je ne suis pas surpris par cette façon provocante de shabiller et cet appel au viol permanent. Une attitude rebelle contredit par le regard naïf de la belle.

Le soir, cest son image que jévoque pour sauter ma femme, toutes lumières éteintes, dès le premier soir de larrivée de la gamine dans ma boite. Cest sa petite chatte que je bourre et dans laquelle je jouis.

Pas question évidemment de lui proposer de sortir ou quelque chose dans ce genre. Pour elle, je ne suis quun vieux con comme son père. De toute façon, même si elle nétait pas la fille de son père, homme de pouvoir à ne surtout pas froisser, elle est trop jeune et donc source dennuis en cas de problèmes. Cette petite merveille mest aussi inaccessible que la Joconde.

Cest dautant plus rageant que je suis son patron, que je suis riche et que je ne me suis jamais privé de coucher avec les femmes travaillant pour moi quand elles me faisaient envie. Elles savaient ce qui les attendait lorsque je les invitais à déjeuner. Elles acceptaient, enfin celles qui voulaient garder leur boulot. Jai mes habitudes dans une petite auberge discrète à la campagne avec des chambres à létage. Un petit cadeau, un bijou le plus souvent, suffisait à les consoler davoir trompé un mari ou un fiancé.

Une pointe de jalousie me transperce le ventre quand je vois la mignonne minauder avec ce minable de Patrick. Visiblement, il lui plaît et elle a lâge où se caresser ne suffit plus. Elle a confusément envie dautre chose. Patrick est beau gosse et beau parleur, le type même du mec qui fait craquer les jeunes filles romantiques. Pour moi, un simple comptable que jai embauché pour prendre le virage informatique. Le jeune homme est ambitieux et encore assez frais pour croire les promesses dévolution de carrière que je lui ai faite. Il a aussi le défaut de me prendre pour un con en détournant des petites sommes de temps à autre avec ses notes de frais bidons. Je savais quen attendant le bon moment, jen tirerais quelque chose dintéressant car avoir un comptable à sa botte est parfois utile pour toiletter le bilan de fin dannée.

Je suis obsédé par cette petite fille. Il me la faut. Cette salope mexcite trop pour ne pas y passer. Dailleurs si ce nest pas moi ce sera ce grand con qui lui prendra sa fleur. Regardez-moi ça, comme cette petite pute se tortille devant lui.

— Patrick, venez me voir dans mon bureau quand vous aurez fini ce que vous faites.

— Oui, monsieur, tout de suite.

— Fermez la porte et asseyez-vous.

Jai pris un ton sec afin de le mettre en condition. Il comprend que laffaire est sérieuse car il sassoit au bord de la chaise.

— Je nirais pas par 4 chemins. Vous piquez dans la caisse depuis plusieurs mois. Quavez vous à dire à ce sujet ?

— Mais.. Monsieur, je vous jure..

— Vous niez ? 150 euro en mai, 180 en juin et 210 en juillet. A ce rythme, en décembre, cela fera un beau paquet.

— Je.. Je suis désolé. Je ne sais pas quoi dire.

— Merci de ne pas me faire perdre mon temps. Après avoir réfléchi, je ne vois que deux façons de traiter votre cas, le licenciement pour faute grave avec plainte à la police et les conséquences désagréables mais inévitables qui en découleront ou alors Je laisse ma phrase en suspend, lui tendant la perche et attendant quil la saisisse.

— Je ferais tout ce que vous voulez monsieur mais je ne veux pas aller en prison, je vous en prie.

— Ou alors, vous me rendez un petit service.

— Demandez moi ce que vous voulez.

— Dabord, tu vas signer ta confession et après je te dirais ce que jattends de toi.

Cest ainsi que jai mis ce jeune con à mon service pour quil emballe la petite et me la serve sur un plateau. Le plan est tout simple, il la drague, il la chauffe et je la baise. Il a bien tout compris et viendra régulièrement me faire son rapport sur les progrès de leur relation.

1er jour :

— Je lui ai demandé si elle pouvait sortir comme elle voulait. Elle a rigolé et ma répondu que « Bien sûr, je fais ce que je veux. Je ne suis plus une gamine. Pourquoi, vous me demandez ? » Du coup, je lai invitée à prendre un pot. Elle a accepté tout de suite. Je lai emmenée chez Mac Do. Elle a pris un coca et on a discuté sur tout et rien, ses parents, son petit copain du collège. Aujourdhui les jeunes se parlent crûment alors je lui ai carrément demandé si elle était encore vierge. Elle a rougi et elle a fait « oui » avec la tête.

— Jen étais sûr. Bien mon petit, on est sur la bonne voie.

2ème jour :

— Je lai emmenée au ciné. Jai choisi des places au fond de la salle. Au bout de 5 minutes, je lai enlacée, elle ne sest pas écarté. Au milieu du film, je lai embrassée. Elle ma laissé faire. Elle tremblait un peu.

— Dans la voiture, on sest encore bécoté. Jai limpression quelle avait envie de samuser comme une grande. Je lui ai peloté les seins par-dessus son corsage.

3me jour :

— Je me suis garé dans un parking souterrain et jai commencé à la peloter sous son corsage. Elle ma dit que son copain la pelotait aussi comme ça. Je lui ai demandé ce quelle lui faisait. Elle a rougi en baissant les yeux.

— Monsieur, vous voulez vraiment que je vous raconte tout ?

— Bien sûr. Tu as peur de me choquer, mon petit ?

— Bon ! On sest embrassé et jai ouvert son corsage et jai bécoté ses mamelons. Ensuite, je lai provoquée « Tu me montres ce que tu fais à ton copain ? » Elle a souri bizarrement et a posé sa main sur ma braguette. « Vous voulez que je vous le fasse ici ? ». « Si ten est capable ». Elle ma ouvert la braguette. Elle est allée chercher ma bitte dans sa petite main et ma branlé fort. Jai dû lui prendre la main. « Va moins vite ». Elle a envie dapprendre et sest montrée docile. Après, elle était assez fière delle et je lai ramenée chez elle en lui demandant de mettre une jupe la prochaine fois.

4ème jour :

— Dès quelle est arrivée, elle ma dit quelle avait cassé avec son copain parce quelle me préférait. Je lui ai demandé si elle voulait venir chez moi pour écouter de la musique. Sur le canapé, on sest embrassé et jai passé ma main sous sa jupe. Jai fait glisser mes doigts sur sa culotte en suivant sa fente. Voyant quelle se laissait faire, jai glissé ma main dans sa culotte. Sa fente était toute mouillée. Elle a écarté les cuisses comme une grande. Lorsque jai concentré mes caresses sur son clito, elle sest blottie contre moi en poussant des soupirs puis elle a commencé à gémir. Cela lui plaisait bien. Elle na pas cherché à me retenir quand jai baissé sa culotte. Ensuite, elle ne voulait pas ouvrir les jambes et cachait son sexe avec sa main. Il ma fallu lembrasser et lui dire que je laimais. Elle a fermé les yeux et jai repoussé sa main. Je lai ouverte doucement et je lai léchée longtemps. A un moment, elle sest cambrée et a poussé un gros soupir. Sa petite chatte coulait de plaisir et son clito bandait dur. Je lai fait jouir encore deux fois. Après, elle avait honte et elle a caché sa figure derrière ses mains. Quand je lai embrassée sur les lèvres, elle avait les larmes aux yeux.

— Tu crois quelle est prête à .. ? Je lui demande droit dans les yeux.

A baiser ? Jen suis sûr. Comment vous voulez faire ?

A suivre…

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