Amélie sortit de la salle de bain de la chambre d’hôtel arborant son ensemble de lingerie favori, un petit thong violet et son soutien-gorge assorti, tous deux semi-transparents. La tension était palpable dans la pièce, nous échangeâmes un ultime regard complice, empreint de nervosité et d’excitation, pendant que ma femme se couchait sur le dos sur le lit.
Il n’y avait plus de retour en arrière. Je parcourais des yeux le magnifique corps étendu de mon épouse des sept dernières années comme si c’était la première fois que je la voyais. Elle avait maintenant vingt-huit ans et moi trente-six. Pendant que je lui attachais les mains à la massive tête de lit à l’aide de menottes achetées spécialement pour l’occasion, j’admirais sa ferme poitrine, ses minces cuisses et son ventre plat. J’avais la gorge nouée à penser qu’elle allait bientôt être pénétrée par un autre homme mais du même souffle, mon pénis bien en érection me rappelait l’intensité de la fébrilité qui m’habitait. Puis je procédai à lui bander les yeux à l’aide d’un mince morceau de tissus noir que j’attachai derrière sa tête. C’était l’entente.
Amélie nourrissait depuis des années un puissant fantasme qui grandissait en elle jour après jour. Il me fut révélé lorsque je la surpris il y a environ six mois en pleine séance de masturbation devant son portable. Elle y regardait des femmes se faire prendre par d’énormes queues, se satisfaisant elle-même à l’aide d’un gros godemichet en silicone. Elle en était devenue presque obsédée. Je ne savais même pas qu’elle possédait un tel jouet sexuel ! Une fois la honte passée, nous en discutâmes longuement. Notre vie de couple la rendait heureuse mais je compris que son fantasme nallait pas disparaître. Elle me jura que ce n’était pas son intention de le matérialiser mais au fil des conversations, elle laissa entendre que peut-être si un jour elle le faisait, elle réaliserait sûrement que ce n’est pas si extraordinaire après tout et passerait à autre chose. Elle avait ouvert une brèche. Je fus convaincu à ce moment que je ne pourrais l’en priver pour toute sa vie, tôt ou tard elle allait vouloir passer à lacte. Après mûres réflexions, je décidai que je préférais donc en faire partie. Je fixai une série de conditions, elle accepta. Je souhaitais qu’il y ait le moins de rapprochement sentimental donc, j’exigeais de choisir l’homme et d’être présent le moment venu. Il devait bien sûr porter un condom et Amélie devait avoir les mains liées et les yeux bandés. Aussi je devais pouvoir arrêter le coït à tout moment si je le jugeais nécessaire.
Trouver l’homme s’avéra plus difficile prévu. Ma femme me montra des exemples de photos sur le net afin que j’aie une idée des spécifications requises. Elle ne voulait pas le faire à moitié, si elle n’était que pour le faire une fois dans sa vie, elle ne voulait pas être déçue, elle en voulait une vraie, une énorme. Après avoir tenté vainement pendant des semaines via le web, j’eus le souvenir d’un de mes coéquipiers de notre équipe de basketball à l’époque de l’école secondaire. Dans les douches, son membre flaccide devait être trois fois plus long et large que celui tous les autres joueurs. Je finis par retracer le type en question, William. Il me traita de cinglé au départ mais au fil de la discussion et après avoir vu des photos d’Amélie en petite tenue, il finit par accepter, d’autant plus qu’il était célibataire. Quand j’abordai le délicat sujet de ses mensurations, il me déclara qu’elle aurait ce qu’elle voulait, de ne pas m’en faire.
Retour à la chambre d’hôtel. Le jour J était arrivé. Je devais préparer mon épouse à le recevoir. Lentement je descendis ma langue jusqu’à ses seins que je léchai longuement pendant que mes doigts caressaient sa fente à travers le tissu du string. Avant même que je lui touche, le petit triangle violet était déjà complètement trempé, elle attendait ce moment depuis si longtemps. J’écartai le tissu du sous-vêtement pour glisser un doigt, puis deux. Pour la première fois j’y faufilai un troisième doigt qui passa sans problème, à ma grande surprise. Elle coupa cour et me demanda d’arrêter, elle était prête, je devais le faire entrer.
Je me dirigeai vers la porte de la chambre et l’ouvris de quelques centimètres, c’était le signal. William entra et se dirigea vers le lit sans même me regarder. Il avait comme consigne de la pénétrer sans préliminaires dès qu’il en serait en mesure. Je restai en retrait dans le coin de la chambre regardant le grand black retirer son t-shirt, puis son pantalon et son boxer. Il était nu, debout devant ma femme qui lui était offerte, son bassin oscillant déjà sur le lit, anticipant la suite. Je ne pouvais voir son engin d’où j’étais, c’était peut-être mieux ainsi !
Il se plaça devant elle, lui écarta les jambes et glissa sa verge déjà bien tendue sous le mince élastique du thong et la plaqua contre son ventre. Je ne pus résister à faire quelques pas de côté pour mieux voir. Sa bite dépassait le nombril d’Amelie et que dire de sa largeur, monstrueux. Paniqué, j’eus envie de tout stopper, ça n’allait jamais entrer dans ma femme, elle était toute menue et cette chose était démesurée. Ma femme qui sentait bien la queue étalée de tout son long sur son ventre n’en avait que faire et la voulait en elle maintenant. Elle le supplia de la prendre. Sans me regarder, il tendit la main vers l’arrière, en ma direction. Je devinai qu’il voulait un condom, je m’approchai pour le lui remettre. Le contraste de son cylindre noir foncé sur la peau pâle d’Amélie était saisissant. Il tira sur le thong qui déchira et le lança en ma direction vers le fond de la pièce. Il enfila le préservatif, il était visiblement trop petit, beaucoup trop étiré et se rendait à peine à la moitié de son pénis. Il n’en fit pas de cas et plaça son gland à l’entrée du vagin de ma chérie. Il se coucha sur elle et l’écrasa de sa grosse masse corporelle tout en fourrant sa bite en elle sans précaution. Amélie poussa un cri.
Le fantasme de ma conjointe prenait vie sous mes yeux ébahis. L’homme, voyant le visage crispé de ma femme qui s’efforçait de s’acclimater à cette queue hors norme, ralentit quelque peu ses ardeurs. Amélie et moi avions un mot code pour tout arrêter, je tendais l’oreille, prêt à mettre fin au coït. Elle ne prononça jamais le mot. Son visage se décontracta lentement, le cri de douleur initial fit place à des lamentations de satisfaction qui montèrent en intensité et en fréquence à mesure que William accélérait la cadence. Sa verge entrait maintenant jusqu’au bout, ses abdominaux claquant sur l’intérieur des cuisses écartées de ma femme à chaque va-et-vient. Comment était-ce possible ? Amélie s’abandonnait complètement, laissant aller de petits cris aigus et intenses annonçant déjà l’orgasme à venir. Ses clameurs caractéristiques annonciatrices de plaisir, je les entendais seulement lorsque je lui stimulais le clitoris avec les doigts, car c’est la seule façon avec laquelle j’ai su la faire jouir durant toutes ces années. Elle ne pouvait, comme beaucoup de femmes, atteindre le nirvana par simple pénétration et pourtant j’avais l’impression qu’il allait y avoir une première fois pour elle aujourd’hui.
L’homme décida de se retirer pour changer de position. Je constatai avec effroi que le préservatif était complètement déchiré. Il n’y avait plus qu’un lambeau de latex qui pendouillait à la base de son membre. Clairement, ma femme et lui s’en étaient aperçus et avaient décidé de s’en foutre. Il poussa l’audace jusqu’à l’arracher pour de bon et le jeta par terre. Sous le choc, je fis un pas vers eux pour intervenir mais devant la résolution de l’homme et l’excitation de ma femme qui lui demandait de revenir en elle au plus vite et de la faire jouir, je figeai. Je ne faisais plus partie de l’équation, je n’avais plus de droit de veto et puis au fond de moi, ma propre excitation me commandait de laisser aller.
Il se positionna à genoux devant elle, l’agrippa de ses deux mains sous les fesses et la tira vers lui en la soulevant avec aisance. Les bras d’Amélie toujours attachés à la tête de lit se tendirent au maximum, elle était son esclave. Il plongea sa bite en elle à nouveau, cette fois, pas de dentelles, il l’a pistonna fermement. Amélie était sur le point de jouir, ses cris augmentaient en ferveur, tout avait été si rapide. Vu l’angle de leur nouvelle position, je voyais maintenant très clairement l’énorme queue entrer et sortir du vagin de ma femme. C’était un spectacle magnifique, malgré son physique délicat, mon épouse était faite pour recevoir un phallus de telle dimension. Je réalisai indéniablement que je n’avais jamais pu et ne pourrai jamais lui offrir une telle satisfaction.
Puis arriva ce qui devait arriver, ses petits cris aigus s’arrêtèrent pour quelques secondes pour être suivi d’énormes cris de jouissance, l’orgasme qui l’envahit était violent. William continuait à la prendre sans ménagement. Pour la première fois je vis ma femme jouir par seule pénétration, mais ce fut sans moi. Au moment où Amélie diminua l’intensité de ses vocalises, ce fut autour de l’homme, il bloqua son bassin en position d’insertion complète, puis un cri rauque et décisif émana de sa bouche. Je pouvais apercevoir les pulsations à la base de son membre confirmant qu’il était en train d’éjaculer. À chaque soubresaut de son bassin, j’imaginais le flot de sperme se déversant dans l’utérus d’Amélie. Son orgasme me sembla durer une éternité. Ma femme affichait un visage satisfait, comblé, tout à fait à l’aise et consentante de se faire ainsi inséminer par cet inconnu qu’elle ne pouvait même pas voir.
Il s’arrêta enfin, se retira et sans demander son reste, se rhabilla. En se dirigeant vers la sortie, il s’arrêta, se tourna vers moi et me laissa savoir qu’on allait se revoir, puis il s’en alla. Je me dirigeai vers le lit où mon épouse était sereinement étendue. Déjà, le foutre blanc et visqueux avait commencé à couler à l’extérieur. Je lui enlevai le bandeau qui obstruait sa vue puis défis ses liens. Je lui indiquai que j’allais à la salle de bain pour lui rapporter une serviette afin de nettoyer tout ce gâchis. Elle me retint par le bras et en me fixant droit dans les yeux, posa sa main sur ma verge tendue à travers mon pantalon. Elle voulait que je voie le sperme de William couler de son con pendant qu’elle me masturbait. Elle ne prit même pas la peine de sortir ma bite, elle me branla à travers le tissu en me racontant à quel point il l’avait fait jouir, qu’elle avait attendu si longtemps pour qu’un homme bien membré la copule. Que c’était la première mais pas la dernière fois et que de savoir que je la regardais avait doublé son excitation. Sur ces paroles, je relâchai tout, je vins dans mon pantalon. Je m’étendis à côté d’Amélie sachant que rien ne serait jamais comme avant et que si je voulais la garder, je devrais accepter désormais de la voir se faire accoupler par d’autres hommes surmembrés.