Je retourne à mon bureau en tentant d’avoir une démarche naturelle. Ce salop ne m’avait pas loupée. C’est un vrai sadique. Mes tétons me font horriblement mal, ainsi que mon cul, et il n’est même pas 10h. Là, je me demande si le jeu en vaut la chandelle…
La gentille Sarah passe dans mon bureau avec son sourire radieux pour causer un peu. J’essaye de suivre la conversation et de sourire malgré mon moral qui est au plus bas. Putain, elle ne se doute pas que 5 minutes plus tôt, mon patron me défonçait la chatte sur son bureau…
Allez faut rester positive, sinon je ne tiendrais pas.
Le midi je vais déjeuner avec Sarah et dautres collègues. Je nai pas vraiment retenu leur nom ou leur poste. Jai la tête ailleurs. Au retour, jai une note à rédiger et à envoyer à un client, un fax à passer et des dossiers à classer. Je macquitte de mes tâches au plus vite. Le reste de laprès-midi est assez creux. Mon boss est enfermé dans son bureau et je ne suis pas mécontente de ne pas le croiser. Du coup, jessaye de mimprégner un peu de la méthodogie et de la culture dentreprise de cette boîte. Je regarde lorganigramme, lannuaire, les méthodes de travail, etc.
A 16h30, ma journée est presque terminée, ouf ! Mais mon téléphone sonne et je vois le nom de mon patron safficher. Je me crispe en décrochant le combiné.
— Allô ?
— Dans mon bureau. Maintenant !
— Oui.
Langoisse sempare à nouveau de mes tripes. Putain, il ne va pas encore me faire ses saloperies bon sang ! Je réprime les larmes qui me montent aux yeux et me dirige vers le bureau de mon chef. Jentre sans frapper et dès que je croise son regard, je sais que je vais encore avoir une épreuve à affronter.
— Dis-moi, ma petite Elodie, cest bien toi qui a rédigé la note pour le cabinet Kluzman ?
— Euh, oui monsieur.
— Est-ce que tu es consciente que tu rédiges des notes en mon nom ?
— Oui
— Est-ce que tu tes relue, avant de lenvoyer ?
Quest-ce quil se passe ? Jai écrit une connerie dedans ?
— Euh je je ne sais plus.
Calmement, il sécarte légèrement de son bureau et me fait signe davancer en disant :
— Pourrais-tu venir le relire, sil te plaît ?
Je sens son ton irrité, même si son langage est correct. Je mapproche de son bureau et commence à relire ma note.
Oh putain, dès la première ligne une faute dorthographe monstrueuse me saute aux yeux Veuillez trouvé ci-joint
— Est-ce que tu peux me dire si quelque chose te semble inapproprié ?
— Euh oui. Jai.. jai fait une faute dorthographe.
Et vlan ! Sa main me frappe violemment les fesses. Je crie de douleur et de surprise tout en mécartant vivement de lui.
— Pauvre petite conne ! Tu me fous la honte en me faisant passer pour un débile ! Je pensais que tu étais au moins capable décrire français correctement !
Là il se lève furieusement et se tourne vers larmoire qui se trouve au fond de son bureau. Il louvre et en sort une ceinture en cuir. Mon sang se glace et de puissants sanglots semparent de moi.
— Non, pardon, pardon ! Je ne recommencerais plus. Pitié, ne me frappez pas ! Tout mais pas ça. Ne me faites pas de mal ! Je vous en prie.
— Il faut bien que je te corrige ! Mais ne tinquiète pas, je ne vais pas tenvoyer à lhosto. Allez, enlève ta jupe et ta culotte et penche-toi sur mon bureau.
— Non, je ne veux pas. Je ne veux pas avoir mal. Tout mais pas ça !
La peur me terrorisait. Il était tellement sadique que lidée même de cette correction métait insupportable. Non, je ne pourrais pas le supporter. Je le vois tendre la ceinture en la faisant claquer et mes tremblements reprennent de plus belle. Il sourit. Cet enfoiré se régale de ma peur.
— Non, pas ça. Pitié ! Je je peux vous sucer. Oui, jvais vous sucer. Vous allez voir, ce sera meilleur que pendant lentretien. Vous verrez, je vais bien vous sucer.
La peur est beaucoup plus forte que ma honte. Je mavance vers lui, me mets à genoux et commence à défaire son pantalon. Il me laisse faire et je me mets à espérer que ma stratégie porte ses fruits.
Toujours tremblante mais déterminée, je libère son sexe de son boxer. Il est encore mou. Je commence à le lécher doucement. Jessaye de mettre en application toutes les méthodes que jai vu dans quelques pornos ou que jai pu pratiquer. Je le lèche sur toute la longueur, je suce le gland avec avidité, je caresse ses bourses. Et surtout, je le regarde dans les yeux. Je joue à la trainée. Si ça peut méviter une correction, alors je fais tout ce qui peut lexciter.
Il tient toujours la ceinture dans la main droite, mais ne semble pas vouloir sen servir. Son visage me montre quil apprécie ma fellation. Ses yeux se ferment par intermittence, sa respiration saccélère.
Sa main libre se plaque sur ma tête et il mimpose une fellation plus profonde. Jessaye de répondre à sa demande et gobe au plus profond de ce que je peux.
— Petite salope. Fallait le dire que tavais envie de bouffer ma bite. Oh putain, ce que cest bon. Je savais que tétais une sale trainée en tembauchant. Vas-y, lèche-moi les couilles.
Ça cest vraiment un truc que je nai jamais fait car je déteste avoir des poils dans la bouche. Mais là, je joue mon rôle. Je sors sa bite et commence à lécher ses couilles avant de les gober. En même temps, je le masturbe doucement. Jespère que tapprécies le traitement, espèce de salop !
Ses gémissements répondent à ma question. Je reprends sa bite dans ma bouche comme une affamée. Jaspire le gland, puis je le prends complètement dans ma bouche. Je ne ressens même pas de honte. Non, je suis tellement heureuse davoir su éviter les coups de ceinture !
— Salope. Ah, oui ! Ah ! Salope !! Tavais raison, tu me suces bien là. Je savais que taimais ça. Mais là, cest trop facile ah ! vu la faute que tu as commise. Oh putain Allez, lâche ma bite sale traînée.
Il me repousse. Je vois sa bite luisante se balancer devant mon visage. Quest-ce que je dois faire ? La reprendre en bouche comme une affamée ? Mais je nai pas le temps de spéculer davantage. Il me force à me relever, me retourne et me penche vers son bureau. La peur métreins à nouveau et je crie.
— Non, pitié ! Cétait bon cette fellation, hein ? Vous pouvez juter où vous voulez. Sil vous plaît, non, ne me frappez pas !
— Ta gueule putain ! Ok, tas mérité que je te donne une seconde chance et je ne vais pas te fouetter. Par contre, il me faut une autre punition pour toi. Et vu la traînée que tu es, je suis sûr que tu adorerais une bonne sodomie !
Cest vraiment pas ma pratique préférée. Je lai déjà fait, je nen suis pas fan. De savoir que ce pervers sadique va me sodomiser me fous la trouille, mais je ne dis rien. Jai bien plus peur de la ceinture en cuir. Néanmoins, des larmes recommence à se déverser sur mes joues. Jessaye de ne pas le lui montrer.
Il retire ma culotte et ma jupe, puis il se colle derrière moi. Je sens sa bite contre mon cul. Il me force à me pencher complètement sur son bureau et à écarter les jambes. Jangoisse. Jai peur de la douleur à venir.
Il dirige sa bite un peu partout sur mon intimité. Il finit par la frotter contre ma vulve. Je sens quelle est un peu mouillée. Tant mieux, ce sera moins rude. Mais évidemment, ça lémoustille comme un fou.
— Oh la bonne petite pute ! Tas vraiment adoré me sucer la bite on dirait. Ou alors lidée de te la prendre dans le cul texcite, petite salope. Puisque taimes ça, je vais être encore plus gentil avec toi.
Et il senfonce dun coup dans ma chatte. La pénétration me fait mal. Il y va comme une brute.
— Prends ça espèce de salope. Ça va bien lubrifier ma bite pour te la foutre au cul. Hein, tu mentends sale trainée ? Jvais te défoncer ton cul de pute !
En attendant, il me défonce bien la chatte. Comme ce matin, il la ramone bien comme il faut. Heureusement que le bureau me supporte, sinon je me serais écroulée par terre.
Cette pénétration ne dure pas longtemps. 2-3 minutes. Puis, je le sens sortir sa bite et je sais que le moment est venu. Pourvu que ça ne fasse pas trop mal.
— Allez salope, écarte tes fesses.
Jobéis et je sens direct son gland pousser fort sur mon anus. Pour faciliter le passage (et ainsi moins souffrir), je pousse de mon côté comme pour la grosse commission.
Sa bite rentre dun coup et la douleur me foudroie, comme je le redoutais. Mais lui nen a que faire et il entame de longs et puissants va et viens dans mon fondement. Je serre les dents et mes larmes continuent de couler.
— Alors ça te plaît salope ? Tu las voulu hein ? Tavais envie de te la prendre dans le cul !
La honte me submerge. Je navais pas protesté, cest vrai. Je ne le voulais pas, mais je navais rien dit. Javais écarté moi même mes fesses et facilité lintroduction de sa bite dans mon cul. Je lavais autorisé à me ravager le cul. Je ne suis quune salope.
La douleur samenuise maintenant que mon anus sest dilaté. Jécarte toujours mes fesses et me cambre autant que possible pour laisser mon patron menculer aussi fort quil le veut. Il ny va pas de main morte. Jamais on ne mavait baisé le cul aussi fort.
Il se cramponne à mes hanches, quil ramène avec force contre son bassin pour bien senfoncer à fond. Je sens ses couilles claquer sur ma chatte et les bruits obscènes de cette scène de sexe bestiale envahissent le bureau.
Jai une pensée pour la gentille Sarah. Est-ce quelle mentend me faire exploser la rondelle en me faisant traiter de tous les noms ? Est-ce quelle serait choquée de le savoir ?
Il continue de me bourrer le cul comme un fou. Ça me semble durer des heures. Il me traite de putain. Il me dit que je lai bien mérité. La douleur insupportable est bien partie, mais ce traitement sans douceur, cette brutalité me fait souffrir. Pourtant sa queue coulisse maintenant parfaitement dans mon cul.
— Taimes ça te prendre des queues dans le cul sale pute, hein ? Regarde comme je tencule bien. Oui, continue décarter les fesses. Taimes ça salope.
Il accélère encore la cadence. Je ne pensais pas que cétait possible. Et dans un cri animal il éjacule de longs jets de sperme chaud à lintérieur de mon cul. Enfin, il retire sa bite et une sensation de vide étrange envahit mon fessier complètement dilaté.
Je suis toujours écroulée sur son bureau, totalement épuisée. Je sens son sperme sortir de mes fesses et couler le long de mes jambes. Lui sest affalé dans son fauteuil, complètement épuisé également.
— Ça ta plu alors ?
Je ne réponds pas.
— Javais vraiment envie de te fouetter le cul pour te punir, mais tentendre me supplier et te voir me tailler une telle pipe ouah !!! Ça ma vraiment mis en appétit. Tellement que jai direct eu envie de ton cul. Jvais bien mamuser avec toi petite pute.
Et il me mit quelques tapes sur le cul, comme pour féliciter un bon cheval, faisant encore sécouler du sperme dans un bruit obscène.