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Ma mère aime l'argent…et le sexe… – Chapitre 4




Après sa dernière visite je n’entendais plus parler de ma mère pendant deux bonnes semaines. C’était tant mieux. Elle n’avait pas hésité à coucher avec moi pour quelques cadeaux. C’était complètement amoral. Certes coucher avec sa mère est plutôt quelque chose d’agréable. Mais même si j’y avais pris beaucoup de plaisir, ça restait de l’inceste, avec tout ce que ça comporte de complications et de remords.

Je pensais aussi à mon père que j’avais trahi. Ce qui arrivait n’était pas de sa faute. Il était injuste de lui faire payer notre perversité.

Bref, j’en venais à la conclusion qu’il fallait absolument sortir de cette spirale incestueuse dangereuse.

C’est là qu’un samedi, en fin d’après midi, on sonna à ma porte. A ma grande surprise c’était elle qui était là sur le pas de la porte, ma mère tout fringuante et pomponnée. Elle avait deux valises avec elle.

— Maman, qu’est ce que tu fais là ?

— Ca y est, j’ai quitté ton père. Je peux rentrer ? Je vais rester quelques temps chez toi, le temps de me retourner.

Ma mère allait squatter chez moi ? C’était la cata ! Ca n’allait pas m’aider ! En plus comme d’habitude j’étais stupéfait par son sans gêne, de venir s’installer chez moi sans rien me demander.

Elle posa ses affaires et s’installa dans le canapé. Elle portait une jupe très courte qui me laissa entrevoir sa culotte lorsqu’elle s’assit. Rien que cette image suffit à provoquer un afflux de sang vers ma queue.

— Tu sais quoi, Mathieu, je suis contente d’avoir pris cette décision. Ton père m’exaspère de plus en plus souvent ces derniers temps. Outre le fait qu’il n’a pas un sou, il ne m’attire plus. On y peut rien… Tu m’écoute Mathieu ? Tu n’as pas l’air d’être avec moi. Ca va ?

— Heu…oui maman.

Je mentais. Le petit carré blanc de sa culotte que j’avais aperçu avait détourné mon attention de ce qu’elle me racontait.

Ma mère marqua une pause, dubitative. Puis son visage s’illumina d’un grand sourire.

— C’est ça que tu regardes ?

Elle écarta ses jambes, m’offrant une superbe vision sur sa culotte.

— Oui c’est ça, bien sûr ! continua t-elle. Elle te plait ? Bien sûr qu’elle te plaît, on l’a achetée ensemble. Mais je peux aussi la retirer si tu veux.

Sans attendre une réponse de ma part, elle attrapa les élastiques de sa culotte et la fit glisser le long de ses jambes, dévoilant son trésor intime, sa chatte bien fendue. Je ravalais ma salive, essayant de cacher mon émotion. Son minou était splendide, bien épilé. Sa vulve était parfaite, appétissante à souhait, avec des lèvres d’une jolie couleur rosée, charnues, qui ne demandaient qu’à s’ouvrir pour laisser passer quiconque j’y pointerait.

— Tu la trouves jolie, ma chatte ? Toi au moins tu apprécies les belles choses, pas comme ton père.

Elle passa la main sur sa vulve, puis avec deux doigts écarta ses lèvres. D’un autre doigt elle commença à doucement caresser son clitoris.

— Je sais que tu aimes, quand je fais ça, mon chéri. Tu sais que c’est un privilège que je te réserve ? Je ne montre pas ça à n’importe qui, tu sais. C’est bien parce que c’est toi.

Elle introduit un doigt dans son vagin, trifouilla un moment à l’intérieur, puis revint titiller son clitoris à nouveau.

— Ca t’excite ? Sors ta queue si tu veux. Je t’ai montré ma minette, le faut que tu fasses pareil !

Je ne me fis pas prier. J’ouvrais mon pantalon et en sortit ma queue déjà dure. Ma mère sembla ravie de voir mon membre tout droit devant elle.

Elle continuait à se caresser et moi je commençais à m’astiquer le manche, pour son plus grand plaisir, renforçant encore mon excitation.

— Qu’elle est belle ta queue, mon chéri ! Viens me prendre !

— Tout de suite ? Tu viens d’arriver, maman. Tu veux pas un café, ou autre chose ?

— Non. C’est ta queue que je veux ! J’ai envie de la sentir. Dépêche toi !

Toutes mes bonnes résolutions furent alors oubliées. Mes remords vis à vis de mon père s’évanouirent, mon embarras de voir ma mère s’installer chez moi disparut. Je n’avais qu’une envie : la baiser, là, tout de suite. J’ai grimpé sur le canapé ans et j’ai écarté ses jambes. Je me positionnais à l’entrée de sa vulve et sans plus de préliminaires je poussait…Je pénétrais au paradis. Sentir mon sexe fondre en elle fut à nouveau quelque chose d’absolument délicieux. Je la baisais alors avec furie et passion. Rapidement la puissance de ma saillie eu pour effet de lui arracher des gémissements, hurlement de plaisir qui me ravirent.

Alors je la retournai, la forçai à se mettre à quatre pattes et je la pris par derrière avec la même fougue presque violente, regardant avec délectation mon membre aller et venir dans sa chatte trempée. Pour corser le tout, je l’attrapais par les cheveux, ou plutôt par sa crinière de pouliche en chaleur, devrais je dire, et je la tirais vers moi, la forçant à se cambrer à fond pour la bourrer de coups, dans un rythme encore plus endiablé. J’eu peur d’y être allé un peu fort : c’était ma mère quand même et elle était plus toute jeune. Mais non, tout allait bien, elle en redemandait.

Au bout d’un moment, transpirant d’excitation je me retirais pour me reposer quelques secondes. Mais ma mère, elle, n’avait pas l’intention, de se reposer :

— Mon cul, Mathieu, mets la moi dans le cul !

Elle écarta ses fesses, m’offrant la vision de son anus, par là où elle m’invitait à la prendre.

J’étais stupéfait. Jamais je ne me serait un jour imaginé, que ma mère si distante avec moi allait un jour me demander ça, de l’enculer !

Je mouillai un de mes doigts et avec précaution l’introduis dans l’anus de ma mère. Il rentra facilement. C’était stupéfiant de regarder mon doigt disparaître dans le cul de ma génitrice. Là encore c’était une expérience que je ne pensais pas avoir un jour. Je décidais alors de rentrer ma queue. Je positionnais mon gland devant son anus, et je poussais doucement. Ma queue était notablement plus grosse que mon doigt, mais une fois la barrière du sphynctère passé, elle pénétra son cul d’une façon étonnamment facile. Visiblement ma mère faisait son maximum pour bien se détendre. Elle prenait son pied. J’entamais alors des aller retour de plus en plus rapides, le cul de ma mère devenant de plus en plus large. J’étais excité comme un fou. Je la baisais comme ça dix bonnes minutes, dix minutes de plaisir intense.

— Maman, j’en peux plus, je vais jouir !

— Oui, jouis dans mon cul mon chéri, vas y !

Ravi d’avoir l’autorisation de ma mère. Je me lâchais alors dans son fondement. C’était la première fois que je jouissais dans le cul d’une fille. Et c’était celui de ma mère…

Elle avait du foutre partout, ça degoulinait partout. Mais elle semblait contente.

Elle se releva alors et m’embrassa tendrement. Pour une fois qu’elle faisait ça, je savourais mon plaisir.

— Je suis si heureuse de m’installer chez toi, dit elle en remettant sa culotte. Mais ne t’en fait pas, ça ne durera pas, juste le temps de trouver autre chose !

Quelque chose me disait que je ne pouvais pas la croire. Elle déballa ses affaires, fit de la place dans mes placards puis se rendit dans la cuisine pour nous préparer à manger. Mes craintes allaient avérer fondées : elle commençait à faire comme chez elle. Le soir je lui proposais de faire le lit dans la chambre d’ami. Elle refusa.

— Ne t’embête pas, mon chéri. Je vais dormir avec toi, on sera mieux ensemble.

Et voilà donc ma mère qui s’installe dans mon lit, à côté de moi. Dormir avec ma propre mère n’était pas quelque chose que j’avais prévu de faire, dans ma vie, surtout lorsque la maman en question est à poil et se comporte comme une vraie chienne en chaleur : au milieu de la nuit je l’ai sentie chercher mon sexe dans mon caleçon, et elle s’est mise à me sucer doucement. Elle adorait ma queue et s’en servait comme si c’était un objet conçu pour se détendre, comme si elle lui appartenait et que je n’avais plus mon mot à dire. Elle m’a sucé comme ça un moment, tranquillement, sans se presser, comme si elle dégustait un glace en terrasse en ville… Après ça, constatant que je bandais bien, elle s’est redressée, à enjambé ma queue et s’est empalée dessus, la faisant pénétrer jusqu’au fond de sa chatte.

On a baisé comme ça deux fois dans la nuit. Le matin elle s’est réveillée toute guillerette.

— On va se faire un bon petit déjeuner, mon chéri ! J’ai commandé des petits gâteaux chez Dujardin.

Il s’agissait d’une des pâtisseries les plus chères qui faisait la meilleure crème chantilly de tout Paris (payé avec ma carte bleue, bien sûr). Les gâteaux étaient en effet excellents et la crème chantilly succulente. Mais le plus délicieux fut lorsque ma mère, avec un petit sourire

malicieux, écarta les jambes et se mit à étaler une bonne dose de chantilly sur sa vulve, la faisant pénétrer jusque entre ses lèvres.

— Tu veux lécher ? me proposa-t-elle.

Je me fis alors un plaisir de tout lécher à fond. Puis, pour bien terminer le travail c’est ma bite que je rentrais.

— Je suis si bien avec toi mon chéri ! répétait sans arrêt ma mère. Tu me baises bien mieux que ton père ! J’ai envie de rester avec toi, que tu me mettes encore ta belle queue !

Bien sûr elle omettait de dire que si elle était venue chez moi c’était en grande partie pour bénéficier de l’aisance matérielle que je lui offrais, un niveau de vie élevé. Mais je n’étais absolument pas dupe…

C’est ainsi que ma mère s’est installée chez moi. Nous passions beaucoup de temps ensemble et avons commencé à fonctionner comme un vrai petit couple. La journée je travaillais et elle se promenait dans les magasins de luxe, dépensant allègrement tout mon fric. Ca ne me gênait pas : j’ adorais que ma mère soit avec moi. Le soir, lorsque je rentrais, elle semblait réellement heureuse de me voir. Elle me récompensait alors de ma générosité en me faisant toutes sortes de choses, me prodiguant des douceurs dont rêveraient bien des fils. Nous faisions l’amour une bonne partie de la nuit. Jamais je n’avais eu autant d’affection venant de ma mère et j’en profitais allègrement.

J’imaginais même que peut être qu’elle ne faisait pas tout ça pour l’argent et qu’elle m’aimait vraiment.

Et mon père, dans tout ça ? J’allais le voir de temps en temps. Il savait que me mère était chez moi, mais elle ne lui avait bien sûr pas tout avoué, nottament qu’elle et moi baisions comme des bêtes…

Il ne comprenait même pas pourquoi elle était partie. Lui l’aimait toujours… Bien sûr je ne pouvais bien sûr pas non plus tout lui expliquer…

— Elle a un amant ? me demandait il.

— Non…je crois pas.

— Bien sûr. Si elle avait eu un amant tu t’en serais aperçu.

— Oui, bien sûr…

J’étais honteux…

La situation allait cependant se dénouer assez vite. Un jour je vis ma mère arriver avec une mine décomposée. Elle allait m’annoncer une nouvelle qui allait changer le cours des choses…

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