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La galerie des Glaces – Chapitre 1




La Galerie de Glaces

Dans la rue où se trouve "Le Jazz Club", se trouve un sex-shop, que nous appelons" La galerie des Glaces".

Nous y passons parfois. Nous prenons des jetons à la caisse et nous descendons au sous-sol. Dans un couloir très étroit une dizaine de cabines vidéos, se suivent côte à côte. Les parois sont zébrées de traces blanchâtres. Il y fait très sombre, il flotte une odeur de stupre et de fornication, comme diraient certains. C’est une atmosphère glauque à souhait ! Un lieu privilégié, pour les homos, et quelques couples, dont le mari est bi, ou alors "partageur" comme moi, ils s’envoient en l’air, bruyamment sans s’intéresser à nous.

Nous montons à l’étage. S’ouvre un très large couloir dont tous les murs sont recouverts de glaces, du sol au plafond. La luminosité très faible nous laisse entrevoir les cabines, certaines à plusieurs places, quelques-unes sont occupées, mais entrouvertes comme par inadvertance. Deux cabines contiguës, relativement grandes, montrent une cloison mitoyenne, découpée en plein milieu, d’une ouverture de 40 par 40, à un moins d’un mètre du sol, très surdimensionnée, même pour un sexe de très grande taille !

Elle permet peut-être de passer un corps en entier. Ou alors une moitié du corps à l’intérieur et l’autre dans la deuxième cabine.

Avant de connaître Anne, j’avais vu à ce même endroit, un couple d’une cinquantaine d’années. La dame était très jolie, et vraiment sexy ! Son mari moustachu, cheveux blancs, plus vieux qu’elle, était assis sur une chaise. Ils étaient entourés d’une demi-douzaine de jeunes gens, certains vraiment très jeunes ! J’étais dans la cabine mitoyenne, au premier plan, de l’autre côté de l’ouverture, pour bien jouer le voyeur ou le futur officiant invité.

Le mari le membre à l’air, tenait sa femme par les hanches et la présentait à tous, les fesses en l’air. Les hommes avaient tous ouvert leurs pantalons et empoigné leurs queues devant cette femme. Le mari fit signe à un des hommes qui se branlait, une verge énorme émergeant de son jeans, déjà presque arrivé à un point de non-retour.

La femme ne le quittait pas des yeux, mais elle voyait aussi tous les mâles bandés autour d’elle, elle semblait vraiment émoustillée. Elle écarta ses jambes et descendit un peu son bassin, avec l’index et le majeur elle sépara les lèvres de sa chatte, l’homme, la queue à la main s’avança devant elle, descendit aussi son bassin, chercha l’ouverture du bout de son gland, puis "emmancha" brutalement cette femme, qu’il souleva presque en la pénétrant. Puis il fit des allers retours dans son vagin à toute vitesse. En quelques minutes il explosa. Trois ou quatre violents coups de bassin puis il resta soudé contre le ventre féminin, quelques secondes, les fesses bien serrées, le ventre très en avant, puis se recula, un peu de sperme suinta de la vulve quand elle expulsa son membre toujours bandé. Aucun des hommes présents n’avait de préservatifs. Je suppose que c’était aussi le choix du couple !

La femme se retourna alors vers son mari, elle le regarda, se passa langoureusement la langue sur les lèvres, pencha son torse à l’horizontale, sortit la tige congestionnée du mari et l’engloutit. Un des hommes présents, les yeux hors de la tête s’approcha, prit la femme aux hanches, pénétra vigoureusement son vagin, il copulait énergiquement, chaque coup de boutoir faisant rentrer le sexe du mari dans la belle bouche de sa femme, chaque retrait partiel faisait presque ressortir le gland. J’entendis le claquement du pubis masculin contre les fesses féminines. Il jouit et aussitôt un autre le remplaça, puis un autre, et encore, et encore. La pièce sentait de plus en plus l’odeur de sueurs et de spermes, mélangés.

Souvent cette très jolie femme, tournait la tête de mon côté, en me regardant dans les yeux, elle me communiquait le plaisir qu’elle ressentait, en se mordant parfois un peu les lèvres. Certains peut-être la sodomisaient. D’autres jouaient un peu plus longtemps avec cette femelle emmanchée sur leur sexe.

On entendit une bousculade dans le couloir. La salle s’emplit d’hommes. De mon côté aussi, j’eus du mal à conserver ma position, près du spectacle, aux premières loges. Quelques minutes, puis quelques-uns passaient de l’autre côté, pour participer. Plusieurs étaient très jeunes, à peine majeurs. Tous éjaculaient en quelques minutes, se libérant bruyamment en arrosant le dos, les épaules, ou le beau fessier qui s’offrait.

Certains, enfin satisfaits, se rhabillaient, d’autres se préparaient en attendant le signe du mari ! Une tache de sperme s’agrandit sur le sol, récoltant une partie des jolies offrandes faites au corps de cette femme. J’ai vu se succéder presque une vingtaine d’hommes, tous s’étaient soulagé de la pression impérieuse de leurs sexes. Certains l’avaient prise deux fois de suite.

Malgré le côté mécanique, de l’opération, la femme semblait ravie, d’avoir pu faire autant de plaisir à tous ces hommes jeunes, ainsi qu’à son mari, elle le caressait, maintenant tendrement, mais aussi, amoureusement. Elle semblait lui dire :

Voilà, j’ai bien vidé tous ces mâles pour toi, as-tu bien vu, comment ils n’ont pas pu résister plus de quelques minutes dans mon vagin ? Je suis encore pleine d’eux, de leurs jouissances, mais en réalité c’était ton sexe, à toi, que j’aspirais chaque fois !

Nous ne restions plus que tous les trois, la femme me regarda dans les yeux et susurra quelque chose à l’oreille de son mari, il me fit signe de les rejoindre. J’ai fait un geste de dénégation, mais je leur ai envoyé à tous les deux un baiser de la main.

Nous sommes quelques années plus tard, sur ces mêmes lieux avec Anne.

Je lui avais raconté cette histoire, et je lui ai demandé de me faire revivre cet épisode, non pas en "consommant", mais en essayant de me faire ressentir toutes les émotions qu’avait dû éprouver le mari.

Elle m’avait aussi, raconté quelques-unes de ses aventures. Elle me disait aimer être convoitée, et surtout donner un maximum de plaisir aux hommes. Rien ne l’émouvait autant, que commencer à ouvrir une braguette et découvrir le sexe bandé de son partenaire. Elle jouirait presque disait-elle, en sentant toutes les manifestations de désir des mâles autour d’elle. Cérébrale, mais aussi clitoridienne, elle ne peut concevoir une relation sexuelle sans orgasmes réciproques, et en ce qui nous concerne, souvent simultanés.

Elle est vêtue d’une jupe noire, d’un bustier blanc avec des bretelles lui dégageant les épaules. Elle porte des bottes de cuir, des bas Dim-up et une petite culotte brodée blanche. Partagé entre l’envie et la crainte, je ne voudrais pas que ma petite femme, soit le centre d’un gang bang. Juste avoir un aperçu de ces sensations si troubles, dans la peau d’un mari.

Nous entrons dans la pièce de droite. Elle est très propre, elle a été à peine remaniée. Il n’y a personne, nous poussons le verrou, pour rester seuls.

Il y a toujours cette ouverture entre les deux pièces, nous voyons à travers celle de gauche, dont la porte est entrouverte, mais elle est vide et sombre. Nous jetons un coup d’il à l’écran quelques films X défilent, Je soulève la jupe de ma dulcinée, et je commence à lui caresser les fesses en l’embrassant dans le cou, en lui titillant le bout des seins. Je remonte sa jupe et passe la main sous l’élastique de son slip, et je constate que sa vulve est tout humide je glisse mon index entre les grandes lèvres et lisse sa vulve mouillée. Elle doit sentir contre ses fesses gonfler mon désir.

Nous sommes un peu angoissés, si quelqu’un venait à côté ? Ou pire si personne ne venait ? C’est alors que nous entendons des pas.

Quelqu’un essaie d’ouvrir notre porte, puis on entre dans la pièce mitoyenne. C’est vraiment oppressant. L’ouverture se trouve très près de nous. Nous voyons deux jambes gainées de cuir noir, puis, à travers l’ouverture, un visage apparaît, très jeune, très brun, un peu frisé, il est vêtu tout de cuir. Il ressemble à Georges Chakiris dans West Side Story. Il a un look un peu exotique et une peau mate. Il est à genoux. Sous son blouson de cuir noir il arbore une chemise rouge, hasard ou intention, cinéphile peut-être ? Avec un grand sourire, il nous voit dans notre position coquine, et passe le bras, il vient poser la main sur les fesses d’Anne.

Sa position lui permet de voir les cuisses de ma petite femme par-dessous ! Il voit mes doigts qui la câlinent. Elle sourit, je suis derrière elle, en tournant de son côté, sur sa gauche, elle lui expose délibérément le renflement de son sexe, sous son slip brodé blanc. Il lui caresse les jambes en montant entre ses cuisses à la lisière des bas, à l’endroit où commence cette peau si douce, qui annonce l’entrée des plaisirs : le pli à la limite des cuisses et des fesses, de chaque côté de son mont-de-Vénus, l’endroit qu’elle bichonne souvent en le rasant un peu, parfois en forme de cur, mais le plus souvent en triangle.

C’est une vraie femme, elle sait que j’apprécie particulièrement ce mélange de sensations que procure le contact d’une peau si fine et si douce, et le velouté de son triangle.

Elle soupire, j’ai le sexe qui se dresse, incontrôlable, elle pousse ses hanches en arrière, et se frotte contre moi, en faisant des petits mouvements de rotation avec les fesses, pour accentuer encore ma bandaison, comme si c’était possible, et la sienne, c’est probable, et… celle du spectateur, c’est sûr ! Je vois qu’il est accroupi derrière la cloison, il lui montre sa langue pour lui dire qu’il a trop envie de la lécher, puis n’y tenant plus, il se glisse dans l’ouverture pratiquement sans interrompre sa caresse.

Nous sommes un peu surpris, mais il a un tel sourire ! Anne lui sourit aussi, un peu gênée. Il est à genoux devant elle, je la tiens par les hanches, derrière elle, en lui maintenant la jupe relevée. Il lui descend sa petite culotte brodée, sur les chevilles, l’ôte en lui faisant lever chacune de ses jambes à tour de rôle, ce qui a pour effet de dévoiler un peu plus les lèvres de son sexe, puis il met l’objet précieux dans sa poche. Elle a une attitude extrêmement impudique quand, de ses deux mains elle écarte les lèvres de sa chatte déjà toute luisante, à quelques centimètres de son nez. Elle descend son bassin en écartant les cuisses, pour qu’il puisse bien la humer et la déguster, il tourne sa langue autour de la petite fente, puis lui titille le bouton, en lui empaumant les fesses, elle donne de petits coups de ventre, d’arrière en avant, en s’appuyant sur sa langue, comme si elle était en train de copuler ! Hallucinant !

Nous entendons un brouhaha terrible à côté. La nouvelle s’est certainement répandue dans toute la boutique : « un couple, dont la femme est très jolie, est disponible dans la salle spécialisée ». Après avoir essayé d’ouvrir notre porte, Ils se précipitent vers notre salle mitoyenne, certains commencent à essayer de passer l’ouverture. Effrayés de tant de fougue, et par toutes ces bousculades, nous cessons toute activité, Hakim, c’est le nom de notre petit beur, il a vingt et un ans, paraît lui aussi complètement tétanisé. Nous nous dégageons et sortons rapidement au grand dépit des spectateurs.

Je savais qu’au bout de la galerie des Glaces, il y avait une petite pièce avec une banquette très étroite. Il fallait demander la clé au patron. Nous lui demandons et remontons pour continuer notre petite aventure sans risque, mais seuls. Nous entrons et refermons la porte à clé. Je soulève la robe d’Anne et me souviens qu’elle n’a plus sa culotte, partie dans la poche d’Hakim ! Nous entendons gratter à la porte, c’est lui, il est là, resté sur sa faim il nous a observés et suivis, il tient la culotte de ma petite femme à la main, il la sent en souriant, lui tend et nous demande de continuer à l’intérieur avec lui. Anne sourit, et accepte à condition qu’il n’y ait pas de pénétration. La jeunesse d’Hakim la gêne un peu, ses deux fils sont plus âgés que lui ! Mais son sourire et sa gentillesse, font tout passer.

Il est d’accord, nous nous isolons tous les trois. Nous voyons, à la bosse qui déforme sa braguette, qu’il a gardé les mêmes intentions et avec la même intensité.

Anne aime particulièrement ces instants qui précèdent les moments plus intimes. Il reprend où nous nous étions arrêtés, se met pratiquement à genoux pour sucer le sexe d’Anne, de nouveau, en la tenant par les fesses.

La pièce est très étroite ils sont vraiment très près l’un de l’autre. Elle lui tient la tête, les doigts crispés dans ses cheveux bruns, en donnant des petits coups de pubis sur ses lèvres. Il n’en peut plus ! Il se lève et quitte son pantalon de cuir. Il est porteur d’un sexe magnifique, arqué, il évoque vraiment la forme d’une banane, avec une très jolie cambrure. Il est d’une bonne longueur mais surtout d’une largeur plus importante que la moyenne. Il n’est pas circoncis, la verge est fièrement dressée, le sommet du gland, arrive presque au nombril, de grosses veines saillantes parcourent toute la verge, quand Hakim prend la tige à pleine main, et tire la peau vers le bas, son gland émerge conquérant, du prépuce. Le frein, tendu, fait apparaître l’engin dressé comme une offrande à ma petite femme, évoquant une forme de flèche, ou un énorme carreau d’arbalète, fier et noueux. Tout son sexe est très sombre comme bronzé, plus coloré que son porteur à la peau mate ! Hakim dégage ses testicules, sombres aussi, superbes eux aussi, l’ensemble mériterait d’être "croqué" comme modèle aux Beaux-arts, section érotisme priapique !

Elle le regarde, les yeux écarquillés, la bouche ouverte, elle halète, pose son index sur son clitoris et se branle plus fort. Lui, les yeux rivés sur sa vulve, commence à se masturber lentement.

Elle est à moitié assise sur un haut tabouret de bar, les cuisses largement ouvertes. Il a maintenant la "bite" à cinquante centimètres de la chatte. Il tend son bas-ventre en avant, rapprochant un peu plus d’elle, la grosse tige bandée, toujours en se masturbant. Ma petite femme, dévore cette queue… du regard, puis avec sa main libre elle enserre sa tige à pleine main, les ongles peints, ornant le cordon gonflé du canal le long de la hampe, comme cinq petites nacres rouges le décorant. Hakim se cabre sous la caresse et, lui, de la main gauche, va délicatement soupeser un sein, puis le dégager du bonnet, au ras de la dentelle du soutien-gorge, pour mieux le palper. Ma femme, excitée par cette caresse, accélère son mouvement. Hakim tremble de la tête aux pieds. Il lâche le sein et s’avance encore entre les deux cuisses écartées, Ils sont tous deux fascinés par le sexe de l’autre !

Longtemps il la hume, la lèche, la suce, la caresse très longuement, il essaie de retarder le moment décisif de l’intromission possible, suivie de la libération, de l’éjaculation irrépressible.

Puis, il reprend fermement son propre sexe en main, il est maintenant à dix centimètres de cette vulve luisante, qui suinte pour lui et semble l’appeler pour l’aspirer au fond d’elle. Au même moment, tous les deux se lâchent et concentrent leurs mains sur eux-mêmes. Ils se branlent les yeux grands ouverts en se regardant au tréfonds.

Tous deux accélèrent ou freinent leurs mouvements en calquant leur fréquence sur celle de l’autre. Ils gémissent et suffoquent à l’unisson comme s’ils copulaient. Ils s’arrêtent, puis reprennent pour faire durer ces instants. Retarder le plus longtemps possible l’explosion finale, mais en même temps jouir déjà, sourdement de cette retenue !

L’atmosphère devient de plus en plus dense, presque irrespirable. Je redeviendrai presque jaloux, balançant entre ces deux sentiments extrêmes : érotisme ou vulgarité. Là, j’ai senti que je commençais à perdre tout contrôle.

J’ai même souhaité qu’à un instant elle en ait trop envie, qu’elle craque, qu’elle lui demande de "l’emmancher", de la "tringler", de la "piner", qu’il envahisse son ventre et qu’elle se laisse "baiser". Lui au même moment, je l’ai vraiment deviné, a failli succomber à la tentation de la prendre, de la pénétrer et voir sa chatte l’absorber, bien sentir la souplesse des lèvres de sa vulve suintante, tout en imaginant déjà, autour de son sexe la toison de cette jolie femme si bandante, comme un chaud collier de fourrure autour de la base de son membre. Il aurait pu ressentir, sur les bourrelets de son gland pressé, les palpitations du vagin et de sa vulve de cette femelle, manifestant son orgasme, pendant qu’il éjaculerait longtemps, longtemps au fond d’elle. Je me suis même imaginé toutes les pulsations des deux sexes, s’étreignant, s’avalant, s’aspirant longtemps l’un et l’autre.

Ou sont-ce seulement des images que l’évocation de la situation me fait vivre ?

Parallèlement, haletante, elle ouvre la bouche en grand, comme pour avaler tous ces jets de sperme qui ne vont pas tarder à jaillir, elle crispe la main sur son clitoris en serrant les jambes, et donnant des petits coups de ventre. Elle ferme les yeux, pour ressentir toute la force de jouissance de ce garçon en elle, au plus profond.

Ma présence à certainement freiné les ardeurs des deux protagonistes, mais, dommage, Il a détourné sa verge sur le côté, s’est crispé et a joui très bruyamment, son sexe qu’il étranglait de sa main, s’est encore redressé libérant par saccades, une dizaine de jets blancs qui ont violemment jailli hors de lui, et se sont écrasés sur le bas du tabouret de cuir rouge.

Hommages explosifs à ma petite femelle si excitante !

Elle nous embrasse tendrement tous les deux.

Elle le câline de longues minutes, en silence.

Karim, consciencieusement essuie avec un Sopalin, les zébrures nacrées sur le cuir rouge.

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