Histoire de sexe fétiche Histoires de non consentement

Annie et Lucien – Chapitre 1




On retrouve Annie la jeune lycéenne (voir lhistoire : « LE MAUVAIS GARÇON »). Elle était victime de Luc un garçon rencontré au Lycée. Avec trois voyous il a abusé de la jeune fille avant de vouloir la vendre comme esclave sexuel. Par chance celle-ci a pu alerter son père qui est venu à son secours. Aidé par deux costauds, Lucien a facilement maîtrisé Luc seul avec Annie. Celle-ci a assisté à la sodomie du garçon, piètre vengeance, avant de suivre son père

PÈRE ET FILLE

Lucien referme la porte de son appartement. Annie est debout au milieu du petit salon, enveloppée dans la couverture qui remplace ses vêtements immettables après lagression dont elle a été victime. Elle se retourne les yeux remplis de larmes.

— Oh Papa ! Pourquoi ils ont fait ça ? Pourquoi ?

Il lentoure de ses bras. La jeune fille tremble comme une feuille morte.

— Là, là, mon trésor cest fini. Cest fini.

Il caresse les cheveux. Annie se pelotonne contre son père. La couverture glisse sur lépaule. Lucien nose pas glisser sa main pour toucher la peau nue. Ce nest pas la première fois que la jeune fille se déshabille devant lui. Il ne compte plus les jours au cours des deux années précédentes où elle la caressé, sucé même quand la chance lui souriait, mais jamais auparavant sa fille ne sétait abandonnée de la sorte. Il nose croire en sa chance. Le contre-coup de lagression, pense-t-il, sûr quelle va se reprendre et le rabrouer comme elle le fait toujours lorsquil tente une caresse précise.

Elle lève la figure. Il plonge le regard dans les yeux remplis de larmes. Il bécote à petits coups le front, les yeux. Il cueille sur la langue les larmes qui glissent sur la joue. Il sarrête tremblant car suite à un mouvement involontaire de la jeune fille, leurs lèvres se touchent. Au lieu de sécarter comme il le craint, Annie se presse contre lui comme si elle voulait entrer dans son corps. Sa bouche sentrouvre. Une petite langue vient au devant de la sienne. Il serre encore plus fort sa fille au risque de létouffer. Les mains dAnnie se battent avec sa chemise pour toucher la peau nue. La couverture glisse des épaules. Ils ne délient pas leurs lèvres. Leur premier baiser !

Lucien na plus peur maintenant. Le moment dont il rêve depuis deux ans est enfin arrivé ! Il la soulève sous les cuisses et lemporte dans la chambre et la dépose sur le lit. Annie noue les bras autour du cou paternel. Elle lattire et appuie sa bouche sur la sienne. Nouveau baiser. Il quitte les lèvres. Sa langue chatouille le cou descend sur les seins samuse avec les tétons qui se fripent dexcitation. En même temps il tente dôter sa chemise. Annie laide avec des mouvements fébriles. Il déboucle sa ceinture. Elle tire sur le pantalon et sort le sexe dressé. Il lembrasse à nouveau pendant que la verge cherche son chemin entre les cuisses. La jeune fille la guide. Il senfonce. Un étui velouté enveloppe le gland. Annie avance le ventre à la rencontre du pieu qui sintroduit.

— Aaah !

— Mmmh !

Un même soupir séchappe de leurs lèvres. En cet instant Annie oublie ses déboires récents. Cette queue, la queue de son père ne peut lui faire du mal. Quelle est douce en comparaison avec la brutalité de Luc et de ses complices ! Les lentes pénétrations la font trembler de désir et dimpatience. Elle va jouir, elle le sent, elle le devine de toutes les fibres de son être. Elle écarte les cuisses à se faire mal pour quil senfonce encore plus loin, plus profond, pour le recevoir en elle, lui, son père !

Lucien nose encore réaliser son bonheur. Sa fille, son Annie chérie accepte enfin quil lui prouve son amour. Il est heureux de la sentir vibrer sous lui. Il ne se presse pas. Il veut savourer les moindres secondes de ce moment précieux. Il est fier quand les talons dAnnie se nouent sur ses fesses, lemprisonnent pour lempêcher de partir. Il nen a nulle envie. Il varie les pénétrations, tantôt profondes, tantôt plus rapides. Il glisse la main entre leurs corps pour exciter du doigt le clitoris sensible de sa fille Aaaah ! Ce geste déclenche un orgasme Aaaah ! Encore une vague de plaisir une autre ça nen finit pas ! Aaaaah !

Lucien résiste. Il faut que la jouissance de sa fille soit parfaite, totale. Là seulement, il se laissera aller. Sa verge baigne dans un océan de cyprine. Jamais il navait ressenti une telle douceur, même avec Sylviane dans les moments de folie amoureuse au début de leur liaison. Encore une contraction du vagin dAnnie, une de plus. Londe de plaisir envahit son bas ventre, elle grimpe dans la tige, dans le gland

— Aaaaaah !

Le sperme jailli et remplit le vagin.

— Aaaaaah !

Un dernier spasme de plaisir secoue la jeune fille quand la verge se rétracte. Cest fini. Lucien que la tension, les efforts pour se contenir ont épuisé saffaisse. Il pèse de tout son poids sur Annie heureuse dêtre écrasée. Elle le serre contre elle. Des larmes de bonheur coulent sur sa joue. « Oh merci Papa ! pense-t-elle. Grâce à toi, je connais enfin la vraie jouissance, celle qui, comme disent mes copines fait grimper aux rideaux, merci, merci ! »

— Ma chérie, ma chérie !

Il embrasse la figure, le cou, les lobes doreille, la poitrine. Il nen revient pas davoir réussi à faire lamour avec Annie. Deux ans quil espère ce moment.

— Papa, sil te plait.

— Oui ma chérie ?

— Tu mécrases.

— Oh pardon ! sexcuse Lucien qui se lève dun bond. Tu ne men veux pas ? sinquiète-t-il.

Lui en vouloir ? Oh non ! Cétait merveilleux !

— Dis, je peux aller à la salle de bain prendre une douche ?

— Tout de suite.

Il ne sait que faire pour plaire à Annie. Pourvu quelle ne laccuse pas davoir profité de sa faiblesse. Il ouvre la porte de la douche, hésite puis se lance.

— Moi aussi jen ai besoin

La jeune fille sourit. Elle na rien à lui refuser, à lui qui lui a fait découvrir le plaisir. Elle entre dans la cabine, se retourne vers son père et lui tend la main.

— Tu me savonneras le dos.

Il referme la porte derrière lui.

La cabine est un peu juste pour deux. Ils se gênent dans leurs mouvements.

— Laisse-moi te nettoyer dabord, propose Lucien tu me rendras la pareille après.

Annie se tourne face aux robinets. Lucien imbibe une éponge de crème et la passe dans le dos. Il manque de glisser sur la céramique du bac.

— Tu permets que je me retienne ?

— Oui, je veux pas que tu te fasses mal.

Il pose la main sur un sein que sa paume enveloppe. Du dos léponge descend sur les fesses, glisse dans la raie. Annie se dandine et écarte les cuisses. Lucien frotte sur lanus. Annie a un mouvement de recul.

— Excuse-moi, je tai fait mal ?

— Non, mais cest encore douloureux.

— Mon pauvre chou, cest vrai que tu as subi dhorribles sévices. Et comme ça ? demande Lucien qui délaissant léponge, écarte du bout des doigts les lèvres intimes, as-tu encore mal ?

— No non.

— Et comme ça ?

Lucien caresse la raie de son sexe encore souple. Annie sagrippe aux robinets.

— Mmmh !

Il se colle dans le dos de sa fille et patouille la poitrine, les bouts des seins, le ventre, le pubis, le sexe dans lequel il introduit le doigt.

— Aah !

Sa queue raidit entre les fesses dAnnie.

— Aah !

Son index tourne autour du clitoris. La jeune fille se dégage en souriant.

— A mon tour de te nettoyer. Tourne-toi Passe-moi léponge.

Elle frotte le dos, les reins, les fesses. Lucien écarte les jambes à son tour. Annie sourit. Elle inspecte lentrejambe jusquaux testicules.

— Tourne-toi ! ordonne-t-elle dune voix rauque.

Elle empoigne la hampe quelle connaît bien pour lavoir maintes fois caressée. Elle lenveloppe de mousse de savon. Elle a envie de la sentir en elle, retrouver la sensation délicieuse de tout à lheure. Elle la présente entre les jambes et se suspend au cou de Lucien. Celui-ci comprend tout de suite ce que désire sa fille. Dune main, il soulève les fesses et de lautre il guide le gland en bonne place. Annie se laisse descendre sur la queue. Le tremblement précurseur à la jouissance commence dès le début de lintroduction. Un premier orgasme éclate lorsque les pubis se cognent. Létroitesse de la cabine qui ne facilite pas les opérations, les mouvements désordonnés des deux amants, la verge qui séchappe plusieurs fois du vagin, vite récupérée par Annie, les robinets qui meurtrissent le dos, rien ne peut les empêcher de jouir. Un deuxième orgasme éclate, puis un autre Encore ! Quel bonheur !

Lucien arrive en limite de ses forces. Il sécroule dans la cabine.

— Papa ! Papa ! Quest-ce que tas ?

Il souffle comme un phoque.

— Rien Rien ma fille, arrive-t-il à articuler. Aide-moi à me relever.

Ils sortent de la cabine, la fille soutenant le père. Elle lassied sur un tabouret, lui présente une serviette.

— Tu mas fait peur. Quest-ce que tas eu ?

— Simplement je nai plus ton âge. Tu ne men veux pas ?

— Mais non, mais non.

Elle sessuie à son tour.

Ils se servent à boire au salon. Annie accepte même un doigt de whisky qui la fait tousser.

— Dis, tas pas des affaires pour moi ? Les miennes ont disparu.

— Non. Je regrette.

— Comment on va faire ? Je peux pas me balader toute nue dans Paris !

— Tu aurais du succès !

— Papa je ten prie !

— Téléphone à ta sur quelle tapporte des vêtements.

— Ty penses pas ! Quest-ce quelle va dire ?

— As-tu une autre solution ?

Annie réfléchit. Non il ny en a pas dautre. Mais comment Sylviane va le prendre ? Elle sera furieuse, elle qui pendant plusieurs années a subit son père pour éviter quil sen prenne à la plus jeune des deux surs.

— Daccord, mais cest toi qui lappelle.

— Pourquoi moi ? Elle me raccrochera au nez.

— Sil te plait Papa.

— Bon jaccepte

Une demi-heure plus tard, Sylviane sonne à la porte. Annie sest enveloppée dans une robe de chambre de son père. Sans dire bonjour à son père rhabillé entre temps, la jeune femme lance un sac à sa sur.

— Tiens ! Tu sais, je naurais jamais cru ça de toi ! Te trouver nue chez lui ! Tu ne peux pas savoir la peine que tu me fais.

— Mais Sylviane, jai été enlevée et on ma volé mes habits.

— On en discutera à la maison ! Dépêche-toi !

— Sylviane, il serait plus prudent que tu fasses changer rapidement ta serrure, suggère son père. Les clés dAnnie se baladent dans Paris avec ses papiers.

— Toi, je tai rien demandé et je me fiche de tes conseils !

Annie la tête basse sisole dans la chambre. Pendant son absence, le père et la fille se regardent en chien de faïence. La jeune fille les rejoint. Sylviane lentraîne sans lui laisser le temps de dire au revoir à Lucien.

Les deux femmes néchangent pas un mot sur le chemin du retour. Annie a honte de ce qui sest passé chez son père mais narrive pas à le regretter. Cétait trop bon ! Sylviane est en colère. Son sacrifice, tout ce quelle a enduré en supportant Lucien, ces années de dégoût qui ont failli lui coûter lenvie daimer, pour épargner à sa sur le même sort, tout cela na servi à rien !

— Ça fait longtemps que tu le vois ?

Annie na pas la force de mentir malgré la peine quelle sait infliger à sa sur.

— Oui.

Laînée soupire. Elles sont maudites dans cette famille de ne pas savoir résister à leur père !

— Où sont tes affaires ?

— Mais je te lai dit, on me les a volées !

— Tu ne vas pas me raconter quon te dépouille ainsi dans la rue !

— Jétais chez un copain euh, je croyais que cétait un copain.

— Tes pas allée chez Martine ?

— Non, on est fâchée.

— Alors tu es allée chez ce soi-disant copain, sans men parler.

Annie éclate en sanglots.

— Ils snif Ils étaient quatre snif Ils mont dés snif déshabillée puis Ils mont snif Vio snif violée

Les pleurs lempêchent de continuer. Sylviane est émue par la détresse de sa sur. Elle la câline, la cajole.

— Cest Papa qui ta tirée de ce mauvais pas ?

— Oui, jai pu lappeler, il est venu à mon secours.

— Pourquoi tas pas repris tes affaires ?

— Une fille est venue. Elle a mis mes vêtements et a tout emporté, mes papiers, ma clé

— Oh ! Tu fais bien de me le rappeler, ton père avait raison pour une fois. Je dois téléphoner à un serrurier pour changer les verrous. Et puis il faut passer au commissariat signaler le vol de ta carte didentité, et en même temps tu porteras plainte pour viol.

— Cest inutile.

— Pourquoi ? Tu ne veux pas quils soient punis ? Pense aux autres filles qui pourraient être dans ton cas.

— Ça narrivera plus, les copains de Papa sen chargent.

Annie sourit. Elle revoit Luc aux prises avec les deux costauds. Cest ce qui attend les trois compères.

— Tu viens ? On y va tout de suite.

— Sil te plaît, pas ce soir, je suis fatiguée.

Sylviane obtient un rendez-vous dans la matinée avec un artisan.

— Je prendrai une demi-journée de congé et toi tu manqueras exceptionnellement les cours du matin Quest-ce que tas ? sinquiète-t-elle en voyant Annie se décomposer.

— Mes cahiers, mes livres ! Comment je vais faire ?

— Tas quà demander à Martine de te prêter les siens.

— On sest fâchée.

Sylviane sourit, des bouderies entre adolescentes cela ne va jamais très loin.

— Cest si grave que ça ?

Annie réfléchit. Elles se sont disputées au sujet de Luc. Martine avait raison de se méfier du garçon. Peut-être tout nest pas perdu. Elle se pelotonne contre Sylviane. Sa tête appuie sur un sein. Cest doux. Un soupir. Est-ce que sa sur acceptera maintenant les caresses ? Ce serait trop bête ! Annie a autant besoin delle que de son père. Timidement elle avance la main sur une rondeur du corsage. Sylviane frémit. Elle na pas le courage de se soustraire. Elle devrait pour punir sa sur mais pourquoi se punir en même temps ? Annie lève la figure. Elle lèche à petits coups de langue le cou, soulève la bouche pour attraper le lobe de loreille entre ses lèvres. Sylviane craque et mord les lèvres offertes.

— Tu es un démon !

— Tu veux pas prendre un bain ? Je Jen ai besoin après ce qui mest arrivée.

— Tu ne tes pas douchée chez ton père ?

— Si mais Cest pas pareil

Annie tremble. Malgré le viol, malgré les étreintes chez Lucien, son corps nest pas rassasié de caresses.

— Sil te plaît, mendie-t-elle.

Sa sur est aussi impatiente quelle.

— Viens !

Elles courent senfermer dans la salle de bain. Les habits volent. Elles se retrouvent allongées dans la baignoire, bouche contre bouche, mains sur les seins et entre les cuisses. Annie est si sensible quelle bondit presque quand un ongle gratte le clitoris.

— Aaah !

Sylviane sactive, fière de faire jouir sa sur comme si cétait une revanche sur Lucien.

— Aaaah !

Un frisson parcourt la plus jeune qui raidit dans la baignoire. Elle se reprend vite et se jette sur Sylviane.

— A ton tour

(A suivre)

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