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Au rythme régulier de notre monture – Chapitre 3




Que c’est beau, le sexe d’une femme !

Du moins je trouvais magnifique celui que pour la première fois j’avais sous les yeux. Bien sûr, je n’avais aucun moyen de comparaison, n’ayant vu nues que des femmes sur des photos où, bien souvent, les organes génitaux étaient à moitié cachés.

Sa douce toison, toute bouclée, était aussi blonde que ses cheveux. Elle dessinait un parfait triangle dont l’extrémité inférieure venait se perdre entre le haut de ses cuisses. On devinait dessous sa belle fente, bien nette, aux bords un peu gonflés. Sur les poils qui étaient au bord de cette fente, ainsi que sur ceux qui venaient se dissimuler à son entrejambe, je pouvais voir de petites gouttes qui perlaient. Si, pour le moment, je ne caressais cette magnifique petite chatte qu’uniquement avec mes yeux, je sentais mes lèvres fortement attirées, mes mains qui commençaient à me démanger…

— C’est la première fois que tu vois une femme ainsi, toute nue ?

— Oui ! En vrai, c’est la première fois !

— Et…

— Eh bien… je trouve que cela est… magnifique ! Enfin… c’est toi ! C’est toi qui es magnifique, Marie Hélène !

Oui, elle était belle, bien belle… et tout mon être le criait, de mes yeux qui ne pouvaient arrêter de contempler le merveilleux spectacle de cette jeune femme nue, offerte à mes désirs, à mon sexe que je sentais de nouveau dur et bien tendu.

Il n’était plus cette fois emprisonné dans mes vêtements et mon gland qui avait je crois doublé de volume n’attendait que les douces caresses de mon aimée.

Enfin ma main se posa sur son mont de Vénus. Mes doigts commençaient à caresser, à s’emmêler dans les poils de sa toison.

Comme elle était douce sous ma main !

Je la sentis frémir quand la paume de ma main survola sa fente, et puis je remontais jusqu’à ses petites lèvres, découvris son clitoris que je caressais doucement avec amour. Tout rouge, arrondi, il semblait venir au-devant de mes caresses. Mon majeur vint su sa fente, la parcourut de bas en haut. Sous la pression de mon doigt je sentais ses lèvres qui s’écartaient légèrement, je sentais son humidité, je sentais déjà la chaleur de son vagin.

La première phalange fut vite engloutie par ce sexe offert. Ses cuisses s’écartèrent un peu pour que je puise mieux la caresser intimement, une de ses mains farfouillait dans mes cheveux tandis que l’autre avec douceur caressait mon sexe. Petit à petit, mon doigt prenait possession de son sexe, de son vagin que je sentais sous mes doigts devenir de plus en plus humide. Elle geignait doucement, les paupières à demi closes tandis que sa main qui avait cessé de me caresser était cependant restée autour de mon sexe.

Mon majeur courait le long des parois de son vagin, tout en s’enfonçant de plus en plus au creux de son intimité. Elle était toute chaude, elle mouillait beaucoup, et mon doigt en sa fleur, empli de sa cyprine laissait entendre de petits clapotis tandis qu’elle s’offrait de plus en plus profondément.

Je restais ainsi un long moment à la caresser avec mes doigts, et puis j’eus soudain envie de goûter à cette liqueur qui sourdait du plus profond d’elle. Ma bouche fut vite sur elle et ma langue remplaça mon doigt. Je me désaltérais à la source de son plaisir et sa main de plus en plus serrée sur mon sexe, les doigts de son autre main qui s’accrochaient à mes cheveux, me faisaient comprendre qu’elle éprouvait un plaisir intense sous mes caresses.

Elle lâcha bientôt mon sexe et, entre deux gémissements je pus entendre

— Viens, maintenant… j’ai envie de toi Yann… j’ai envie de te sentir en moi.

Je donnais un dernier baiser à ce sexe brûlant, et mon torse vint se placer au-dessus de sien. Mes lèvres cherchèrent ses lèvres tandis que nos sexes se rapprochaient. Bientôt je sentis sous mon gland sa petite fente ouverte, dégoulinante de plaisir. Je la caressais un moment en faisant aller mon sexe sur elle, avant de me sentir comme happé par les profondeurs de son être. Lentement, doucement, je m’insinuais en elle, profitant pleinement de ce plaisir nouveau qu’était la douce sensation de mon gland glissant entre les parois de son vagin.

Bientôt je fus au fond d’elle et, prenant fermement ses fesses entre mes mains j’appuyais bien dessus comme pour la pénétrer encore davantage. Je soupirais d’aise, j’étais bien.  

Nos yeux ne se quittaient plus, sauf quand mes lèvres venaient clore ses paupières en de longs et passionnés baisers. J’étais ancré au fin fond de son intimité, nos langues virevoltaient dans sa bouche et mes doigts jouaient avec ses tétons bien dressés.

Au bout d’un moment je commençais, lentement, à aller et venir en elle. Au fur et à mesure que mes mouvements gagnaient en intensité, ses gémissements s’intensifiaient à mon oreille et, cela m’excitant de plus en plus, mes mouvements étaient eux aussi de plus en plus rapides et puissants. Et je pouvais l’entendre parler de son plaisir, je l’entendais m’encourager, je l’entendais me demander de la prendre, encore et encore…

— Ouiiii… oui. tu es au fond de moi… c’est bon… oui… j’aime, j’aime, j’aime… aaahhhhh

Elle ne se contrôlait plus, se tordait sous moi, me disait qu’elle jouissait, beaucoup…

Je me sentais venir, mais je ne voulais pas jouir en elle, car je savais qu’elle ne prenait pas encore la pilule….

Quand ses cris et ses convulsions me firent sentir qu’elle jouissait vraiment, je me séparais d’elle. Il était grand temps… de longs jets de sperme giclèrent entre ses seins. Je voulus les essuyer à l’aide du drap, mais elle me retint.

— Non, laisse… j’aime sentir ton sperme qui coule ainsi sur moi.

Je m’allongeais près d’elle, caressais son visage, me noyais dans l’océan bleu de ses yeux.

— Marie Hélène… merci… merci… c’était bon, trop bon ! Tu sais, je suis heureux d’avoir fait pour la première fois l’amour avec toi ! Je suis heureux que cela se soit passé ainsi, en douceur, tout en tendresse… mais… je ne t’ai pas paru trop gauche ?

Elle plongea à son tour ses yeux dans les miens.

— Non… non Yann ! C’était parfait, j’ai vraiment beaucoup, beaucoup joui, j’ai beaucoup apprécié. Et tout comme toi je suis heureuse que cela se passe si merveilleusement bien entre nous deux.

Je pris sa main dans la mienne, me soulevais un peu pour me pencher au-dessus d’elle, reprendre ses yeux, reprendre sa bouche. Nous nous caressions toujours, nous nous disions des mots d’amour…

Au bout d’un moment je sentis que de nouveau mon sexe commençait à tressaillir, et j’attirais sa main vers lui, désirant que de nouveau elle me caresse car j’éprouvais de nouveau l’envie de lui faire l’Amour. Elle me caresa un peu, et puis…

Cette fois c’est elle qui se souleva sur un coude et se pencha sur moi. Bientôt je sentis sur mon gland la fraicheur de ses lèvres. Si j’avais déjà entendu parler de fellation, je ne pensais pas qu’entre nous cela viendrait aussi rapidement.

Ce que c’était bon ! Mon sexe ne put s’empêcher de tressaillir sous sa caresse.

— Oh… tu as l’air d’aimer !

— Oh oui… oui… c’est tellement… intime, ce que tu fais là ! Intime… et si merveilleux comme sensation.

— Tu sais… c’est la première fois que je le fais… je ne sais pas… si je m’y prends bien !

Je sentais ses douces lèvres qui descendaient le long de la hampe, je sentais sa langue qui venait caresser mon gland, un gland qui venait buter contre son palais, contre l’intérieur de ses joues.

— Oh si… si ! Tu dois bien t’y prendre… tu me procures tant de merveilleuses sensations !

Je sentais qu’elle accélérait un peu la cadence, je voyais ses joues qui se creusaient pour mieux m’aspirer… et je sentis mon sexe prêt à éclater de nouveau…

— Marie Hélène… Marie Hélène… attention… attention… je crois… je crois que… je vais jouir…

Elle lâcha mon sexe avant que ne sorte le premier jet, mais elle resta face à moi, le recevant sur les lèvres. Le goût ne du pas lui déplaire, car c’est dans sa bouche que je lâchais le dernier jet de sperme, qu’elle avala après l’avoir fait un peu rouler sur sa langue. Et elle vint ensuite nettoyer entièrement mon gland.

— Oh Marie Hélène, Marie Hélène… tout ce que je découvre avec toi ! C’est merveilleux, c’est fabuleux ! Mais, moi aussi… j’aimerais encore une fois te faire jouir à mon tour.

Et de nouveau ma bouche reprit possession de son sexe pour l’emmener encore au bout de son plaisir.

Quand mon sexe un peu plus tard commença de se réveiller nous refîmes encore une fois l’Amour, cette nuit-là, avant au petit matin de nous endormir main dans la main, ivres de plaisir.

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