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CHARLINE (ou comment je suis devenue la chienne de mon beau-père) – Chapitre 5




Chapitre 6 : Gorge profonde

Julien sest étonné de me voir épilée, je lui ai dit que je me rasais pour une question dhygiène. Il na pas insisté. Je mettais le corset à chaque fois quil quittait la maison. Au début, comme il me serrait, cela me gênait sans pour autant me faire mal, mais jai fini par my habituer. Le fait quil faisait ressortir ma poitrine et mes fesses me rendait indécente et mexcitait au point quil marrivait de mouiller sans que je me touche. Je mettais aussi les bas de soie, attachés avec des jarretelles. Jaimais les porter car ils étaient très doux, rien à voir avec des bas en nylon. Bien sur, je portais également les escarpins et je me coiffais en palmier, même si cela me gênait, car javais encore un souvenir cuisant de la punition que Monsieur mavait administrée. Je ne lavais pas vu depuis une semaine et il me manquait. Julien sest inquiété de me voir triste et je lui ai répondu que javais mal à la tête. Je me masturbais fréquemment en pensant à mon amant mais le plaisir que jen ressentais faisait pâle figure à côté des orgasmes quil mavait procurés. Même les pénétrations de mon petit mari ne me donnaient pas ce dont javais besoins. Sans men rendre compte, jétais devenue accro à la bite de mon nouveau maître. Le fait que je le soupçonnais daller voir dautres femmes me rendait jalouse. Jétais certaine quil baisait cette lesbienne de Louise et probablement dautres salopes dans le même genre. Je réfléchissais à un moyen de le garder pour moi toute seule, et à force de gamberger, je me suis résolue de lui demander de faire de moi son esclave, à condition quil ne me laisse plus seule aussi longtemps. Jétais décidée à me mettre accroupie les cuisses bien écartées pour lui faire ma demande dès quil franchirait le seuil de lappartement.

Quand jai entendu le bruit de la serrure de lappartement, jétais dans le salon, heureusement en tenue complète de petite chienne. Mon cur sest emballé et je me suis mise immédiatement en position dattente, mains sur la nuque et jambes écartées de 50 centimètres. Quand il est entré dans la pièce, mes jambes sont devenues cotonneuses et jai senti mes tétons durcir et pointer. Mon clitoris a fait pareil et est sorti de sa cachette. Monsieur a souri en me voyant. Il sest approché de moi lentement et a demandé : « Je tai manqué petite cochonne ?! ». Je me suis immédiatement mise accroupie, les cuisses bien écartées de chaque côté de ses jambes, et jai répondu : « Oui Monsieur, vous mavez terriblement manqué. Faites de moi votre pute, votre esclave ou ce que vous voudrez, mais je vous en supplie, ne me laissez plus jamais seule aussi longtemps ». Il a ri et a dit: « Décidément, tu nas rien compris, le manque fait partie de ton dressage, de manière à bien imprimer dans ta petite tête de linotte que cest quand je veux et comme je veux ! Mais je te pardonne, déshabilles moi et vas me chercher une bière ! ». Jai obéi immédiatement mais je nosais pas aller trop vite de peur de le fâcher et jai posé ses habits sur le dossier du canapé.

Une fois quil a été nu et en chaussettes, je suis allée à la cuisine lui chercher sa bière. Quand je suis revenue, il était assis, toujours dans le même fauteuil. Je lui ai donné le verre à pied dans lequel javais versé le contenu dune canette, et je me suis remise en position dattente, face à lui. Il a siroté sa bière sans se presser tandis que jattendais, essayant de ne pas montrer mon impatience. Mon clitoris et mes tétons étaient toujours érigés. Quand il a eu fini de boire, il a posé le verre sur la table basse et sest levé. Il ma dit : « Mets toi accroupie jambes écartées, jai envie que tu me suces ! ». Je me suis mise sans attendre dans la position demandée, et jai commencé à lui faire une fellation en reproduisant les gestes quil mavait appris la première fois. « Hum, cest bon, tu tes bien souvenue de ta leçon mais jattends plus de toi ». Je nai pas répondu, me demandant ce quil voulait dire.

Il ma posée une main sur la nuque et de lautre ma attrapé la mâchoire et la tirée vers le bas, pour mouvrir en grand la bouche. Il a ensuite appuyé sur larrière de mon cou pour me faire basculer la tête en avant. Il sest ensuite positionné de manière à ce que son gland soit posé entre mes lèvres, son buste légèrement penché en avant. Il ma dit : « Regardes moi ». Jai obéi, à la fois inquiète et excitée car je navais aucune idée de ce qui allait se passer. Quand il sest mis droit, sa queue a suivi le mouvement et a pénétré dans ma bouche jusquà toucher ma glotte, ça a eu pour effet de me faire saliver sur sa bite. Il a recommencé lopération trois fois, je bavais de plus en plus. A la quatrième pénétration, il a poursuivi sa poussée et son gland sest introduit dans mon sophage. Jai refoulé avec peine ma nausée face à cette intrusion. Il a continué à enfoncer son sexe, millimètre après millimètre, et ne sest arrêté que quand ses testicules sont venus toucher ma lèvre inférieure. Javais une furieuse envie de vomir et mes yeux se sont mis à pleurer. Il est resté comme ça un moment et jai commencé à paniquer, car sa bite comprimait ma trachée-artère et je ne pouvais plus respirer. Il a commencé à reculer son bassin et sa queue sest retirée doucement de ma gorge. Lorsquelle a été entièrement sortie, jai repris mon souffle et de la salive a pénétré dans ma trachée. Je me suis mise à tousser, la tête toujours maintenue solidement par ses deux mains. Cest seulement après que jai pensé à déglutir. Il ma laissé le temps de me reprendre et a dit « Le plus dur est fait, tu as réussi à avaler sans vomir et tu vas ty habituer peu à peu. Il faut juste que tu penses à avaler ta salive avant de respirer ». Il a recommencé à me pénétrer toujours aussi lentement, cette fois sa bite sest introduite dans ma gorge plus facilement, et ma nausée a été moins violente. Une fois arrivé au fond, il sest reculé sans attendre, et quand son gland sest retrouvé dans ma bouche, il la replongé aussitôt dans mon conduit au même rythme. Mes larmes coulaient toujours mais je ne lai pas quitté des yeux une seconde. Il a fait quatre vas-et-viens avant de se retirer complètement. Jai aussitôt avalé ma salive avant dinspirer une grande goulée dair. Il ma laissé respirer et a recommencé lopération jusquà ce quil éjacule directement dans ma gorge. Il sest retiré et ma dit : « Tu sais ce que tu dois faire ?! ». « Oui Monsieur ». Je lui ai nettoyée la bite en la léchant et en la suçant.

Il est retourné dans le fauteuil et ma demandé : « Tu nas rien à manger ? Jai faim ! » « Euh Vous voulez manger quoi Monsieur ? » « Tu as du pâté ou du jambon ? » « Oui Monsieur » « Alors fais moi un sandwich ». Je me suis relevée, jai ramassé le verre vide et suis allée dans la cuisine. Alors que je coupais le pain, je lai entendu dire : « Mets des cornichons, tu dois en avoir puisque mon fils adore ses congénères ! Et amènes moi une autre bière !». Je lui ai fait un sandwich avec du jambon de Parme, du beurre et des homologues de mon petit mari. Jai versé une autre bière dans le verre, et je suis retournée au salon pour apporter de quoi se restaurer à Monsieur.

Après lui avoir donné le sandwich et la bière, je me suis remise en position dattente. Il a commencé à manger et après avoir avalé 2 bouchées il ma demandé : « Tu sais comment sappelle cette façon de sucer ? » « Non Monsieur » « Sa sappelle une gorge profonde. Maintenant que la voie est ouverte, quand tu me feras une fellation, tu devras mavaler la queue à chaque fois, en plus des autres techniques que tu as apprises la dernière fois, bien entendu. Cest compris ? » « Oui Monsieur » « Bien, je suis content de toi. Pour te le montrer, je vais te faire une faveur. Louise ma dit que tu avais aimé quelle te mange la chatte, je vais donc tautoriser à lui rendre visite. Cependant, il y a une condition : Quand elle te contactera pour te demander daller la voir, tu devras menvoyer un sms pour obtenir mon autorisation. Si tu nas pas mon approbation, tu ne pourras pas y aller. Et si tu las, tu te rendras où elle te dira et dans la tenue quelle te demandera de mettre. Tu devras être docile avec elle et lui obéir. Louise a des consignes pour tappeler seulement quand Julien sera absent. Je lui ai déjà donné ton numéro et on va échanger les nôtres. Bien entendu, tu nauras pas le droit de mappeler. A moins que tu aies envie de recevoir une sévère correction. Tu as tout compris ? » « Oui Monsieur ».

Il a terminé son sandwich en buvant sa bière, pendant que jattendais toujours en position dattente. Il me regardait entre 2 bouchées et le fait dêtre ainsi exposée à ses yeux ma excitée. Mes tétons et mon clitoris ont recommencé à pointer et ma vulve était humide de désir. En voyant mon bouton de rose au garde-à-vous, il a dit : « Je suis un gros égoïste, jai pris mon plaisir mais tu nas pas eu le tien. Il va falloir réparer ça ». Il sest levé, à écarté les jambes et ma dit : « Mets-toi accroupie, perpendiculaire à moi et ta moule contre ma cuisse ». Jai obéi, un peu étonnée. Mon clitoris en érection est venu directement en contact avec sa cuisse musclée et velue. « Bien, maintenant, tu passes tes bras autour de ma taille, tu poses ta joue contre ma hanche, en regardant dans la même direction que moi, et tu te masturbes contre ma cuisse ». Jai rougis et jai commencé à frotter ma vulve et mon bouton damour contre sa jambe. Létrangeté de la situation mexcitait, je mouillais de plus en plus et Jai commencé à gémir. Il a commencé à me caresser la joue et a demandé : « Tu aime ça te frotter à moi comme une petite chienne en chaleur ? » « Hum, oui Monsieur » « Dis le que tu es ma petite chienne » « Je suis votre petite chienne Monsieur ». Le plaisir est devenu de plus en plus intense et les poils de sa cuisse sont devenus poisseux. Je me suis masturbée jusquà lorgasme en gémissant, pendant quil me caressait les cheveux. Après que jai joui il ma dit : « Mets toi à quatre pattes et nettoies ma cuisse ! ». Jai obéi et jai léché sa jambe qui était pleine de mouille. De temps en temps, un poil restait collé à ma langue et je lenlevais rapidement, en équilibre sur un seul bras. Quand jai eu fini, je me suis remise en position dattente. Il sest rhabillé, a posé sa carte de visite sur la table basse et est parti sans un mot.

Bien sur javais eu un orgasme mais pas aussi intense que les fois précédentes et je me sentais frustrée. De plus, jétais en colère après moi-même, mais aussi après Monsieur, car je navais pas obtenu quil vienne me voir plus souvent. Je me suis dit quil fallait que je fasse quelque chose à ce sujet. Je me suis mise à réfléchir et je nai pas tardé à trouver la solution. Sil tenait un peu à moi il fallait quil me le prouve

A suivre

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