-3- Les cousines

Aujourdhui Marine est indisposée. Elle informe son grand-père quil ne pourra pas la caresser comme dhabitude mais que cela ne lempêchera pas de soccuper de lui.

— Laisse-toi faire Papy. Rappelle-toi, quand tes côtes fêlées te faisaient mal et que tu ne pouvais pas bouger nai-je pas su te satisfaire ?

Elle entreprend une douce fellation

Camille est de mauvaise humeur. Son père la forcé à aller chez son grand-père. Ce nest pas quelle ne laime pas mais elle avait projeté de passer laprès-midi en compagnie de ses copines à discuter des garçons de sa classe. Vivement quelle soit majeure, elle pourra faire ce quil lui plait !

Devant la porte de la maison elle essaie douvrir la porte. Elle cède. Au lieu de sonner, elle entre sans se faire annoncer pour lui faire la surprise. Dans le salon elle découvre Jean assis sur son fauteuil, les yeux fermés, un sourire béat aux lèvres et Marine sa grande cousine, à genoux entre ses jambes qui le Comment disent les garçons déjà Oui, elle lui fait un pompier ! Pour une surprise cest une surprise ! Elle voit tout de suite le bénéfice quelle peut tirer : profiter de leur expérience pour sinitier aux joies du sexe, ils ne pourront pas refuser.

— Quest-ce que vous faites ?

Jean regarde doù vient la voix. Camille sencadre dans la porte du salon. Cest la benjamine des ses petites filles, la cadette de son deuxième fils Christophe. Avec sa sur Manon, Marine et leur cousine Laura, elles forment la cohorte de ses petits enfants. Il repousse Marine et se réajuste précipitamment.

— Que Que fais-tu là ? demande-t-il.

— Nes-tu pas content de me voir ?

— Euh Si, si ma chérie, mais je croyais que tu passais les vacances de la Toussaint chez tes autres grands parents.

— Nous sommes arrivés hier. Je venais te dire bonjour. Jai frappé mais personne na répondu (« Cest faux mais ils nont pas besoin de savoir ! ») Alors comme la porte nétait pas fermée à clé je suis entrée. Dis Marine, quest-ce que tu faisais à genoux devant Papy ?

— Je Euh Jarrangeais ses chaussures.

— Ne me prends pas pour une conne ! Jai bien vu que tu tamusais avec son sexe et quil ne faisait rien pour ten empêcher. Si tu avais vu sa figure !

Jean essaie de retrouver un peu de dignité.

— Et alors ? Marine est majeure. Ce que nous faisons ne regarde personne !

— Ce serait le cas si Marine nétait pas ta petite fille. Ça sappelle de linceste. On nous en a fait une leçon spéciale lors dun cours déducation sexuelle !

— Euh

— Mais je suis bonne fille, faites-moi participer à vos jeux et je ne dirai rien.

— Mais

Marine linterrompt.

— Ainsi, même sachant que cest répréhensible tu veux venir avec nous ?

— Une occasion comme celle-ci ne se gâche pas ! Jen ai marre quon me considère comme une petite fille !

— Peux-tu nous laisser seuls ? Je vais voir avec Papy ce quon peut faire pour toi.

Camille les ayant quittés, Jean fait part de son mécontentement :

— On ne va pas céder à son chantage quand même !

— Ah oui ? Et quest-ce que tu suggères ?

— Euh Laisse-moi le temps dy réfléchir.

— Cela te servira à quoi ? Elle nous tient bien la gamine ! Le mieux que nous ayons à faire cest de chercher comment elle peut se joindre à nous en toute discrétion.

— Quand même !

— Si tu étais franc avec toi-même, tu conviendrais que cela ne te déplait pas.

Marine a vu juste, la perspective de se faire caresser par Camille est alléchante ! Jean tente néanmoins un combat darrière-garde.

— Euh Elle est trop jeune, à peine quinze ans ! Ne peut-on pas la faire patienter quelques temps ?

— La faire patienter ? Tu as le mot pour rire. Tu imagines quelle va poireauter gentiment ?

— Euh Tu as raison, cest irréaliste. Quest-ce que tu proposes ?

— Ça ne te déplairait pas quelle vienne hein, gros vicieux !

— Je te signale que tu risques autant que moi dans cette affaire.

— Je te taquine, moi aussi sa présence mintéresse, jai hâte de la voir jouer à des jeux dadulte. Je pensais à une chose. Tu sais que Camille est en troisième au collège. Elle mavoué dernièrement que cela ne marchait pas fort. Que dirais-tu de prétexter lui donner des leçons de soutien pour quelle vienne sans que cela fasse jaser ?

— Il est vrai que son père ne sy opposera sûrement pas. Mais linconvénient cest que les leçons doivent être réelles et leur efficacité visible. Camille sera-t-elle daccord ?

— La partie Euh Récréative serait la récompense du travail fourni, par exemple.

— Qui te dit que mon fils acceptera ?

— Ah je vois que ça tintéresse ! Laisse-moi faire.

Hypocritement il permet à Marine de tout organiser.

Deux jours après la jeune fille se présente chez son oncle. Lorsquelle sen va le père de Camille convoque celle-ci.

— Quest-ce que ça veut dire ? Tu as de mauvaises notes au collège

Camille baisse la tête : elle avait omis de sen vanter et ne lavais dévoilé quà Marine (« Elle va mentendre celle-là ! »).

— Tu aurais pu men parler !

— Euh Jattendais les résultats du trimestre.

— Cela ne peut pas durer ainsi ! Heureusement ta cousine propose de te donner des leçons de soutien avec laide de ton grand-père. Jai accepté, tu commences mercredi prochain.

— Euh

— Inutile de rouspéter !

Camille camoufle un sourire, ainsi cest ce que Marine et son grand-père ont imaginé pour quelle les rejoigne !

Premier mercredi. Camille débarque sans livres ni cahiers. Jean lui fait comprendre que si elle veut venir ici toutes les semaines, les leçons ont intérêt à être efficaces car ils seront jugés sur ses résultats scolaires. La jeune fille fait dabord grise mine. Elle pensait que laprès-midi serait entièrement consacré au sexe mais doit convenir que son grand-père a raison. Par précaution Marine avait apporté des volumes de math. Au bout dune petite heure de révision elle suggère :

— Ta petite fille ne mérite-t-elle pas une récompense ?

— Oh oui ! La récompense, applaudit ladolescente !

Jean nest plus aussi chaud. Il a peur des conséquences.

— Euh Tu crois ?

— Voyons Papy !

Dautorité Marine lassied sur le fauteuil.

— Ne bouge pas, lance-t-elle !

Elle déboutonne la braguette et sort la queue. Camille se penche sur lépaule de sa cousine.

— Oh que cest gros ! Cest ça qui rentre dans le sexe des filles ?

— Tu nas jamais vu de sexe masculin ?

— Si, à travers les trous de serrures des vestiaires à la piscine mais on voyait mal. Ils avaient lair tout petit. Je peux toucher ?

— Je ten prie.

Camille se penche. Jean ferme les yeux et grogne de plaisir. Après quelques mouvements, sa cousine larrête et lui montre comment caresser et masturber tout en chatouillant les couilles mais quand ladolescente veut prendre le gland en bouche, Marine ne le permets pas.

— Pourquoi, sétonne la gamine ? Ce nest pas ce que tu faisais lautre jour ?

— Pas aujourdhui, plus tard ! Contente-toi de le manipuler.

Camille lui obéit. Elle sapplique à bien manchonner la queue. Jean est un peu frustré mais se garde de le montrer, la caresse est si agréable ! Il ne résiste pas longtemps et décharge dans les doigts de sa petite fille que léruption du sperme neffraye pas.

— Ça suffit pour cette fois, interrompt Marine. La suite mercredi prochain Si tu travailles bien !

Le mercredi suivant comme promis la jeune fille permet à Camille de sucer la verge et lui montre même comment faire.

— Tes-tu déjà caressé ? interroge-t-elle quand la jeune fille revient de la salle de bain après sêtre débarbouillée.

En rougissant ladolescente confirme que cela lui arrive le soir dans son lit et quune fois ses copines et elles se sont masturbées de concert lors dune soirée pyjama.

— Aimerais-tu que Papy te caresse ?

Ils entendent à peine le oui tant il est prononcé à voix basse.

— Viens ici quon te déshabille !

Ils lui ôtent ses vêtements. Camille est un peu intimidée : cest la première fois quelle se retrouve nue en public. Ils linstallent sur le canapé. Marine invite Jean à lembrasser entre les cuisses pendant quelle suce les tétins. La jeune fille serre les lèvres sur ses soupirs. Elle nimaginait pas quune langue puisse procurer un tel plaisir. Lorgasme se déclenche avec une violence qui laisse Jean pantois.

— Alors ? interroge Marine. Cétait aussi bien que lorsque tu te caresses ?

— Cétait Ça ne se compare pas !

— Es-tu prête à recommencer ?

— Tout de suite !

— Il ne faut pas abuser des bonnes choses. On verra ça mercredi prochain

Au fur et à mesure des semaines Camille découvre de multiples facettes du plaisir. Elle devient experte en caresses en tous genres. La fellation na plus de secret pour elle et elle avale comme une professionnelle. Marine linitie aux amours féminines. Cela lamuse de jouer auprès de ladolescente le rôle que sa mère avait interprété auprès delle. Camille sest vite révélée douée. Marine se doute quelle doit parfaire ses connaissances avec ses copines. Bah cest de son âge pense-t-elle ! Quand Jean récupère après une éjaculation les deux filles en profitent pour se cajoler. Il aime les voir se gougnotter allongées tête bêche sur le canapé bien quil soit un peu jaloux : elles semblent jouir plus intensément que sous ses caresses. Par contre il nose pas faire lamour à ladolescente. Il na pas le courage de la dépuceler.

— Je ne men sens pas le droit, avoue-t-il à Marine. Je laisse ce soin au jeune homme qui saura sen faire aimer.

Celle-ci approuve, son père avait les mêmes scrupules

A suivre

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