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Ma meilleure amie, la femme de ma vie – Chapitre 1




Bonjour, cela fait aujourd’hui un an que je suis avec la femme de ma vie. Avec son accord, je souhaite vous raconter notre première fois ensemble qui est aussi le déclencheur de notre couple, c’est grâce à cette histoire que nous sommes ensemble maintenant.

Ma meilleure amie s’appelait Léa, elle avait 22 ans et moi 23.

Léa a de longs cheveux châtain clair avec des mèches blondes qui lui arrivent jusqu’à la poitrine, ce qui la rend très mignonne. Elle mesure 1 m 65, elle a une jolie poitrine et une très belle paire de fesses.

J’ai toujours eu des sentiments pour elle, elle m’avait mis un râteau lorsque je lui ai demandé de sortir avec moi mais ça ne nous a pas empêché de rester très bon amis, ça a toujours été un peu compliqué entre elle et moi. On pouvait croire que l’on sortait ensemble mais ce n’était pas le cas à l’époque.

Le jour de mon anniversaire, je suis allé chez elle passer un peu de temps ensemble, tout allait bien jusqu’à ce que son petit ami du moment débarque. Essayant de discuter, je suis resté calme jusqu’à ce qu’il se mette à l’insulter et à la gifler. Après une altercation qui ma coûté une dent, j’ai quand même gagné. Je suis resté chez elle un peu plus longtemps jusqu’à ce quune tempête de neige n’éclate brusquement, impossible de reprendre la route, elle m’a donc invité à passer la soirée chez elle.

Je vais vous raconter (au présent pour plus d’immersion) ce qu’il s’est passé entre elle et moi.

Nous sommes en fin de soirée, un soir de pleine lune, la ville est calme et l’extérieur de la maison ne nous laisse entendre que le sifflement du vent dans les feuilles des arbres aux alentours, le battement des volets de la vieille étable adjacente et le souffle de la neige.

Tout est réuni pour passer une soirée à voir des films d’horreur ; ses parents sont absents ; l’ambiance s’y prête ; nous nous entendons très bien et elle m’invite à utiliser la chambre d’ami.

Etant contre les tuyaux de la cheminée, il fait très chaud dans sa chambre. Notre tenue est donc très simple ; pour ma part je porte un T-shirt et un boxer. De son côté, Léa porte quant à elle un T-shirt noir à col ample ; pas tout à fait transparent mais suffisamment pour percevoir sa poitrine ; ainsi qu’une petite culotte en dentelle rose.

La tenue très légère de Léa laisse apparaître ses longues jambes épilées et douces ; sa nuque fine à peine recouverte de ses longs cheveux qu’elle laisse courir le long de ses épaules et tombés au creux de son dos ; ainsi que sa poitrine dont on devine les rondeurs au travers des courbes que laisse échapper le col de son vêtement.

Nous sommes installés l’un contre l’autre sur son lit ; le bol de pop-corn au creux de ses jambes ; dans le noir et éclairés simplement par les lumières de la lune au-dessus de nous et par celle de télévision en face de nous.

Lors des passages effrayants elle se cache dans mes bras et enroule ses jambes autour des miennes. Ses jambes contre moi sont douces et tièdes et le fait de la serrer dans mes bras me fait sentir que ses seins pointent à travers son maillot. Tout ceci provoque chez moi une érection dont j’ai du mal à cacher la présence car elle est toujours blottie contre moi. J’essaie de me concentrer sur le film pour faire redescendre mon érection, je ne sais pas si elle l’a remarquée.

Nous terminons le dernier film aux alentours de deux heures du matin, tout est encore plus calme que tout à l’heure, le vent et la neige ont cessé de souffler, les animaux se font à nouveau entendre et la lune s’est déplacée pour à présent éclairer une autre pièce de la maison, la chambre d’ami.

Un peu plus tard, réveillé dans mon lit, je ne sais ce qui m’empêche le plus de retrouver le sommeil ; la lune, la chaleur qui m’a forcé à retirer mon T-shirt ou le fait de penser à ma meilleure amie, à ce corps qui m’a donné une érection et que j’imagine à présent nue. Essayant de me calmer je me retourne dans mon lit, le lit de la chambre d’ami est collé au mur de la chambre de Léa.

Léa a remarqué que je ne dors pas non plus et me demande par texto si elle peut venir dormir à mes côtés car elle a un peu peur. Elle se lève pour me rejoindre, j’allume la lumière et je suis surpris de la trouver nue debout à côté de la porte.

— Pourquoi t’es nue ? Lui demandais-je à la fois surpris et ravi de ce que je vois.

— Euh, j’ai chaud, t’as pas remarqué ; me dit-elle avant de me demander d’une voix plus timide et en croisant les jambes : comment tu trouves ?

— Hein, pardon ? Je ne savais quoi répondre. Eh bien, tu es très belle. Répondis-je un peu gêné en passant la main derrière ma tête.

— Merci ; me répondit-elle en souriant d’un air satisfait ; allez fais-moi une place.

Le lit est un lit d’une personne et est collé au mur de la chambre, je suis donc torse nu en boxer dos au mur sous mon drap. Elle vient s’allonger dos face à moi, sous mon drap, le fait d’avoir son corps contre moi, mon boxer touchant le bout de ses fesses me fait de nouveau ressentir de l’excitation et mon érection est encore plus importante que tout à l’heure sachant qu’elle est nue à mes côtés.

J’essaie tant bien que mal de retrouver mon calme pour me rendormir mais je n’ai pas le temps, que j’entends le souffle de Léa s’accélérer et que je sens son bras bouger de son côté. Je reste là quelques minutes sans bouger, simplement à sentir le drap bouger au rythme de son corps et à écouter sa respiration de plus en plus rapide. Puis, je sens ses fesses qui viennent se frotter contre mon sexe déjà raide mais encore emprisonné dans la seule barrière de tissu qui le sépare d’elles.

Sentant mon excitation ; grâce à la lune qui éclaire toujours mon lit ; je vois le visage de ma bien-aimée qui se tourne vers moi et qui me sourit en descendant sa main sur mon boxer pour y caresser mon sexe avant de le sortir et de le prendre dans sa main. Doucement elle commence à faire de petit va-et-vient avec sa main ; je reste là, sans voix, je suis en train de me faire branler par ma meilleure amie. Toujours au creux de sa main, elle titille la fente de ses fesses en glissant mon gland de haut en bas. Je me rapproche encore un peu d’elle et je l’embrasse dans le cou, passant mon bras gauche sous tête pour caresser ses seins tandis que je pelote et humidifie son petit cul aux fesses rondes et douces de ma main droite.

Une fois son anus suffisamment mouillé, j’enfonce mon sexe en elle, nous sommes à présent tous deux couchés sur le côté et nu l’un contre l’autre.

Gardant la main sur ses seins ; faisant va-et-vient entre ses fesses et ayant toujours la tête contre elle, j’embrasse encore son cou et son épaule.

Pendant ce temps, d’une main elle se caresse le clitoris en passant ses doigts dans sa bouche ou la mienne tandis que son autre bras est sur moi. Me griffant doucement, légèrement et tendrement le bas du cou et l’épaule aux rythmes de mon va-et-vient, de ses cris et de nos souffles qui s’accélèrent.

Avoir ses fesses ne me suffit pas, ce que je veux c’est pouvoir voir le plaisir sur son visage et contempler son corps.

— Viens sur moi, je te laisse faire, je veux pouvoir embrasser tes seins. Lui murmurais-je à l’oreille.

— Oh oui, c’est moi qui mène maintenant ?

— Pourquoi pas ?

Je me retire de ses fesses si douces et profite du fait qu’elle se relève pour prendre un préservatif. Se courbant pour déposer ses lèvres sur les miennes elle dirige mon sexe vers l’entrée de sa chatte, rasée. Se redressant en prenant appui sur mon torse tandis que mes mains se baladent sur son corps ; de seins à son ventre en passant par ses hanches ; Léa empale mon sexe sa chatte déjà mouillée. Faisant des va-et-vient au rythme qu’elle veut et contrôlant le moment, elle s’allonge parfois sur moi pour nous embrasser ou pour me permettre de jouer avec ses seins.

A cheval sur mon sexe et poussant de petits cris, je pose un doigt sur sa bouche comme pour lui faire comprendre que j’ai quelque chose à lui dire:

— Quoi ? Elle me regarde avant d’ajouter, tu vas venir ?

— Oui

Se rapprochant de moi pour m’embrasser, elle me dit en me regardant d’un sourire des lèvres mordues:

— Je te veux en moi, encore plus. Jouis en moi !

— Tu es sûr ? Tu risques de… Me posant à son tour un doigt sur la bouche elle me dit :"Je prends la pilule." avant de m’embrasser.

L’ayant toujours au bout des lèvres, je lui fais signe de la tête que j’accepte. Elle continu de m’embrasser les lèvres, le cou et les épaules en se levant légèrement pour retirer la capote avant de venir à nouveau s’empaler sur moi en me mordillant l’épaule.

Une fois à nouveau en elle, elle se redresse avant de faire des va-et-vient de plus en plus rapides et de plus en plus forts en poussant de plus en plus de cris, mon pouls s’accélère et mon cur bat de plus en plus vite, l’attrapant par les mains ça y est je jouis en elle. Dans un orgasme qui me semble réciproque, je fais ce qu’elle a souhaité, je déverse mon sperme au creux de son ventre.

Après l’acte, nous étions bien, calmes et fatigués, c’est étant toujours en elle que je la pris dans mes bras et qu’après un dernier baiser que nous nous sommes endormis.

Au réveil, quand j’ouvre les yeux je vois, elle ; celle que j’aime ; elle n’est plus mon amie mais mon amante, Léa. Mon ange est toujours blotti dans mes bras ; ma tête contre la sienne ; ses seins contre mon torse ; ma main sur son dos ; l’autre dans ses cheveux et mon érection nouvelle faisant encore partie d’elle. Je la regarde dormir si belle et paisible, sentant le parfum de sa peau et le toucher de son corps, je reste aussi calme et immobile que possible espérant que cet instant dure toujours.

Lorsqu’elle se réveille à son tour, son regard ; son sourire ; ses lèvres sur les miennes ; ses doigts qui se délassent ainsi que ses cheveux qui glissent sur mon torse me donnent des frissons.

Nous nous embrassons tendrement et passionnément, sentant mon sexe dur en elle, elle se retire puis descend doucement vers mon sexe, le prenant entre ses doigts avant de le lécher du bout de sa langue de haut en bas. Elle le prend dans sa bouche et fait des va-et-vient, elle le ressort pour jouer avec sa langue sur mon gland et me jette des regards coquins et pervers. Elle continue de me sucer jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche. Elle me regarde et ouvre sa bouche pleine de ma semence avant d’avaler complètement, elle me regarde avec son magnifique sourire pervers mais mignon avant de reprendre mon sexe en bouche et continuer de me sucer.

Après cela nous avons ensemble pris une douche puis nous nous sommes rhabillés avant de descendre prendre le petit-déjeuner. Une fois de retour chez moi, nous avons parlé toute la journée et les jours suivants par téléphone et SMS avant d’être invité chez elle pour déjeuner avec ses parents quelques jours plus tard.

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