S. Rose De Sang
La musique est lente, peut être trop lente dans cette situation, mais il faut l’apprécier comme si c’était la seule fois de notre vie qu’on l’écoutait. Des contrebasses font une petite montée, et laissent places aux violons, beaucoup plus puissant et imposant.
Lorsque les deux sont réunis, une apothéose musicale se forme grâce à Mozart. Mozart, ce génie qui m’amuse et me transporte tant, il fait maintenant entrer les vents, les flûtes chantent, rentrent dans la vague. Le thème est en mineur, ce qui rend ces vagues musicales et harmoniques beaucoup plus sombre et mystérieuses.
Devant moi, elle est couchée, à moitié réveillée par la musique que je lui ai posé sur ces oreilles. La pièce en elle-même est très sombre, seul un petit néon rouge éclaircit la salle. Sous sa peau sombre et envoûtante, des draps d’un blanc aussi brillant que le soleil, mais caché par l’assombrissement de la pièce. Elle est accrochée aux bras et aux jambes, un bandeau couvre ses yeux, il est en cuir rouge, d’une douceur avenante.
Je laisse couler l’huile que j’ai sur les mains, une huile très fine, rougeâtre, dégageant un parfum de rose exquis.
Au contact de ce liquide qui est chauffé, elle se détends et s’allonge pour mieux laisser passer mes mains.
Deux de mes doigts se posent entre ses seins, et descendent jusqu’à son nombril, puis, saisissant ses hanches, je commence à lui masser le ventre lentement, en appuyant assez intensément tout en restant agréable. Sentant que son corps et ses muscles se relaxent, j’approche ma bouche de son sexe tout en continuant à la masser. Mon souffle, d’une chaleur extrême, se dépose sur ton clitoris, puis se répand sur ses lèvres et son vagin en lui-même. Je m’approche encore, jusqu’à effleurer son sexe, puis m’écarte en arrêtant de la toucher complètement.
Elle me veut, mais je veux que ce moment soit lent, très lent. D’un seul coup, alors qu’elle ne s’y attend pas, j’insère un doigt dans son anus, puis deux. Je fais des vas et viens très lents, je masse en même temps son périnée, qui lui déclenche un plaisir qui s’intensifie de plus en plus, alors qu’elle commence à s’habituer aux rythmes de mes vas et viens je m’arrête. Ses muscles se sont habitué, alors j’insère, doucement, un plug anal d’une assez grosse taille en elle. Il lui vas tellement bien, il colle à son corps, on dirait qu’il est fait pour elle. Je m’absente pendant plusieurs minutes, la laissant découvrir ce plaisir en elle.
Quand je reviens, sa respiration est beaucoup plus rapide, je regarde ses mains, elle ne s’est pas toucher mais elle mouille beaucoup, la situation à l’air de particulièrement l’exciter. Je la regarde, dans ce noir si obscur que l’on ne peut voir à une dizaine de mettre. Si elle savais ce qui l’attendait..
Je tourne autour d’elle, lentement, sa mouille brille un petit peu, je continue à tourner lorsque je m’arrête au niveau de son sexe, ma langue commence alors à lécher doucement son périnée pour remonter à l’entrée de son vagin, je rentre à peine ma langue en elle et avale d’un seul coup tout ce liquide que j’aime tant. Au seul contact de ma langue, elle gémis beaucoup, mais une fois que j’ai tout avalé j’arrête, puis recommence à tourner autour d’elle, ma présence embaume la salle, comme la sienne.
J’appuie une fois, puis deux, ses gémissement ont de suite commencé à s’intensifier. Le plug se mit à vibrer, massant son anus doucement. Sa mouille recommençais à couler, je ne pût m’empêcher de l’avaler, puis sans pouvoir me contrôler j’augmente niveau de vibration du plug à son maximum et commence à lécher, sucer, et d’un seul coup mordre son clitoris, ses gémissements se transforment en hurlements, je suce plus fort, puis lèche et avale lentement, son anus vibre très fort, je peux ressentir les vibrations sur ma langue. J’insère un, deux doigts et continue ce cunnilingus qui la rends folle.
Son orgasme est de plus en plus puissant, fort et intense, je le sens arriver, chacun de ses muscles se contractent de plus en plus fort, j’arrête alors de lécher et appuie violemment avec mon autre main sur son bas ventre, toute la chaleur de son corps se repartie sous ma main et je continue à courber mes doigts de plus en plus vite pour frotter encore plus son point G, elle vas jouir, oui la maintenant, je veux que ce soit l’apothéose, quelque chose d’extrêmement puissant, alors je laisse mes doigts l’emporte et lorsque j’enlève ma main de son bas ventre, la chaleur se répand d’un seul coup en elle, un frisson la parcours lorsque..
D’un seul coup j’arrête le plug anal et tout ce que je lui fais. Je vois ses jambes trembler de plus en plus fort, puis un frisson d’une puissante intensité la parcours, et l’orgasme n’explose pas, s’arrête au bord du gouffre.
Elle hurle, car elle en a mal. Je me lève, et tourne, encore et encore, elle se tord dans tout les sens depuis tout à l’heure. Je réactive le plug à son minimum, et sa mouille coule à flots dés l’instant où il recommence à vibrer. Je l’observe, puis, lentement et sans faire de bruits, je me baisse pour attraper.. Un fouet.
Il est extrêmement.. Élégant. Le manche est en cuir noir, d’une simplicité assombrissante. Et chacune des lanières est en cuire rouge, une sorte de bordeaux claire, avec plusieurs petits bouts métalliques triangulaires pointus.
Je m’approche lentement d’elle, une tension ressors de moi, une aura, cette douleur avec ce plaisir, cette fois-ci je vais atteindre mon but, la faire jouir uniquement par la douleur avec le minimum possible de plaisir. Je m’approche d’elle, fouet en main, son ventre est en face de moi, c’est la première partie de son corps sur laquelle va se poser chacune des dix lanières. Ma bouche se pose d’abord sur son nombril que je commence à lécher et avaler, puis je redescends juste au dessus de son sexe, j’embrasse cette zone qu’elle aime tant, puis remontre jusqu’à mordre ses seins tout en les caressant lentement avec ma langue juste après. En retirant ma langue je sens un frisson la parcourir, comme si elle savait ce que j’allais faire, mais s’était impossible. Avant de donner ce premier coup, je saisis deux pinces en plastique avec un gros ressort, et je les places d’un seul coup sur ses deux tétons. Sa réaction est immédiate, elle lâche un mélange de cri et de gémissement, la douleur s’empare alors lentement de ses seins. Et, alors qu’elle ne s’y attends pas, les dix lanières se déposent violemment sur la base de son ventre et se retire immédiatement, elle à très mal, elle en pleure même, la trace de ce coup de fouet ressort sur le moment même, quelques gouttes de sang coulent, je lèche et aspire, ce goût me rends encore plus fou alors je redonnes un coup beaucoup plus violent que le premier, elle pleure, et les gouttes de sang se transforment en lignes. Je lèche et suce encore une fois. Est ce que je vais trop loin ? J’ai regarder son sexe.. Jamais je ne l’avais vu mouiller de cette manière, une manière abondante, sa cyprine coulée beaucoup plus qu’avant, alors..
J’arrête ce que je fais, et je regarde son corps, torturé de plaisir et douleur intense qui bougent dans tout les sens, comme pour me demander de continuer..
Pendant ce temps la, Mozart fais rentrer le piano lentement dans ce concerto si sublime, au début il est lent, très lent, comme les mouvements de ma langue tout à l’heure, et d’un seul, comme si le fouet s’abattait sur le piano, les accords parfaits se plaquent, et sa main gauche, qui joue à l’octave dans les basses créer une atmosphère, une ambiance sombre, mais douce à la fois, puis, là, maintenant, alors que les violons prennent place avec le reste de l’orchestre, l’aura de ce moment devient noir, oppressant.
Elle m’appelle.. Susurre mon nom, le chuchote, me supplie de continuer, je la regarde, mon envie pour elle devient de plus en plus folle, je sais ce dont elle a envie maintenant, oui tout de suite.
Je prends mon sexe en main, il est d’une dureté incroyable, je m’approche d’elle lentement, appose mon sexe juste au dessus de sa bouche, le frotte sur sa lèvre inférieure pour qu’elle ouvre sa bouche, ce qu’elle comprends instantanément, et pousse mon sexe d’un seul coup au fond de sa gorge, et je reste, en appuyant le plus fort possible en elle, je sais qu’elle s’étouffe, mais elle adore ça, alors je ressors un peu mon sexe, et le replante plus profondément. Je saisis alors ses cheveux, retire ma verge lentement, et remonte sa tête violemment, je commence alors une série de vas et viens endiablés jusqu’à ce que je sentes ma jouissance arriver, je le fais exprès, quand mon orgasme arrive je m’arrête d’un seul coup pour lui faire couler le long de sa langue et de sa gorge une goutte de mon sperme. Elle remonte ça tête mais non, je me retire, elle essaye encore, alors je décide de la punir sans qu’elle ne le sache, la douceur de main rentre lentement en contact avec la peau de sa cuisse le temps d’une caresse lorsque de tout mon élan mon autre main s’écrase au même endroit de ma caresse, un hurlement émane de sa gorge, alors je re-frappe pour lui faire comprendre de se taire, ce qu’elle fait malgré la douleur lancinante.
Son anus, dilaté par le plug, est trempé de sa mouille, je saisis le plug, et le retire avec le plus grand soin, lorsque qu’il est hors de son corps, je lèche d’un seul coup toute la mouille qui coule depuis longtemps le long de son anus, en passant par son vagin, en m’arrêtant sur son clitoris. Il est brûlant, et ma langue est comme fixée sur lui, mais non, j’en peux plus, j’aspire d’un seul coup son vagin entièrement, chacune de ses lèvres et même son clitoris passe entre mes lèvres et je suce encore plus violemment, je lèche, avale, mords même, puis, je remonte le long de son corps, jusqu’à son cou, et d’un seul coup, mon sexe pousse et rentre au plus profond de son anus, je n’attends pas qu’il sois complètement dilaté, je fais instantanément des vas et viens très fort, et très profonds, elle a un tout petit peu mal au début, mais le plaisir prends le dessus très vite..
Une de mes mains passe le long de son corps, lentement, sur sa cuisse et après ses haches, son nombril puis ses seins, j’arrive dans son cou, une envie me prends.. Quelques chose en moi qui date de longtemps, qui est apeurant au début, mais très excitant après.
Mon pouce ce place à gauche de son cou, et tout mes autres doigts à droite, et, sans qu’elle ne s’en rende compte du premier coup, Je l’étrangle violemment, lui laissant le moins de respiration possible, mais quand même un peu. Elle à peur, très peur, puis, elle comprends, cette douleur à sa gorge, ce manque de respiration la déséquilibre, lui fait perdre encore plus conscience, et le plaisir, à ce moment là, est alors décuplé beaucoup de fois.
Son anus est complètement dévasté par mon sexe, pilonné, alors je commence à sortir mon sexe, et le rentre au plus profond de son vagin, le ressors, et l’enfonce péon dément dans son anus, le ressort et le ré-enfonce encore une fois dans son vagin, et je commence alors à la baiser violemment, serrant ma main plus fort, avec l’autre je place ses jambes sur mes épaules et continue à la prendre brutalement, je rentre un puis deux doigts, et un troisième dans son anus, je sens son orgasme arriver, oui, maintenant, encore plus rapidement, je décide, au moment où son orgasme arrive, de me retirer d’un seul coup, mes doigts et mon sexe.
Son orgasme redescends à peine, alors j’arrive à la fin de mon uvre, je saisis une rose, je la lui fais sentir, la fais glisser le long de son corps, et je m’arrête au nombril, il y aura quatre coups, comme les quatre accords qui signifient le dénouement et la fin du concerto , je prends le fouet, et frappe au niveau de ses seins une première fois, sa mouille recommence à couler longuement, et la douleur s’empare doucement d’elle, le fouet s’abat une autre fois sur son ventre, qui ne saigne pas cette fois-ci, mais dont les marques restent importantes, en laissant retomber le fouet je le relance sur ses deux cuisses relever, et, soudain, alors que ce dernier coup l’a approché au plus près de l’orgasme, je prends la rose, et frappe doucement mais avec une certaine voguer juste au dessus de son clitoris, la rose c’est planté un tout petit peu en elle, dans sa peau, et quand je la retire, une seule, et unique goutte de sang coule et atteint son clitoris, qui, au seul contact si fin, subtile, explose dans une jouissance sans retour, qui dure longtemps, très longtemps, jusqu’à ce qu’elle s’endorme d’épuisement sur le lit, qui fait contraste à sa peau, d’une noirceur magnifique, qui se marie très bien au blanc du lit en dessous d’elle.