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Pauline – Années étudiantes – Chapitre 13




Chapitre 13

Je me réveillais doucement, j’étais dans la voiture, mon père conduisait. Je regardais un peu le paysage et lui ai demandé

On est loin ? J’ai envie d’arriver.

Encore dix minutes.

Ha oui ? J’ai dormi longtemps ?

Tout le trajet, trois heures… Bon, t’étais contente de revoir ton cousin ?

On s’est à peine parlé. Il était toujours avec l’autre niaise.

Tu n’as pas l’air de beaucoup l’aimer, ta tante non plus d’ailleurs.

De toute façon, ça ne durera pas longtemps leur histoire.

C’est ce que je pense aussi. Ce n’est basé que sur le cul.

… Même les histoires d’amour ne durent jamais.

Mon père me caressa la joue tendrement et me fit

Ben si, regarde tes grands-parents. Ils n’ont pas l’intention de se séparer.

Pfff, papy a tout de même trompé mamie dans sa jeunesse.

Il ne l’a jamais dit… Ta tante te trouve de plus en plus belle, mais ça l’étonne que tu sois si calme… Je m’inquiète aussi.

Il s’est passé quelque chose…

C’est grave ?

Non… Mais… Lorsque je suis allée courir ce matin, j’ai été prise par une pulsion… Je n’ai pas pu me contrôler.

Comment ça ?

Je ne sais pas… Mais quand j’ai repris conscience, j’étais quasiment nue dans les bois. Je m’étais masturbée comme une folle… J’ai peur que ça me reprenne sans prévenir.

C’est arrivé sans raison ?

Non, vraiment aucune.

Il s’est passé beaucoup de choses pour toi dernièrement, et vu comme tu es fatiguée aujourd’hui… Enfin, je ne sais pas. Tu pensais à quelque chose en particulier ?

Je fantasme sur quelqu’un, je n’arrête pas de penser à lui.

C’est qui ?

Tu ne le connais pas… Moi non plus d’ailleurs… Je ne connais même pas le son de sa voix… Je commence même à oublier son visage.

As-tu envie de m’en dire plus ?

Non…J’ai envie d’arriver.

Deux minutes plus tard, nous étions à la maison. Je suis montée dans ma chambre pour m’allonger sur mon lit. Mon père monta peu après et me demanda

Tu voudras manger quelque chose ce soir ?

J’ai un peu faim, mais je ne sais pas.

Tiens, ton cadeau de Noël… T’as raison, il faut que je me trouve quelqu’un. En passant commande, je suis parti dans un petit délire… Enfin, tu verras bien… Je redescends, je préfère que tu regardes sans que je sois là… Ca me gêne finalement.

Non, un cadeau s’ouvre avec celui qui l’offre.

J’ai ouvert le paquet, il restait au coin de la porte. Je sortis un vibromasseur, et pour se justifier, il me dit "il a de très bonnes critiques… T’as une partie qui s’insère dans le… Et l’autre qui frotte le clitoris en même temps… Enfin, je te laisse continuer".

J’ai sorti un autre sextoy, et j’ai regardé mon père avec étonnement

Heu… Ben, c’est un plug anal.

Avec une queue ?

J’ai vu une vidéo d’une fille qui marchait à quatre pattes avec un truc comme ça, et… j’ai bien aimé… C’est là où j’ai déliré…

Ho, trop mignon le serre-tête avec oreilles de chat. T’as même pensé au collier avec le petit grelot.

T’es pas entrain de te moquer de moi ?

J’imagine lorsque tout le monde me demandera ce que j’ai eu à noël alors que des filles parlerons de bijoux, de fringues ou maquillage, et moi je répondrai : "Mon père m’a offerte des sextoys. J’ai maintenant tout ce qu’il faut pour jouer les chattes en chaleur".

Désolé.

C’est pas grave. Je te remercie pour ces cadeaux. Je ne les utiliserai peut-être pas tout de suite.

Ok… Je descends.

Il partit, je n’avais pourtant pas envie de rester seule. Il était temps que je rappelle JC qui m’avait laissée une bonne vingtaine de messages inquiets suite à l’appel de la police et de mon silence après. Et puis, je voulais lui demander quelque chose aussi.

Bonjour JC, c’est Pauline. Je ne te dérange pas ?

Non pas du tout. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi la police m’a demandé si tu étais bien avec moi…

Rien de grave, je t’assure. Juste des cons qui se croient les plus forts sans savoir enquêter correctement. Au passage, joyeux Noël.

Merci, à toi aussi. J’espère que tu as été gâtée.

Plus que nécessaire… Il se passerait quoi si tu disais la vérité à tes deux copains sur moi ?

Ben, je t’avoue que je ne sais pas trop. Mais, dans le doute…

Et il se passerait quoi si quelqu’un d’un peu trop jaloux le découvre ?

Tu penses à Amandine ?

Oui, elle connait celui dont c’était l’anniversaire.

Fred ? Oui, mais je crois qu’ils ne se parlent plus… C’est un risque, elle peut être manipulatrice par moment.

Vaut-il mieux qu’elle me fasse passer pour une salope auprès des autres élèves ou une pute ?

Il y eu un silence. Nous réfléchissions chacun de notre côté, et JC reprit :

Mon père me disait toujours que ça ne sert à rien de mentir sinon la vérité t’explosera à la gueule.

Ha oui ? Il disait ça ?

Ben, pas exactement dans ces termes, c’est vrai. Par contre, il ne m’a jamais rien dit sur le fait de cacher les choses.

C’est quoi ton idée ?

Dire la vérité à mes copains et leur demander de ne jamais en parler. Et pour les photos, j’essaierai de convaincre Fred de les supprimer ou au moins de les garder rien que pour lui, si ce n’est pas trop tard.

Si tu pouvais éviter de dire que j’étais venue parce que j’étais en manque…

Je le tournerai d’une autre façon. Je dirai que tu es venu pour me faire chier et que ça a poursuivi en défi qui a dérapé.

Merci JC, c’est parfait. Et toi, t’as eu de beaux cadeaux ?

De l’argent de la part de mes parents et un cadeau personnalisé de la part de ma grand-mère : un pull horrible qui me fait passer pour un gamin de 10 ans.

Tu lui as dit ?

Je porte le pull sur moi pour lui faire plaisir. Pour moi, c’est ça le plus important à Noël, faire plaisir à ses proches.

Tu as raison. Merci encore et à bientôt.

A bientôt Pauline, merci pour ton appel.

Lorsque je suis descendue un peu plus tard dans la soirée, mon père était en train de nettoyer la cuisine. Il m’avait entendue descendre grâce aux marches qui grincent. Sans se retourner, il me dit

Je nous ai préparé des assiettes légères pour ce soir. Tu veux qu’on se regarde un film en mangeant ?

Miaou.

Quoi ?

J’ai lâché le grelot que je tenais dans ma main pour éviter qu’il l’entende avant, et se tournant vers moi, il resta planté un moment, la bouche ouverte sans rien dire. Je me suis léchée le dos de la main pour frotter les oreilles de chat que j’avais mises. Le contour de mes yeux portait un maquillage noir, mes lèvres couvertes d’un rouge à lèvres foncé, j’en profitait pour faire bouger le grelot accroché au collier qui me serrait la gorge. Et je me suis mise à quatre pattes, déjà nue, jouant avec la queue coincée dans mon anus, la montant pour lui montrer mes lèvres intimes, la descendant pour le frustrer.

Je n’avais pas plus envie que ça de jouer cette comédie. Je suivais les conseils de JC, à savoir faire plaisir à ses proches. Et mon père le méritait plus que personne d’autre.

Je me suis avancée vers lui, marchant à quatre pattes, ondulant des fesses. Les poils de la queue me chatouillaient le minou, c’était plutôt agréable. Je me suis frottée tel un chat contre ses jambes en ronronnant, il me caressa la tête en me disant "tu arriveras toujours à me surprendre". Et il entra dans le jeu aussi, me versant une coupelle de lait qu’il posa sur le sol et que j’ai léchée.

Le jeu devint rapidement plus sensuel… Des caresses osées… Une envie forte d’aller plus loin pour lui. Il était logique que je lui offre une fellation, dont il lâcha "depuis le temps que j’en rêve…". Quelques minutes plus tard, il me prit par derrière, gardant en même temps le plug bien enfoncé dans mon anus. Il semblait d’ailleurs lui faire beaucoup d’effets, à moins que j’étais alors plus serrée et moins humide que d’habitude. Quoi qu’il en soit, Il n’a pas tardé à jouir en moi, son sperme brûlant réchauffait mes entrailles.

Il me prit dans ses bras, nous nous sommes embrassés et je lui ai glissé à l’oreille "Joyeux noël mon papa chéri". Je suis remontée après dans ma chambre, j’ai enlevé ce déguisement, je me suis démaquillée, j’ai pris une douche et je me suis couchée en prenant un livre, fière de moi, heureuse de lui avoir fait plaisir.

Mon père est monté plusieurs minutes après :

Je venais voir si tu dormais. Ca va ? Tu as besoin de quelque chose ?

Non. Tu veux dormir avec moi cette nuit ?

Oui, je veux bien. Je finis un truc en bas et je monte après.

Le temps qu’il revienne, j’avais éteint la lumière et je commençais à m’endormir. Il rentra, se déshabilla, et se glissa dans le lit. Je me suis blottie contre lui, il me serra dans les bras, me caressa le dos, les fesses. Je sentais sa verge grossir sous mon ventre. Je lui demandais alors

Tu as encore envie ?

On dirait bien. Mais, ne t’inquiète pas, je ne te demande rien.

Tu n’as pas besoin de demander. Tant que je suis là, je suis à ta disposition, profites-en.

Pauline ?

Papa, c’est ton cadeau de Noël, moi rien que pour toi. Qu’on s’engueule, qu’on soit complice, que j’ai envie ou non, si toi tu as envie, c’est d’accord pour moi. De toute façon, t’avais prévu un grand tube de lubrifiant avec le plug, faut bien l’utiliser. Alors, tu veux me prendre comment ?

T’es sûr de ce que tu me proposes ?

A cent pour cent. T’es resté frustré bien trop longtemps.

D’accord. Monte sur moi.

J’ai pris le lubrifiant pour enduire mon vagin et sa verge. Elle a glissé en moi doucement, plutôt agréablement, et il m’a fait l’amour alors que j’imaginais être prise par l’inconnu du train, tentant ainsi de m’exciter un peu.

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