Les soirées se suivent et se ressemblent. Avant daller se coucher, ma sur fait un tour par ma chambre pour moffrir ma pipe quotidienne. Et au fur et à mesure, elle mexcite de plus en plus. Je dois bien avouer que maintenant jen aimerais encore plus que « simplement » une pipe et ses seins… Mais il est absolument hors de question de le lui avouer ! Déjà parce que cest pas sûr quelle en ait envie, et puis surtout, cest quand même ma sur ! Ma sur, qui me suce vous me direz, oui. Et putain, ses seins ! Tellement parfaits ! Et son cul, je le croquerais ! Mmmmh et sa chatte… si seulement je pouvais men occuper…
Ce soir, ça va faire 2 semaines quelle ma sucé pour la première fois. Il faudrait que je tente daller plus loin, mais étant un peu timide, je sais que je noserai pas. Mais je me dis quune pipe cest quand même déjà énorme.
Ce soir, je décide de la surprendre un peu : lorsquelle arrivera dans ma chambre, je serai déjà prêt pour elle, la bite à lair. Cest pas grand-chose, mais je pense que ça va lui plaire. Et donc je minstalle sur mon lit, nu comme un ver, et en érection en pensant à ce qui va se passer. Et je lattends. Jattends. Elle en met du temps à venir aujourdhui… Ne me dites pas quelle ne veut plus le faire ! Oh non, pas aujourdhui, alors que je lui réserve cette petite surprise ! Elle ne peut pas…
La porte de ma chambre souvre ! Ouf ! Floriane entre, et là, nous restons tous les deux étonnés. Ma sur aussi ma réservé une surprise : elle est déjà topless. Cest donc pour ça quelle a mis du temps à venir. Elle attendait que nos parents soient allés se coucher, pour ne pas se faire griller.
« Je vois quon a eu un peu la même idée, me dit-elle
_ On dirait bien »
Elle me sourit et me lance un regard malicieux avant de se jeter sur moi. Elle commence à membrasser dans la nuque, puis elle descend progressivement sur la clavicule, les pectoraux, le ventre. Elle descend encore et arrive bientôt sur ma verge, bien dure pour elle. Elle la fait entrer doucement dans sa bouche, et commence à faire des va-et-vient, en noubliant pas dutiliser sa langue comme elle le fait si bien.
Je lui fais comprendre le bien quelle me fait en lui caressant les cheveux et les seins. Jaimerais bien me balader ailleurs sur son corps avec mes mains. Plus bas. Mais je nose pas. Allez Geoffrey, trouve ton courage, et vas-y ! Je commence à quitter ses seins et je caresse son ventre. Problème, je ne peux physiquement pas aller plus loin, vu la position dans laquelle on est. Quel dommage ! Je me contente donc de faire des aller-retours entre ses seins et son ventre.
Tout à coup, alors que ma main se dirige vers son ventre, elle lattrape au vol. Elle interrompt la fellation pour se déplacer un peu. Maintenant, le bas de son corps semble bien plus accessible. Et justement, elle accompagne ma main un peu plus bas. Encore plus bas. Ma main se trouve maintenant au niveau du bouton qui ferme son jeans. La main de Floriane emmène la mienne derrière ce bouton. Je sens au bout de mes doigts sa culotte. Mon cur bat la chamade. Jeffectue quelques caresses à travers le tissu. Ma sur semble apprécier.
Je ne sais pas où je vais chercher ce courage, mais jarrête mes caresse et me glisse lentement, très lentement, de lautre côté de sa culotte. Mon index entre en contact avec son clitoris. Un frisson lui parcourt le corps. Un frisson qui se propage aussi chez moi. Je commence à jouer avec son petit bouton damour, tandis que je lui embrasse la poitrine.
Je nen reviens pas de jouer avec la chatte de ma sur ! Elle est chaude et elle devient de plus en plus humide.
Je crois que lexcitation me désinhibe de plus en plus, et je me permets davancer un doigt jusquà lentrée de son vagin. Voyant quelle noppose aucune résistance, je rentre mon doigt dans son vagin. Je doigte Floriane, et elle semble aimer ça. Sa respiration saccélère.
Ce petit jeu dure quelques minutes lorsquelle approche sa bouche de mon oreille et me susurre :
« Fais-moi lamour Geoffrey »