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Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 11




Chapitre 11 : Club pour hommes

Le bus me dépose au centre commercial et je me dirige vers l’entrée principale en m’assurant que je suis quand même décente malgré le peu de tissu sur mon corps. J’aime bien m’exposer en public mais je ne veux pas ressembler à une putain qui racole. Merde ! Rien que de penser à moi dans ces termes ma chatte mouille. Ses dernières instructions sont de le rencontrer dans le rayon de lingerie femme, dans le magasin qui se trouve sur l’extrémité opposée de l’allée centrale.

Plus je m’approche du magasin plus je suis anxieuse et je me demande si le plan d’Aurélie va marcher pour récupérer ces photos pornos de moi. Je prends mon portable et je l’appelle.

— Aurélie, comment çà se passe ?

— Maman, j’attends toujours mon amie. Elle devait prendre le bus et me rencontrer chez Bluenocht, mais elle n’est pas ici, où es-tu ?

— Je suis dans le centre commercial et je vais arriver ou je suis censée le rencontrer. Doux Jésus, quand va-t-elle arriver là ? Tu crois qu’elle veut toujours nous aider ? Je commence à paniquer.

— Oui maman, je t’ai dis qu’elle est forte et elle tient toujours sa parole, elle va être là il suffit de donner plus de temps. Maman, essaye de faire durer, fait tout ce que tu peux pour le retenir le plus longtemps.

— Mon Dieu, je vais essayer, je vais essayer mais rappelle moi vite !

— Oui maman et toi fais ce que tu peux et … ne fait rien… Elle s’arrête, mais je sais très bien ce qu’elle veut dire.

— Promis chérie et Aurélie, merci je t’aime tellement.

— Moi aussi je t’aime beaucoup maman, nous allons récupérer ces photos, je te le promets. Surtout garde bien ton téléphone portable.

Je remets téléphone portable dans le minuscule sac à main que j’ai pris avec moi et j’entre dans le magasin. Étonnamment il y a peu de gens et la plupart sont des femmes qui regardent les nouveautés.

Coup d’il circulaire et immédiatement je repère Frank. Il se tient dans un coin avec quatre autres hommes, sans doute à ses amis. Quatre autres hommes, cinq au total ! Je pousse un soupir en réalisant ce que cela pourrait signifier que sachant ce qu’il attend de moi. Cinq hommes, qui feront de moi ce qu’ils veulent si Aurélie échoue.

Je marche vers Frank qui m’a aperçue lorsque je suis entré dans le magasin, me désignant à ses amis. Maintenant, ils sont tous entrain de m’examiner de la tête aux pieds numérisant dans leur tête de male, en manque de sexe, mon corps sexy comme si j’étais entrain d’enfiler ma minuscule mini jupe et mon petit haut. Ils sont tous souriant, anticipant probablement les choses qu’ils vont me demander ou me faire car, je ne doute pas, qu’ils soient aussi pervers que Frank.

— Salut Frank, en m’adressant seulement à lui.

— Salut Kate, je suis content que tu sois enfin ici. J’avais dit 6 heures, pas 6 heures 15

Répond-il en guise de salut.

— Le bus n’était pas à l’heure !

Il m’observe et les yeux sur ma poitrine dénudée ;

— Pas mal ta tenue. Je vois que tu as suivi mes instructions et que tu ne porte pas de soutien-gorge, je peux presque voir les tétons de Kate d’ici.

Je comprends qu’il donne le ton dès le départ en parlant de mes tétons devant ses amis, leur donnant ainsi le feu vert pour ce genre de remarques. Ses yeux vont vers mes jambes gainées et ma jupe sacrément courte.

— Whaaaa, belles jambes, fais nous un demi tout Kate.

— Pas ici Frank, nous sommes dans le magasin.

— Ecoute Kate, tu sais que le seul moyen d’obtenir ces photos que nous avons tant admirées un peu plus tôt aujourd’hui, c’est de faire exactement ce que je dis. Compris ?

Le salaud ! Il a montré à ses amis mes photos ! Il m’a montré entrain de sucer sa bite et de me baiser à ces hommes autour de moi ! Mon visage vire lentement au cramoisi quand je réalise que chacun d’eux à découvert mon corps sans mes vêtements. J’ai plus envie de cacher mon visage plutôt que de faire ce qu’il demande.

— Soit une gentille fille et montre nous ton beau cul.

Soudain, j’aperçois un slip par terre juste en face de moi. Pourquoi ce slip est la ? Je n’ai pas à attendre longtemps une réponse.

— Kate, ce magnifique slip est pour toi, je veux que tu l’essaye, mais je veux que tu le ramasse sans plier tes genoux. Ne plie pas tes genoux Kate, dit-il avec autorité.

Quel connard ! Je sais bien qu’il veut que je montre mon cul ! C’est donc çà qu’il veut, m’exposer en public, pour m’humilier devant ses amis ! Je jette un coup d’il aux alentours et remarque une jeune vendeuse qui pourrait éventuellement me voir doù elle se tient.

Et bien nous y voilà ! Je me penche pour ramasser le slip tout en gardant mes jambes droites. Je sens ma jupe remonter exposant mon cul et ce n’est pas mon minuscule string qui va le cacher ni ma chatte. Mais peu importe car cette position en public me fait déjà frissonner car elle est tellement érotique.

— Beau cul, Whaou ! S’exclame un de ses amis.

Devant leurs exclamations et leurs faibles sifflements je me redresse immédiatement pour ne pas prolonger cette exposition obscène. Je tourne la tête et je remarque que la jeune vendeuse regarde dans ma direction. Ils vont probablement bientôt nous expulser de ce magasin. Le slip dans ma main tremblante je rabats ma jupe sur mes hanches.

— Bon, maintenant, allons dans une cabine pour voir comment il te va.

Je serre les dents et me dirige vers une cabine en essayant de ne pas trop onduler des fesses. Mais avec mes hauts talons et une mini jupe comme la mienne mes hanches roulent à chaque pas et je sens leur regard sur mes fesses qui me déshabille.

Je m’arrête devant l’entrée étroite des cabines avec tous ces pervers empilés derrière moi. Je n’attends pas longtemps, la jeune fille qui m’a vu me pencher pour ramasser le slip est venue derrière nous.

— Puis-je vous aider ?

Elle est jeune, mais elle a surement plus de dix-huit ans car ce magasin embauche seulement les personnes d’âge légal. Ses longs cheveux blonds sont liés dans le dos avec une grosse barrette mettant en valeur les traits délicats de son visage. Elle est très jolie avec de magnifiques yeux bleus en amande comme je n’en ai jamais vu. Elle porte un pull sympa qui met en valeur une belle paire de sein et un pantalon, un ensemble du magasin.

— Oui, mon amie aimerait bien l’essayer sur elle.

— Oh Salut Frank, je peux l’aider si tu reste dehors répond-elle en lui souriant.

— Salut Lisa, je ne savais pas tu travaille ici

Répond-t-il avec un sourire charmeur qui me surprit connaissant le personnage.

— Et oui, je me fais de l’argent de poche en poursuivant mes études.

Elle regarde le slip dans ma main.

— Je suis désolée mais les clientes ne peuvent pas essayer ce type de vêtement juste les acheter et revenir si il y a un problème

Je souri intérieurement avec l’espoir qu’elle va gâcher les plans de Frank !

— Lisa, elle a vraiment besoin d’essayer avant qu’elle achète, tu ne peux pas faire une petite exception pour mon amie ?

Je commence à comprendre pourquoi il a choisi ce magasin par rapport aux autres, il savait qu’elle travaillait ici ! Quel homme sournois !

La jeune Lisa réfléchie en mordant sa lèvre inférieure comme une jeune ingénue.

— Eh bien, peut-être. Peut-être que je peux contourner les règles juste cette fois, puisque tu me le demande si gentiment.

Cette jeune fille flirte ouvertement avec lui, visiblement attirée par lui. Si elle savait seulement ce qu’il est vraiment.

— Génial, Merci, tu es la meilleure Lisa.

Elle est passée devant lui et a attrapé un carton avec numéro à proximité d’elle. Elle me regarde et ses yeux sont encore plus grands et je remarque qu’elle retient son souffle. Elle me semble légèrement agitée.

— Suis-moi », dit-elle simplement.

— Oh Kate, nous aimerions bien voir ce que çà donne sur toi

Lisa se retourne vers lui, mais ne dit rien. Je la suis et j’entre dans la cabine en fermant la porte derrière moi. Jappuie mon dos contre le mur et je vérifie mon téléphone pour voir si j’ai un message, espérant qu’Aurélie me donne un signe d’espoir. Mais rien, pas de message.

Jusqu’à présent je n’ai pas prêté vraiment attention au slip que j’ai dans ma main, mais je réalise que c’est un string encore plus mini que le mien !

Pas étonnant, que Frank est choisi celui la. Je retire le mien et enfile l’autre. En soulevant ma jupe sur mes hanches je m’examine dans le miroir. Comme je le craignais ma chatte est parfaitement, mon clito, mes grandes lèvres… tout !

C’est tellement humiliant mais je dois faire ce que Frank veut.

Je tire ma jupe vers le bas, prends une grande respiration et je sors de la cabine. Frank parlait avec ses amis, mais dès que je suis sorti, ils me regardent. Je me dirige vers eux et je m’arrête. La jeune fille me fixe avec ses grands yeux pendant que Frank et ses amis me dévorent des yeux comme des loups affamés.

— Alors Kate, voyons, on attend !

Déclare Frank dans l’expectative.

J’hésite, la jeune fille m’observe dans l’attente de ce que je vais faire. Me regarde t elle comme une chienne lubrique qui s’expose lascivement. Frank me regarde avec un regard froid. J’attrape les bords de ma jupe et je la soulève lentement. La jeune fille halète n’en revenant pas que je fasse cela devant tant d’hommes. Ma jupe sur mes hanches je peux voir sur leurs visages la satisfaction de la pervertir.

— Très joli et si sexy !

— Wouai ! Putain elle est belle !

— Whaoouu !

Plus quelques commentaires obscènes sur ma chatte bien visible et les lèvres séparées par le bout de tissu.

Tous me regardent… surtout ma chatte y compris la jeune fille. Il commence à faire chaud ici et je sais bien que je suis entrain de m’exciter devant leurs exclamations.

Peu importe si j’ai essayé de ne pas faire çà car mon corps réagit à cette situation érotique et je commence à mouiller de la chatte.

— Kate, fais un tour complet, exige Frank.

Et bien sur j’obéis en leur montrant mon cul qui est complètement découvert. Mêmes hoquets et mêmes commentaires. Je me sens comme une chienne, esclave de la volonté de Frank qui, pour une raison incompréhensible me procure une sensation agréable que je ne peux définir. Je devrais être en colère, mal dans ma peau, énervée mais pas excitée !

De retour face à eux, ma jupe toujours sur ma taille je vois la jeune fille et je lis de l’excitation dans ses grands yeux ce qui augmente ma propre excitation.

— Qu’en pense Lisa ? Tu crois qu’elle doit la garder ?

Lisa ravale sa salive et me regarde de haut en bas et passe sa langue sur ses lèvres sèches avant de répondre.

— Ah, oh mon, je n’ai jamais… ok, je pense que oui. Il semble vraiment fait pour elle.

Dit-elle, son visage tournant au rouge, quand elle regarde Frank.

Je vois qu’il a, lui aussi, remarqué son excitation mais il réprime vite un sourire naissant sur son visage. Il pense à quelque chose et son esprit pervers est entrain de planifier des choses pas très catholiques.

— Lisa nous allons prendre un verre avec notre amie dans un bar tu peux peut-être nous rejoindre. A qu’elle heure tu finis ?

— A huit heures, répond-elle rapidement.

Il sourit à nouveau heureux de mêler cette jeune fille à ses jeux pervers et de l’utiliser pour certaines de ses idées immorales.

— Génial, nous allons chez Lolipop, tu vois ou c’est ?

Ses yeux s’agrandissent de plus bel et haletante elle répond :

— Oh mon Dieu, je connais ce bar c’est sur mon chemin. Vous allez vraiment là !

Quelque chose dans le ton de sa voix me met mal à l’aise. Le Lolipop où j’ai entendu ce nom avant ? Mon mari et moi avons visité pas mal de bars et de clubs mais je n’arrive pas à situer celui là.

— Et oui ! Pourquoi pas. Elle aime jouer… Dit-il en me regardant.

Lisa me regarde de nouveau et encore une fois, ses yeux se braquent vers mon entrejambe. Elle reste un moment a fixer mon string ou ma chatte avant de répondre.

— Je voisOk les gars je vais vous rejoindre vers huit heures.

Que veut-elle dire par je vois ? Quel genre de lieu est ce Bar ? Je me retourne pour aller changer de slip, mais Frank m’arrête.

— Oh Kate, tu peux le garder sur toi, il te va si bien. Je vais te l’offrir.

Frank a payé le string en flirtant avec cette naïve jeune fille et nous sommes sortit du centre commercial. Dans le 4×4 je me suis retrouvée sur le siège arrière entre trois de ses amis et j’ai beau tirer sur ma jupe, je n’arrive pas à cacher mes cuisses car elle est remontée sur mes hanches en m’asseyant et elle est tellement serrée qu’elle ne bouge plus. Mes longues jambes et mon string sont la cible des regards de tous les pervers qui m’entourent. Frank à un moment donné ajuste son miroir, et il doit pouvoir voir entre mes jambes. Je les garde bien fermées pour ne rien lui montrer.

Soudain je sens une main sur ma cuisse et baissant les yeux je vois que le pervers de droite a décidé de me ploter. Très vite son partenaire de gauche fait de même. Ils gardent leurs mains sur mes cuisses pendant un certain temps et très lentement commence à les déplacer en jouant avec ma peau chaude. Je peux voir le sourire de Frank qui regarde dans son rétroviseur. Lorsque leurs mains sont au bord de mon string je prends leurs mains pour les repousser plus loin. Je ne veux pas qu’ils me prennent si facilement.

— Dis donc, Frank ou allons-nous et qu’as-tu en tête ? Histoire d’engager la conversation avec lui.

— Tu veux dire que tu n’as jamais entendu parler du Lolipop ?

— Ca ne me dit rien et ce n’est surement pas mon genre de bar.

— Et bien Kate ce sera une découverte et une surprise pour toi ce soir. Fais moi confiance tu vas adorer.

Quelqu’un a tiré par derrière sur ma jupe et je sens maintenant le cuir froid du siège entrer en contact avec mon cul. La sensation est agréable et cette fraîcheur atteint même mon entrejambe. De nouveau les mains se retrouvent sur mes cuisses très proche de mon string exposé à leur vues.

Je décide de ne rien faire et je garde mes jambes étroitement serrées. Malgré la situation scabreuse je gère encore mais ma respiration s’accélère.

Un doigt glisse le long du côté de mon string enfoncé profondément dans la crevasse de mon entrejambe et me fait pousser une exclamation. Ces deux pervers essayent de forcer mes jambes à s’écarter et en me débattant je glisse vers l’avant et comme ils ont réussit à écarter mes genoux et, en raison du manque de place, mes genoux sont définitivement coincés dans cette position. Ils ont maintenant la possibilité d’admirer mon string humide coincé dans la fente de mon sexe. J’essaye de libérer mes mains qu’ils maintiennent mais tout ce que je réussi à faire c’est d’ouvrir encore plus mon décolleté et montrer mes auréoles presque dégagées. Tous me regarde notamment le pervers dans le siège passager et Frank dans son rétroviseur, car je suis quasiment nue.

Maintenue ainsi dans cette position je subis leurs attouchements et des doigts se baladent le long des lèvres de ma chatte ce qui me fait frémir. Je veux dire quelque chose, leur dire d’arrêter, mais je ne dis rien et je ne gémis pas car je ne veux certainement pas qu’ils sachent que je prends du plaisir à leurs attouchements.

Et ils savent y faire ! Leurs doigts fureteurs font fondre lentement ma résistance. Alors que deux pervers jouent avec mon string et se qui se trouve dessous, le troisième, assis à ma droite arrive à passer par-dessus son pote pour mettre sa main dans mon décolleté. Quand son doigt c’est posé sur un téton le mec sur le siège passager à tendu la main pour la mettre sur ma cuisse nue et la caresser. Je commence à devenir folle sous toutes ses mains qui me tripote et la salope qui m’habite refait surface.

Tout d’un coup lorsque ces doigts sur le bord de mon string glissent dessous et frottent en de minuscules petits cercles sur mon clito, mes cuisses s’écartent toute seules et je gémis de plaisir. Je perds le contrôle de mon corps.

— Oh les garçons ! Pas maintenant ! Sils vous plait !

Ils me dévisagent un instant mes rapidement leurs regards se porte sur mon corps exposé et leurs yeux remplis de désir m’ôtent mes dernières velléités de résistance. Je les laisse faire et je m’offre à eux d’une manière aussi perverse que la leur. Leurs doigts fouillent mon entrejambe et le petit bout de tissu coincé dans ma fente glisse sur le coté, exposant ma chatte humide fraîchement rasée à la recherche d’un face à face.

Les loups se déchainent et ils soulèvent mes jambes en les écartelant et placent mes deux pieds sur les dossiers de sièges avant. Le gars qui pelotait mes seins retire mon haut et libère mes seins pour que tous puissent les voir. Il attrape mes tétons dressés et tout durs et tire dessus ce qui me fait cambrer mon dos de plaisir tandis que des doigts qui courent sur ma chatte entrouvrent mes grandes lèvres trempées et les écartent sur le coté.

Dans un dernier sursaut de dignité, j’essaye de libérer mes mains mais les deux salauds à mes cotés les maintiennent derrière mon dos. Je n’ai jamais été exposé autant, chaque centimètre de mes parties intimes sont révélées. Je regarde par la vitre de la voiture et je me rends compte que tout est visible depuis le trottoir de la rue que nous longeons. Oh non ! N’importe qui si elle tourne la tête pourrait me voir comme ça ! Ma tête tourne et je ne sais pas si c’est de plaisir ou le choc. Ils continuent à fouiller, à tripoter les lèvres de ma chatte, mouillant avec jubilation leurs doigts dans mon jus féminin, en regardant mon corps ainsi exposé et à leur disposition pour leur plus grand plaisir.

Je baisse mes yeux et rien qu’a voir des doigts pénétrer entre mes lèvres de chatte et aller et venir sur toute la longueur de ma fente ouverte, je mouille encore plus et mon excitation monte d’un cran de plus.

J’avance encore plus mon pubis et renverse ma tête en arrière en gémissant de plaisir. À ce moment, l’un d’eux place ses lèvres sur les miennes et m’embrasse, forçant sa langue dans ma bouche. Je ne résiste qu’un court instant, jusqu’à ce que je sente un des doigts pénétrer dans mon trou détrempé et je me laisse aller. J’ouvre ma bouche et j’accepte son chaud baiser et ma propre langue tourne autour de la sienne dans un duel intime. Je sens un autre doigt glisser en moi et je réalise qu’avec une bienveillance coquine que les doigts de 2 hommes fouillent en même temps ma chatte complaisante.

Le salaud qui m’embrasse lâche ma bouche et je peux voir ma chatte humide maltraité par son doigt comme dans un rêve érotique. Je regarde Frank, ses yeux sont plus souvent sur le rétroviseur que sur la route et il préfèrerait surement être sur le siège arrière avec moi. Je sens que je ne vais pas tarder à jouir et l’inévitable dénouement approche rapidement. Lorsque que la voiture s’arrête à un feu rouge je vois un homme et une femme qui jette un coup d’il à travers la vitre.

Mon Dieu ils doivent tout voir ! Et je ne fais rien ! Le pervers du siège passager plonge sa main sous mes cuisses pour toucher mon cul et ses doigts glissent vers mon trou du cul.

Et cette salope qui est en moi lève et écarte ses cuisses encore plus sachant très bien ce qu’il veut faire. Cette sensation sexuelle enivrante agace mes sens et quand il met un doigt mouillé sur ma rondelle, je gémis en regardant le couple sur le trottoir. Son doigt s’enfonce dans mon trou du cul qui s’écarte volontiers sous cette intrusion. Je laisse ma tête aller en arrière sous ce plaisir que j’aime tant et une nouvelle fois je sens quelqu’un prendre mes lèvres et je l’embrasse ardemment alors que plusieurs doigts agrandissent mes 2 trous intimes.

Je suis dans une totale extase perverse et je veux rester dans cet état le plus longtemps possible. Mon cul se déplace involontairement au rythme de leurs doigts qui me fouille et je gémis sans arrêt dans la bouche du mec qui m’embrasse.

Je suis tellement proche de l’orgasme que… il s’arrête de m’embrasser. Il se retire vers l’arrière bénéficiant ainsi d’une belle vue sur mon corps en extase. Je réalise que mes mains sont libres, personne ne me retient. Je peux soulever et bouger mon cul comme je veux en me soutenant sur mes mains et avec un rictus pervers je me baise moi-même sur tous ses doigts enfoncés dans ma chatte et mon trou du cul et mes seins exposés et disponible pour les mains non occupées.

— Putain de merde ! Quelle salope

— Regarde comme elle mouille !

— Ouais, c’est une vraie chaudâsse !

Ils sont sous le choc de ma libido débridée et moi je suis complètement déchainée. Mon corps m’a trahi une nouvelle fois .C’est humiliant à m’offrir comme çà à ces hommes mais je ne peux plus m’arrêter, s’est sacrément trop bon…J’ai besoin de plus ! J’ai besoin de jouir !

Mon cul s’affole, forçant les doigts plus profondément dans ma chatte et mon trou du cul tout en gémissant de plaisir d’avoir mes deux trous remplis en même temps. Je suis une vraie dépravée sexuelle, une putain qui se fait baiser ses 2 trous par leurs doigts… en face d’eux ! Je sens d’autres doigts qui tirent sur mes tétons durs, les pinçant jusqu’à ce que je ressente de la douleur… non du plaisir… du plaisir par de la douleur ! J’ai l’impression qu’une main entière me fouille et écartèle les parois de mon vagin pourtant déjà grand ouvert et quand les doigts qui sont dans mon cul sont allés plus loin mon corps à explosé !

Ma chatte coule comme une fontaine, je ne sais pas combien de temps mon orgasme à duré, je m’entendais gémir au loin, et j’ai failli perdre conscience. Tout ce que je sais, en reprenant pied, c’est que mes hanches sont toujours en mouvement et leurs doigts fermement ancrées à l’intérieur de moi jusqu’à ce que mon corps se calme complètement et arrête de bouger. Je suis vidée, tout mon entrejambe est rouge et tous me fixent avec de grands yeux émerveillés. Je me rassoie en arrière sur le siège et leurs doigts glissent hors de moi en même temps.

Frank que je vois dans le rétro a un sourire narquois sur les lèvres et dit :

— Bravo Kate, tu as été sublime et tu as réussi à prendre ton pied juste à temps, nous sommes arrivé chez Lolipop.

Je réalise que nous sommes garés. Ils ouvrent les portières et commence à sortir de la voiture. Gros soupirs et incroyablement gênée, je tire sur ma jupe, remet correctement mon chemisier pour masquer mes seins et je sors. En regardant autour de moi, je vois une construction avec un néon lumineux au-dessus de la porte d’entrée, en bois sombre « Lolipop, Gentlemen ’club ».

Mon Dieu, c’est un club de striptease ! Ils me prennent pour un club de striptease et peut être de débauche perverses !

Ils commencent à marcher vers l’entrée mais mes jambes ne peuvent bouger. Un des potes de Frank me saisit la main et me traine carrément dans cette boite pour hommes dépravés.

Je les suis dans un état second et la salope en moi étant momentanément partie je ne peux pas croire ce que je viens de faire dans la voiture, et avec un reste de lucidité je me demande de quelle façon je vais pouvoir me sortir de là avant que les choses n’empire. Mon seul espoir c’est ma fille et son plan qu’elle a pour me sauver des griffes de ces pervers.

Je pense à mon téléphone portable et … merde ! je n’ai pas mon sac à main !

— Frank, j’ai besoin de retourner à la voiture, j’ai laissé mon sac à main à l’intérieur, dis-je m’arrêtant à dix mètres de l’entrée principale.

Frank et ses potes s’arrêtent et me regarde comme une strip-teaseuse qui va prendre son travail.

— Ok Kate, va le chercher. dit-il avec irritation.

Je cherche partout mais mon sac à main n’est pas là. Je me tape le front avec inquiétude et que je me souviens que j’ai laissé mon sac à main avec mon slip dans le vestiaire du magasin. Je les ai posés quand Frank m’a demandé d’essayer son mini string. Oh mon Dieu, que vais-je pouvoir faire maintenant !

— Je dois retourner au magasin, j’ai laissé mon sac là bas, lui dis-je.

— Tu ne pense quand même pas que je vais perdre mon temps pour retourner au centre commercial ?

Quel trou du cul, un vrai salopard qui ne se soucie que de lui-même et de ses idées perverses et déviantes.

— Mais j’ai tout dedans, mon téléphone mes cartes mon tout quoi ! Si vous ne voulez pas me ramener au centre je vais prendre un taxi.

— Kate, Kate…Kate. Tu oublies dans quelle situation tu es. Si tu ne fais pas ce que je veux, ces photos merveilleusement explicites vont atterrir sur le bureau de ton mari. Huuummm, et peut-être même chez certains de tes amis ou tes enfants. Comment Eric va prendre çà s’il découvre à quoi ressemble vraiment son innocente mère ?

J’ai envie de le tuer et de me jeter dessus pour lui arracher ses yeux avec mes ongles ! Je déteste cet homme mais je sais aussi ce qui est enjeux. Mon mariage et ma famille. Je pense surtout à Eric et à la possibilité de le perdre. Alors je prends mon courage à deux mains, je mets ma fierté dans un mouchoir et je retourne en direction du club et vers l’inévitable malheur que m’a préparé Frank que j’entends rire tout bas dans mon dos.

Frank s’approche à côté de moi et nous nous entrons tous par un couloir étroit ou quelques hommes attendent je ne sais quoi.

Dans la pièce principale je vois deux jeunes femmes complètement nues qui dansent sur une musique forte. Elles montrent sens complexe tout leurs atouts féminins. Je suis surprise qu’elles peuvent faire çà complètement nue, elles n’ont même pas un cache sexe.ils n’ont même aucune culotte. J’ai vite compris qu’elle genre de club j’ai à faire ! Nu intégrale et plus si affinités !

En allant payer notre entrée on croise 2 hommes, probablement des videurs. L’un d’eux est du genre motard brut de décoffrage avec une longue barbe noire et moustache qui me rappelle vaguement le chanteur d’un groupe à la mode. Il est grand, probablement 1,90 m et massif pouvant surement ramener le calme si un incident ce produit. Il me détail de la tête aux pieds s’attardant sur mes seins et ma petite jupe, profitant de la vue avant de prendre l’argent de Frank.

— Hello, Frank, qui est cette beauté ? Demande-t-il le regard braqué sur moi.

Frank sourit en me faisant face.

— Juste une petite salope avec qui nous allons prendre du plaisir ce soir.

Je sens que je deviens rouge, surtout de la façon qu’il dit çà !

— Parfait, il était temps d’avoir enfin de la chair fraiche ici ! répond le videur.

— Je vois que tu es toujours avec gueule d’ange

Dit Frank en pointant du doigt l’autre videur tandis que ses potes se mettent à rire.

Je regarde l’autre homme, plus petit que le premier, plus massif de partout. Ses épaules, la poitrine même ses bras sont gros et tout en muscles. Il n’est pas en surpoids comme l’autre videur, son ventre est plat et je suis sure qu’il a de beaux abdominaux sous sa chemise. Mais la caractéristique la plus captivante c’est était son visage. Il était beau avec des cheveux blonds peignés sur le côté, rasé de près et des yeux… bleu profond comme l’océan mais sans expression. Je le regarde en me disant c’est encore un enfant… un enfant avec un corps de géant… un gentil géant.

— Oui toujours là, je ne sais pas pourquoi, il m’est inutile.

Ils rigolent tous et je n’en reviens pas qu’il les laisse parler de lui comme ça, il est évidemment assez fort pour le foutre une raclée à chacun d’eux, mais en regardant ses yeux, je sais qu’il ne fera rien… il ne ferait pas de mal à une mouche. Il reste stoïque avec un regard vide dans les yeux et le visage impassible.

— Je pense qu’ils le gardent juste pour intimider les abrutis qui déconneraient et leur faire peur.

Frank se dirige vers le doux géant et lui caresse son visage avec sa main ouverte, montrant qu’il n’a pas peur. Quelqu’un d’autre aurait certainement foutu son poing dans la gueule de Frank pour lui avoir fait çà mais il reste là sans même regarder Frank. Nous nous dirigeons vers la zone principale et je regarde une dernière fois avec tristesse cette "gueule d’ange" qui me suit des yeux et qui regarde, nonpas mon corps comme tous ses pervers mais il cherche mes yeux et je suis surprise parce que tout à coup, pendant un bref moment, j’ai vu dans ses yeux de l’intérêt et de l’intelligence.

Rapidement cette étincelle de vie disparait mais elle est remplacée par un petit sourire, un sourire amical qui combiné avec son allure d’homme bien élevé me donne une sensation de chaleur.

— Aller, Kate ! Tu te ramène !

Je reviens à la réalité tant redoutée par la voix de celui que je déteste. Il m’attrape la main et me tire vers la table la plus proche de la scène principale. Je remarque que tous les mâles du club me regardent, et les strip-teaseuses sur scène aussi lorsque je prends un siège pour m’assoir.

Immédiatement, je croise mes jambes pour que des yeux trop curieux ne voient ma chatte peu couverte par le mini string de Frank. En regardant autour, je constate que le club est composé d’une grande salle jonchée de tables et de chaises. Un bar contre le mur du fond avec des serveuses très légèrement vêtue qui préparent les boissons et les apportent aux clients. Chacune des serveuses porte des strings minuscules avec des bas auto-fixant mettant en valeur leurs longues jambes et leurs fesses que tous regardent quand elles marchent pour venir les servir.

L’une d’elle s’approche de nous pour prendre la commande. Elle est jeune, jolie, avec des cheveux noirs court et un joli corps bien proportionné. Quand elle me demande ce que je désire boire, ses yeux se posent sur mes seins et elle ne peut s’empêcher de passer sa langue sur ses lèvres avant de regarder mon visage pour prendre ma commande. Ce bref regard m’a troublé au point de bafouiller ce que je veux boire. Elle me sourit et cligne de l’il avant de détailler ouvertement mon corps avant de s’éloignée. Je regarde Frank et je vois qu’il a remarqué tout çà. Ce pervers n’a pas besoin de voir ça, mais il est trop tard pour y penser d’autant que lorsque la fille s’est éloignée j’ai admiré son cul bien rond visible pour tous.

-Bien ! Les commandes sont passées. Ça va être le tour de Lola. Kate viens plus près de moi.

Dit Frank en me tendant la main.

Je tire ma chaise près de lui, je m’assoie et je le vois sortir une liasse de billets. Bientôt ses potes se pressent de chaque côté de nous et attendent la prestation d’une dénommée Lola.

La musique change de rythme et le rideau à l’arrière de la scène s’ouvre pour laisser apparaitre une femme et tous les yeux sont immédiatement braqués sur elle, y compris les miens. Je ne peux détourner mon regard devant la beauté de cette femme au corps incroyablement captivant qui n’arrête pas de me regarder. Ses longs cheveux noirs descendent sur ses épaules en ondulant ce qui lui donne un look exotique et sexy par son corps à peine couvert et séduit tout le monde avec son magnétisme. Ses seins sont magnifiques et ses tétons déjà durs déforment le soutien-gorge en dentelle fine qu’elle porte alors que son slip ne couvre uniquement que l’entrée de son vagin. Il est évident qu’elle est complètement rasée sans aucuns poils pubiens n’importe où.

Elle tournoie autour d’un mât central de la scène et regarde le public avec un regard bestial. Sa confiance et son savoir faire captive tout le monde. Lorsque ses yeux me fixent je me raidis et elle me regarde avec envie tout en se glissant près de nous en déplaçant son corps sexy au rythme de la musique. Elle me sourit et se penche vers Frank en le taquinant avec ses seins presque nus.

— Frank présente moi ton amie

Pourquoi tout le monde pense que je suis avec Frank !

— Kate pour les intimes ! Kate je te présente Lola qu’on appelle parfois l’oiseau noir.

Elle se rapproche de moi et me tend sa main. Je sens que je mouille mon string rien quand étant si près de cette belle femme. J’essaye de continuer à la regarder dans les yeux mais mon désir me trahi et lentement je baisse mes yeux vers ses seins et son ventre très légèrement bombé.

— Bonjour, Kate, pour vous aussi

Murmurai-je en regardant son visage.

Je me sens comme une petite fille, devant son premier regard sur un homme nu et prête à faire ce qu’il veut.

— Avez-vous un billet pour moi ?

Me demande -t-elle, et je sens quelqu’un me glisser un billet dans la main.

Elle sourit en se relevant et en ondulant des hanches au rythme de la musique. Je ne sais pas très bien ce que je fais mais je me lève en repoussant la chaise derrière moi. J’écarte un peu les jambes pour me stabiliser et je me soutiens avec mes mains sur le rebord rembourré de la scène. Je la regarde danser devant moi totalement captivé par elle. Elle se retourne et fait ressortir son cul devant mon nez. Ma gorge s’assèche alors que mes yeux parcourent librement son cul magnifique.

A ce moment je n’entends plus la musique, tout ce passe au ralenti. Elle est sur scène en face de moi, si proche. Elle a ses jambes écartées et la tête tournée me regarde mais je ne peux détourner mon regard de son entrejambe et de son cul alléchant. Soudain, elle se penche sur ses jambes raides et ses mains sortent de son entrejambe pour me tendre la main. Je tends la miennes tremblante en serrant le billet et elle me la saisit en me tirant vers elle. Je suis presque collé sur son cul, le nez pour ainsi dire entre ses fesses, et elle frotte son ventre de ma main.

Je vois furtivement sa chatte légèrement humide sous son string minuscule entre ses fesses qui ne cache quoi que ce soit. Elle tire encore un peu sur mes mains et mon visage est maintenant sur son cul.

Je panique un peu car je suis dans un club de striptease intégral pour hommes avec mon visage à un cm du cul d’une belle femme ! Elle tire encore, me forçant à me pencher, et je suis vaguement consciente que ma jupe roule sur mes fesses exposant probablement mon cul à celui qui est assis derrière moi. Je veux arrêter, faire demi-tour et tirer ma jupe vers le bas, pour que personne ne vois mon cul, mais je ne peux pas.

Dans une nouvelle traction mes mains reposent sur ses seins et mon nez est coincé entre ses belles fesses et ma bouche se retrouve sur son trou du cul. Je retiens mon souffle choqué par ce qui se passe, mais je ne peux m’arracher, quelque chose de plus profond à l’intérieur de moi me force à rester là, debout dans une cette position obscène.

Lentement, les pensées érotiques de ce que je fais font disparaitre toute les inhibitions qui pourraient encore me sauver et prenant une grande respiration, j’ouvre la bouche.

Oooh putain que son cul sent bon ! Cet odeur mélangée avec celle de sa chatte humide accable mes sens et me choque, mais c’est tellement érotique et sale de le faire ! Je sors ma langue pour toucher le trou du cul de cette femme avec.

"Mon Dieu, quelle salope je suistellement garce. Une vraie pute !"

Ces pensées traversent mon esprit confus. Elle gémit et arque encore plus son dos en faisant voler ses cheveux contre ses épaules.

Je lèche une nouvelle fois et elle gémit de nouveau ! Oh mon Dieu, mais qu’est ce que je fais ! Je continue de lécher son trou du cul avec ma langue et je la glisse progressivement jusqu’à ses lèvres de chatte humide et j’aspire le jus qui commence à couler en écoutant ses gémissements. J’ai une nouvelle révélation qui vient dans ma tête. J’apprécie de la faire gémir ! Je lèche encore et encore en fermant les yeux et je me rends compte qu’elle ne tient plus mes mains qui restent collées sur ses seins.

J’ouvre mes yeux et je la vois qui regarde par-dessus son épaule avec surprise et ses mains sont sur ses fesses pulpeuses pour les écarter et me permettre un meilleur accès. J’ouvre ma bouche largement et je déguste le trou du cul de cette femme avec passion… avec convoitise… Je ne me préoccupe pas en ce moment qui peut me regarder faire çà, je la veux, juste elle.

Enfin je prends conscience des cris et des sifflets qui fusent autour de nous, mais je ne peux plus m’arrêter. Je lèche son trou du cul tordant ma tête de gauche à droite, introduisant ma langue le plus loin possible sous ses gémissements qui me font vibrer. Je sens des mains sur mon cul et mon string mais étonnamment, personne ne me touche intimement. Je ne sais pas combien de temps j’ai bouffé le cul de cette femme mais quand la musique s’arrête elle s’éloigne de moi et se retourne en me regardant avec ses grands yeux. Je me tiens là, avec mon visage maculé de son jus, regardant avec se désir encore chaud de ce qui nous faisions et me rendant enfin compte que tous dans le club bondé nous entoure. Elle s’approche de moi et se penchant tient mon menton dans sa main et m’embrasse passionnément. Après un moment elle se retire en balayant le sol avec ses mains, rassemblant toutes les billets qui s’y trouve.

— Oh mon Dieu !

Je me suis assise mon visage entre mes mains. Je sens que tous me regarde encore en retournant lentement vers leurs sièges et que le DJ annonce :

— Whaou ! Comme d’habitude chez Lolipop des surprises ! Étanchez votre soif avec des boissons et n’oubliez pas de donner un pourboire à ces dames. Ensuite, Annie, la jeune starlette sulfureuse du Texas viendra faire un show sulfureux !

Je lève ma tête et regarde autour de moi. Frank m’observe attentivement ainsi que ses potes pervers. Ses yeux se posent sur mes lèvres et je sais ce qu’il pense. Il se penche plus près pour me dire doucement ;

— Tu prends aussi ta fille comme çà, Kate ? Tu bouffe le cul d’Aurélie comme ça ?

Ma main part involontairement pour frapper sa face de salaud mais il l’attrape au vol.

— Je parie que tu lui fais çà je parie que lorsque ton mari va dormir tu te glisse dans sa chambre pour faire gémir ta fille comme tu viens de faire gémir cette femme sur scène.

Je lui jette un regard meurtrier dont il se moque éperdument.

— Tut-tut, Kate, n’oublie pas les photos

Chuchote-t-il en lâchant ma main.

Il se lève et me fait signe de faire la même chose. En me levant je réalise que ma jupe est enroulée autour de ma taille et mon string disparait entre mes fesses et la fente de ma chatte.ma culotte était bourrées avec factures. Oh mon Dieu, je suis comme ces stripteaseuses ! Je commence à tirer ma jupe mais Franck m’arrête.

— Reste comme ça tu ne vas pas la porter longtemps. On va rejoindre Lola dans un salon VIP et voir ce que ta prestation lui a rapporté.

Je le suis ma jupe en boule autour de ma taille et mon string tiré sur le côté, ma chatte et mes lèvres intimes visibles par tous. Tous les membres de notre groupe sont visiblement excités et évidemment tout le monde sait ce que le salon VIP implique, sauf moi. Quoi qu’il en soit ce n’est surement pas bon pour moi.

En fait le salon privé est une chambre avec les murs recouverts de miroirs reflétant chaque cm de la pièce, le sol est couvert de moquette pourpre et épaisse et le lit central est rond.

Lola est assise dessus et elle me fait signe d’avancer. Je m’approche d’elle et de son doigt elle me caresse le visage puis descend lentement jusqu’à mon cou en chatouillant ma peau sensible. Elle regarde ma poitrine qui monte et descend au rythme de ma respiration qui varie au fur et à mesure que mon excitation augmente.

Elle écarte mon chemisier pour caresser mes seins et me dire ;

— Tu es très belle Kate. Et ça fait longtemps qu’on ne m’a bouffé le cul comme çà. T’es douée !

Elle frotte doucement mes tétons puis caresse mon ventre. Mes cuisses s’écartent toutes seules et maintenant elle laisse courir son doigt dans la fente visible de mon vagin dégoulinant.

Je suis perdue et elle gagne à ce petit jeu. Je le sais et je la laisse faire. Mes jambes s’écartent encore plus, lui permettant de glisser son doigt dans mon trou.

— Tu mouille sacrément Kate ! T’aime çà hein ? Mets une jambe sur mes genoux.

Dit-elle réunissant ses jambes.

Elle taquine mes lèvres humide et tourne autour de mon clito et répand mon jus tout autour de ma chatte. De temps en temps, elle me regarde pour voir sur mon visage comment j’apprécie son attention avec ses doigts sur ma chatte. Tous les mecs sont autour et profitent du spectacle.

Je commence à pousser de petits gémissements, surtout quand elle frotte mon clito. Je m’approche pour l’embrasser mais elle se recule en riant. En cet instant je suis son jouet sexuel, sa petite salope et elle sais que je me laisserais faire si elle veut me faire sombrer dans ce désir sexuel qu’elle tire des profondeurs de mon âme.

J’entends la porte du salon s’ouvrir et une voix qui dit :

— Salut Frank, on m’a dit que tu étais làwaouh, oh mon Dieu !

Je tourne la tête et je vois que c’est la jeune fille du grand magasin qui vient d’entrer et qui s’assoie dans le fauteuil à gauche de Frank.

Je vois que Lisa à mon sac à main ! Mon dieu, mon téléphone ! Elle doit l’avoir trouvé dans le vestiaire et elle me le rapporte. Il faut que j’appelle Aurélie !

Ses yeux regardent déjà attentivement ce que Lola me fait. Apres un bref coup d’il sur la fille Lola se concentre de nouveau sur mon corps avec cette douceur que seulement une femme peut avoir.

Voila qu’une autre paire d’yeux et si jeune me regarde me faire branler par une autre femme ! Je gémis de plus en plus et je sens les prémisses d’un orgasme qui monte dans mon corps.

Les caresses de Lola changes soudainement de méthodes et ses doigts se réunissent pour écarter mes lèvres détrempées pour pénétrer dans mon sexe chaud et dégoulinant. Je regarde une nouvelle fois autour de moi mais personne ne s’approche. Ils regardent tous ma chatte et ce que fait Lola avec elle.

— Bien, passons aux choses sérieuses, dit Lola.

Je suis surprise par le changement de ton et un peu paralysée par sa dureté. Elle n’est plus douce et me regarde de ses yeux flamboyants. Elle me tire vivement vers elle et m’embrasse en plein sur les lèvres, forçant sa langue à l’intérieur de ma bouche.

— Huuummm je sens encore mon cul dans ta bouche. Tu es vraiment une salope perverse.

Elle se lève et tourne autour de moi. Je regarde Lisa qui m’observe avec de l’excitation dans ses yeux et d’un coup je reçois un gifle sur mon postérieure qui me fait courir un frisson dans ma colonne vertébrale.

J’arrive quand même encore à penser qu’il faut que je récupère mon téléphone avant que Lola se plaque dans mon dos et presse, avec une force surprenante, mes deux seins.

— J’aime les seins fermes et accrochés assez haut sur un torse. Lève tes bras !

Me dit-elle.

Les siens sont pressés contre mon dos et ses tétons durs s’enfoncent dans ma peau. Le lève mes bras, elle embrase mon cou et retire mon chemisier qui d’ailleurs ne cachait plus grand-chose.

Cette femme m’expose au public présent dans la chambre. Dans les miroirs je vois mon reflet. Je suis debout, pratiquement nue, ma jupe autour de ma taille et mon string tiré sur le côté qui ne cache rien de mon intimité. Comme si elle n’était pas satisfaite, Lola descend ma jupe avec mon string mouillé. Maintenant, je suis complètement nu, regardée par toutes les personnes présentent qui apparemment s’émerveille sur mon corps ainsi exposé.

Je remarque aussi que tous les pervers se frottent leur bite tendue à travers leur pantalon.

Mon Dieu, je ne peux pas les laisser me baiser ! Quoi qu’il puisse se passer je ne les laisserais pas me baiser !

Lola m’embrasse de nouveau à pleine bouche tout en pinçant mes tétons gorgés de sang.

J’essaye de repousser ses mains mais elle m’arrête tout de suite.

— Est-ce que je t’ai autorisé à faire çà !

Et elle me pince fortement un téton ce qui m’envoie une douleur dans les seins.

Je baisse mes mains de peur de ce qu’elle ferait si je ne l’écoute pas.

— Écarte plus tes jambes !

Dès que jobéis elle m’embrasse à nouveau, sa langue profondément dans ma bouche tout en pinçant et en tirant sur mes tétons. Nous nous embrassons un long moment et pendant ce temps ma chatte se plaint de son manque d’attention. Mais je suis sa salopesa petite salope docile ! Lola arrête de m’embrasser et je regarde Lisa qui se raidit en sachant que mon attention c’est soudainement déplacée vers elle.

Lola marche autour de moi et semble réfléchir en se tapant un doigt sur ses lèvres. Tout à coup, elle touche l’intérieur de mes cuisses et force mes jambes à s’écarter au maximum.

— Maintenant courbe toi Kate !

Elle exige te j’obéis

Elle regarde Lisa et lui fait signe de venir près d’elle. Lisa se lève comme hypnotisé par cette beauté aux cheveux sombre et docilement s’approche.

— Mets-toi à genoux !

Lisa s’agenouille derrière mon cul et se penche au-dessus. Je tourne ma tête et dans un miroir je peux voir se qui va se passer. Lola caresse mes fesses et de ses 2 mains les écarte vivement donnant à Lisa la vision obscène de mon trou du cul et de ma chatte dégoulinante. Les grands yeux de Lisa sont collés sur mon sexe et sa bouche reste ouverte. Nous somme deux petits jouets sexuels sous l’emprise d’une femme belle et insatiable.

— Vous ne voulez pas gouter ?

Le visage de Lisa est venu plus près de mon cul et je vois sa langue sortir dans la perspective de me lécher. Je me prépare à recevoir sa langue mais elle n’arrive pas sur mon trou du cul.

— Stop, il faut juste regarder

Commande Lola.

La frustration se lit sur le visage de la jeune fille et elle n’est pas la seule déçue. Lola pose un de ses doigts sur le bas de mon dos et descend vers le bas dans

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