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L'amour d'un père – Chapitre 10




Chapitre 10 : Grand-père et ses petites filles

  Je me sens seul dans cette grande maison vide. Heureusement, mes enfants et mes petits enfants viennent me rendre visite presque tous les jours ; et lorsque ce n’est pas le cas, c’est moi qui viens les voir.

  Malgré mon grand âge, je suis toujours aussi amoureux de mes filles. C’est incroyable de penser que notre amour peut durer aussi longtemps, malgré notre différence d’âge. Je les aime de tout mon cur et je sais qu’elles ressentent la même chose pour moi. Nous continuons de faire régulièrement l’amour. Je n’en reviens pas qu’elles me désirent toujours autant physiquement après toutes ces années. Elles sont si belles qu’elles pourraient avoir n’importe quel homme dans leurs lits, cela me touche profondément que ce soit moi qu’elles aient choisi comme amant pour la vie. Je me lasserais jamais de les baiser. Ce sont mes filles, mes femmes, les mères de mes enfants.

  Nous faisons hélas moins de parties à trois. Leur vie professionnelle et de famille, associé à la nécessité de préserver notre secret, rend les choses difficiles. Nous devons planifier l’événement bien à l’avance lorsque nous en avons envie, mais cela vaut heureusement toujours la peine. Elles sont restées de sacrées coquines malgré les années. J’aime les voir s’embrasser et faire l’amour ensemble, j’aime encore plus lorsque nous utilisons leurs jouets ; notre passion est éternelle.

    Cela me dévore de devoir nous cacher. J’aimerais pouvoir dire toute la vérité à nos enfants, qu’ils sachent que leur père ne les a jamais abandonné et qu’il a toujours été là pour eux, mais je sais que nous mentons pour leur bien. Le secret s’est cependant déjà effrité partiellement, lorsque j’ai mis Sébastien au courant quand il m’a surpris en train de baiser sa mère. Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je crois que dans les moments de bonheur et d’extase, nous avons envie d’être cent pour cent honnête, tout simplement. J’aime mes enfants plus que tout au monde. Avant de mourir, j’aimerais pouvoir les entendre m’appeler papa, au moins rien qu’une fois.

  Je ne suis pas malheureux pour autant. Je vis une vie de rêve pour un retraité et je ne manque jamais d’amour. L’autre jour encore, Angela vient faire un détour par chez moi ; je ne l’attendais pas. La première chose qu’elle fait en pénétrant dans le hall d’entrée, c’est de me sauter dessus et s’attaquer à ma braguette :

Je suis pressée, je ne reste pas longtemps, mais j’avais trop envie de toi, papa. Je suis venue rien que pour cela. Tu ne m’en veux pas, dis ?

Bien sûr que non, mon chaton.

    Elle prend mon sexe en bouche et entreprend de le sucer. Je ne tarde pas à bander. Je n’ai jamais eu besoin d’aide pour être dur pour mes filles. Après m’avoir bien lubrifié, je l’ai sautée face contre le mur. Je l’ai prise par la chatte puis par le cul. Pour finir, elle a voulu me chevaucher. Elle est si belle quand elle ondule sur ma queue tellement elle est en manque.

Papa, j’ai envie de te gouter. Laisse-moi jouir seule, s’il te plait, puis laisse moi t’avaler.

  Comment pourrais-je lui refuser quoi que ce soit ? Je lui suis entièrement dévoué. J’ai le cur brisé quand elle est prise par son orgasme, j’aurais tellement voulu la rejoindre. Heureusement, mes efforts sont largement récompensés lorsqu’elle me fait jouir dans sa bouche. Je lui donne tout mon sperme qu’elle boit avec amour. Mon dieu, c’est tellement bon ! Mes filles vont me tuer. Je suis trop vieux pour ces conneries.

    Elle s’éclipse tout de suite après cela. Elle cherchait juste un coup de bite. Je ne lui en veux pas, cela m’a fait plaisir à moi aussi.

    Une semaine plus tard, je reçois la visite d’Erika, ma fille et petite fille. Il n’est pas inhabituel qu’elle vienne faire un crochet après ses cours avant de rentrer chez elle. En général, elle vient boire un verre, me donne des nouvelles, puis repart. Ce n’est pas grand chose, mais cela suffit à me rendre heureux, elle ne m’oublie pas. Cette fois-là cependant, je sens qu’elle a besoin de se confier. Je suis inquiet ; lui est-il arrivé quelque chose ? De quoi s’agit-il ? Je prie qu’il ne s’agit de rien de grave.

Maman m’a révélée qui était mon père, hier.

  Non, ce n’est pas possible… Mon cur bat très fort mais j’essaie de garder mon calme. J’ai des sueurs froides. Je prie qu’elle lui ait raconté un autre mensonge plutôt que la vérité. J’ai bien trop peur de la perdre.

Qu’est ce qu’elle t’a dit ? fais-je en craignant la réponse.

Elle m’a révélée que c’était toi mon père.

  C’est le coup grâce : elle sait. Je rêvais et redoutais à la fois ce moment. Qu’est ce que je dois lui dire ? Pourquoi Nancy ne m’a-t-elle pas prévenue ?! Cela ne sert à rien d’essayer de me défendre ou de mentir de toute façon, maintenant.

Comment te sens-tu par rapport à ça ? lui dis-je comme un aveu.

Au début, je ne savais pas trop, m’explique-t-elle. Je crois que j’étais surtout fâchée qu’on ait attendu si longtemps pour me dire la vérité ; mais finalement, je crois que j’en suis heureuse.

Vraiment ?

  J’ai peur de me permettre d’être soulagé.

Oui. De toute les personnes que je connaisse, tu es bien celle que je voudrais avoir comme père. Tu as toujours été là pour moi et tu as pris soin de moi et de maman. Je préfère ça que l’idée que mon père était un connard qui a fui ses responsabilités une fois que maman était enceinte.

Je baisse les yeux, gêné par la situation :

J’aurais voulu te le dire depuis longtemps, tu sais, mais…

Je comprends, m’interrompt-elle. Ce n’est pas une chose facile à avouer. Cela pourrait faire scandale si cela venait à s’ébruiter, mais… je tenais à te dire que cela ne me dérange pas. Enfin… tu le sais, apparemment… moi aussi je commets l’inceste avec mon frère.

Oui, je suis au courant, mais comment le sais-tu ?

On s’est tout raconté. Tout. Je sais aussi pour toi et tatie Angela ; et je sais aussi pour elles. Je savais maman et tatie très proche, mais de là à être amoureuse l’une de l’autre… Comment avez-vous fait pour maintenir le secret aussi longtemps ?! Je ne me suis jamais doutée de rien.

À vrai dire, je ne sais pas. Nous avons pourtant été trop souvent imprudents à mon gout. Je pense que c’est parce que la chose parait inimaginable que personne n’y a jamais songé malgré les indices.

Oui, répond-t-elle, pensive, peut-être.

  Un silence gênant s’installe, puis elle le brise en me disant :

Papy ? Enfin, papa ?

Cela me fait un plaisir fou de l’entendre m’appeler comme ça.

Oui, ma chérie ?

Je tenais te dire que je t’aime très fort moi aussi. Plus que tu ne peux le croire.

Je t’aime aussi, ma fille.

J’aimerais pouvoir te le montrer, te le faire sentir.

  J’ai l’intention de lui répondre "tu en auras certainement l’occasion", quand elle m’embrasse par surprise. Je la repousse brusquement :

Erika ! Qu’est ce que tu fais !

Je t’aime, papa ! Je veux t’aimer comme maman !

Tu es folle, il ne faut pas !

  Nous sommes assis à devant la table de la cuisine l’un à côté de l’autre. Elle s’attaque à mon pantalon. Qu’est ce qui lui prend ?! Je lui attrape les mains pour la repousser.

Pourquoi ? me dit-elle. Tu fais l’amour avec ma mère. Moi, avec mon frère. Pourquoi ne pourrions ne pas le faire ensemble, nous aussi ? Je t’aime, mon papa à moi !

  Je suis incapable de lui résister. Mon côté pervers à du mal à nier que j’ai envie d’elle. Elle est jeune, elle est belle, et c’est ma fille. Elle sort mon sexe et se met à genou pour me sucer. Je gémis de plaisir. Je ne saisis pas ses raisons, mais je n’ai pas envie de réfléchir pour le moment, je suis trop faible pour être raisonnable.

Mon dieu ! Ta bite est énorme ! s’exclame-t-elle en me voyant durcir. Maman n’a pas dû s’ennuyer.

  Je savais qu’elle avait beaucoup d’expérience malgré qu’elle n’ait que dix-huit ans et je suis ravi de constater qu’elle est à la hauteur de sa réputation : elle suce divinement bien, je sens qu’elle a l’habitude. Elle sait prendre soin de ma queue et me donner beaucoup de plaisir ; je ne comprends toujours pas pourquoi elle a décidé de prendre soin de ma vieille bite.

Tu goutes bon, papa. J’ai envie de toi.

J’ai envie de toi aussi, ma chérie.

Alors prends-moi. Je suis toute à toi.

  Le pervers qui est en moi prend le dessus. Je la déshabille lentement ; sa peau est douce. En découvrant ses jeunes seins, je lui en dévore les tétons. Elle soupire sous mes attouchements. Je lui fais du bien. Je suis aux anges lorsque je dévoile sa petite chatte glabre, je ne peux m’empêcher de la gouter en la voyant humide. Je la lèche et lui suce le clitoris. Elle me maintient par la tête pour m’encourager à continuer.

Oh, papa !

Ma petite fille…

Assise sur la table, je me relève pour l’embrasser. Elle goute sa mouille sur ma langue. Je me colle contre elle pour sentir sa chaleur, je meurs d’envie de la pénétrer. Je m’enfonce en elle comme un jeune homme fougueux et me met à la prendre. Je la veux, elle est si belle, je la désire de toute mon âme. Elle s’accroche à moi et soupire à mon oreille, je lui lèche le cou en humant son parfum.

Ma fille… ma petite fille…

Tu aimes me faire l’amour, papa ?

Hmm oui… Je t’aime si fort. Et toi, tu es bien ? Tu aimes faire l’amour avec ton papa ?

J’adore ! Tu ne m’en veux pas d’être une perverse ?

Bien sûr que non. Tu es la digne fille de ta mère.

Alors baise-moi comme maman.

  Elle s’allonge sur la table et retient ses jambes en l’air avec ses bras. Elle m’offre ses deux orifices. Je choisis évidemment son cul. Je m’insère en elle doucement jusqu’à raz des couilles. Elle pousse un petit cri. Elle ne doit pas être habituée à mon calibre. Je commence mon va-et-vient ; elle est si serrée. La vue que j’ai d’elle est sublime : mon sexe disparaissant dans son petit trou, tandis que sa chatte libre mouille abondamment. Je ne résiste pas à l’envie de jouer avec son clitoris et d’y mettre des doigts. Elle gémit de plaisir.

Prends-moi plus fort, papa. Défonce-moi !

Tu es sûre ?

Oui. Je veux être ta salope. La salope à son papa.

  Elle me fait fondre…

  Je la lime comme elle le désire. Si jeune et pourtant si coquine. Je l’attrape par les hanches et lui donne de puissants coups de reins. Le plaisir qui s’exprime sur son visage me fait craquer. Je me penche pour gouter à ses lèvres tout en lui pelotant les seins. Ils sont magnifiques, si agréable au toucher.

  C’est ma petite fille, c’est notre première fois, mais je la baise comme si nous le faisions depuis toujours. Je me sens étonnamment bien ; sans gêne ni honte. Après la vie que j’ai vécue auprès de Nancy et Angela, cela me parait tellement naturel d’exprimer mon amour pour mes filles de cette façon. Je veux qu’elle sente qu’elle a un père qui l’aime.

Oh papa ! Elle est si bonne ta queue ! Je suis jalouse de maman.

Tu n’as pas à être jalouse, mon ange. Elle est à toi autant qu’à elle désormais.

Vraiment ?

Oui.

Tu vas me donner envie de venir te voir tous les jours ! Mais je ne voudrais pas t’épuiser.

M’épuiser ? Ne m’insulte pas ! Je suis peut-être vieux mais je suis toujours endurant. Tu vas voir !

  Je la redresse et la soulève à bout de bras. Elle s’accroche à mon cou, elle est surprise par ma vigueur. Je mets mes mains sur ses fesses en les passant sous ses jambes pour la soutenir, puis je lui baise la chatte.

Papa, papa ! Baise-moiiiiiiiiiiiii !

  Je la ramone de tout mon long, sa mouille coule le long de ma verge. Dans cette position, elle est mon jouet, mon trou à bite. Elle semble manifestement aimer ça que je prenne le contrôle et me serve d’elle, on dirait Angela.

J’aime la bite de mon papa ! s’exclame-t-elle. La grosse bite qui m’a fait naître ! Je la veux ! Je la veux !

Sens combien elle te veut aussi !

Aaah ouiiii !

Au bout de plusieurs minutes, je commence à fatiguer. Je la repose au sol pour changer de position. Elle est toute décoiffée, on dirait qu’elle ne sait plus où elle est. Je la penche sur la table et lui relève une jambe pour la déposer dessus. Cela me donne une super vue sur son cul, il est vraiment sublime. J’hésite un instant sur le trou que je vais utiliser, puis me résous à lui baiser la chatte. Elle me fait tant envie.

  Je la saute comme un animal. La table tremble, mes couilles claquent sur son pubis. Je grogne tant le plaisir est intense.

Papa, mon papa. Tu vas bientôt jouir ? me demande-t-elle en constatant ma détresse.

Oui, je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps, ma puce. Tu es si bonne, je suis désolé.

Vas-y alors. Je veux être remplie du sperme de mon papa.

  Puisqu’elle me donne son consentement, je la prends pour me faire jouir. Mes hanches remuent comme si elles avaient un esprit qui leur est propre. Je ne serais pas capable de m’arrêter même si je le voulais. J’ai besoin de me soulager et d’éjaculer dans cette jeune chatte qui est celle de ma fille. Elle est ma création, j’en suis si fier. Elle m’appartient, j’ai le droit d’en faire ce que je veux.

  J’atteins le point de non retour. Je sens mon jus qui s’apprête à sortir de mes bourses :

Aaah, Erika… Je viens… fais-je pour la prévenir. Papa va te donner tout son amour.

Ouiii ! De l’amour ! Déborde d’amour pour moi !

  Je pousse un râle juste avant d’éclater en elle.

Papaaaa ! Je jouiiiis ! crie-t-elle au même moment.

  J’en suis heureux.

  Je me laisse me vider dans son vagin. J’y gicle mon sperme pendant qu’elle tremble dans mes bras. Nous partageons notre première orgasme ensemble, c’est merveilleux. Je reste figé en elle jusqu’à mes derniers soubresauts. Lorsque je me retire, des filets de foutre s’écoulent de sa chatte et tombe sur le sol. Elle a le reflexe d’en retenir d’une main.

Oh, papa ! Qu’est ce que tu m’as mis !

J’avais très envie, ma puce.

Je vois ça !

  Elle porte sa main à sa bouche et la lèche pour en récolter mon jus. Je soupire en la voyant déguster mon jus avec délectation.

Hmm, le sperme de la bite qui m’a faite. Tu es délicieux papa.

Petite trainée, dis-je d’un ton taquin.

Je l’embrasse sur le front. Elle me sourit d’un sourire heureux. Nous sommes bien. Nous ne parlons pas, ou peu. Il n’y a rien à dire. Notre acte en a dit plus que les mots. Le secret s’est estompé et il n’y a ni rancur, ni ressentiment. Je me sens plus léger.

  Elle se rhabille et s’apprête à rentrer chez elle. Avant qu’elle s’en aille, je lui explique que je vais tout de même raconter ce qui s’est passé à sa mère. Je suis las des cachoteries, je veux être honnête avec mes filles.

Mais elle va être furieuse si tu fais ça ! s’inquiète-t-elle.

Je ne crois pas. Je connais ta mère comme si je l’avais faite. Ne t’en fais pas. Je vais gérer cette situation.

  Elle n’est pas trop rassurée, mais elle me fait confiance. Il va tout de même me falloir un peu de temps pour trouver comment aborder le sujet.

    Je raconte tout à Nancy plusieurs jours plus tard. Cela se passe mieux que prévu. Elle me dit que, quelque part, elle en est heureuse. Elle préfère ça que Erika nous en veuille à tous les deux. Elle ajoute que c’est finalement dans l’ordre des choses. Elle est ma fille, tout comme elle, et c’est normal de nous aimer de la même façon.

  Les semaines passent et Erika me rends d’autres visites. Je suis étonné qu’une femme si jeune puisse vouloir baiser avec un homme si vieux ; mais cela me ravit.

  Il ne reste plus que les enfants d’Angela qui ne sont pas au courant de leur ascendance. J’ai envie de leur en parler, mais je ne sais pas comment ; surtout que leur mère n’est pas du tout d’accord. Je vais peut-être avoir une occasion dans pas longtemps : il est prévu que Lily passe bientôt un weekend à la maison. Ce genre de choses arrive souvent. Nous nous sommes mis d’accord avec mes filles avant la naissance de mes petits-enfants que je pourrais les garder de temps en temps durant quelques jours rien que pour moi ; les années passant, c’est rester une habitude. Cela me permet de rester proche d’eux. Au début, j’ai eu peur qu’ils s’ennuient à force, mais cela n’a jamais été le cas. Faut dire que ma maison possède tout le confort moderne : avec ordinateurs et consoles de jeux, mais je pense que ce qu’ils apprécient le plus en venant chez moi, c’est le calme et la liberté. Ici, ils n’ont pas leurs parents sur le dos, et, avec toutes les turbulences qu’il y a chez eux, ils ont besoin de faire une petite retraite de temps en temps.

  C’est pour cette dernière raison que Lily est celle qui réclame le plus souvent de dormir dans ma vieille maison. Comme sa mère l’était à son âge, c’est une fille très studieuse. Elle affirme qu’elle est bien mieux ici lorsqu’elle doit réviser pour des examens ou préparer de gros travaux ; elle apprécie également passer un peu de temps avec moi. C’est une fille très timide, et je suis son confident. Elle sait qu’elle peut tout me raconter, même des choses intimes ou gênantes. Ces petits weekends sont donc aussi pour elle un moyen de se ressourcer.

  Elle est hyper complexée. Petite, blonde, elle se trouve moche et repoussante. Cela me fait mal quand elle pense cela ; en réalité, elle est super mignonne. Elle se reproche d’être maigre et de ne pas avoir de seins. Elle est convaincue que c’est pour cette raison qu’elle n’a jamais eu de copain. Ses amies sont belles et elles ont des formes, elles les jalousent beaucoup. J’ai tenté une fois de la rassurer en lui disant que sa mère aussi était comme elle à son âge, et qu’elle a pourtant su trouver l’amour puisqu’elle a fait deux merveilleux enfants. C’était une grossière erreur, elle m’a rappelé que sa mère était seule et qu’elle n’avait pas eu un seul homme dans sa vie en vingt ans d’existence. Si seulement je pouvais lui dire la vérité pour qu’elle sache à quel point elle se trompe…

  En fait, je sais très bien ce qui ne va pas chez elle : elle manque cruellement de confiance en elle. Elle est timide et coincée. Elle a peur de tout et des gens. Elle priorise tellement ses études qu’elle sort peu et qu’elle n’a pas beaucoup d’amis. Toutes ces petites choses font qu’il est difficile pour elle de trouver l’amour, cela n’a rien à voir avec son physique. Pour l’aider, sa cousine lui a déjà proposé une séance de relooking, afin qu’elle paraisse moins geek et qu’elle se mette un peu plus en valeur, mais elle a toujours refusé, prétextant qu’elle ne voulait pas s’habiller en "pute" comme elle. Inutile de dire que cela a déclenché une sacrée querelle.

  Lily est arrivée le vendredi fin d’après-midi. Je l’ai installée dans l’ancienne chambre de sa mère. Elle a été entièrement rénovée, il ne reste plus grand chose du mobilier originel. Elle a un ordinateur récent et une garde-robe rien que pour elle.

  Le soir, nous regardons la télé tous les deux. C’est elle qui a choisi le film. C’est une histoire à l’eau de rose qui ne m’intéresse pas du tout, mais bon, l’important, c’est d’être avec elle. Elle est assise contre mon torse tandis que je l’enlace paternellement des deux mains. Je suis toujours heureux qu’on partage ce genre de petit moment ensemble.

  J’ai soudain une pensée honteuse : Lily est la seule de mes filles avec qui je n’ai pas encore couché. Je chasse cette idée de ma tête ; non, c’est stupide, on parle de ma petite Lily là ; pourtant, elle revient rapidement au galop. Je commence à avoir une érection. Elle est mignonne et je ne peux cacher que j’ai envie d’elle.

  Je sais qu’elle est encore vierge, elle m’en a déjà parlé. Je sais aussi qu’elle a envie de trouver un homme, alors pourquoi ne pourrais-je pas être celui-ci ? Avoir vingt ans sans jamais avoir fait l’amour, elle doit bien en avoir envie. J’essaie de lutter contre mes propres pulsions. J’ai déjà trois femmes que j’aime avec qui je fais l’amour, je n’ai pas besoin d’une quatrième. En plus, il s’agit de Lily, la pure et innocente, je ne peux pas faire ça. D’un autre côté, je me sentirais jaloux de savoir qu’elle a couché avec un autre garçon alors que j’aurais pu être son premier. C’est le bordel dans ma tête, je tente de résister, mais je finis par me convaincre avec l’argument stupide que ce ne serait pas juste qu’elle n’ait pas droit à mon amour elle aussi.

  Je resserre mon étreinte sur elle et lui embrasse les cheveux. Jusque là, tout va bien, elle se presse même plus fort contre moi. Je la sens bien, détendue. Mes mains se font baladeuses sur son ventre. Je la caresse tendrement ; je suis encore hésitant. Je peux encore faire marche arrière. Oserais-je ? N’oserais-je pas ? La décision est prise lorsque je remonte une main sur son sein gauche. Je la pelote, d’abord discrètement, puis plus franchement. Elle gémit de plaisir, cette approbation m’encourage à être plus ambitieux. Je passe à l’autre sein et glisse mon autre main sous ses vêtements pour avoir un contact avec sa peau, puis je commence à glisser mes doigts vers sa fente. Je lui titille le clitoris et lui caresse les lèvres de son vagin.

Papy ? Qu’est ce que tu fais ? me demande-t-elle.

  Ai-je été trop loin ? Il y a plus de surprise que d’inquiétude dans sa voix ; cela me rassure, mais je dois savoir si elle est prête à aller plus loin :

Cela ne te plait pas ? lui dis-je.

Je… si…

Tu veux que je m’arrête ?

Non, je veux que tu continues.

Tu es sûre ?

Oui. Ca fait du bien…

  Je poursuis donc mes attouchements. Ma main qui caresse ses seins passe sous son haut. Je lui dégage un bonnet de son soutien-gorge pour atteindre le téton, tandis que je lui enfonce deux doigts dans la chatte. Elle frémit en soupirant, je sens qu’elle commence à mouiller.

    Je n’en reviens pas de ce que je fais, je suis vraiment un pervers. Je n’arrive pas non plus à croire qu’elle soit consentante. Elle aurait pu se montrer outrée, s’enfuir, je suis son grand-père après tout, au lieu de cela, elle m’encourage à persévérera. Ma petite Lily…

  Elle a dû mal à se concentrer sur son film. Son plaisir grimpe, elle se détend dans mes bras. Elle pousse un gémissement en pressant brusquement la tête contre mon torse. Elle une expression si érotique lorsqu’elle relève les yeux en ma direction.

Papy…

Oui, ma puce ?

C’est bon…

  C’est sa façon de me dire qu’elle en veut encore. Mes doigts sont maintenant trempés, je les retire pour les gouter. Elle me regarde les sucer de façon médusée.

Tu veux gouter aussi, mon ange ?

  Elle ne dit rien. Je replonge mes doigts pour les mouiller et les porte à sa bouche. Elle les fixe un instant avec hésitation, avant de se décider de plonger pour les avaler. Elle me les lèche et découvre ainsi le gout de son propre jus. Je les retire lorsque j’estime qu’elle en a eu assez. Elle a un adorable réflexe d’un bébé qui cherche à attraper sa tétine qu’on est en train de lui arracher. C’est mon bébé à moi.

Tu aimes ? Tu goutes bon ?

Oui, répond-t-elle timidement.

Tu en veux encore ?

Oui.

  Je retourne dans sa source et l’abreuve à nouveau. À cette façon qu’elle a de me sucer les doigts, j’ai hâte qu’elle fasse de même avec mon sexe. Quand je les éloigne à nouveau, je me penche vers elle pour l’embrasser.

Ça va, ma puce ? Tu es bien ?

Oui, rougit-elle.

Tu veux que je continue ?

Oui.

  Je lui enlève son haut et son soutien, j’ai ainsi une vue sur ses adorables petits seins.

Ce qu’ils sont beaux, lui dis-je.

Ils sont minuscules. Je ne les aime pas.

Ils n’ont pas besoin d’être gros pour être beau. Tu es magnifique ma chérie. Ne laisse personne te faire croire le contraire.

Tu me trouves jolie ? Vraiment ?

Incroyablement belle.

Tu… tu aurais envie de moi ?

Évidemment. Pourquoi penses-tu que je te caresse de cette façon ?

Papy…

Oui, ma puce ?

Je… j’ai envie…

Envie de quoi ? dis-je.

J’ai envie de faire l’amour avec toi…

Vraiment ? Tu es sûre ?

Elle hoche la tête en guise de réponse. Elle est si timide, elle me fait fondre. Elle a honte de ce qu’elle ressent, mais son envie est suffisamment grande pour passer outre.

Aide-moi à ouvrir mon pantalon alors. Nous allons faire l’amour.

Elle se redresse et s’attaque à ma ceinture. Elle ouvre le bouton et descend ma braguette. Elle écarquille les yeux lorsqu’elle voit ma verge se dresser hors de mon caleçon.

Il est énorme ! s’exclame-t-elle.

On me le dit souvent, souris-je. Tu peux jouer avec, si tu veux. Il ne va pas te mordre.

  Elle attrape mon sexe d’une main après un moment d’hésitation. Elle le branle doucement, comme pour se faire à sa taille. C’est la première fois qu’elle voit une bite en vrai, elle prend le temps de l’inspecter sous tous les angles.

Elle te plait ? lui dis-je.

Elle est magnifique. Mais elle me fait un peu peur.

Ne t’inquiète pas. Il suffit de la lubrifier un peu avant. Tu veux bien faire ça pour moi ?

Faire quoi ? ne comprend-t-elle pas.

Me sucer un peu.

Sucer ?

Cela te dérange ?

Je… non…

  Elle se penche sur moi. Elle rapproche tout doucement son visage de mon sexe. Je sens son souffle sur mon gland. Elle le fixe un instant, avant d’ouvrir la bouche et d’y introduire le gland.

Hmm. Vas-y ma puce, lèche le bien.

  Elle m’écoute, elle lui donne des coups de langue avant d’enfoncer mon chibre plus loin dans sa gorge. Je soupire devant cette vision de rêve. Ma Lily, mon innocente petite Lily, en train de me faire sa première pipe. Je suis l’homme le plus chanceux du monde.

  Elle fait du va-et-vient. Elle n’a pas l’habitude et ne s’y prend pas très bien, mais elle me donne néanmoins beaucoup de plaisir. Je lui conseille de saliver beaucoup, ma queue ne tarde pas à glisser toute seule entre ses lèvres.

Oooh, ma puce. Continue de me sucer. Je suis si heureux, mon amour.

  Elle ne réagit pas, concentrée sur sa tâche. Elle relève parfois la tête pour reprendre sa respiration avant de replonger sur ma bite. Elle fait vraiment tout ce qu’elle peut pour me faire du bien.

Tu aimes faire une fellation ?

Je crois oui. C’est bon.

Pour moi aussi c’est très bon. Tu veux qu’on passe à la suite ?

Oui.

Allons-y alors.

  Je la sens nerveuse. Je lui parle avec douceur pour la rassurer. Je lui demande de s’installer contre le dos du siège et d’écarter les jambes. Elle les relève pour m’offrir son petit minou. Elle rougit par pudeur. Elle a honte de cette position, mais elle a néanmoins terriblement envie de sentir une bite au fond d’elle.

  Je lui fais un cunni pour la préparer. Je lui pince le clitoris et la dévore avec ma langue. Je me relève ensuite en dirigeant mon sexe vers son entrée.

Tu es prête, ma chérie ?

  Nouveau hochement de tête. Je la pénètre alors très lentement pour ne pas lui faire du mal. Je m’attends à rencontrer la résistance de son hymen, mais je parviens à m’enfoncer presque entièrement en elle sans l’avoir percuter.

Tu n’es plus vierge, Lily ?!

Si…

Mais où est ton hymen ?

Je… j’en ai plus…

Comment ça se fait ? Tu as utilisé une gode ? Tu en as acheté un ?

Non… celui de maman…

La petite coquine… j’essaie de m’imaginer ma tendre petite Lily tellement en manque qu’elle doit se masturber avec le jouet de sa mère. Elle est moins innocente qu’elle en a l’air. Je commence à remuer du bassin pour nous faire du bien à tous les deux. Elle est toujours extrêmement tendue, mais cela se passe bien.

— C’est bon, ma puce ?

Oui, rougit-elle.

Tu aimes ? Tu veux que je continue ?

Oui.

  Son vagin est extrêmement serré, et pas seulement à cause de ma taille. Je suis heureux d’être le premier homme à m’insérer dedans. Je réalise combien je voulais prendre sa virginité. C’est ma Lilly, ma Lilly à moi. Je veux la partager avec personne. Elle restera mon bébé pour toujours.

  Je me penche vers elle pour lui donner un baiser, elle me répond avec sa langue. Je pense que je dois être aussi le premier garçon qu’elle embrasse. Elle passe ses bras autour de mon cou pour me tenir contre ses lèvres. Elle me dévore la bouche, elle est si mignonne. Je descends vers ses seins lorsqu’elle me relâche de son étreinte. Je lui suce puis lui mordille les tétons. Elle soupire de bonheur.

Ils sont magnifiques tes petits seins, ma puce, je les adore.

Oh, papy… Tu m’aimes ?

Oui, mon ange. Je t’aime

Tu as envie de moi ? Tu me trouves belle ?

Tu es ravissante, j’ai envie de te prendre comme un sauvage, comme avec ta mère.

Comme ma mère ? s’étonne-t-elle.

Merde, cela m’a échappé. Elle n’était pas au courant. Tant pis, foutu pour foutu, je lui dis la vérité :

Oui, comme ta mère. Je suis ton père Lily. C’est moi qui t’ai fait. J’ai baisé ta mère avec ma grosse queue et je lui ai donné tout mon amour. Aujourd’hui, c’est ton tour.

  J’avais peur qu’elle mette fin à nos ébats en entendant cela, mais elle ne réagit pas. Je crois qu’elle ne réalise pas encore. Je la prends donc de plus en plus fort. Je sens qu’elle est déjà proche de l’orgasme. Cela tombe mal, moi, je suis loin d’en avoir terminé. J’ai envie de la prendre encore et encore. J’ai envie de la souiller dans toutes les positions et de la sauter par tous les trous.

  Elle gémit bruyamment. Son souffle de vient court. Je remarque tous les indices des prémices de la jouissance. Je sais que ce n’est pas sage pour sa première fois, mais je lui donne des coups plus puissants, je veux l’achever ; elle le prend incroyablement bien. Soudain, tout son corps ondule tandis qu’elle pousse un cri :

Aaaaaaaaaah ! Papyyyyyyyyy !

  Son vagin se resserre autour de mon sexe avant d’être pris de soubresauts, je suis pris de fierté de voir ma petite fille jouir sur une bite pour la première fois.

Jouis, Lily. Tu es si belle.

Elle ferme les yeux pour profiter de son plaisir. Lorsqu’elle les rouvre, elle est toujours dans les vapes. Son orgasme est passé, mais elle a du mal à récupérer.

Ça y est, ma puce, lui fais-je. Tu es une femme maintenant. Tu te sens comment ?

C’était merveilleux papy. Je suis si heureuse. Cela faisait… longtemps que j’avais envie de faire l’amour.

Tu n’es pas trop déçue que ce soit avec moi et pas un garçon de ton âge ?

Non ! Je… je crois que cela n’aurais pas pu être aussi bon.

  Je lui souris. Elle a l’air d’un ange tombé du ciel. je lui écarte la mèche de cheveux qu’elle a devant les yeux.

Tu n’as pas jouis papy ?

Non, pas encore, je n’ai pas terminé.

Je ferais tout ce que tu voudrais pour t’aider.

Vraiment tout ?

Oui, répond-t-elle timidement.

  Je suis surpris qu’elle ne m’interroge toujours pas sur la question de la paternité. A-t-elle déjà oublié ce que j’ai dis ? Peu importe, je n’ai pas envie de penser à ça pour le moment. Peut-être qu’elle non plus, tout simplement. Je lui demande de se mettre à quatre pattes sur le divan et elle s’exécute sans attendre. Je matte son délicieux petit cul innocent. Cela ranime tout de suite mon envie de la ravager. Je la pénètre d’un trait en l’attrapant par les hanches pour mieux la baiser. Je suis las de la douceur, j’ai trop besoin de me faire du bien. Je deviens un enfoiré : je ne me soucie plus de son plaisir puisqu’elle a déjà jouie une fois, en plus, elle m’a dit qu’elle voulait m’aider. Mon instinct pervers refait surface ; je ne veux plus lui faire l’amour, mais seulement la baiser. Je veux lui faire sentir qu’elle m’appartient, qu’elle découvre ce que c’est d’être désirée par un mâle. Elle qui a toujours été si complexée, elle mérite qu’on lui montre ce que c’est d’être avide de son corps. Je veux qu’elle se sente belle.

  Malgré ma brutalité, elle gémit de bonheur. Je suis surpris lorsque je la sens jouir une seconde fois. Elle crie en m’appelant papy. Je m’arrête quelques secondes pour qu’elle reprenne son souffle, mais je suis trop impatient pour la laisser entièrement récupérer. C’est moi qui devait jouir à la base ! Pas elle !

  En regardant son petit trou de cul encore vierge, j’ai du mal à résister à l’envie de lui mettre un doigt.

Aaah ! Papy ! Qu’est ce que tu fais ?!

Tu as un cul magnifique, ma Lily, cela te dérange ?

Non, ça va.

  Plus je la bourre, plus j’ai envie de l’enculer. Je sais que c’est mal de vouloir faire ça dès sa première fois et que je ne devrais pas bruler les étapes, mais l’idée est vraiment trop tentante. J’ai envie de lui faire la totale, comme si j’avais trop peur qu’un autre puisse en profiter avant moi. C’est donc sans la prévenir que je sors de sa chatte et que je m’introduis doucement dans son cul.

Papy ? Mais qu’est ce que tu fais ?!

    Je m’enfonce en elle jusqu’à raz des couilles en poussant un grognement. Je perds le contrôle et lui défonce l’anus.

Papyyy ! crie-t-elle.

Tu as mal ? Tu veux que je m’arrête ?

Non ! C’est bon ! Aaaaah ! C’est incroyable !

  Puisqu’elle aime ça, j’en profite pour la sodomiser comme ma chienne. Son cul vierge est incroyablement bon. Il n’en restera plus qu’un cratère béant une fois que j’en aurais fini. La pauvre va avoir du mal à s’assoir pour le reste du weekend. Elle s’écroule, écrasant son torse sur le sofa. Cela la fait mieux se cambrer pour que je puisse la prendre. Je me sers de son cul comme mon trou à bite personnel, un vulgaire sac à foutre.

Papy ! Papy ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis ! Aaaaah ! crie-t-elle soudainement.

Je n’en reviens pas. Elle a son premier orgasme anal devant mes yeux. En découvrant cela, je n’en peux plus, j’ai trop besoin d’éjaculer, je me sens que je vais venir ; mais pas comme ça, je veux la souiller jusqu’au bout. Je me retire de son anus et la retourne sur le dos. Elle est complètement dans les nuages, perdue dans son nirvana. Elle ne me capte pas quand je me branle devant son visage, elle a seulement un sursaut lorsque je lui envoie ma première giclée de sperme dans la figure.

Aaah ! Lilly ! fais-je en grognant. Prends ma petite pute ! La petite pute à son papa !

Ma queue explose au point que j’ai l’impression que mon cur va s’arrêter. Je tire d’incroyables jets de foutre en plein sur ma fille. J’ai envie de la salir, de faire d’elle une salope. Je me soulage en me vidant entièrement les bourses. Elle en a vraiment partout, j’en ai même mis sur le divan ; ce n’est pas grave, il en a vu d’autres. Les salves deviennent moins abondantes jusqu’à se tarir complètement. Je secoue ma bite pour lui donner les dernières gouttes, puis, essoufflé, je prends un instant pour constater les dégâts que j’ai fais. Je la trouve plus belle que jamais couverte ainsi de mon jus. C’est difficile à croire qu’elle était vierge quelques minutes plus tôt.

  Je ramasse mon sperme avec mes doigts et les lui portes à la bouche en lui disant :

Tu t’es goutée tout à l’heure, maintenant, goute-moi.

  Elle me les suce sans réfléchir comme si je lui avais tendu un biberon.

Alors, c’est bon ? fais-je. Tu aimes ?

  Elle hoche la tête en guise de réponse. Je commence à avoir des remords pour ce que j’ai fais. J’ai besoin de savoir si je n’ai pas trop dépassé les bornes :

   J’espère que tu ne m’en veux pas, lui dis-je. J’ai été… pris dans le moment. Ça va ? Tu vas bien ?

Oui, répond-t-elle timidement.

Cela ta plu, tu as aimé ?

Oui, fait-elle ne rougissant, mais… j’ai un peu honte.

Il n’y a pas de honte à avoir aimé ça, tu sais, au contraire.

Elle baise les yeux pour éviter mon regard. Elle est si mignonne quand elle joue les gênées. Nous parlons un peu en nous rhabillant, puis elle aborde enfin le sujet brulant :

Ce que tu as dit tout à l’heure, c’est vrai ? Tu es mon papa ?

Cela m’a échappé. Mais oui, ma puce, c’est vrai. Ta mère et moi… ma propre fille, nous…

Je crois que je m’en doutais, m’interrompt-elle.

Quoi ? Vraiment ? fais-je surpris.

Je…. vous ai déjà surpris dans la chambre de tatie Nancy une fois. Je savais que vous faisiez l’amour ensemble. Du coup, je me suis déjà demandée si…

  Je devrais peut-être l’être, mais au fond, je ne suis pas tant étonné que ça. Depuis le temps que nous baisons mes filles et moi, il aurait été étonnant que personne ne se soit jamais rendu compte de rien ; surtout quand nous ne sommes pas aussi prudent que nous le devrions.

Comment tu te sens par rapport à tout cela ? fais-je. Tu aurais le droit d’être fâchée, de te sentir trahie.

Je l’ai été quand je vous ai vu, mais après, c’est passé, je suppose que je me suis faite à cette idée. Et puis quelque part, je suis contente pour maman : j’ai toujours trouvé ça triste qu’elle soit si seule.

Mais, et pour moi, et pour nous ? Tu regrettes ?

Tu as toujours été mon papa dans mon cur. Finalement, cela ne change pas grand chose.

Et pour nous ? Tu regrettes ?

  J’insiste car elle semble ne pas vouloir répondre à la question.

Non, dit-elle. Je ne regrette pas.

  Sur ce, elle s’enfuit à toute vitesse les joues rouges. Elle a dû mal à assumer son propre plaisir. C’est sans doute ça qu’il lui fallait : que quelqu’un aille vers elle et lui fasse l’amour. Elle n’aurait jamais osé faire les premiers pas sinon.

    Je m’endors un peu troublé. Notre petite discussion ne m’a pas vraiment rassuré. Lily est une fille très renfermée, elle retient beaucoup de choses pour elles, j’ai peur qu’elle ne m’ait pas dit la vérité ou qu’elle me cache quelque chose. Je suis décidé de ne plus jamais rien tenté avec elle, il faut que je me contrôle. Je veux être un bon père.

  Le lendemain, elle passe toute la matinée dans sa chambre à étudier. Je ne l’ai pas vu une seule fois. Elle n’est même pas venue déjeuner. Inquiet, je décide d’aller voir si elle va bien. J’entends des bruits étranges émanant de la porte entrouverte. Dans l’entrebâillement, je la découvre en train de se masturber.

Lily ! fais-je en entrant scandalisé.

Mais elle ne s’arrête même pas pour moi.

Je suis désolée, mon papa ! Je n’arrête pas de repenser à hier. J’ai trop envie !

Ma pauvre chérie, tu as aimée ça à ce point ?

  Je ne croyais pas cela possible jusqu’à ce que je me rappelle qu’elle avait quand-même jouis trois fois d’affilée.

Oui, fait-elle.

Tu veux que je t’aide ? Que je t’aide à jouir ?

Elle prend un peu de temps avant de répondre, puis elle dit :

Oui.

Je vais alors vers elle et lui refais l’amour. De façon plus tendre cette fois.

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