C’est l’été de mes 16 ans. Mes parents ont décidés de passer 4 semaines à lîle d’Oléron avec deux couples d’amis. Nous arrivons vers les 15 heures, après 5 heures de voyage et 6 heures d’attente pour le baque. Il y a 5 maisons disposées en cercle, autour d’une place avec une fontaine au milieu. Nous nous installons dans une des petites maisons avec des portes très basses, le front de mon père et le mien s’en souviennent. Je remarque un homme avec sa fille de 16 ans comme moi et son fils de 10 ans qui s’installent dans une tente à côté de la maison. Malgré l’aménagement dans la maison, j’ai le temps de voir que la fille est superbe. La soirée se termine assez tôt vu l’état de fatigue dans lequel nous sommes tous.

Le lendemain, vers 7 heure, je suis dans la cuisine et je vois la fille de la veille passer avec sur elle un simple voile léger noué au cou. Il vole au vent, elle est intégralement nue. Nous somme en 1963, et ce genre de comportement est totalement inconnu et surtout complètement immoral. Elle va au puits chercher de l’eau. D’un seul coup, son père apparaît avec un drap et enveloppe sa fille en la sermonnant. Ils retournent à la tente après avoir rempli le seau d’eau à la fontaine. L’après midi, je vais derrière la maison et je vois la fille sur une serviette entrain de prendre le soleil. Elle est seule, la voiture du père n’est pas là. Elle porte un bikini réduit au minimum. En me voyant elle me fait signe d’approcher avec un superbe sourire.

— Tu t’appelle comment?

— Jean et toi?

— Sophie.

S’ensuit une conversation dans laquelle japprends qu’elle a 16 ans, son frère 10 et qu’en fait elle est, avec son frère Pierre, avec le dernier mari de sa mère, qui a obtenu la garde des enfants du fait du comportement de celle ci. Je réalise que ni le vrai père, ni la vrai mère n’ont obtenus la garde de leurs enfants. Ca devait être de sacrés loubards. Au bout d’un moment elle me demande si je veux bien lui passer de la crème solaire dans le dos. Evidemment je comprend que c’est un prétexte mais vu la fille devant moi, je ne peux refuser, j’ai trop envie de la toucher. J’étends de la crème sur ses épaules, elle me demande de défaire son soutient gorge pour pouvoir en mettre sur tout le dos. Arrivé en bas du dos, elle descend un peu son slip et dégage le début de la rais des fesses. Là je commence à bander sérieux, et dans un slip de bain, on ne peut pas cacher grand chose. Evidemment elle s’en rend compte et me dit qu’on serait mieux dans la tente. Elle se lève, ramasse sa serviette et son soutient gorge, et se dirige vers la tente les seins à l’air. Vers 16 heures, à l’heure des faits, le soleil envahi l’entrée de la tente. Elle entend la serviette au soleil, enlève son slip et se couche sur le ventre. J’ai devant moi une superbe fille, avec des fesses à damner un saint, nue et offerte. Je m’accroupie et continu à lui passer de la crème. J’arrive sur les fesses, elle a un mouvement que je ne comprend pas très bien, ça la dérange ou c’est un mouvement de plaisir? J’insiste, passe plusieurs fois sur les fesses, longe les jambes, remonte vers l’intérieur. Elle écarte un peu les jambes. Tout à coup, en haut de ses jambes, je sent quelque chose d’humide, voir mouillé. Je suis troublé, que lui arrive t il? Les mouvements de ses fesses m’indiquent tout de même qu’elle doit apprécier ce que je lui fait.

— Tu as déjà baisé des filles?

Je suis stupéfait par cette question, après un moment je répond.

— Non jamais.

— Ca se voit. Remonte entre mes jambes et insiste sur ma vulve.

Elle écarte encore plus les jambes et en remontant, j’arrive sur une zone humide et très agréable au touché. Elle s’empare de ma main et la dirige vers son sexe. Elle me prend deux doigts et les introduit dans sa chatte. Je suis électrisé par ce touché que je ne connais pas. D’un seul coup, elle se retourne. J’ai devant moi une fille superbe, avec une poitrine haute et ferme, un ventre plat, des hanche arrondies et un sexe avec des poils taillés très courts. En fait on ne distingue pas de trace de bronzage.

— Tu es bien mate pour une blonde.

— je ne suis pas mate, je suis bronzée. Je bronze nue sur la terrasse de mon beau père. Je n’aime pas les maillots de bain. Passe moi de la crème.

Je commence par le devant des épaules et je descend, j’arrive aux seins, sur lesquels je m’attarde beaucoup, ce qu’elle apprécie. Elle pose un main sur une de mes cuisse et me caresse doucement. Je descend vers le ventre et j’arrive au pubis. Après une courte hésitation, je caresser les poils et passe entre les jambes. Elle les écarte au maximum et ma main plonge dans son antre. Je lui caresse les lèvres et je tombe sur une espèce de petite protubérance qui m’intrigue. Je m’active dessus et Sophie se cabre, ses fesses sont à 10 cm du sol, elle m’attrape le poignet et accentue mes va et vient. D’un seul coup, elle émet un grondement, se tend comme un arc et retombe sur sa serviette. Elle s’est tellement crispée, qu’elle m’a planté ses ongles dans la cuisse. Je me demande ce qui s’est passé. Elle me regarde avec un sourire d’ange.

— Merci, tu dois faire des progrès mais c’est pas mal pour un début.

— Je ne t’ai pas fait mal?

Elle éclate de rire et me regarde avec un drôle d’air.

— C’est la première fois que tu fait jouir une fille?

— Si tu viens de jouir, oui.

— Ca alors tu as pourtant 16 ans.

— Oui mais beaucoup moins de liberté que toi. Mes parents sont assez stricts.

Elle se redresse, m’attrape par les épaule et me couche sur le dos. Elle descend mon slip de bain et mon sexe raide apparaît. Elle s’en empare et commence à me masturber. Elle se penche en avant, tire la langue et me lèche le gland. J’ai un mouvement de recul, mon éducation en prend plein la tronche, mais je me laisse aller en me disant qu’elle doit savoir ce qu’elle fait. Elle gobe mon sexe et me fait une pipe d’enfer. Je ne sais plus ou je suis. Une bouche suce mon sexe et une main me caresse les fesses. Au bout d’un moment, je suis parcouru de spasme, elle libère mon sexe et me fini à la main. Je joui comme jamais. J’ai des spasmes dans tout le corps, j’ai l’impression que mon ventre se désintègre et jenvoie de puissants jets de sperme sur mon ventre. Sophie se couche à côté de moi et ses lèvres viennent sur les miennes. Nous nous embrassons avec fougue.

— C’était bon hein?

— Je n’ai jamais joui comme ça de ma vie.

— C’est la première fois qu’une fille te touche comme ça.

— Oui, en général ça se limite à des caresses sur le corps sans plus.

— Tu vas voir, au bout de 4 semaines, tu auras fait de gros progrès.

Il est 18 heures et je dois rentrer.

— Nous allons tous les soirs chercher du lait à la ferme à côté. Je peux passer te prendre ce soir? Je laisserais les autres aller chercher le lait sans nous.

— Bien sûre.

Je rentre à la maison tout guilleret. Au repas, mon père me demande ce qui me mets de si bonne humeur.

— C’est le fait d’être en vacances dans un coin très agréable.

Il me regarde avec un drôle d’air mais je n’y prête pas attention.

Le soir, je laisse mes frères et mes copains aller chercher le lait en leur demandant de ne pas se presser et nous allons, Sophie et moi dans la foret juste en face.

Nous nous caressons, elle joui une fois de plus ainsi que moi. Elle me demande si je veux bien lui passer ma langue sur son minou. Jhésite quand arrivent mes frères et les copains. Ouf sauvé. Nous rentrons, elle m’embrasse fougueusement. Je me demande pourquoi cette passion apparente alors qu’on ne se connait que depuis 1 jour. Je comprendrais plus tard que Sophie est une passionnée dans tout ce qu’elle fait.

Le lendemain nous ne pouvons nous voir que vers 15 heures. Son père est parti avec Pierre, et mes parents ainsi que mes frères sont à la plage. J’ai prétexté un violent mal de crane pour rester. Il faut dire qu’à l’époque, j’ai tous les jours plus ou moins mal à la tête et je consomme beaucoup d’aspirine. Tout le monde m’a plaint et est partit à la plage.

Je rejoins Sophie qui est nue dans la tente. Quand j’arrive, elle se jette sur moi, descend mon slip de bain et m’embrasse avec passion.

— Aujourd’hui, mon Jean chéri, on baise.

— C’est la première fois tu sais.

— Je sais et ça m’excite encore plus de t’apprendre à baiser une femme pour lui faire plaisir.

Elle se couche sur son sac de couchage, et me demande de me coucher à côté d’elle mais à l’envers. Je me retrouve la tête du côté de son sexe.

— Pour commencer tu vas me faire une minette. Avec ta langue, tu vas titiller mon clitoris et mes lèvres, et l’enfoncer dans mon sexe. Je vais te guider.

Je me penche sur son sexe et embrasse ses lèvres. Elle mouille déjà et l’odeur comme le goût me plaisent beaucoup. Je suis soulagé car jappréhendais ce moment. Je commence à lui lécher la vulve.

— Oui, c’est bien, appuis un peu sur le haut, voila comme ça. Descend maintenant, oui enfonce ta langue dans l’espace, oui comme ça. Remonte maintenant, oui là continu oui encore, plus vite, encore vas y mon chéri, je viens, continu, appui bien sur le bouton, oui je joui, oui, aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh.

Elle se cabre, tremble de tout le corps, envois par saccades son pubis contre mes lèvres et retombe, heureuse et souriante.

— Pour un début, c’est vraiment pas mal. Je sens qu’on va bien s’amuser. Aller sur le dos.

Je me couche sur le dos et elle se penche sur mon sexe. Elle le titille, le masse, l’aspire.

— Ok tu es en forme.

Elle se lève, m’enjambe et descend ses fesses lentement sur mon sexe. Elle attrape ma bite et la dirige vers sa vulve. Mon gland est tout à coup au contact de ses lèvres détrempées et chaude. Mon sexe gonfle encore plus. Je sent mon gland se frayer un passage dans cette caverne humide et chaude. Lentement elle descend jusqu’à mes couilles.

— Ah tes couilles contre mes fesses.

Elle monte et descend d’abord lentement puis de plus en plus vite. Tout mon corps, est concentré sur mon sexe. Je ne suis plus qu’un sexe happé par une vulve voluptueuse. Je ne résiste pas très longtemps.

— Je vais jouir attention.

Au lieu de se dégager, Sophie se penche sur moi, et me donne un baiser fougueux juste au moment ou je joui. Je me vide en elle et je la sent se crisper. Elle joui aussi.

Au bout d’un moment elle se couche à côté de moi et m’embrasse sur tout le corps. Dix minutes plus tard, je bande de nouveau comme un cerf.

— C’est quand même mieux que mon dernier amant. Il avait quarante ans et me pouvait rebander que deux heures après l’amour.

Lappris plus tard que j’étais le plus jeune amant qu’elle ait eu, et de beaucoup.

Elle se couche sur le dos.

— A toi maintenant. Nous allons faire le missionnaire

Je me retourne, monte sur elle. Elle écarte les jambes et ma bite trouve tout de suite le chemin. J’essaie de faire comme elle, entrer doucement mais elle m’agrippe les fesses et tire d’un seul coup vers elle. Je l’empale d’un coup. Je m’active sur elle et je vois qu’elle ferme les yeux. Elle me prend les fesses et donne le rythme de mes va et vient. Comme je viens de jouir, je peux résister beaucoup plus, ce qui lui laisse le temps de se concentrer sur son plaisir. La tension monte, elle se cabre de temps en temps. Je sent son vagin se contracter et se détendre. (Je me rendrais compte plus tard que c’est assez rare de pouvoir faire ça avec son vagin).

— Oui, garde ce rythme, va bien au fond, vas y accélère, encore, plus vite, encore, ça y est je part, je joui, aaaaaaaaaaaaaahhhhh.

Encore une fois, elle se cabre et me soulève en même temps. Elle retombe avec moi toujours en elle.

— Tu n’as pas joui?

— Non mais ça fait rien.

— Attend moi ici.

Elle se lève, enfile une robe, prend un sac et sort de la tente. Elle revient 5 minutes plus tard. Elle enlève sa robe et pose le sac. En le posant, le sac s’est ouvert un peu et je vois une poire de lavement avec une petite bouteille.

— C’est quoi ça?

— Juste une préparation pour être bien propre.

Je ne comprend pas mais je n’ai pas le temps d’approfondir car elle se jette sur ma queue qui s’est un peu ramollie. Quand je bande à mort, elle prend de la crème à bronzer et s’enduit le fion. Je la regarde étonné, elle me sourit, se retourne et se met à quatre pattes.

— Vas y, il est prêt.

— Mais que veux tu que je fasse?

— M’enculer pardi!!

J’ai un moment d’hésitation mais je réalise qu’elle s’est nettoyer le fion avec sa poire de lavement et qu’elle doit être propre. De toute manière, j’ai déjà entendu parler de cette pratique et je fantasme dessus.

Je me présente derrière elle, positionne mon sexe sur son auréole et je pousse doucement. Mon sexe est au anges, bien serré par ce cul. Arrivé au fond, je m’arrête.

— Vas y c’est bien continu.

Je commence à la pistonner et là je me rend compte qu’elle préfère de beaucoup se faire enculer que se faire baiser. Elle vibre de tous les côtés, elle envoie violemment son cul au devant de ma bite. C’est son truc. Au bout d’un moment, elle joui encore plus intensément que les dernières fois, c e qui entraîne ma propre jouissance. Elle tombe à plat ventre en mentraînant dans sa chute pour que je reste planté en elle. Mais je fini par débander et ma bite sort de son cul.

Elle se retourne et m’embrasse comme jamais elle ne l’avait fait.

— Tu es doux, attentionné. Tu pourrais être l’homme de ma vie mais je suis une salope et je ne veux pas te faire souffrir. Nous allons nous voir toutes les vacances et après je m’en irais. Il faudra pas essayer de me retrouver.

Je trouvais ça un peu théâtral mais je ne la contredis pas.

Nous avons fait l’amour tous les jours pendant les 26 jours restant sauf un jour ou j’ai du accompagner tout le monde à St Pierre.

Je ne sais pas ce qu’elle est devenue.

J’ai rencontré une autre Sophie, mais ceci est une autre histoire.

[email protected]

Related posts

Les femmes de la famille Saint-Clair d'Imbault – Chapitre 3

historiesexe

Douleur et plaisir ébènes – Chapitre 2

historiesexe

Le train de nuit – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .