De Julien à Julie 5
Nous circulons plusieurs fois dans les allées pour nous informer des tarifs des transexuelles, mais nous essuyons des refus, du fait que nous soyons à deux. Je remarque alors une petite blonde toute mignonne qui se tient à l’écart .Patrick s’arrête, lui parle et arrive presque à la convaincre de monter et de passer la nuit avec nous. Il ouvre son portefeuille et expose à la fille une belle somme. Elle s’éloigne, téléphone quelques minutes, puis ouvre la portière pour monter à bord.
Elle parle avec un accent slave et dit se prénommer Katia. Une fois arrivés, Patrick donne des gros billets à la fille, mais ne reste pas et me dit :
«Amuse toi bien avec elle, je retourne au bar et rentrerai dans plusieurs heures, profites en ! »
Je monte avec la fille et, toutes deux, sommes impressionnées, voire timides.
Je lui offre un verre pour la détendre et lui prends la main, que je bise.
Mon geste de tendresse l’intrigue, mais elle a dû en voir d’autres !
J’écarte sa chevelure blonde et pose une main sur sa nuque pour la caresser. Elle se laisse faire et semble apprécier la douceur de mon geste. Je lui bise le cou, mais elle refuse mes lèvres quand je les approche des siennes. J’ouvre son chemisier sur un joli soutien-gorge, très mignon, qui moule sa poitrine. Elle n’est pas volumineuse, mais bien drue sous la dentelle.
Je craque à cette vue magnifique et me saisis de son téton sous le tissu pour l’aspirer.
Très vite, elle est torse nu. Que de beaux seins s’offrent à ma bouche avide !
Je glisse ma main sous sa jupe et trouve un début d’érection de ma partenaire. En soulevant un pan, j’y vois une culotte fine, gonflée par un beau sexe. Il est trop tentant, je le libère avant de le mettre dans ma bouche. Sous ma succion, je le sens grandir et grossir. Je me recule pour l’admirer et constate qu’il est plus important que celui de Patrick, surtout plus long. Elle a beau être femme, elle n’en est pas moins superbement équipée.
Katia ne fait aucune remarque quand je lui présente mon sexe à sucer, comme si elle savait que je suis comme elle. Nous nous relevons toutes les deux et nous masturbons mutuellement. Elle se saisit de son sac et en sort un préservatif qu’elle déroule sur ma tige. Je lui en demande un autre pour en faire autant sur la sienne. Elle est surprise, mais comprends quand je me mets en position pour la recevoir.
Si sa pénétration est lente, quand elle est au fond de moi, je me sens transpercée comme jamais je ne l’ai senti. Elle me sonde si profondément avec sa longue bite bien dure !
Ses lents vas et viens sont délicieux et je cherche toujours à en avoir plus en me collant à elle.
Son excitation augmente son rythme pour mon plus grand plaisir. C’est absolument génial !
Elle s’allonge sur moi et je sens ses seins durs sur mon dos. Je l’encourage à me défoncer et elle ne se fait pas prier. Ses coups de reins sont d’une rare violence, comme si elle voulait m’appliquer ce qu’elle doit endurer parfois avec certains hommes.
Encore une fois, j’éjacule sans me toucher. Elle continue à me limer sans vergogne et ne me laisse plus respirer jusqu’à ce qu’elle se vide dans le latex.
Elle me demande avec son accent, tout en me mordillant l’épaule :
« Tu as aimé ma chérie ? »
Pour toute réponse, je tourne la tête et cherche à nouveau ses lèvres, qu’elle m’offre enfin.
Nous discutons ensuite de son métier, de ses origines, mais aussi chiffon’, de ses sous-vêtements en particulier. Elle m’indique où trouver de belles choses avec des formes adaptées pour contenir le sexe, par exemple.
Elle m’a expliqué sommairement le traitement qu’elle a suivi pour en arriver là et j’avoue que ça me tente !
Avant que Patrick ne rentre, nous faisons l’amour à nouveau. Elle me sodomise merveilleusement, puis à mon tour de la pénétrer. Je suis en pleine action quand mon amant arrive.
Sa présence ne me gêne pas, même quand j’ose embrasser Katia devant lui.
Le spectacle le chauffe bien, car il s’approche de nous pour nous offrir sa queue à avaler, qu’alternativement, la fille et moi, partageons.
Il se répand sur la poitrine de la blonde, mais je m’empresse de tout lécher avec délice.
Nous raccompagnons Katia et échangeons nos numéros de téléphone. On ne sait jamais !
Sur le retour, je remercie chaleureusement mon amant du cadeau qu’il m’a offert et que j’ai beaucoup apprécié. Surtout sa longue bite.
« Je connais un africain qui en a une comme tu en rêves, si tu veux »
«Ouh là, là ! J’ai peur de ne vouloir que ça, après ! Et puis, après tout, j’aime la tienne ! »
Quelques jours plus tard
Le couple d’amis de Patrick vient à l’appartement. Si elle est une grande belle femme avec une longue chevelure brune, très maquillée, lui est plus petit, un peu rondouillard, quinquagénaires tous les deux.
Patrick me présente comme sa fiancée’, ce qui ne semble pas plaire à la dame, mais plus au monsieur qui me reluque, en douce. Comme pour s’affirmer, elle pose son gros sac à main et embrasse à pleine bouche mon fiancé’ en faisant un signe de la main à son mari.
Ce dernier, s’éloigne et se met à se déshabiller !.
Heureusement que Patrick m’avait dit qu’ils étaient spéciaux’. J’attends pour voir, un peu jalouse quand même de voir cette tigresse sur mon homme.
Le gars est à poil et attend, résigné, que sa femme se tourne vers lui. Elle reprend son sac et va s’asseoir sur le canapé où Patrick la rejoint. Le mari s’approche en se taquinant les tétons qui se dressent. La femme ouvre son sac en extrait de petits ustensiles qu’elle serre sur chacune des pointes érigées de son mari, ensuite de quoi, elle y accroche des masselottes qui pendent en distendant les mamelons de l’homme.
« Tourne toi maintenant ! »
Le gars s’exécute et tend son postérieur. Elle enfile un gant, y dépose du gel, puis fouille le fessier avant d’enfoncer son doigt avec une telle vigueur que le type se soulève du sol. Elle renouvelle l’opération et le gars se plaint. Elle quitte son gant et lui frappe chaque fesse violemment.
« Ta gueule ! Penche toi ! »
Elle prend un plug anal et l’enfonce sans ménagement. Elle fait tout ça comme si je n’existais pas ! Patrick, quant à lui, pelote à pleine main le sein gauche de cette femme, qui dit à son mari :
« Mets toi à quatre pattes et vient sucer la bite qui va me baiser. Patrick se déshabille et sa compagne en fait autant, puis le mari s’approche, les seins et l’anus distendus, pour donner vigueur à mon Patrick. Ce dernier me fait un clin d’il complice et m’invite à m’approcher.
Le spectacle de ce couple est troublant, troublante est également la femelle qui roucoule en se frottant sur mon mâle. Patrick semble apprécier les gorges profondes, surtout quand elle appuie sur la tête de son mari.
« Oh Patrick, je mouille trop ! Prends moi ! Baise moi devant cette larve ! »
Mon amant la positionne, s’enfonce en elle et se met à la limer devant nous. Une perversité soudaine me vient à l’esprit. Je soulève ma jupe et présente mon sexe au mari agenouillé.
Passée la surprise, il me suce divinement, tout en regardant le couple qui s’ébat en prenant toutes les positions. La femme jouit, mais Patrick ne s’arrête pas. Il la retourne pour qu’elle le chevauche et me fait signe.
Je quitte la bouche du mari et me positionne au dessus de madame. Quand j’entre dans ses fesses, elle pousse un soupir. Patrick s’est immobilisé pour me permettre de lui enfoncer mon sexe dans cet anus offert. Elle est prise par les deux trous et sous les effets de nos rythmes asynchrones, elle se met à onduler dans tous les sens jusqu’à exploser d’un puissant orgasme.
Le mari bande comme un taureau de voir sa femme prise en sandwich. Patrick rampe et s’extrait, alors que je reste bien enfoncé en elle. L’homme embouche Patrick et d’une main derrière, s’enlève l’objet qui le pénétrait. Il attend avec impatience que mon homme s’occupe de lui.
La dame à quatre pattes, que je sodomise, lance :
«Vas y Patrick, baise moi cette salope ! »
C’est sans ménagement que Patrick défonce le type, mais ce dernier semble apprécier les coups de reins qui le sabrent. Je reprends mon va et vient dans le cul de madame qui se cambre pour mieux me recevoir. Je m’active tant que je ne peux me retenir d’éclater en elle. Elle lance, après que je me sois retiré :
« Viens lécher mon cul plein de jus »
Elle présente son fessier et son mari s’avance pour la nettoyer. Ses tétons sont malmenés par les poids qui se balancent à chaque coup de butoir que mon fiancé lui donne. Ce qui m’étonne c’est qu’il bande énormément.
Je ressens qu’il a besoin d’être satisfait et mue par une forme de pitié, je m’agenouille près de lui pour me saisir de sa queue humide à pleine main. Je le branle fort, mais c’est Patrick qui éjacule en premier dans son derrière. Tandis que l’homme recueille ce qu’il lui sort de l’anus pour le porter à sa bouche, la dame se retourne et pose ses pieds sur son dos, jambes allongées. Patrick la rejoint tandis que je continue à le branler avec ferveur. Quand il éjacule, il positionne sa main pour recevoir ses jets de sperme et, lèche le tout à s’en barbouiller la face.
La femme lui donne quelques coups de talon sur l’épaule avant de lui arracher les pinces de ses tétons.
Tous trois se rhabillent et, les uns comme les autres, entament une discussion, puis Patrick aborde le sujet de mon désir d’être plus femme’. Le gars est un spécialiste en endocrinologie et m’invite à passer à son cabinet pour m’en expliquer plus. Elle, le regarde avec défiance et il remballe sa concupiscence à mon égard.
Quand ils nous quittent, je demande à mon chéri si il lui reste encore de l’énergie pour s’occuper de moi et quand il m’entraîne dans le lit, j’en suis vite rassurée.
Durant les jours suivants, le travail au bar nous prend beaucoup de temps. Je suis satisfaite d’être la coqueluche de ces hommes lubriques. Toutefois, les vacances d’été réduisent peu à peu la clientèle et Patrick décide de fermer prochainement pendant deux semaines.
J’ai rendez-vous aujourd’hui avec le gars, ce médecin qui s’est fait humilier par sa femme. Patrick préfère attendre dans un jardin proche, pendant mon premier entretien.
L’homme est ravi de me revoir et congédie la secrétaire médicale, car je suis sa dernière patiente. Il m’interroge sérieusement sur mes motivations, puis se lève, s’approche de moi et se met à me caresser les épaules, tout en me posant des questions auxquelles j’ai de plus en plus de mal à répondre, tant je suis mal à l’aise. Il dévie progressivement sur mes désirs sexuels, puis sa main glisse entre mes jambes pour se saisir de ma bosse naissante.
Comment en arrive-t-il à être entre mes jambes pour me sucer, je n’en sais rien, mais j’apprécie ses coups de langue. Il baisse brusquement son pantalon et se retourne pour m’offrir sa croupe. Il s’est appuyé sur son bureau et m’invite à le prendre. Ce que je fais !
Je découvre alors le plaisir de la sauvagerie animale en lui défonçant le fion.
Il est totalement aux anges quand j’éjacule en lui. Lui même éjacule de nombreux jets sur son sous-main en cuir.
Il m’administre ensuite la première piqûre qui va contribuer progressivement à ma transformation.