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Mes chaudes soirées à l'hôtel – Chapitre 1




Je suis souvent en déplacement pour le boulot, et fréquente les hôtels. Je réserve toujours dans la même chaine, sachant que les chambres sont dans des bâtiments séparés de l’accueil, ce qui permet de recevoir sans aucun soucis.

On est lundi, dix neuf heures passées, le restaurant de l’hôtel vient d’ouvrir, et je suis le premier client. Je mange mon hors d’uvre lorsqu’entre un deuxième client. On peut se placer où un veut, il a tout le choix possible, et il vient juste deux tables devant moi, et me fait face. Nos regards se croisent et il m’adresse un sourire et signe de tête comme pour me dire bonsoir. Je lui réponds et ai le temps de remarquer qu’il est bel homme et qu’il doit avoir mon âge, la soixantaine.

J’ai le nez au maximum dans mon assiette mais par moment je ne peux éviter de le voir. Je croise ses yeux à chaque fois et je sais qu’il m’observe en permanence, qu’il attend mon regard pour m’allumer ouvertement: il m’adresse des sourires, entrouvre sa bouche, agite sa langue, la passe sur ses lèvres. D’autres clients sont arrivés et il se fait un peu plus discret.

J’en suis au café, il se lève pour aller au buffet de dessert, et revient avec une banane. Il la tient d’une main et la caresse de l’autre comme s’il masturbait une bite.

Je me lève et je m’en vais.

Je me dirige vers ma chambre, l’esprit obsédé par ce qui vient de se passer. Je me dis que ce n’est pas possible, que je me suis fait des idées, et en même temps je suis persuadé qu’il me cherchait. Je fais demi tour et me plante sur le parking à quelques mètres de la sortie; on verra bien ce qu’il fait.

Il franchit la porte, m’aperçoit, et vient droit sur moi:

— Bonsoir, c’est moi que tu attends?

— Oui, bonsoir.

— Tu aimes les hommes?

— Oui, à l’occasion. Toi aussi je suppose!

— Oui, bien sûr. On va à ta chambre ou à la mienne?

— Comme tu veux, mais je te préviens je ne fais pas tout.

— Ne t’en fais pas, moi non plus. C’est juste histoire de s’offrir un peu de bon temps.

On se dirige vers sa chambre et on échange sur nos pratiques sexuelles. On ne se trouve que des points communs, présage d’une excellente soirée: on adore embrasser, on suce mais pas à fonds, on ne se fait pas mettre mais on accepte un ou deux doigts si c’est fait en douceur.

On est arrivé, il referme la porte, s’assure qu’elle est bien verrouillée. Aussitôt, et sans s’être concerté, nos bouches s’attirent pour un long baiser fiévreux. Il me repousse doucement:

— Hum, tu es un chaud toi, déshabille toi.

Je me défringue, il en fait autant, et on se retrouve face à face entièrement à poil, nu comme des vers. On se prend par les hanches, nos bouches se soudent à nouveau, et nos mains glissent entre nos cuisses pour se tripoter le paquet. On se roule des pelles éperdues et il se détache pour reprendre souffle et me féliciter:

— C’est bon, tu embrasses bien mon chéri. Tu permets que je t’appelle mon chéri?

— Oui, tout ce que tu veux, tu peux me dire mon chéri, mon amour, mais aussi ma pute ou ma salope.

— Tu es un cochon toi, un vicieux comme moi.

— Oui, on est des gros porcs tous les deux, des porcs avec de grosses queues. Viens devant la glace, j’ai envie de sucer.

Il y a un grand miroir fixé sur un pan de mur, et on fait quelques pas pour se trouver en face. Je m’agenouille et j’engloutis sa queue sans même prendre le temps de la regarder. On se voit et ça nous excite. Je m’active sur sa bite, il commence à bien bander, mais se retire en me disant que je vais trop vite, que je vais le faire jouir. Je me relève et c’est lui qui se baisse. Il me pompe devant la glace, un de mes trucs préférés, et je sens que ça vient moi aussi.

C’est à mon tour de lui offrir rapidement ma bouche, puis lui, moi, lui. On est trop chauds pour résister à une longue pipe, on fait de courts échanges, trop courts, et on décide de procéder autrement. On va se faire jouir, et puis une fois libéré de cette pression on aura tout le temps de bien s’occuper l’un de l’autre.

Il se propose de m’éjaculer dessus et je m’allonge sur le bord du lit pour qu’il satisfasse son envie. Il est debout prêt de moi, pose un pied sur le lit pour m’enjamber, et il se branle énergiquement au dessus de moi. Il jouit, décharge en abondance, m’en met partout sur le ventre et sur le torse. Il a fini sa vidange et me demande de ne pas bouger, me dit qu’il va me nettoyer. Il s’agenouille au pied du lit et me lèche, il récupère tout son foutre et le dévore goulûment.

Il a fini ma toilette, fier de lui, me dit que c’est trop bon de bouffer son sperme et me demande si j’en fais autant. Ma réponse est oui, sauf que je n’ai pas la même manière de le faire. Il veut voir ma pratique et je lui demande s’il a un préservatif. Il en a toujours avec lui et m’en passe un. Je l’enfile et je me branle devant lui, aussi virilement qu’il l’a fait. Je me libère, vide mes couilles en grognant, m’astique jusqu’à déverser la dernière goutte. Je retire la capote, admire son réservoir rempli au maximum, et la porte à ma bouche. J’écarte l’ouverture de mes deux mains, j’aspire de toutes mes forces, et le caoutchouc se retourne pour disparaître dans ma bouche. Je le retire doucement en serrant les lèvres, j’avale tout, et il ressort tout propre, prêt à resservir.

Mon nouveau copain est ravi de ma prestation, autant que je l’ai été de la sienne, et on va à la salle de bain pour se nettoyer la queue et se rincer la bouche.

On se retrouve au lit pour se faire un gros câlin. On se caresse, on s’embrasse, on échange des mots doux et d’autres cochons. Nos bites reprennent ardeur, et on s’installe en 69. On vient de jouir et on est tranquille un bon moment avant que ça ne reparte. On se dévore la queue, on se gobe les couilles, mais il a envie d’autre chose:

— Tu t’es déjà fait bouffer le cul?

— Oui, j’adore, c’est trop bon.

— Viens, je vais te le laver.

On est à la salle de bain , il se savonne les mains, et je me retourne, me penche en avant, écarte mes fesses. Il s’accroupit pour mieux me voir et commence ma toilette tout en me félicitant sur la beauté de mes charmes. Il frotte ma raie, taquine mon petit trou, puis je sens un doigt transpercer ma rondelle. C’est bon, je gémis, j’en rajoute pour qu’il voit que j’apprécie:

— Tu aimes ça salope?

— Oui, c’est bon, un ou deux doigt dans le cul.

— Tu ne préfères pas une bonne queue?

— Ah non, désolé, mais je suis comme toi mon chéri.

Il n’insiste pas, me rince, m’essuie, et s’apprête à repartir au lit. J’ai envie moi aussi de lui brouter le fion, et je le retiens pour le laver à mon tour.

On est à nouveau au pieu, toujours en 69, un 69 anal où on va se fouiller avec les doigts et la langue, le plus loin possible. On s’occupe si bien de nos petits trous que si l’on continue on va décharger sans même se sucer. On décide alors de se pomper un peu avant qu’il ne soit trop tard. On se turlutte passionnément et je sens mon plaisir venir. Je lui propose de gicler sur son corps mais il me veut sur son visage.

On est devant la glace, moi debout, lui à genou, et je m’astique sauvagement le manche. Il me regarde faire et ne ferme les yeux qu’au dernier moment. Je décharge et mes giclées s’écrasent sur sa figure:

— C’est bon ma pute, c’est bon de te tartiner la gueule. Tu aimes ça salope, recevoir mon foutre bien chaud!

J’ai fini , j’essuie la dernière goutte sur lui, il ouvre les yeux pour se voir avant que je ne le nettoie de ma langue. Je lui bouffe la poire, je le lèche, je récupère toute ma sauce et la dévore.

C’est maintenant à son tour de me gicler dessus puis de me débarbouiller.

On discute le temps que je me lave puis que je m’habille pour rejoindre ma chambre. Il est ravi de notre soirée:

— C’est bon de t’avoir rencontré, tu es aussi salaud que moi, un chien qui bouffe son foutre.

— Oui, j’adore ça, tous les jus de ma queue.

— Tous les jus! Tu veux dire que tu bois aussi ta pisse?

— Oui, tu n’as jamais essayé?

— Si, ça m’arrive, mais je n’y crois pas comme on se ressemble. Tu l’as déjà fait à deux?

— Non, je n’ai jamais eu l’occasion.

— Moi non plus. Tu es là demain?

— Oui, toute la semaine.

Il est là lui aussi et on décide d’un plan pisse pour le lendemain en fin d’après midi. On se roule une dernière pelle et je m’en vais.

On se retrouve donc le lendemain à dix-sept heures trente au bar de l’hôtel. On commande deux bières et je mâte le serveur; il faut dire qu’il est beau, la trentaine, yeux bleus, grand et mince, et un joli petit cul. Mon copain s’aperçoit de l’intérêt que je lui porte:

— Il te plait?

— Oui, il est super mignon, et il a l’air efféminé.

— Il n’en a pas que l’air, si ça t’intéresse.

— Tu as déjà baisé avec lui?

— Oui, une vraie salope. Ca te dirait une partie à trois?

— Oui, mais comme hier, je ne me fais pas prendre.

— Pas de risque avec lui, il est cent pour cent passif.

— Tu m’excites, tu crois qu’il va vouloir.

— Sans aucun doute, plus il a de queues et plus il est heureux.

On a fini nos bières, il appelle le serveur pour remettre ça et ils échangent quelques mots:

— Tu es libre ce soir?

— Oui, mais pas avant vingt-trois heures.

— Ca marche. Rejoins nous au 217, on sera trois avec mon pote. Ca n’est pas un problème je pense!

— Non, au contraire. Ok, je viendrais.

On fini nos verres et on va à sa chambre.

Il déballe les deux gobelets à dents, et on boit un verre sans perdre de temps. On se déshabille à moitié, on boit un deuxième, on finit de se dévêtir et on prend un troisième. On se force à boire encore d’autres verres tout en se caressant et s’embrassant. On a fait le plein et il va falloir attendre avant d’éliminer.

On se couche et on se fait un 69 bien chaud, bien gourmand. On sent l’envie de pisser qui monte et on va dans la baignoire en prenant nos verres vides au passage. On bande comme des ânes et ca ne doit pas être évident pour uriner. Alors on se branle face à face, jusqu’à jouir et décharger dans nos verres.

On va enfin passer à notre plan. On est debout, chacun à un bout de baignoire, et on a tiré le rideau pour ne pas asperger partout. On a décidé de pisser chacun son tour, et dès que le premier aura commencé l’autre devra se retenir encore un peu.

C’est lui qui démarre et je reçois son jet puissant et qui sort de sa grosse bite encore bien développée quoiqu’ayant débandé. Il vient sur mon ventre, remonte sur mes seins. C’est bon, c’est chaud, odorant, et je me caresse pour bien me couvrir de son jus. Il coupe rapidement son robinet, pour faire durer la séance, et c’est à mon tour de me soulager. Je l’arrose comme il l’a fait pour moi, et il se caresse. On recommence et quand c’est à son tour et que je vois son liquide s’éclaircir, j’ouvre grand la bouche. Il n’hésite pas à redresser son jet pour me la remplir, c’est encore dégueulasse et je crache tout sans avaler, je me masse pour m’en imprégner. C’est à mon tour et il rejette tout lui aussi.

A force d’éliminer et avec toute l’eau que l’on a bu, nos urines deviennent presque incolores, inodores et sans saveur, comme de l’eau chaude. On se décide à boire et on en redemande tellement c’est agréable et excitant. Il prend son verre de sperme, me le donne, prend le mien, et on pisse dedans, on les remplit, avant de les reposer. On continue à se pisser dans la bouche, à engloutir tout ce qu’on peut, à se caresser avec ce que l’on perd.

Notre séance est finie, on se douche, on essuie tout, et on se prépare pour aller diner.

Juste avant d’y aller on récupère nos verres, on trinque, et on boit ce délicieux cocktail, mélange de notre sperme et de l’urine de l’autre.

A suivre………………

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