La femme se relève pour venir déposer deux baisers sur les seins de Marilyn. Je cherche Joy et Marie, elles sont sur le bord de la vitrine, cette fois-ci, c’est Marie qui s’occupe du minou de Joy. Une autre différence, elles sont toutes les deux nues. Marie est accroupie, les jambes ouvertes, la femme le voit et va vers elle. Elle caresse Joy sur le ventre, le nombril et les seins. Joy ferme les yeux quand elle lui titille les seins avec sa langue. Elle se penche pour caresser les seins de Marie et descendre encore plus bas sur son sexe. Cette femme est déchaînée, elle se redresse, se plaque contre la vitrine et commence à se masturber. Elle fait signe à son compagnon qui vient vers elle une superbe bite sortie. Une fois contre elle, il descend son pantalon et donne un grand coup de reins. Il s’enfonce d’un seul coup en elle et donne de grands coups de reins. La femme passe une jambe derrière son compagnon, il la saisit par les fesses et elle passe sa seconde jambe. Elle est plantée sur sa bite sans toucher terre, plaquée contre une vitrine à se faire défoncer la chatte. Sylvie filme toujours en passant de Joy et Marie au couple.
Joy se crispe et jouit à côté d’elle, Marie la plaque encore plus contre sa bouche. Joy jouit longuement, sa main gauche touche la femme et se crispe sur sa cuisse. Je ne sais pas si c’est une conséquence du geste de Joy, mais la femme se raidit et jouit empalée sur le sexe de son compagnon qui se crispe aussi, il jouit avec elle. On sent une certaine connivence entre eux, ils doivent se connaître depuis longtemps. Tout le monde se calme, l’homme fait redescendre la femme, Marie se relève et enlace Joy, elles échangent un long baiser. Il ne reste plus que deux hommes qui se sont rajustés, les autres sont partis. La femme sexy a enlevé son corsage, elle est nue, assise sur une chaise, les jambes ouvertes à se masturber lentement. Elle est seule, son compagnon n’est plus là. Sylvie s’approche d’elle pour la filmer, quand elle est près d’elle, elle accélère sa masturbation, elle lève les jambes pour bien montrer son sexe grand ouvert. Elle arrête sa masturbation pour mettre ses doigts en pointe et les enfoncer dans son vagin. Sa main y pénètre jusqu’au poignet. Je m’approche d’elle, elle me regarde, enlève sa main.
— Tu peux prendre la relève ?
— Avec plaisir.
Je m’agenouille à côté d’elle, mets mes doigts en pointe et avance ma main jusqu’à son sexe. Je tombe sur des lèvres chaudes et liquéfiées. Ma main s’enfonce sans aucune résistance, elle glisse à l’intérieur de son vagin chaud. Je commence des allers-retours, elle m’arrête.
— Tu peux mettre l’autre ?
Je la regarde interrogative, mais son regard me fait comprendre que c’est ce qu’elle veut réellement. Je sors ma main, joins mes deux mains et les présente devant son sexe. Je pousse doucement, comme précédemment, mes mains s’enfoncent sans résistance, je m’arrête quand ses lèvres sont sur mes poignets. Elle soulève ses fesses pour me faciliter la tâche.
— Encore, enfonce-toi encore.
Je pousse encore, ses lèvres se distendent, mais je sens que je peux aller encore plus loin. Je pousse encore, je ne m’arrête que quand je sens que son vagin ne peut plus se dilater. Je reste un petit moment immobile.
— Vas-y, baise-moi avec tes mains.
Je commence des allers-retours, mais ce n’est pas très aisé, je ne suis pas dans une bonne position, ça a tout de même un certain effet sur elle, elle commence à onduler du bassin. Je continue quand Julie se penche sur son clitoris et commence à le titiller avec sa langue. Joy et Marie s’occupant chacune d’un sein.
— Oh oui, oui, continuez les filles, j’aime, oh oui, j’aime.
J’accélère mon mouvement, c’est de plus en plus facile. Son vagin se détend de plus en plus. Je sors mes mains pour les enfoncer immédiatement après. Elle se cambre pour me faciliter le mouvement, son ventre commence à se crisper, elle ondule de plus en plus fort, Julie et les filles ont du mal à rester sur leur cible, mais d’un seul coup, elle explose.
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, oui, oui, je jouis, je jouis, oui, oh les filles, je jouis, encore.
Elle est raide, immobile, secouée par des spasmes, Julie s’active encore plus sur son clitoris, les filles sur ses seins, moi, je ne peux plus bouger, elle a refermé ses jambes, son vagin me serre les poignets. Elle se détend petit à petit, je peux dégager mes mains. Sylvie a tout filmé, quand je regarde dans la boutique, il ne reste que nous, tout le monde est parti. J’aide la fille à se lever.
— Comment tu t’appelles ?
— Corine.
Je présente tout le monde.
— Ton mec est parti.
— Non, il m’attend dehors, il avait envie de fumer.
Jean vient vers nous.
— Alors les filles, vous vous êtes bien amusées ?
— Super.
— D’autant que je crois que c’est ton anniversaire.
— Oui.
— Alors, bon anniversaire.
Il m’embrasse sur les deux joues.
— Il commence à se faire tard les filles, je dois fermer.
— OK, on s’en va.
Tout le monde se rhabille, nous sortons, le compagnon de Corine l’attend en fumant. Elle me laisse ses coordonnées et va le rejoindre. Le retour se passe bien, il fait nuit, mais il n’y a que très peu de monde dehors, je le regrette un peu mais je fais avec. Arrivées à l’appartement de Julie, nous allons dans la salle de bain pour prendre une douche. Nous nous installons sur le divan pour boire une dernière bouteille de champagne, on ne fête pas ses vingt ans tous les jours. Je remarque qu’il y a quelqu’un dans une chambre, c’est une femme. Je regarde Julie interrogative.
— C’est une habituée, elle est là tous les week-ends, je l’appelle poulette.
— Pourquoi.
— Parce qu’elle est très bronzée, mais elle a les traces d’un maillot deux pièces très couvrant.
— Et poulette, c’est pour le blanc le meilleur sur une femme bronzée, comme le blanc de poulet.
— Exact.
— Et que fait-elle ?
— En général, elle regarde ce qui se passe ici, de temps en temps, elle se masturbe sur son lit, mais c’est très rare, elle croit que je ne la vois pas, elle se glisse dans ses draps, mais il y a des mouvements que ne trompent pas.
Nous buvons tranquillement notre champagne, bien sûr les mains se promènent sur les corps aimés descendent entre les jambes pour le faire chanter. Nous jouissons toutes deux fois avant de commencer à parler de dormir. Nous sommes crevées, nous rangeons tout et allons prendre une dernière douche. Je vais m’allonger sur le lit de Julie. Elle me rejoint quelques minutes plus tard.
— Et Marie et Joy ?
— Je leur ai donné une autre chambre, je crois qu’elles veulent être seules.
— Ça se comprend.
— J’ai l’impression que c’est bien parti entre elles.
— Moi aussi, comme pour nous.
Elle m’enlace, m’embrasse passionnément, baiser que je lui rends avec amour. Nous nous endormons enlacées et repues.
Samedi
Julie est au-dessus de moi et me sourit.
— Bonjour mon amour, bien dormi ?
— Oui mon amour, j’ai très bien dormi dans tes bras.
Elle s’allonge sur moi pour m’embrasser. Au bout d’un moment, elle se redresse.
— Bon, j’ai faim moi, j’ai envie de déjeuner, mais nous n’avons pas de pain.
— Allons en chercher.
Après une douche complète, nous sautons dans nos jupes, enfilons nos corsages pas sages et sortons. Il fait toujours aussi chaud, il n’y a pas trop de monde, mais nous faisons voler nos jupes juste pour le plaisir. Il y a un peu de monde dans la boulangerie, je me mets derrière Julie en me collant un peu à elle. Elle passe une main derrière elle, la glisse sous ma jupe et enfonce son majeur dans ma vulve accueillante et chaude. Elle le ressort pour venir exciter mon clitoris. La tension monte, je me liquéfie de plus en plus, elle mouille son doigt régulièrement en le glissant entre mes lèvres ruisselantes. C’est notre tour, Julie dégage sa main, elle commande, mais quand elle veut payer, je vois que le majeur de sa main est bien mouillé. La boulangère la regarde d’un air inquisiteur mais ne dit rien. Elle nous regarde sortir d’un air sévère.
— Je ne comprends pas son attitude, elle a l’habitude de mes tenues, elle m’en félicite même de temps en temps.
— Je crois que c’est ton doigt mouillé par ma cyprine qui l’a interrogé.
— Peut-être.
Je suis super excitée, j’ai envie de jouir, Julie n’a pas eu le temps de terminer le travail. Nous nous engageons dans une petite rue, elle est déserte. Je me touche le clitoris, Julie s’en rend compte et en fait autant.
— Toi aussi tu as envie de jouir ?
— Oui, j’en crève.
Je remarque une porte de porche assez enfoncée, je me colle à la porte de dos, porte ma main sur mon sexe, plonge mon majeur dans ma vulve inondée, le fais glisser jusqu’à mon clitoris et le fais tourner comme une folle. Julie s’est mise à côté de moi et fait la même chose. Je suis sur le point de jouir quand le battant sur lequel Julie et adossée s’ouvre. Elle perd l’équilibre et s’écroule dans le porche. A ma grande surprise, je vois apparaître Idriss et Omar. Idriss aide Julie à se relever, il prend un certain plaisir à la regarder partout pour voir si elle n’est pas blessée. Il lui soulève la jupe et pose ses lèvres sur ses fesses. Julie remonte un peu plus sa jupe et se retourne lui faisant face. Omar vient vers moi, je lui pose un léger baiser sur les lèvres.
— Qu’est-ce que vous faites là tous les deux ?
— C’est là qu’on habite, c’est plutôt à moi de te poser la question, comment se fait-il qu’elle soit tombée juste en ouvrant la porte, elle était appuyée dessus, et, telle que je vous connais, je présume que vous faisiez quelque chose de spécial.
— On se masturbait tout bonnement, et vous nous avez stoppés dans notre élan, il faudra réparer.
— A ta disposition ma chérie, mais nous sommes attendus à l’entraînement, nous n’avons que dix minutes tout au plus.
— Ça devrait suffire.
— Entre.
J’entre, il ferme la porte, je viens vers lui pour lui descendre son short. Il me prend par la main et m’entraîne dans un recoin. Idriss s’occupe de Julie, il a déjà le short à mi-cuisses.
— Là, on sera tranquilles.
Je lui baisse son short, il commence à peine à bander. Je lui gobe la bite qui réagit tout de suite et est raide en trente secondes. Julie sort deux préservatifs de son sac, elle en a toujours sur elle. J’en enfile une à Omar Julie fait la même chose à Idriss. Omar déboutonne mon corsage et me l’enlève ainsi que ma jupe. Idriss fait de même à Julie.
— Voilà, tout le monde à poil.
Ils se mettent tous les deux côte à côte à un mètre mur, nous soulèvent en nous prenant par les hanches. Ils nous amènent doucement au-dessus de leurs bites et nous font descendre ensemble dessus. Le gigantesque gland d’Omar ouvre mon vagin et se glisse à l’intérieur comme dans un chausson. Je ne sais plus où je suis. Il me fait monter et descendre sur son vit, dans l’état d’excitation dans lequel je me trouve, je ne tarde pas à jouir sur son sexe. Je vois une lueur de déception dans ses yeux. Julie jouit quelques secondes après moi. Ils nous posent à terre, je regarde Julie, nous nous comprenons, elle sort de son sac un tube de crème pour la peau et nous nous en enduisons le fion. Nous nous positionnons de dos devant eux.
— Maintenant, derrière.
Omar me saisit par les hanches, il me soulève et me plaque contre lui. Il me laisse glisser sur son torse jusqu’à ce que je sente sa bite venir entre mes fesses.
— Vas-y, je suis prête.
Un coup d’il à Julie pour constater qu’elle en est au même point avec Idriss. Il me laisse descendre sur sa bite. Son gland se fraie un passage entre mes fesses, ouvre mon sphincter et s’engouffre au plus profond de mon être. La crème de Julie suffit à me lubrifier, son sexe glisse sans heurts dans mes entrailles, je sens à peine une petite gêne vite remplacée par une sensation de plaisir. Il me fait monter et descendre sur son vit de plus en plus rapidement. Il devait être très excité car je sens assez vite les prémices de son éjaculation. Je me caresse le clitoris, je veux jouir encore une fois sur cette bite.
— Oui, j’aime ton cul, je viens, je viens, tiens, prends ça dans le fion.
Son sexe palpite, j’accélère mon mouvement sur mon clitoris et le suis assez vite.
— Oui, ta bite, oui, ouiiiiiiiii.
Julie en fait autant.
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiii.
Quand ils se sont entièrement vidés, ils nous déposent devant eux. Nous nous retournons, leur enlevons la capote et nettoyons leurs bites. Une fois bien nickel, je me mets sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur les lèvres d’Omar, je vais vers Idriss pour lui faire la même chose. Julie les embrasse aussi tous les deux, elle vient vers moi et se penche à mon oreille.
— Ils me plaisent bien, ça te dit de les revoir ?
— Bien sûr, je leur demande leur numéro, il faut qu’on se revoie.
Omar me donne son numéro, il est très heureux que l’on puisse se revoir, mais je les préviens.
— Vous savez, nous aimons bien nous faire baiser et enculer par des mecs, surtout montés comme vous, mais nous sommes plutôt orientées filles, il ne faut pas penser avoir une histoire d’amour avec nous, juste le cul, rien que le cul.
— Ça, ce n’est pas la peine de nous le dire, nous l’avions déjà compris la dernière fois.
Nous nous rhabillons et sortons du porche. Comme la dernière fois, Omar me caresse les fesses, il me montre sa main maculée de crème. Je réalise soudain que nos fesses doivent briller de la crème de Julie, nous ne les avons pas essuyées, mais je ne dis rien, ça m’excite encore plus. Il ne cesse de me caresser les fesses, il glisse même de temps en temps un doigt entre elles jusqu’à ma rondelle. Omar se penche vers moi.
— Je crois que l’entraînement va être un peu difficile, on n’a pas fait exactement ce qu’il faut pour être en grande forme.
— Tu n’as qu’à expliquer pourquoi.
— Et se faire tuer par le coach, c’est parfait.
Nous éclatons de rire, au bout de la rue, ils nous quittent, nous continuons seules. Quand nous arrivons à l’appartement, Joy et Marie ont préparé le café.
— Bonjour les filles, bien dormi ?
— Très bien, très très bien.
Je pose les courses sur la table, Julie est déjà dans la salle de bain.
— Excusez-nous les filles, une urgence, je vous expliquerais.
Je fonce rejoindre Julie. Nous prenons une douche rapide, juste de quoi nous nettoyer les fesses. Nous retournons assez vite dans le salon. Elles nous attendent assises à la table.
— Alors, que faites-vous ?
— Nous allons chez moi, nous voulons être seules pour ne penser qu’à nous.
— Vous avez raison, je crois que nous aussi, nous allons rester ensemble seules, nous en avons besoin.
— Allez, déjeunons.
Nous racontons notre petite aventure avec tous les détails, Joy est très amusée, elle les connaît au contraire de Marie. Elles nous quittent vers midi, elles sont pressées d’être seules. Nous restons seules, j’ai envie de m’occuper de Julie, de la câliner, de la dorloter, de la chouchouter.
Je l’aime, maintenant j’en suis sûre et je veux la rendre heureuse.