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Ma femme a une drôle d'idée de l'Education / réécrit – Chapitre 9




Avertissement :

Je me suis fait plaisir en écrivant ce chapitre mon humour est peut être lourd mais il fait au moins rire une personne : l’auteur.

J’aimerais vraiment avoir vos commentaires sur celle-ci Que penser de l’humour associé à une histoire assez graveleuse ?

Autre chose, j’ai fait référence à un épisode de la fin de la seconde Guerre mondiale et du III° Reich, période que je connais très bien de par mon travail.

Bien évidement, est-il besoin de le préciser, je condamne l’idéologie monstrueuse de ce régime insane (ma famille en fut d’ailleurs victime) avec la dernière volonté ; de même que je n’associe pas le peuple allemand d’aujourd’hui avec son Histoire tragique.

Veuillez également pardonner mon allemand plus qu’approximatif

Évidement toutes «  les vautes d’orthograve  » dictées par l’accent teuton sont voulues !

Ambre était comme tétanisée devant le spectacle qui s’était offert à elle :

" Ta femme est quand même une drôle de créature, sans parler de tes fils !

— Qu’y puis-je ?

— Bon nous avons fini de manger, que proposes-tu ?

— Je te ramène chez toi ?

— Tu te fous de moi ?  Maintenant que j’ai vu de quoi elle était capable, je veux voir la fin de L’histoire !

— Eh ben! On n’est pas rendus! "

Je ramenais donc Ambre à mon domicile et l’installais dans la chambre d’amis.

Celle-ci insista pour dormir devant l’écran, afin de voir les dernières aventures sexuelles de ma femme en direct live !

Je lui installais donc une couchette dans le bureau qui me servait de PC de crise.

Elle insista alors pour voir les derniers ébats de ma femme avec ses fils, qui avaient été interrompus par le défaut de batterie de mon smartphone.

Céline était alanguie sur le lit, chatte à l’air, guêpière et porte jarretelle en bataille, avec ses deux enfants qui lui suçaient chacun un sein :

"Ah mes chéris, vous avez encore bien fait jouir votre mère indigne !

Que d’orgasmes vous avez pu me donner, vous m’avez défoncé le sexe, le cul, la bouche, jamais votre père n’en a été capable ! Je vous adore !

— Maman tu te souviens du scénario que j’ai mis au point pour demain?

Tu devras t’y conformer à la minute prés.

J’ai confiance en toi, maman, je sais que tu ne décevras pas ton petit garçon qui te donne tant de plaisir " , dit Damien toujours directif avec sa génitrice.

Le lendemain, nous fumes réveillés par l’alarme Smartphone.

Céline avait pris un taxi et avait rejoint un jeune homme plutôt mignon qui la coachait.

Les trois smartphones filmaient ma femme dans le taxi :

"Madame Rivals, les instructions qui m’ont été données sont on ne peut plus claires: je dois vérifier l’état de propreté de votre sexe !

— Non mais j’hallucine ! Vous voulez peut être que je remonte ma jupe, vous montre ma chatte en direct, écarte les jambes pour que vous puissiez me doigter afin de voir si j’ai bien fait ma toilette intime ce matin ?!! 

Vous déraisonnez mon ami !!

— C’est exactement cela madame Rivals !

Je dois également vérifier la présence de bas et d’un porte-jarretelles, ainsi que le professeur qui va vous opérer, Herr Luddendorf, me l’a demandé ! "

Céline obtempéra, en écartant les cuisses et découvrant ainsi sa chatte blonde avec les bas noirs et le porte- jarretelles de mise, évidemment elle ne portait pas de stringpour quoi faire ?

" Alors tu peux te rincer l’il jeune homme ! Tu n’as pas dû en voir beaucoup de si belles chattes !

— Je ne fais que suivre les ordres de votre commanditaire, madame.

— Ouais, c’est ça et maintenant tu vas me doigter, je parie ??

Régale-toi, ordure !

— Les ordres, madame, les ordres, je ne fais que mon métier !

Quant à vous je me permets de vous rappeler à la plus extrême obéissance, des inconvénients pourraient survenir ! "

Une sensation de froid extrême saisit ma femme, qui se demandait dans quel bourbier elle s’était laissé mettre par son fils Damien, qui avait tout organisé

D’autant plus que les quartiers dans lesquels s’enfonçait le taxi ressemblaient de moins en moins à la succursale de l’hôpital international, qu’on lui avait promis !

Pendant ce temps le commis faisait son office, penché entre les cuisses grandes ouvertes de ma femme, il doigtait le sexe ainsi offert, caressait grandes lèvres et clitoris pour enfin faire faire un frottis vaginal

Céline était au bord de la pâmoison.

Pendant l’office du commis, elle avait dû se mordre les lèvres, pour ne pas exhaler le moindre soupir ou ahanement qu’elle eût trouvé, fort incongrus, dans la présente situation !

C’est vrai que ma femme savait encore garder la classe, malgré toutes les perversions dont elle s’était rendue complice.

Enfin le taxi arriva devant une battisse, fort peu agréable.

" C’est ici la clinique ? Demanda- t’elle piteusement, alors que le commis l’invitait à descendre du taxi et à le suivre

— Oui madame, venez, nous sommes déjà en retard et le professeur sera fort contrit si nous ne nous hâtons pas ! "

Céline pressa le pas, jugeant qu’il serait fort malséant de désappointer un professeur, qui allait approcher poinçons et scalpels pour lui opérer le sexe !

Elle fut dirigée dans une petite pièce aux odeurs et à l’hygiène douteuse, où on lui intima l’ordre de laisser tous ses effets personnels hormis bas et porte- jarretelles.

Et c’est en cet appareil, nue, chatte et seins arrogants à l’air qu’elle se présenta, penaude, à l’équipe du professeur Luddendorf

Ah ! Elle avait bien perdu de sa superbe, cette petite pute, pensais-je en voyant son air de petite fille apeurée qui va rencontrer son bourreau, décidément, Ambre avait vu juste sur toute la ligne.

" Ach!! voizi la betide demoizelle qui vient ze refaire la jatte ! "

Un accent germanique à couper au couteau

130 kilos de choucroute mal digérée, le regard obscène fixé sur l’entrejambe de ma chère et tendre, les cheveux blancs ébouriffés, une blouse de chirurgien couverte de traces suspectes de sang ou d’autres chosele professeur Luddendorf semblait échapper directement du III° Reich, grâce à un réseau " Wehrwolf " ( organisme du III° Reich de l’année 1945, chargé de faire évader les criminels de guerre nazis)

Et c’était, j’en suis sûr l’impact psychologique destiné à ma pauvre femme.

J’aurais parié gros, que mes deux fils, cachés quelque part, devaient se bidonner à voir leur maman chérie dans un tel désarroi !

" N’ayez pas beur, belle enfant, abbrochez ! "

Céline se rapprocha de " Jabba the Hutt " en ayant l’impression d’être la princesse Leia « Orgasma », hormis le détail que cette dernière n’était pas à poil devant le tas de graisse et qu’elle n’allait pas se faire démolir la chatte !

Steven Spielberg au secours !

Le teuton approcha une grosse main aux doigts boudinés et palpa le sexe de ma femme.

" schon! Schon !! Que foila une belle bedide jatte !! Herr Luddendorf fa te la modivier bour la rentre encore blus attrayande, Teufel !!

Ach ! Frankreich , Baris ! Les bedites FemmeswonderbachJ’atore les bedides Franzaises !  »

Céline se serait pissée dessus  tant elle avait peur du personnage et de la situation; il ne lui serait pas venu à l’esprit que trouver un allemand échappé d’un camp de la mort en 2017, en Tunisie, manquait un peu de cohérence ?!

" Plazez- la dans les étriers et addachez la, che ne veux pas qu’elle ze depatte quand j’obererai !! "

Aussitôt deux jeunes infirmiers patibulaires saisirent Céline par les bras et l’obligèrent à s’assoir dans un fauteuil de gynéco très sale et piteux

L’un des infirmiers présenta à ma pauvre femme les instruments de chirurgie, sur un plateau, habilement camouflés en instruments de torture.

Scalpels, pinces, spéculums, poinçons, aiguilles à recoudre le tout qui paraissait sale.

" Foici les inztruments de dordurebardon de chirurgielaizzez vous vaire belle enfant ! "

Céline, étirée sur le fauteuil de gynéco, les jambes écartées à outrance, la chatte ouverte sur le monde, commençait à baliser grave :

" Monsieur, s’il vous plait, on arrête tout !

— Nein !! bas bossible j’ai des ordres et ein deutchmann nicht kapitulieren ! " (bon on n’était pas non plus au siège de Berlin en 45 ! Il s’agissait ici de la petite chatte d’amour de ma femme ! )  »

Le jeune et beau commis qui avait guidé ma femme depuis sa prise du taxi, s’approcha d’elle et, très professionnel, sans regarder le merveilleux corps offert à tant de perversions, lui dit d’un ton autoritaire mais conciliant :

«  Chère madame, nous pouvons effectivement tout arrêter selon votre souhaitmais je vous rappelle que tout le scénario a été créé et imaginé par votre fils ainé, qui, d’après les instructions qu’il m’a données et qu’il vous a communiquées hier, ne peut être modifié et doit être suivi scrupuleusement d’après son désir.

Il m’a confirmé sans la moindre objection possible de votre part, que si vous renonciez, il en serait très désappointé et qu’il perdrait toute confiance en vous

Je pense que vous comprenez ce que cela signifierait pour votre relation.

De plus pensez à votre mari volage, soyez forte, vengez-vous de l’outrage !

— Vous avez raison, monsieur, je ferai tout ce que mes fils ont commandé, je les aime trop  »

Luddendorf caressa alors le sexe de mon épouse qui réagit par un " huuummm! " de satisfaction, puis il saisit une pince et étira au delà du raisonnable l’une des lèvres de son sexe.

Céline hurla.

Même chose pour la deuxième lèvre, prise par une pince, étirée et fixée à une barre d’acier.

" Pitié monsieur, je ferai tout ce que vous voudrez je suce très bien et je suis une grosse salope au lit !

Maisheunon nonallez y ! Je ne veux pas le décevoir ! »

Insensible aux gémissements de Céline, le professeur saisit le gros poinçon, le présenta devant Céline et avec un regard vicieux lui dit:

" Je fais te berforer da bedide jatte ! "

Céline hurla derechef pendant qu’il lui faisait deux minuscules petits trous, dont la douleur était atténuée par la lidocaïne dont était enduit le poinçon.

Puis il saisit un scalpel de belle dimension et lui dit :

" À présent che fais de degouper la jatte, excizion ! "

Céline se mit encore à hurler, elle sentit la froidure et le mordant de la lame qui allait, pensait-elle avec conviction, lui découper les chairs de son intimité, sa petite chatte d’amour, pendant que le professeur dégageait le clitoris de sa gainepuis elle tomba dans les pommes

En réalité , bien évidement, il ne s’agissait que de percer le clitoris…mais le scénario vicieux imaginé par Damien avait atteint son objectif :

placer sa mère dans un état de confusion et de terreur indescriptible…tout en lui fournissant les émotions fortes et interdites dont elle était si friande depuis son dévoiement consécutif " à l’infidélité de son mari" et sa perte de confiance en lui .

Elle se réveilla dans une chambre High-Tech, entourée de ses deux chers fils:

" Maman, l’opération a très bien réussi tu as une petite chatte toute neuve, avec des jolis piercings, qui va nous donner bien du plaisir à tous les trois !

— Damien, si je ne me retenais pas, je te foutrais une torgnole comme tu n’en as jamais eue !

Pour vous deux ce sera abstinence pendant un mois !

Je crois que je vais me mettre, et me faire mettre au tarot par les copains de votre père.

Je vous en veux à mort !  »

Elle attrapa un broc d’eau et le jeta violemment sur Damien en train de quitter la chambrecelui-ci l’esquiva et ferma rapidement la porte, partant sur un gros éclat de rire !

Céline, seule dans sa chambre était mortifiée et dans une rage folle.

Visionnant ce dernier passage, j’avoue que j’étais mort de rire, mais je sentais aussi que la partie de tarot de la semaine prochaine allait être très dure pour moi.

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