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Je veux être webmaster – Chapitre 2




Un grand silence, long, précède les premiers halètements de Patricia. Elle ne simule pas, son souffle se fait plus fort, plus saccadé, des petits cris de souris soulignent ses efforts.

-Cest bien, continue. Enfonce deux doigts, remue-les vite et fort, oui, encore. Reviens en surface, surfe sur le clitoris, fais aller et venir lindex. Cest ça, pousse ton ventre contre tes doigts, soulève les fesses, ouvre les jambes: ton client veut voir. Continue, montre -moi que tu es capable daller jusquau bout. Vas-y. Tu es magnifique. Ta première fois est un triomphe

-Attends, il faut que je me calme. Ouf, ce nest pas facile devant toi. Alors je signe où?

-Encore un peu de patience. Combien veux-tu gagner?

-Le plus possible. Je ferai tout ce que tu me demanderas. Je viens de faire le plus dur. Je ne men serais jamais cru capable, donc je dois casser tous mes tabous. Après tout les clients sont derrière leur écran.

-Tu pourrais faire une scène avec une autre fille? Cest généralement facile. Et faire lamour avec un homme. Lidéal serait de convaincre Serge.

-Il ne voudra jamais. Je ne veux pas lui en parler aussi longtemps que je nai pas amassé assez dargent pour lui montrer lintérêt de la chose.

-Donc, si tu veux gagner vite, il faut prouver ta volonté de réussir. Accepterais-tu de faire un essai rapide avec moi, juste pour montrer que tu peux vaincre ta retenue naturelle. Il faut battre le fer quand il est chaud. Tu restes sur le canapé, tu me tends les bras. Je mapproche, je tembrasse; je te caresse. Et toi, que fais-tu?

-Jouvre ta braguette et je sors ton engin. Mais tu triches: tu es déjà tout tendu.

-Je ne suis pas en pierre. Tu es une nana super attirante, je bande, ça va de soi. Masturbe-moi un peu, je fais la même chose. Ton petit con est tourné vers la caméra, jy pose un doigt, je sépare les lèvres, le client se rince lil. Ma bouche descend ton cou, fait halte sur tes tétons, se dirige vers le nombril, poursuit sa route. Je me place entre tes jambes, je jette tes pieds sur mes épaules et je vais mabreuver de cyprine: je lape, je tète, je mordille. Tu poses tes mains sur ma tête comme pour me repousser, mais tu mappelles avec passion

-Baise-moi, prends-moi. Claude je nen peux plus, allez, cesse de jouer, pénètre-moi. Tu vois, jy arrive. On peut arrêter.

-Tu rigoles, il ne sest rien passé. Je veux bien arrêter, mais lessai nest pas concluant.

-Bon, mais comme tu es un acteur inconnu, je vais me mettre à quatre pattes et tu me sauteras par derrière. Je ne verrai pas ton visage, tes émotions. Ce sera professionnel, il ny aura pas de sentiments.

-Daccord, pour une première fois. Mais au studio, tu obéiras. Promis?

-Promis.

Cette fois, ça suffit. Elle na rien signé encore, mais Claude veut se la faire. Il est temps dintervenir, je monte et jette un coup dil en direction du canapé. Patricia, la tête contre laccoudoir, fesses en lair, reins creusés, un genou sur les coussins, une jambe sur le sol, présente la cible à la flèche tenue dune main par le partenaire. Il se raffermit, vient au contact.

-Ça cest le sommet du spectacle, le gland frôle la chatte. Une main prépare le chemin. Il ne faut rien précipiter. Tu sens mon nud aller et venir de bas en haut, plusieurs fois. Je le mouille avec ton jus. Jappuie à peine, cest une fausse introduction. Je fais ça plusieurs fois et toi tu exiges que jentre, tu me supplies. Allez, parle

-Baise, baise-moi à fond

-Prépare-toi, quand je pousserai, tu vas crier, faire croire que cest trop brute. Il faut exciter le voyeur.

Je fais encore lascenseur, je chatouille ta pastille, je cherche la bonne position. Je compte jusquà trois, prête? Un deux

Jentre en braillant

-Mais quest-ce qui se passe ici?

Claude dérape, manque le but, se retrouve au sol avec ma chaussure sur la figure. Transformée en statue, Patricia tourne sa tête vers moi, reste aussi muette quimmobile

-Lève-toi. Tu tes assez amusée, va thabiller correctement.

Elle se sauve en courant vers la chambre.

-Toi, salopard, que fais-tu là. Ne bouge pas ou je tétrangle. Tes fringues confisquées. Va tasseoir à table. Oui, tout nu, comme tu las voulu. Alors tu viens chez lez gens en labsence des maris et tu sautes les ménagères. Pas vu pas pris, je veux bien. Mais là tu es vu et pris. Tu vas texpliquer en présence de Patricia. Pat, nous tattendons.

Elle arrive, une main sur la bouche.

-Tu peux mexpliquer ce qui se passe?

-Ben, Claude que voilà ma proposé une place lucrative sur un site internet. Il recrute des personnes qui offrent un spectacle érotique ou pornographique à des internautes qui paient pour le regarder. Le salaire dépend des prestations. Et il était en train de tester mes compétences pour savoir quel contrat il pouvait me proposer. Cest uniquement professionnel, je tassure.

-Mais cest formidable ça. Allez, tiens habille-toi. On ne reste pas nu devant une dame. Attends, réponds dabord. Est-ce que vous embauchez uniquement des femmes?

Il a du mal à déglutir, ma carrure lui en impose.

-Non, nous prenons aussi des hommes. Il y a beaucoup de candidats: ils rêvent de gagner de largent en se payant les femmes des autres. Cest humain

-Bon, sors tes contrats, un pour Patricia et un pour moi. Nous viendrons ensemble, nous repartirons ensemble et nous ferons tout.

-Cest que jai oublié mes contrats à la maison. Jai juste un carnet dans mon sac. Je suis parfois distrait.

-Nous allons donc faire une visite à ton patron. Où est le fameux studio, vite, quon aille prendre un premier contact. Tu vas monter dans ma voiture et tu nous présenteras.

-En réalité, le studio est en réfection. Les séances commenceront dans un mois seulement.

-Ne ménerve pas, conduis-moi à ton studio.

-Pardon.

-Donne ton sac

Je saisis le carnet. Sur chaque page, une date précède un prénom et un nom de rue, un numéro, en-dessous une note sur dix et une appréciation. Cest un homme difficile, il relève qualités et défauts, bonnes et mauvaises odeurs de la bouche ou du vagin, muscles ou seins fermes ou distendus. On passe de 4 à 7.

Loiseau toujours nu grelotte, mais ce nest pas de froid.

-Ce sont tes appréciations sur tes candidates? Allez, on va chez ton patron.

-Cest que, je nai pas de patron, je travaille pour mon compte.

— Patricia, lis ceci. Adresse de ton site?

-Je ne lai pas encore créé, mais dès que je pourrai-je le déclarerai.

-Tu as une section gay?

-Également!

Alors va sur le canapé, à genoux, tourne-toi vers le dossier. Je vais tenculer si tu nexpliques pas clairement à ma femme que tu lui préparais une place dans ton carnet. En position

-Oh! Non, pas ça, pas devant elle.

Elle a compris, ce quil confirme: son prétendu site sert dintroduction, les femmes sont naïves et il les séduit sans difficultés.

Je redescends dans mon bureau. En haut Pat hurle, furieuse. Jentends une chute dans lescalier, je regarde: Claude sen va en boitant

Patricia arrive sans bruit, en larmes:

-Que je suis bête. Tu me pardonnes?

— A condition que tu me montres ton barbu rasé et que tu te touches devant moi, sur le champ.

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