Histoires de sexe en groupe Histoires gays

au concours reine Elisabeth … – Chapitre 1




Mon mari m’a offert un cadeau fantastique, un abonnement pour suivre le concert Reine Élisabeth.

Je suis aux anges, je me prépare à la première soirée, je me fais belle, je suis croquante, mes longs cheveux blonds en chignon, une robe noire fourreau assez décolletée sur une poitrine fière mise en valeur par un push up, mon collier de perles, des hauts talons qui mettent en valeur mes fesses rebondies et ma croupe de rêve comme dit mon mari, et un parfum capiteux.

Je suis bien située et mes voisins assez mélomanes comme moi sont assez sympathiques, à ma droite, un couple dans la cinquantaine bien conservé, à ma gauche un homme seul très élégant, légèrement grisonnant, sentant Terre dHermès qui me rend folle.

La conversation bat son plein, le programme musical du jour sera plaisant, la reine fait son entrée, nous nous levons et dans le mouvement je surprends mon voisin lorgnant dans mon décolleté sans vergogne ce qui me flatte.

Je me sens bien, le push up s’il met mes seins en valeur a l’inconvénient lors de mouvements latéraux de se décoller et de livrer aux regards de voisins latéraux une vue des plus agréables.

Le premier candidat est épatant, j’aime, nous échangeons avec le voisin nos impressions, je le sens captivé aussi par ma personne, et chaque fois qu’il peut, il plonge dans mon décolleté, je ne fais rien pour lui cacher mes seins, exagérant même mes mouvement pour être la plus indécente. Je me sens mouiller, je suis bien.

L’entracte, nous quittons notre place et mon voisin me propose un drink que j’accepte volontiers à la condition que la prochaine fois, je puisse le lui rendre.

J’apprends qu’il est marié avec deux enfants et que son épouse n’aime pas le violon, il est gérant d’une agence bancaire de Bruxelles. Il est joli garçon, il a de beaux yeux et surtout ce que j’aime, de belles mains bien soignées.

La soirée se termine et nous nous donnons rendez vous pour le lendemain. Le courant fait plus que passer.

Rentrée, mon époux qui m’attendait, me trouvant craquante, me saute dessus, ma robe tombe, mon push up suit, je suis en shorty noir avec des auto-portants fumés, il me courbe sur le fauteuil du salon, il écarte mon fond de culotte et il s’enfonce en moi violemment. Il me prend avec force et voilà que mon charmant voisin du concert s’invite et mon cerveau fait un transfert, c’est lui qui me baise, j’en mouille comme une folle, mon mari est en forme, je le sens plein d’envie, de force, je sens sa jouissance imminente, il explose au fond de moi, j’imagine mon voisin éjaculant en moi, je jouis comme jamais.

Mardi, nouvelle soirée pleine de promesses, toute la journée j’ai pensé à ce voisin, je me suis même caressée l’après midi, que m’arrive-t-il? Je suis folle. J’arrive en avance habillée comme une princesse, j’ai opté pour une jupe portefeuilles ouverte très haut, avec un chemisier habillé à froufrous assez échancré, sans soutien cette fois, avec un châle. Mes cheveux blonds pendent, je fais petite fille sage.

Ma voiture ne démarre pas, mon mari absent ce soir, je me résigne à prendre un taxi.

Je suis la première, il arrive peu de temps après moi, il est toujours aussi élégant et son Terre dHermès me rend toujours aussi folle.

Nous échangeons à nouveau nos impressions sur les candidats du jour et leur programme musical. Il est scotché à nouveau sur ma poitrine que je lui livre ouvertement, j’ai mon châle sur les genoux, sur mes mains. Puis miracle, je sens une de ses mains qui emprisonne une des miennes, coup de tonnerre, je dois rêver, non c’est la réalité, il me masse les doigts, j’aime. je le laisse faire, mon cur s’emballe, il quitte ma main au deuxième mouvement du concerto, il l’engage dans l’échancrure de ma jupe porte- feuilles, il est sur mes cuisses, il est à la limite des autoportants et de la peau nue, je mouille, j’écarte les jambes et lui montre par là mon assentiment, il progresse, il frôle mon fond de culotte qu’il doit sentir humide, ça l’encourage, il masse de l’index mon abricot qui suinte, suinte, il écarte le tissu ce qui lui donne accès à mes lèvres, mon clitoris qu’il va des minutes exciter jusqu’à me faire hurler de plaisir en silence, c’était jouissif, le plaisir de la chaire couplé au plaisir musical et le tout à l’insu de tous.

Le spectacle fini, insistant pour me ramener à la maison et je lui offris un dernier verre, mon mari étant absent jusqu’au lendemain la nounou étant au lit avec les enfants.

J’avais envie de lui, lui aussi voulait me posséder, il fallait être discret, ne réveiller personne. A la cuisine dans mon dos, il me fit sentir son envie de moi. Sa verge s’enfonçait dans mon postérieur. Je le laissais faire, il me remonta ma jupe, il me déchira mon slip, et abaissant son pantalon et son slip il me prit en levrette sur le bord de l’évier, que c’était agréable de le sentir au fond de moi, bien au fond donnant des coups de butoir qui me secouaient et m’amenèrent vite au plaisir absolu qui provoqua chez lui évidemment une éjaculation en moi des plus abondantes.

Je le mis vite à la porte pour qu’il rejoigne son épouse et surtout pour ne pas réveiller mon entourage.

Je me suis couchée remplie de son jus et je me suis encore fait plaisir en me servant de son sperme pour lubrifier mon sexe.

Les autres soirées furent aussi des plus mémorables …

Related posts

La culotte de Sophie – Chapitre 1

historiesexe

La première fois avec mon homme – Chapitre 1

historiesexe

Pierre mon ami et les WC – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .