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Une généreuse maman – Chapitre 10




Les jours suivants, maman sest démenée comme une forcenée pour organiser lanniversaire de mon père.

Il allait avoir 51 ans, léchéance approchait ; il arrivait à lâge de se mettre au pastis comme il disait, stupidement enjoué par sa plaisanterie-cliché.

Je ne comprenais pas pourquoi elle se donnait autant de mal pour lui faire plaisir alors quil ne le méritait pas, mais jétais surtout contrarié de ne plus pouvoir la baiser.

Elle navait plus une minute à elle, elle me négligeait ; elle faisait comme si elle mavait abandonné

Le jour venu il faisait beau, pas très chaud ; cétait la soirée idéale pour que lévènement se déroule dans les meilleures conditions.

Il y avait du monde la majorité des invités étaient des collègues de travail de papa – et surtout beaucoup dalcool.

Jai très vite compris quil sagissait dune réunion de « vieux » qui simaginent quils sont encore capables de samuser comme des jeunes, et qui font tout pour sen persuader.

Pour faire plaisir à mon père – après tout, cétait son anniversaire ma mère sétait habillée dune façon que ma grand-mère avait jugée provocante ; elle sétait renfrognée, indignée par cette indécence revendiquée.

Il faut dire que maman avait mis le paquet ; elle portait une de ses petites robes quelle me réservait dans lintimité.

Moulante, elle ne lui couvrait que le haut des cuisses, ce qui permettait à qui le voulait dadmirer ses longues jambes nues et bronzées.

Ouverte à lencolure, laissant les épaules nues, striée de lanières de tissu découpées à intervalles réguliers dans le dos et sur les manches.

Le décolleté, prononcé, fermé par un lacet, exhibait en partie sa poitrine dénudée.

Papa adorait que le corps de sa femme agisse comme un aimant sur les mâles présents.

Je me souvenais du soir où, chez ses parents, elle était sortie de la piscine toute mouillée, avec ses habits qui lui collaient à la peau en épousant ses formes au plus près.

Depuis quils étaient mariés, il savait tirer profit du pouvoir de séduction que maman exerçait sur son entourage ; il sen servait à volonté pour mieux régner.

Il simaginait sans doute quelle sexhibait encore pour son bon plaisir, quelle paradait telle une friandise sexuelle pour émoustiller ses amis, selon laccord tacite qui existait entre eux, et quil conservait lavantage à larrivée, quil était le maitre du jeu.

Comment aurait-il pu se douter quelle ne le faisait plus pour lui, mais pour moi ?

Larme chargée quil avait entre les mains et quil dégainait à la demande sétait brusquement enrayée

De son côté, maman était aux petits soins avec moi.

Elle me souriait à tout bout de champ, me cherchait des yeux quand elle me perdait de vue, semblait rassurée quand elle me voyait, comme si jétais le seul qui trouvait grâce à ses yeux.

Elle me donnait limpression de mavoir rabroué pour mieux me faire comprendre, le moment venu, que jétais le seul qui comptait ; moi, le fils non désiré de cet homme qui me considérait comme un fardeau et qui mavait toujours sous-estimé.

Cétait un retour de bâton inespéré, un caprice du destin, une cruauté du karma, et je laimais et la désirais dautant plus.

Quoi quil en soit, maman ne laissait rien paraître du trouble qui nous unissait. Elle se comportait en parfaite maitresse de maison, épouse modèle amoureuse de son mari.

Elle était digne, un peu hautaine, mais à lécoute des amis bourrés de son époux qui la convoitaient de plus en plus ouvertement.

La facilité avec laquelle elle les évinçait, se dérobait à leurs attentes mimpressionnait ; elle jouait avec eux aussi bien quavec moi

La fête battait son plein. Papa et ses amis picolaient sec, riaient fort, se donnaient en spectacle ; ils perdaient de leur superbe verre après verre.

Le temps nétait pas leur allié.

A un moment donné, quelquun a mis « Someone like you », la chanson dAdèle que nous mettions souvent en toile de fond quand nous faisions tendrement lamour avec maman.

Ce fut comme un signal ; sortie de nulle part, elle sest jetée sur moi et a passé ses bras autour de mon cou. Elle a posé la tête sur mon épaule et nous avons commencé à danser sans nous soucier des autres. Jai posé mes mains sur ses reins, incrusté mon bas-ventre au sien, jétais bien.

Jétais un peu saoul mais je me suis contrôlé. Javais envie de la toucher, mais les gens nous regardaient ; javais limpression que même mon père nous surveillait.

Je lai entrainée à lécart, et nous nous sommes éloignés petit à petit.

Une fois à labri des regards, jai jeté mes mains sous sa robe, comme un mort de faim.

Jai attrapé son cul, et je lui ai malaxé les fesses si fort quelle a eu peur que je lui fasse des marques.

— Mais enfin Victor, tu me fais mal bon-sang ! Quest-ce qui te prend ? Arrête ça tout de suite !

— Jai trop envie maman Laisse-toi faire, jen peux plus !

— Mais tu es fou ou quoi ? Allez ! Sois raisonnable sil te plait quelquun pourrait venir Tu pourras me faire tout ce que tu veux après quand ils seront partis mais laisse-moi retourner avec eux mon chéri, je ten supplie !

Elle haletait, se débattait affolée, je voyais quelle paniquait.

Jétais ivre de désir. Je navais jamais eu autant envie de la baiser quà ce moment, mais elle avait pourtant raison ; ce nétait pas raisonnable, alors je lai laissée et elle sest échappée presquen courant

Après cet incident je nai plus fait de vagues, et les gens ont commencé à partir en file régulière les uns après les autres.

Les derniers fidèles amis de mon père lont convaincu de sortir boire un verre en ville, et il a fait comme sil avait besoin de lautorisation de sa femme pour sabsenter du domicile conjugal.

Elle lui a donné la permission avec un rictus qui navait plus rien délégant, et ils sont partis en la remerciant.

Les derniers invités se sont regroupés à une table pour boire un dernier verre eux aussi, et maman les a rejoints contrainte et forcée.

Je me suis servi une coupe, me suis installé un peu à lécart, et je les ai observés de loin en buvant mon verre.

Eux aussi riaient fort, faisaient comme sils passaient du bon temps ; je ne comprenais pas cette propension quont les gens à faire semblant, mais je nétais pas tout à fait adulte. Javais encore une excuse

Après, jai pris une bouteille de champagne à moitié pleine qui trainait sur une table et je suis descendu à la piscine. Elle était éteinte, et je nai pas pris la peine de lallumer. Je me suis servi une nouvelle coupe.

Je me suis assis sur un transat, dans le noir, et jai réfléchi à tout ce que je venais de vivre en si peu de temps, la tête lourde.

Je ne sais pas à quel moment jai aperçu la silhouette de maman se diriger vers moi.

Elle nétait pas en maillot cette fois, pourtant jai tout de suite eu une impression de déjà-vu.

Cétait ici, à cet endroit précis, que javais éprouvé pour la première fois un désir sexuel pour elle.

Tant de choses nous étaient arrivées depuis

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