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La bourgeoise et le marabout – Chapitre 50




Nous sommes tranquillement en train de dîner, en tête à tête, en ce vendredi soir lorsque François me dit soudain

 – Ce soir j’ai envie de te sortir. Cela fait longtemps que nous ne sommes pas allés en club.

 Je lui réponds

 – Tu sais, les clubs que nous fréquentions il y a quelques années sont tous fermés depuis longtemps.

 Lorsque nous étions plus jeunes, nous avions en effet l’habitude de régulièrement sortir en club libertin. Après notre mariage, François s’est rapidement aperçu que j’étais très exhibitionniste. J’avoue qu’à l’époque, avant ma première grossesse, j’adorais porter des tenues légères qui montraient mes jambes, laissaient deviner ma poitrine ou bien soulignaient le galbe de mes fesses. Mon mari a alors pris plaisir à m’offrir des dessous sexy qui ont décuplé mes penchants exhib mais aussi des robes et des jupes quasi transparentes que l’on ne peut porter que lors de soirées un peu débridées. C’est ainsi que régulièrement nous allions chez Chris et Manu, un club libertin vers le quartier Saint-Georges, où il veillait à ce que je soit particulièrement sexy dans des tenues olé olé vaporeuses et légères. Cela commençait toujours sagement autour d’un verre et je finissais toujours entourée de quelques mâles en rut qui me baisaient devant mon mari dans un grand salon au sous-sol. Parfois, nous allions rue des Martyrs chez Sorlut, un restaurant libertin dont le patron était, parait-il, un ancien de la DGSE. Les services que j’y rendais n’étaient nullement secrets puisque l’on pouvait me convoiter à l’entrée, me caresser au plat de résistance avant de me déguster enfin au dessert.

 François me ramène à la réalité en me disant

 – Sois tranquille, je suis allé sur internet et j’ai trouvé quelque chose de très bien dans le centre de Paris. J’ai commandé un uber pour 20h30, tu as juste le temps de te préparer.

 Je lui demande

 – Tu souhaites une tenue particulière ? Quelque chose de sexy et BCBG ?

 Il me fait un grand sourire et me répond

 – Non, pour une fois je te préférerais très salope !

  

 Il est tout juste 20h30 lorsque nous embarquons dans le uber qui nous attend en bas de chez nous. François ne sait nullement ce que j’ai choisi comme vêtements car je suis sortie de ma chambre en ayant pris soin d’enfiler déjà mon manteau. Je souhaite qu’il soit aussi surpris que les autres lorsque nous arriverons au club.

 A peine vingt minutes plus tard, nous voici arrivés dans une petite rue sombre du second arrondissement. Le chauffeur descend rapidement pour m’ouvrir la portière arrière gauche. Je descends en veillant à bien ouvrir les pans de mon manteau. Evidemment, le jeune conducteur beur en profite pour mater les jambes gainées de noir que je dévoile ostensiblement. Je prends mon temps pour sortir de la voiture et je fais en sorte que ma mini jupe ne lui cache rien du petit string fendu que je porte. Il me donne la main pour m’aider à me relever et je lui fais un grand sourire. Alors que François est en train de régler la course, le conducteur lui dit

 – Je m’appelle Abdel, je vous laisse ma carte. Je serai certainement encore dans le quartier quand vous sortirez et je pourrai vous raccompagner si vous le souhaitez.

  

 Le vigile à l’entrée du club nous laisse franchir la porte sans difficulté ; c’est rassurant de savoir que les entrées sont filtrées, cela évite les gros lourdauds et les mecs collants. Une fois au vestiaire, lorsque  je retire mon manteau, François ne peut s’empêcher de s’exclamer

 – Ouah, tu fais fort ! Tu vas faire fureur dans ce lieu de perdition.

 Il faut dire que j’ai mis un petit haut blanc transparent qui ne cache quasiment rien de mes seins puisque je n’ai pas mis de soutien-gorge. Quant à ma mini jupe noire, elle m’arrive presque au ras des fesses et, avec mes cuissardes, cela fait vraiment une tenue de salope dont on voit les bas et le string. Mais mon mari m’a demandé d’être salope, alors il faut maintenant qu’il assume ses demandes que j’ai appliquées à la lettre.

 Nous nous approchons du bar et nous installons sur des sièges hauts. François commande un whisky et moi un martini. Il y a là quelques femmes en couple et des hommes seuls ; je ne doute pas que tout ce beau monde va se mélanger au cours de la soirée.

  

 François, qui semble connaître les yeux, m’entraîne dans un petit couloir qui dessert quelques pièces. Au bout du couloir, sur la droite, un escalier mène au sous-sol. Mais nous nous dirigeons vers la gauche où je remarque que plusieurs hommes sont collés à la paroi du mur et exécutent des mouvements de bas-ventre. François ouvre une petite porte sur laquelle un écriteau indique « Glory holes ». Une fois entrée, je me retrouve avec deux ou trois autres femmes qui sont déjà à genoux devant des orifices percés dans le mur. Je comprends vite que les hommes, placés d’un côté du mur, offrent leurs queues aux femmes agenouillées de l’autre côté. Nul ne sait qui suce qui, qui se fait sucer par qui mais qu’importe ! Je me place donc devant un trou, y colle ma bouche et bien vite une belle bite se présente à moi. Je ne me fais pas prier et l’embouche aussitôt. Mes lèvres coulissent sur cette tige et je m’applique à bien en profiter. L’inconnu doit apprécier ma fellation car sa queue grossit encore sous l’action de ma langue et de mes lèvres. Je cherche à bien l’enserrer pour augmenter le plaisir de l’homme et j’obtiens vite les effets recherchés puisqu’il se vide en moi en longs jets crémeux. J’aperçois alors une belle bite d’ébène qui vient de se présenter au trou voisin.

  

 Aussitôt, je change de place et m’empare de ce bel objet du désir. Pendant que je me délecte avec cette seconde queue, je vois du coin de l’il qu’une femme colle sa croupe à la paroi puis ondule tant qu’elle peut en poussant des gémissements. J’imagine qu’elle vient de s’empaler sur la queue qui pointe par le trou et qu’elle cherche maintenant à bien se le caler dans la chatte ou entre les fesses. 

 Tandis que ma voisine s’active sur cette bite comme s’il s’agissait simplement d’un sexe toy fixé dans le mur de la pièce, je continue à savourer la queue black qui occupe toute ma bouche. Même si la situation est excitante, même si c’est bon se sucer une queue dont on ne connaît nullement le propriétaire, je suis un peu frustrée de ne pas pouvoir lui caresser les cuisses et lui malaxer les bourses. Heureusement, sous mes coups de langue, mes succions appliquées et mes gorges profondes, je sens que l’inconnu se colle tout contre la paroi pour mieux me pénétrer la bouche et se vider dans ma gorge. Avant que le gland ne disparaisse, je le tète bien pour en extraire les dernières gouttes et je l’aspire à fond pour bien vider cet inconnu. Une fois mes lèvres essuyées du dos de la main, je quitte la pièce et je vais retrouver François qui m’attendait à l’extérieur en se faisant également sucer par une bouche inconnue.

  

 Mon mari m’entraîne au sous-sol où il y a une immense piste de danse simplement éclairée par quelques appliques fixées aux murs et qui répandent une douce lumière rouge tamisée. Des enceintes, suspendues aux quatre coins de la pièce, diffusent une musique douce ; des slows langoureux propices aux étreintes sensuelles. Avec François, nous nous installons dans un canapé pour savourer notre boisson, un verre de whisky pour mon mari et une coupe de champagne pour moi. Il y a très peu de femmes dans la salle et les deux qui sont en train de danser sont entourées d’une nuée d’hommes. François me dit

 – Tu devrais aller danser, je te regarde d’ici.

 Alors que je me lève, il me ajoute

 – Mais interdiction de te faire baiser sur la piste de danse ou sur un canapé. Je t’ai réservée autre chose !

  

 A peine suis-je au milieu de la piste que deux hommes se rapprochent de moi, un devant et un derrière. Au début, ils restent à une certaine distance de moi mais, bien vite, ils sont collés à mon corps. La distance entre nous trois devient encore plus faible, voire inexistante, lorsque la bouche de celui qui me face se colle à la mienne et lorsque le bas-ventre de celui qui est derrière se plaque tout contre mes fesses. La situation ne fait qu’empirer lorsque les quatre mains commencent à me caresser tout le corps. Je m’abandonne car je suis certaine que c’est ce que souhaite François. Embrassée dans le cou, sur les lèvres et sur la nuque, je ne suis qu’un jouet pour ces deux mâles dont l’excitation grandissante se mesure à la grosseur et à la rigidité des deux queues qui cognent contre mon pubis et mes fesses.

  

 Lorsque la musique change, j’en profite pour échapper aux hommes en rut et me dirige vers François. Avant que je me rasseye près de lui, mon mari se lève, me prend par la main et m’entraîne vers un petit couloir un peu sombre. De chaque côté du couloir sont disposés de petits salons fermés d’une simple tenture en velours rouge. Derrière le tissu, on entend de longs gémissements féminins et le souffle bestial des mâles. Au bout du couloir, il y a une pièce avec une grande cage au milieu de laquelle trône un lit rond. François me fait entrer dans la cage, la referme à clé et me dit

 – Donne moi ton petit haut, ta mini jupe et ton string. Tu n’en as pas besoin ici !

 Je m’exécute et lui donne les vêtements à travers les barreaux de la cage. Je suis maintenant les seins nus et mes tétons sont déjà bien dressés tellement j’ai été excitée par les deux danseurs. Ma taille de guêpe et l’arrondi de mes fesses sont mis en valeur par le large porte-jarretelles que je porte. Mes jarretelles retiennent les fins bas noirs qui dessinent le galbe de mes jambes. Mes cuissardes à hauts talons accentuent la cambrure de mes reins tout en m’obligeant à bomber fièrement la poitrine. 

  

 Bien vite, quelques hommes sont là en train de me mater à l’extérieur de la cage dont mon mari garde l’entrée. Des mains se tendent vers moi et François me dit

 – Rapproche toi des barreaux qu’ils puissent te toucher. Tu es là pour leur plaisir !

 Dès que je suis à portée de mains, on me caresse les seins, on me flatte la croupe, on s’insinue entre mes jambes, on se glisse entre mes fesses, on excite mon bourgeon intime et certains m’attirent tout contre les barreaux pour m’embrasser à pleine bouche. Quelques uns extirpent leur queue et commencent à se branler d’une main tout en me tripotant de l’autre. Tout en faisant le tour de la cage pour passer de main en main, je me mets parfois à genoux et je tends la bouche entre deux barreaux. Je tète un peu la queue qui se présente, malaxe les bourses et poursuit mon tour de piste. Ils sont tous en rut et je sais que François va bientôt me livrer.

  

 Je ne me suis pas trompée car voilà mon mari qui sort la clé de sa cage et ouvre la porte. Il fait entrer mes deux danseurs et referme la porte à clé derrière eux. Les deux hommes me font mettre en levrette sur le lit et me voici en train de sucer une queue et me faire baiser par l’autre. Les deux hommes sont si excités qu’ils jouissent rapidement et François les fait sortir de l’arène. Pendant une bonne heure, par deux ou trois, les mecs vont se succéder dans la cage sous la direction de mon mari. Ma bouche, ma chatte et mon cul vont être visités à de nombreuses reprises ; je pense même que certains ont fait deux passages dans la cage après avoir rechargé les batteries. Je ne compte plus les positions que l’on m’a fait prendre mais j’ai l’impression que toutes les figures du Kamasoutra y sont passées. Certains ont joui sur mes seins, d’autres se sont branlés sur mon ventre, quelques uns se sont répandu sur ma croupe et je ne suis plus qu’une éponge gorgée de foutre.

  

 François fait sortir les derniers hommes de la cage et me raccompagne jusqu’au vestiaire sans me rendre mes vêtements qu’il garde sous le bras. Je remets mon manteau à même la peau et nous sortons de l’établissement. Je suis surprise de découvrir qu’Abdel, notre chauffeur uber de l’aller, est là. François me dit qu’il lui a mis un sms pour lui demander de venir nous récupérer. Abdel m’ouvre la portière arrière gauche et il peut largement contemplé mes jambes et ma chatte en libre accès pendant que je m’assoie près de François. Une fois qu’il est installé à son volant, François lui demande de nous raccompagner à notre domicile. Une fois arrivé dans le XVIème à proximité de notre appartement, François demande à Abdel de se garer dans une petite impasse obscure. Le chauffeur descend, ouvre ma portière et m’aide à sortir en me tendant le bras. François lui règle la course puis lui dit

 – Vous avez envie de baiser ma femme avant de rentrer chez vous ? Mais je vous préviens, elle est déjà bien ouverte !

 Sans répondre, Abdel m’attrape par le bras, m’entraîne à l’avant de la voiture, me fait mettre les mains sur le capot, soulève mon manteau et me pénètre d’un coup sec. Tandis qu’il me démonte à grands coups de queue, il me dit

 – A l’aller, j’ai tout de suite vu que vous étiez une salope !

 Sa queue grossit dans ma chatte, il me caresse les seins et le ventre tout en continuant à bien me besogner. Soudain, il se raidit, se cramponne bien à mes hanches et s’adresse à François

 – Quelle belle salope vous avez là ! Je vais jouir.

 Et dans un long râle de bête sauvage, son foutre se mêle à celui de tous les mâles qui m’ont possédée ce soir.

  

 Une fois bien douchée, je me glisse sous la couette près de François. Il m’attire à lui et m’oblige à glisser la tête sous le lit. Ma bouche avale sa queue et tandis que je lui malaxe les bourses, il se branle sous ma langue. Il jouit longuement, cette soirée a dû l’exciter plus que d’habitude. J’avale tout, je nettoie bien son gland et je m’endors le corps et l’esprit apaisés. Quelle superbe soirée de débauche .

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