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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 43




Elle ne tarde pas à prendre ma queue autant qu’elle peut dans sa bouche, elle me branle dedans, sort mes couilles et les lèche. Elle bave sur moi, s’enfonce mon pieu tout au fond de la gorge. À un moment elle relève la tête et m’embrasse tout en astiquant ma queue à fond. Elle me sourit :

— Tu ne vas pas jouir aussi vite que d’autres hein ?

— Mmmmm, non sans doute pas.

— Comment on fait alors ?

— On se rattrapera demain ma belle.

— Tu as conscience que là, je suis trempée.

— Excuse-moi, mais tu as juste sous les yeux et dans ta main l’état dans lequel je suis, donc je pense qu’on est quitte !

— Ah ah, oui pas faux. C’est moi qui te fais bander comme ça Isaiah.

Je l’embrasse :

— Oh oui.

On s’embrasse encore. Puis elle sort de la voiture. Par la fenêtre :

— Tu me tiens au courant pour demain ?

— Oui ma belle. Je viendrai te chercher vers 19h30 ça te va ?

— Parfait oui. Je préviens ma mère.

— Et Greg ?

— Non !

— Ah ah, merci ma belle.

Elle rentre chez elle. Je repasse chez moi, prends une douche et me change puis je file au lycée. Je suis un peu en avance, j’attends Sophie. J’en profite pour écrire à Anne-Sophie :

— Dimanche, cours à 14h !

— Bien mon chéri.

Puis à Marina :

— Dimanche, je passe te voir vers 16h.

— Avec plaisir;-)

Jessica m’écrit :

— J’ai dit à ma mère que je venais dîner à la maison demain soir, et que je serai avec un copain. Elle m’a dit qu’elle était très contente. Je lui ai dit 20h, OK pour toi Isaiah ?

— Oui, c’est parfait ma belle. Je passerai donc chez toi à 19h;-)

— Mmmm OK ! J’ai hâte;-)

J’écris ensuite à Charlotte :

— On se fait belle ?

— Pas encore;-) mais ne t’inquiète pas, je suis assez confiante;-) bisous mon chéri.

Je vois Manon qui sort du lycée avec Sophie et Elise. Je sors de la voiture, elles me rejoignent toutes les trois. Je roule une énorme pelle à Manon.

— Ça va ma belle ?

— Très bien et toi mon amour ?

— Oui, tu me manques.

— Oh toi aussi. On se voit demain.

— Oui. On déjeune ensemble ?

— Avec plaisir.

Elise me fait une bise au bord de la bouche, et Sophie pareil. Je la garde tout contre moi.

— Amusez-vous bien.

Je sens Sophie un peu tendue. Manon et Elise nous laissent. Je me tourne vers elle, mon bras toujours autour d’elle :

— Ça va Sophie ?

— Oui oui.

— Tu es stressée ?

— Un peu mal à l’aise j’avoue…

— Vis-à-vis de Manon ?

— Oui.

Sophie, on n’est pas là pour se prendre la tête, OK. Donc, détends-toi. On ne fait rien dont tu n’as pas envie. Comment vois-tu les choses ? Tu préférerais que Manon reste avec nous ? Ou même qu’on remette à plus tard ?

— Je ne sais pas, c’est juste que les deux fois précédentes, disons que la première fois, tu n’étais pas avec elle en couple je veux dire, et puis après, l’autre soir, on était toutes là, c’était comme deux parenthèses. Là, ça me fait bizarre.

— Je comprends. Ecoute, et si on allait juste prendre un verre déjà ?

Elle me sourit.

— C’est horrible que tu sois gentil comme ça et charmant.

— Ah bon ?

— On peut vraiment rien te refuser.

— Si ça peut te rassurer, je pense qu’on ne peut pas te refuser grand-chose à toi non plus.

— Merci;-)

— On y va ?

— OK !

Je lui ouvre la portière elle monte en voiture. Je la rejoins dedans et je décide de l’emmener dans un bar à vins sympa. Dans la voiture elle se détend, on parle de sa journée, on arrive assez vite au bar et on s’installe à une table. Les gens nous regardent. Il faut dire que l’on fait quand même un beau couple. Elle porte des bottes à talons de 10 centimètres donc est vraiment grande à mon bras ; c’est agréable. On parle de mecs, je lui demande si elle en a en vue, elle me dit que pas trop. On parle aussi de Manon, elle m’avoue qu’elle ne l’a jamais vue aussi heureuse, et que ça aussi ça la trouble un peu :

— Disons que ce n’est pas vraiment le genre de relations où l’on se dit spontanément que la personne sera heureuse, et épanouie.

— C’est sûr.

— Mais avec toi, elle l’est.

— Je peux te dire quelque chose, que tu vas devoir garder pour toi.

— Évidemment !

— Je le suis aussi, grâce à elle. Avec elle.

— Je te crois. Mais en même temps, tu peux te taper qui tu veux aussi.

— Je te l’accorde. Tu lui as demandé si elle avait envie d’autres mecs ?

— Oui.

— Et ?

— Non. Mais si elle voulait, tu la laisserais ?

— Sans doute pas.

— Avoue que c’est un peu fou.

— Un peu ? Non, c’est très fou, je le sais, et Manon le sait aussi. J’ai la relation dont j’ai toujours rêvé. Enfin pas toujours, mais depuis longtemps. – – Donc je ne vais pas me plaindre. Mais je n’ai forcé personne.

— Je sais Isaiah. Je sais. Je ne te reproche rien. D’ailleurs je n’ai rien à te reprocher, après tout, je t’ai quand même sauté dessus avant même que tu ne sois avec Manon.

— Ah mais oui c’est vrai ça !

— Hey, me dis pas que tu avais oublié quand même !

— Oh, rassure-toi, c’est impossible d’oublier une fellation comme celle-là.

— Merci !

— -Bon, ça va mieux on dirait ?

Un peu oui;-)

On rit, elle déplace sa chaise pour être tout à côté de moi.

— Alors, qu’avais-tu en tête pour cet après-midi si je n’avais pas piqué ma crise ?

— Ah ah, alors, vu la conversation depuis tout à l’heure je ne suis pas sûr de pouvoir te le dire.

— Allez ! Promis, je ne serai pas choquée !

— OK, mais d’abord j’ai une petite question pour toi ?

— Dis-moi.

— Tu étais mal à l’aise ce matin quand tu as choisi cette tenue ?

Elle porte une minijupe écossaise, des bas (dont j’ai aperçu la lisière quand elle est montée dans la voiture plus tôt), un top décolleté profond et une veste en cuir. Avec des bottes à talons donc, bouts pointus. Elle sourit.

— Non, j’avoue ce matin, j’étais plus excitée et impatiente que mal à l’aise.

— Donc c’est pour moi que tu as choisi cette tenue ?

— Tu adores ça hein ?

— De quoi ?

— Qu’une femme s’habille pour toi ?

— Oh oui. Je trouve ça très excitant de l’imaginer le matin, réfléchir à la tenue, essayer, se demander si ça me plaira, changer, se stresser un peu, ce mélange d’excitation et d’attente.

— Donc, oui, c’est pour toi…

— Merci;-)

— Et ça aurait convenu pour ton programme ?

— Oh oui. Tu es sûre de vouloir le connaître ?

— Oui !

— Comme tu veux : donc, je m’étais dit qu’on irait chez moi, profiter du jacuzzi sur la terrasse.

— Ton nouveau chez toi ?

— Oui.

— Il paraît que c’est magnifique.

— Ça l’est ! Tu aurais pu en profiter eh eh.

— Ah ah. Et ? Parce que pour l’instant, rien d’étonnant.

— Ah ? OK. J’avais en tête de t’emmener dans un bar. Dans ce bar il y a une femme que j’ai rencontrée il y a quelque temps.

— Rencontrée ?

— Je suis son amant.

— Elle a un mec ?

— Elle est mariée.

— Hum. Et ?

— Et ce bar accueille le département entier où travaille son mari. Le patron fait une soirée de boulot là-bas. Il y a tous les gens qui travaillent pour lui, et leur conjoint et conjointe.

— Et tu veux aller là-bas ?

— Oui !

— Elle le sait ?

— Elle s’habille pour moi à l’heure qu’il est !

— Mais non ?

Je lui montre l’échange de SMS.

— Et son mari ?

— Il m’a rencontré deux fois, dont une fois chez lui. Il ne sait rien.

— Et tu vas faire quoi là-bas ?

— Je ne sais pas, mais je trouve la situation terriblement excitante.

— Et moi, je fais quoi dans tout ça ?

En disant cela, Sophie pose sa main sur ma cuisse, sous la table. Je lui souris.

— Toi, tu es mon prétexte pour être dans ce bar « par hasard ». Tu es une amie, j’ai voulu te faire découvrir le bar.

— Une amie ?

Sa main remonte entre mes jambes.

— Une très bonne amie ?

— Et laisse-moi deviner, dépendant de comment cela se passe, soit je reste, soit je te laisse.

— Je n’ai rien prévu.

— Donc si je récapitule (elle masse ma queue entre mes cuisses à travers mon pantalon, sans me quitter des yeux), tu comptais me ramener chez toi, me baiser, puis m’amener dans un bar pour exciter une femme que tu baises dans le dos de son mari, et voir comment ça se passe c’est ça ?

— C’est bien résumé oui.

— Et tu crois qu’on a encore le temps de faire tout ça ?

Je lui souris. Je regarde ma montre.

— J’ai même le temps de t’embrasser avant de payer l’addition.

Je me penche vers elle et lui roule une pelle. On se dépêche de payer, et on rentre chez moi. On a à peine fermé la porte que l’on se déshabille. Dans le canapé du salon du bas, je la lèche, sa chatte est humide, délicieuse, Sophie me garde tout contre elle, me rythme avec ses mains, et ses gémissements, elle n’hésite pas à me dire quoi faire. Je la fais jouir assez rapidement. Je me lève, et debout devant elle assise dans le canapé, je lui donne ma queue à sucer. Elle me suce de nouveau comme une reine.

— Mmmmmmm, oui, impossible d’oublier une telle bouche.

Elle me sourit, et me suce à merveille, me branle dans sa bouche, aspire mes couilles, mon gland. Je m’assieds sur le canapé et la fais venir sur moi, face à moi. Elle descend sur ma queue, en une seule fois, lentement, jusqu’au fond d’elle ; sa main derrière moi masse mes couilles. Je pose mes mains sur ses fesses et commence à la faire aller et venir sur moi. Elle est collée contre moi, nos lèvres ne se quittent pas, nos langues non plus. Jusqu’à ce qu’elle se redresse complètement cambrée en arrière, quand je la fais jouir pour la seconde fois.

— Ahhhhhhhhh, t’es le meilleur Isaiah.

Je me lève en restant en elle et la pose sur la table à manger. J’écarte ses cuisses et reprends la saillie. Elle a ses bras tendus vers l’arrière, je lui tiens les jambes et la pilonne de la sorte.

Puis, elle se redresse, descend et se penche en avant, appuyée contre cette même table. Je me glisse en elle par-derrière. Je lui mets quelques fessées qu’elle me réclame. Je lui soulève une jambe et accélère mes mouvements. Un troisième orgasme l’envahit. Une fois remise, elle se retourne et m’embrasse. Collée à moi, elle me murmure :

— Emmène-moi dans ton lit beau black.

Je la prends par la main. On arrive dans la chambre.

— Tu vas être la première dans ce lit Sophie.

Elle se mordille la lèvre :

— Mmmmmmm, j’aime cette idée.

Elle s’allonge sur le dos, je viens sur elle l’embrasse :

— Moi aussi, ça me plaît bien.

Je me glisse en elle et lui fais longuement l’amour en missionnaire. Elle jouit une nouvelle fois, et je reste tout au fond d’elle, tourne en elle puis recommence à aller et venir dans sa chatte dégoulinante. Ça dure encore de longues minutes quand je la sens qui se tend de nouveau. Elle me plaque contre elle, ses mains se posent sur mes fesses et me maintiennent tout au fond d’elle, appuient fort. Elle jouit comme jamais et hurle, et je viens en même temps, me déversant tout en elle. Je sens les jets puissants qui la frappent. Elle crie de plaisir, et je pousse de puissants râles bestiaux. Je reste encore en elle et la refais jouir une dernière fois quelques minutes après alors que ma queue n’a pas baissé pavillon.

Je finis par m’allonger à ses côtés, on se caresse, on s’embrasse.

— Et dire que j’ai failli ne pas te suivre tout à l’heure.

— Ça aurait été dommage.

— Tu as pris ton pied ?

— Ça ne s’est pas vu ?

— Si. Moi aussi mon chéri.

— Tu sais que tu es très belle Sophie.

Elle rougit.

— Merci.

— Et tu l’es encore plus quand je suis en toi.

— Ahhhhh ? Merci… enfin je suppose.

On rit. Je regarde l’heure. Il est 20h passé.

— Alors ?

— On est dans les temps.

— Dans les temps pour une douche ?

— Suis-moi !

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