Il fallait que je lui raconte tout : la discussion avec Nathalie, ne sachant pas comment elle allait prendre la chose – quoique de plus en plus je me doutais qu’entre elles il y avait quelque chose de très fort qui existait – et surtout lui parler d’Oko (au juste elle ne le connaissait pas son nom) j’espérais qu’il lui plairait.
— Allo Maman ?
— Enfin tu te décides à m’appeler ! Tu as vue l’heure ? Cela fait une heure que je me morfonds, tu exagères.
— Oui je m’excuse, mais avant il fallait que je m’occupe des chiens.
— Des chiens, quels chiens ?
— C’est vrai que tu n’es pas au courant. Tu sais celui qui a essayé de me violer l’autre jour et bien il est à la maison.
— Tu es folle ma fille, il ne fallait pas. Que veux tu qu’on en fasse ? As-tu pensé à ton père ?
— Mon père je m’en fous. J’ai besoin que de ton avis : Toi, qu’en penses-tu ? Ce serait bien non, si on avait chacun le notre. Tu sais qu’il ne me quitte plus depuis l’autre matin qu’il est revenu à la maison. D’ailleurs il m’a encore aidée pour pouvoir sortir de chez Monique car il y avait encore la meute.
— C’est vrai ! Ils ont encore essayé ?
Bien sûr que ce ne n’était pas vrai, mais il me fallait la convaincre.
— Oui c’est vrai et ils ont encore essayé, dommage que tu n’étais pas avec moi, on en aurait bien profités.
— Tu ne changeras pas toi !
— Et non ! Je suis ta fille n’oublie pas ! Il est là devant la porte de la salle de bains et il me regarde pendant que je te parle. Comme il est beau !
— Tu en as envie ?
— De quoi ! Qu’on le garde ou envie de lui?
— Des deux.
— Oh oui Maman, j’en ai envie, très envie : de lui et qu’on le garde. Je l’ai appelé « Oko » et il m’obéit au doigt et à l’oil.
— Mais on va faire comment pour ton père et avec Mambo ?
— Le problème est réglé avec Mambo, ils ont l’air de bien s’entendre pour le moment (ce qui n’était pas vrai du tout) et pour le reste, Monique veut bien le garder pour toujours, d’ailleurs j’ai l’impression qu’elle ne serait pas contre faire quelques galipettes avec lui.
— Monique ! Des galipettes avec lui. Tu plaisantes ! Elle te l’a dit ?
— Pourquoi tu avais déjà essayé avec elle ? Alors c’est oui ? Je te le prêterais si tu en as envie. Car celui là sera à moi, toi tu as Mambo.
— Oui ma chérie c’est oui. Devrais-je te demander la permission pour m’en servir ?
— On verra. On fera des échanges où on le fera ensemble. Auquel vas-tu me donner pour la première fois ?
— C’est toi qui décideras, qui choisiras. Tu me mets en feu avec tes idées et je n’ai personne pour l’éteindre. J’aurais dû emmener Mambo !
— Tu as papa !
— Lui ! Rien du tout. D’ailleurs demain, enfin ce soir en rentrant, je viens chez Monique, tu m’attendras la bas. Nous dormirons chez elle ok !
— J’allais te le demander Maman. Je t’aime.
— Moi aussi je t’aime. Que vas-tu faire maintenant ? Vas-tu pouvoir attendre que j’arrive pour la suite ?
— Je ne sais pas Maman, je ne suis pas sûre de résister longtemps, mais j’ai peur seule.
— Appelle ta copine elle t’aidera. Ou Monique pourquoi pas.
— Ma copine ! Et bien justement.. il faut que je te dise autre chose, autre chose de merveilleux qui vient de m’arriver? Pour ce qui est de Monique elle ne peut pas marcher la pauvre. Mais Je pense que j’aurais quelqu’un pour m’aider si c’est d’accord.
— Que veux-tu dire ? Qui !
— Je t’explique ! Aurélie ne viendra pas : je viens de raccrocher avec sa mère – que tu connais bien comme j’ai cru comprendre – et vois tu, elle m’a proposé de venir passer la journée de demain, enfin d’aujourd’hui vue l’heure. Elle ne veut pas que je reste toute seule. C’est gentil non ?
— Qui ! Nathalie ?
— Oui ! Tu n’es pas d’accord ? Tu as quelque chose à me raconter sur elle? Il y a quelque chose entre vous deux ?
— Franchement ça ne me gêne pas qu’elle vienne et pourquoi me demandes tu ça ?
— Je ne sais pas, mais je suis certaine que tu me caches quelque chose. Crois tu qu’elle pourrait m’aider si je le lui faisais comprendre ?
— Ma chérie ! Je ne pense rien, je ne sais pas, tu m’embrouilles avec toutes tes questions.
— Tu vois Maman chérie, à chaque fois que tu me caches quelque chose tu réagis de la même façon. Pourquoi ne me dis tu pas que c’est ta copine enfin celle à qui tu obéis.
— Tu es impossible avec tes questions. Maintenant, si tu en as tellement envie demande-lui et tu sauras si oui ou non elle est d’accord. Ou alors laisses toi seulement lécher la minette, ce sera déjà un bon début. Je sais que tu vas adorer.
— Je sais que je vais adorer ! D’ailleurs, j’adore ce qu’il est entrain de me faire pendant que je te parle.
— Il te lèche ?
— Oui maman et c’est trop bon si bon que je vais jouir !
— Dommage que je ne sois pas à côté de toi !
— Pourquoi ! Tu me ferais voir comment tu te fais prendre ?
— Demain ma chérie ou ce soir ! Je me caresse en te parlant et je tremble tellement j’ai envie de te donner à lui ou à Mambo. Elle est grosse ?
— Qui, quoi ?
— Sa queue ! Ne me dis pas que tu ne l’as pas vue !
— J’ai honte ! Oui je tiens le fourreau dans la main et elle est grosse et belle : c’est pour ça que je ne l’ai pas encore fait, elle me fait peur.
— J’espère que tu pourras la supporter !
— Pourquoi ?
Je continuais à faire la nunuche, je savais que j’étais folle que j’aurais dû lui dire que je m’étais faite prendre cet après-midi, mais je ne savais pas si elle comprendrait que je lui ai menti depuis le début. Je me promis qu’après ça, je ne le ferai plus.
— Tu as bien le temps de le voir et de t’en rendre compte par toi même. Je viens de jouir, c’était vraiment bon. Merci ma chérie.
— Moi aussi je viens de le faire en t’écoutant. Merci pourquoi ?
— De m’avoir appelée et de m’avoir faite jouir en me parlant des chiens, d’elle de toi.
— D’elle !!!!!!!! C’est elle hein ? Je ne m’étais pas trompée !
— Oui c’est elle. Je suis contente que tu le saches enfin et je sais qu’elle va bien s’occuper de toi.
— Tu n’es pas jalouse ?
— D’elle ! Jamais ma chérie. Tu verras quand tu la connaîtras mieux.
— J’ai peur un peu quand même tu sais.
— Fais lui confiance en tout. J’ai l’impression que je l’aime depuis toujours et elle va t’aimer comme tu le mérites ma chérie. Ne lui refuses rien et tu seras la femme la plus heureuse du monde.
— Je ferais comme tu me dis Maman chérie. Je t’aime ! Bonne nuit.
— Bonne nuit mon amour.
Durant ma conversation téléphonique, Oko n’avait eu de cesse de me lécher la chatte, en insistant bien sur les points névralgiques de ma fente. Le salaud s’avait y faire et savait aussi qu’en agissant ainsi je serais dans l’impossibilité de me refuser à lui. J’avais fait semblant de le rabrouer quand je parlais avec elle, mais je n’avais pu m’empêcher d’écarter mes cuisses pour lui donner ma chatte à déguster. En plus la nouvelle situation qui se présentait à moi m’avait donné chaud au ventre et je pouvais le voir se délecter des arômes qui coulaient de ma chatte.
Après tout, j’avais le temps de me laisser pendre, elle ne serait là que demain matin.
Raccrochant le téléphone, je me penchais vers lui pour saisir sa queue dont le bout dépassait du fourreau : queue qui réagit immédiatement au contact de mes doigts. Il avait encore envie de moi : il était vraiment insatiable. Je ne pus résister à me glisser sous lui pour gober cette magnifique tige tant désirée.
Je le pompais furieusement avalant sa semence, mais ma chatte réclamait sa dose aussi. Je me positionnais pour recevoir mon amant, qui me pénétra et commença à me limer aussitôt qu’il me vit à quatre pattes. J’étais aux anges de sentir sa queue cracher et grossir en moi mais avant qu’il ne soit trop gros et qu’il ne puisse plus se désolidariser de moi, une idée me vint : celle de me faire pendre par les deux chiens.
Mambo était en bas. Ce serait pour eux deux l’occasion de faire connaissance en espérant que tout se passe bien quand même. J’en crevais d’envie depuis un sacré moment et avant qu’Oko ne soit soudé à moi, j’allongeais les jambes, ce qui me permettait de profiter de lui sans que je ne sois prise définitivement.
Le repoussant, je posais mes fesses sur le carrelage pour qu’il continue de me lécher, me demandant comment j’allais pouvoir composer avec eux.
Je me décidais donc de descendre au garage décidée de me faire prendre ou d’essayer de me faire prendre par les deux chiens, suivie de près par Oko qui reniflait dans tous les sens. Je lui ordonnais de rester sur la dernière marche puis j’allais tout près de Mambo pour qu’il puisse bien me sentir et surtout lui coller sa gueule contre ma chatte en feu. Je me doutais et surtout espérais qu’il se contenterait de ce que je lui donnais, ce qu’il fit avec fougue, glissant sa langue entre mes lèvres dégoulinante de la bave d’Oko et de la mouille qui coulait de mon sexe.
De temps en temps, il s’arrêtait, regardait en grognant dans la direction de l’autre qui était toujours assis sur ses fesses, me laissant entrevoir son engin qui pointait de son étui, ce qui laissait augurer une suite très alléchante pour moi.
Je me penchais caressant amoureusement le pelage de Mambo pour doucement lui parler à l’oreille, lui demandant d’être sage avec Oko, qu’ils allaient devenir les meilleurs amis du monde puis j’allais jusqu’à la corbeille à linge pour récupérer la culotte qui était recouverte des effluves de Nalla et la passais sur mes fesses, prenant soin de bien la coller entre mes lèvres gonflées par l’envie.
Il n’en fallut pas plus pour qu’il se calme et qu’enfin je puisse appeler Oko pour que lui aussi participe à la curée. Mais avant il me fallait protéger mon corps de leurs assauts car je savais qu’ils ne me ménageraient pas et surtout je ne voulais qu’à aucun moment ils ne le fassent.
Je cherchais dans le tiroir le fameux pantalon de Maman et ainsi affublée, pris une couverture qui trainait dans un placard et l’étira au sol pour ne pas me blesser les genoux. J’étais prête, eux aussi à voir comment ils tournaient autour sans ne plus rien faire d’autre que d’essayer de me faire tomber au sol pour me monter.
Je me mis à quatre pattes devant eux, le cour explosant dans ma poitrine, attendant qu’on veuille enfin s’occuper de moi. Attendant qu’un mâle quel qui soit veuille bien me grimper. Il ne fallut d’un rien que je ne jouisse dans cette position de chienne attendant sa saillie.
Les odeurs de la chienne que je portais sur moi les rendaient fous. Ils tournaient dans tous les sens, remontant l’escalier, le museau collé au sol, reniflant la culotte qui m’écartait les fesses. Redescendant vers moi, ils s’approchaient si près de moi que je pouvais sentir leur souffle entre mes fesses et sur mon sexe. J’étais moi aussi en chaleur, pire que la chienne de Monique
Je n’eus pas besoin de les supplier, de les appeler, ils étaient là, tous les deux à me tourner autour. Les yeux fermés, le corps tremblant d’impatience, j’attendais qu’ils veuillent bien me défoncer la chatte. Ils me tournaient autour, me léchaient et le premier qui me grimpa se rendit vite compte d’où venaient ces arômes qui lui chatouillaient la truffe.
Relevant la tête je constatais que Mambo était sur moi et malgré l’envie que j’avais de me faire défoncer par Oko, j’étais très fière que ce soit lui qui le premier me planta son engin dans le ventre.
Sa bite me trouva du premier coup, il faut dire que je m’étais bien cambrée et aussi bien orientée pour qu’il me plante du premier coup. J’avais appris depuis ma toute première fois comment me disposer pour qu’à chaque fois ce fût la bonne.
Quels coups de reins ! Quelle bite ! Quelle force !
A croire qu’il voulait montrer à l’autre que c’était lui le patron dans cette maison et que dorénavant, il faudrait attendre son tour pour posséder ses chiennes.
Je tenais une de ses pattes pour ne pas qu’il se retourne sur mes reins et collée à lui, sentant sa verge se déverser en moi je me laissais aller à une première jouissance, puis une autre sachant que la nuit n’était pas finie pour nous et que l’autre allait me donner aussi l’occasion de hurler encore et encore.
Pendant que Mambo se démenait sur mon dos et me défonçait le ventre, je voyais Oko qui tournait autour de moi attendant son tour et les souvenirs de la saillie chez Monique me laissaient à penser qu’il allait lui aussi me faire exploser de jouissance.
Quel noud ! Quelle sauvagerie !
J’ai joui pour la troisième fois trop excitée par cette saillie sauvage. Il n’est pas resté longtemps en moi, voulant se retourner sur mon dos sans que je ne puisse le retenir, son sexe ressortit de mon ventre laissant échapper un flot de sperme. La bite pendante sous son ventre il entreprit de me laver la chatte avec sa langue, ce qui me fit jouir encore une fois.
Oko ne lui laissa pas le temps de continuer ma toilette, trop excité lui aussi et le repoussant avec force il me grimpa, s’enfonçant en moi avec violence. Il me planta sa bite avec une telle force, une telle violence que je me retrouvais le visage collé au sol en me faisant hurler de douleur.
Il poussait fort, très fort comme s’il voulait entrer complètement en moi, remplissant ma chatte avec son gros noud. Il était énorme et me dilatait plus que Mambo. Je sentais son sexe qui frappait mon utérus, me demandant à un moment s’il n’était pas rentré dedans. Celui là je voulais le garder en moi et pour ce faire je passais une main sous mon ventre attrapant la base de sa queue pour le retenir en moi.
Je le sentais vibrer en moi et la puissance de ses jets de sperme me faisait vibrer de bonheur, ce qui me fit jouir une cinquième puis une sixième fois, me demandant quand est ce que je m’arrêterais.
A ce moment précis, je pensais fort à Aurélie, à cette idée fantastique qu’elle m’avait suggérée tout à fait au début, à tout ce qu’elle m’avait conseillé de faire, regrettant amèrement qu’elle en soit pas près de moi pour elle aussi profiter de mes deux amants.
Je participais à un gang bang canin comme elle disait. C’était divin !
Mes genoux endoloris ne me supportaient plus, il était de plus en plus lourd sur mes reins. Son noud était énorme me donnant l’impression qu’il m’ouvrait le ventre, mais le plaisir qu’il me donnait me fit oublier cette souffrance et c’est avec difficulté que j’attrapais l’engin qui pendait sous le ventre de Mambo pour le glisser entre mes lèvres.
J’étais pleine, remplie par la bite énorme d’Oko et ma bouche voulait sa part de bonheur. Je me délectais moi aussi du sperme qui coulait par saccade du sexe de Mambo.
Le retrait d’Oko de mon corps fut douloureux : il le fit avec tant de force que je crus qu’il m’arrachait la matrice. Il me souleva littéralement du sol en essayant de sortir de mon ventre et dans un grand « floc », je me retrouvais allongée sur la couverture quand il se libéra de moi, laissant mon vagin se vider de sa semence.
Heureuse d’avoir réalisé mon rêve, (enfin presque : j’aimerais tant me faire prendre par les deux en même temps, mais je savais que c’était impossible) je gisais alanguie, repue sur la couverture imbibée de leur jus et la main posée sur mes lèvres endolories, je me pensais que la prochaine fois je les laisserai me prendre tous les deux entre mes fesses.
Le reste de ma nuit fut très courte, trop courte. J’avais tellement joui que je ne trouvais plus le sommeil.
A suivre…