Après cette sodomie magistrale, nous étions tous les deux épuisés, avachis sur le canapé du séjour en train de reprendre nos esprits. Nos mains se baladaient doucement sur le corps de lautre. Nous échangeâmes sur notre histoire réciproque et maya me parla de sa situation conjugale. Elle était mariée depuis 3 ans à un homme de son âge qui était régulièrement absent pendant des périodes de 4 semaines de suite pour son travail en déplacement à létranger. Elle commençait depuis quelque mois à trouver sa vie monotone. En dehors du travail elle voyait quelques amies et sa sur qui habitait à 150 kilomètres. Sa vie sexuelle était surtout solitaire et elle me montra sa collection de godes quelle utilisait tout en lisant beaucoup de textes érotiques. Je lui parlais de mon intérêt pour quelques auteurs classiques et modernes de nouvelles et romans érotiques. Nous nous découvrîmes des goûts très proches. Maya évoqua ses voisins quelle connaissait un peu ; elle avait eu loccasion daller chez eux prendre lapéritif avec son mari ; elle se souvient que diane, sa voisine, était habillée très sexy avec une robe courte moulante et des bas dont elle laissait découvrir le haut et les jarretelles quand elle était assise dans le canapé et quelle croisait assez haut les jambes. Maya avait remarqué quelques cassettes vidéos plutôt érotiques dans le meuble du salon. Ils regardaient dailleurs quand ils sont arrivés chez eux un film érotique pour « passer le temps et se distraire» disait Roger, le mari de Diane. Elle avait noté quelques regards complices à ce moment entre Diane et son mari.
Maya me parla dune amie qui partageait son goût pour la littérature érotique ; elle me dit : « tu la connais un peu et tu serais très surpris de ce trait de personnalité, que peu de gens lui connaissent », elle partit à rire tout en gardant le mystère. Ce côté quelle avait à garder une réserve et à laisser quelques sous-entendus, lui donnait encore plus de sensualité et la rendait très désirable. Je devenais de plus en plus attirer par elle et je souhaitais aller de plus en plus loin dans cette relation.
Je lui proposais que nous prenions un peu lair ; cétait lété, il faisait beau pour cette fin daprès-midi et une balade en forêt fut un choix partagé. En sortant, nous croisâmes Diane qui rentrait chez elle. Elle était très sexy et souriante. « Bonsoir Maya, bonsoir monsieur », « Bonsoir Diane, je te présente Robert un ami », « Bonsoir Robert, très heureuse de faire votre connaissance ». « Maya, il faudra que vous veniez ensemble prendre lapéritif à la maison, après demain soir cela vous irez si vous êtes encore là Robert » « je suis persuadée que nous aurons plein de choses à nous dire et que nous passerons un bon moment ensemble ». Maya eut à peine le temps de répondre que Diane dit : « Bon alors à vendredi 19h ; bonne soirée à vous deux !!! » Avec un sourire appuyé en direction de Maya qui devint toute rouge.
Après un petit trajet en voiture nous sommes arrivés sur une aire de stationnement dans la forêt. Il y avait deux voitures vides. Nous avons pris lallée qui sengageait à lintérieur des bois ; je tenais Maya par la main, elle portait une robe légère, sous laquelle elle navait quun string. Nous marchions silencieux, nous adressant régulièrement des sourires langoureux. Le bruit de la nature et du chant des oiseaux nous enveloppait. Puis, après une demi-heure de marche, notre sérénité fût interrompue par des bruits nouveaux de soupirs et de voix étouffée. Nous nous regardâmes et sans parler nous quittons le chemin pour sapprocher avec précaution de ces bruits. Nos regards se portèrent sur une clairière, au milieu de laquelle un couple était très occupé. Elle, âgée denviron 50 ans, était seulement vêtue de ses bas et dune porte jarretelle, le reste de ces vêtements était sur lherbe, à quatre pattes sur une couverture et derrière un homme vêtu seulement dun tee-shirt la sodomisait avec beaucoup de vigueur. Son membre luisant entrait et sortait des entrailles de la femme selon une cadence qui saccélérait pendant quelle sastiquait la chatte avec une main, lautre essayant de maintenir léquilibre. Maya avait les yeux étincelants devant cette scène ; elle me regardait avec un sourire complice et me caressais le sexe au travers de mon pantalon. Je laissais ma main sengager sous sa robe et titiller sa fente en passant un doigt sous son string ; je finis par tirer sur le string pour lamener sur les chevilles et Maya lenleva et me le mit sous le nez pour que je sente ses effluves. Devant nous la scène évoluait, nous remarquions que la bite du monsieur changeait progressivement de couleur et des traînées descendaient le long des cuisses de la dame. La couleur marron indiquait que cette dame devait avoir un rectum encombré par de la merde et que la sodomie pouvait être un traitement de la constipation ou une activité à risque. Ici il me sembla que ce couple était un habitué de ce genre de situation et de cela les excitait ; elle criait « oh salaud tu baises dans ma merde, je vais en recouvrir ta bite », lui : « cest bon ta merde toute chaude qui dégouline de ton cul et fait glisser ma bite, ça pue et cest bon ». Nous étions fascinés par cette scène surréaliste que nous narrivions pas à percevoir dégoûtante, mais plutôt très perverse. Je défis mon pantalon pour que Maya ait un accès plus facile à ma bite, elle la saisit goulûment en bouche pendant que je lui triturais les mamelons nos regards allaient de la scène du couple à une hypnotisation réciproque. Lhomme arrêta son mouvement dans le cul merdeux de sa compagne, il resta un long temps ainsi : sa bite semblait diminuer de volume, puis elle dit : « oh oui salaud pisse moi dans le cul, je sens ta pisse très chaude qui minonde ». On voyait cette pisse qui dégoulinait un petit peu autour de la queue du monsieur. Progressivement il plia les genoux et tout en maintenant sa partenaire celle-ci se retrouva au-dessus de lui toujours enfilée sur sa queue. Ca faisait des bruits de gargouillis et de pets. Quand il fut sur le dos, elle se releva un peu et de ce fait elle décula. A ce moment-là un vrai geyser de pisse et de merde vint déferler sur le torse et le visage du monsieur qui se branlait en même temps. Elle finit par lui pisser dessus pour laver les traces brunes qui maculaient sa bite et son visage. Il enleva son tee-shirt et prit une serviette pour sessuyer. Ils sembrassèrent sur la bouche. Nous avons rebroussé chemin et repris la direction de notre véhicule. A un moment Maya me dit « excuse moi je dois marrêter, elle saccroupit légèrement et remonta sa robe en écartant les jambes, je vis un filet durine séchapper de sa chatte et venir éclabousser le sol, je ne pus mempêcher dapprocher la main et de lui caresser la fente. Une fois le pipi terminé je portais mes doigts à ma bouche pour les déguster et je les portais ensuite à la bouche de Maya.