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Une agréable balade en forêt – Chapitre 1




Ce samedi matin là, je n’allais pas très bien, je n’avais pas vraiment le moral.

Je n’avais rien à faire du week-end, et j’étais en froid avec ma copine, Julie, qui était sortie en boîte la veille avec ses copines, me laissant seul et insatisfait. Je lui avais pourtant demandé si elle voulait venir chez moi, qu’on allait regarder un film à deux en mangeant des bonbons dans mon lit. Elle m’avait brièvement répondu qu’elle avait « déjà un truc de prévu ».

Pour tout dire, j’étais assez désabusé.

J’avais donc décidé de tout plaquer le temps d’un week-end, de laisser mon téléphone éteint, et de monter mon VTT, une gourde, quelques sandwichs et un sac de couchage dans ma voiture et de rouler jusqu’à l’immense domaine forestier du département voisin, où j’avais l’habitude d’aller l’été.

Le printemps était encore légèrement frais, mais il faisait beau, avec la chaleur du soleil.

Arrivé sur place, j’avais chaussé mes chaussures de sport, revêtu un vieux short et un t-shirt de foot qui sentait un peu la sueur d’une précédente sortie.

Mes écouteurs dans les oreilles, mes oreilles dans le casque, le sac rempli de barres énergisantes et d’un pique-nique sandwich chips, la forêt pour moi tout seul et le soleil s’immisçant par rayons entre les arbres, j’allais passer un superbe après-midi.

Pédalant, fonçant, esquivant racines et branches, sautant les bosses, je m’extasiais, mais m’essoufflais aussi, j’avais la gorge sèche, le ventre qui gargouillait gentiment, je finis par me décider à faire une pause.

Je vis un petit coin tout ensoleillé, où le sol était totalement couvert de mousse, et où je pouvais laisser mon dos se reposer contre le tronc d’un arbre. Je m’y assis, repris mon souffle, j’avais les jambes tremblantes et le corps chaud et suant, je me posai quelques instants avant de sortir mon pique-nique. J’avais les rayons du soleil sur moi, je voyais rouge en fermant les paupières, je sentais la chaleur sur mon visage, j’étais bien.

Le seul petit souci était la sensation désagréable de mes vêtements mouillés et refroidis qui collaient à ma peau. Je songeai alors à les enlever.

J’avais ôté la musique de mes oreilles depuis plusieurs minutes et je n’avais rien entendu d’autres que quelques gazouillis d’oiseaux et des craquements naturels de branches, il ne devait n’y avoir personne d’autre que moi ici en ce début de printemps, la forêt était encore déserte de randonneurs à cette période de l’année, je n’avais pas vraiment de crainte à avoir qu’on me surprenne.

C’était décidé, j’ôtai donc mon short, en faisant passer chaque jambe par-dessus mes baskets, puis je fis de même avec mon caleçon. Je les mis à sécher sur une branche au soleil, et me rassis sur la mousse, reposa à nouveau mon dos contre le pin qui me servait de dossier, mes fesses étaient caressées par la mousse douce et molle, mon sexe n’était plus opprimé dans mon caleçon, il était libre, mou, décontracté, il s’ondulait et tombait sur mon aine droite. Je ne songeais plus à rien, je respirais calmement, j’étais presque à demi entre éveil et sommeil, je détendais mes mains en gratouillant de la main mon pubis poilu, et je restais ainsi.

Je me mis alors à rêver qu’on me surprenne, j’avais envie qu’une femme me voit, qu’elle me regarde, m’observe, ne pense à rien d’autre qu’au fait qu’elle me voie nu, qu’au fait qu’elle voie mon sexe, et se délecte de la seule observation de ma nudité. Je me mis alors tranquillement à me masturber.

Mais alors que je me masturbais tranquillement, j’entendis des voix de femmes et du grésillement de feuilles et de branchages produits par les pas des personnes qui parlaient.

J’ouvris immédiatement les yeux, comme pour raviver tous mes sens, et mieux évaluer le danger.

Les voix étaient assez éloignées, et je me sentais un peu protégé, caché par mon support dorsal, mon sexe dans la main, à écouter deux personnes parler sans savoir que je les écoutais, je trouvais la situation agréable. Un peu perverse, mais agréable.

Je continuai donc doucement à faire monter et descendre la peau de mon sexe à demi mou sur et sous mon gland. A en croire leurs voix, il s’agissait de deux femmes d’âge plutôt mur, la quarantaine au moins. Je prenais un malin plaisir à les écouter sans qu’elles le sachent.

Mais les pas s’approchaient, et les voix aussi. Un sentiment de peur mêlé à une folle excitation montait en moi et prenait le pouvoir dans chaque petite cellule de tous mes membres, et j’étais totalement figé par elle. Alors que mon cerveau m’envoyait d’énormes signaux d’alerte voulant me pousser à aller récupérer mon short et à me recouvrir rapidement, tout mon corps et mon anatomie étaient figés par un petit sentiment de vouloir voir, de vouloir savoir ce qu’il allait se passer, de vouloir que ça arrive.

Je ne pouvais bouger. Sans parler du fait que mon sexe longtemps mou sous mes caresses nonchalantes s’était prodigieusement durci et raidi à l’approche des voix et à l’augmentation de ma sensation de danger, et que même sous mon short, l’érection aurait été flagrante.

Les voix étaient là, à quelques mètres. C’était maintenant. Il était trop tard pour me relever et atteindre mes vêtements. Je restai allongé, ferma les yeux, feintant de m’être endormi, et attendu quelques secondes, écoutant les voix parler. Puis, tout d’un coup, la conversation cessa, la voix ne finit pas sa phrase. Je n’entendais plus rien, je retenais ma conversation, je me figeais, comme si cela allait me faire disparaître. Il n’y avait plus aucun bruit. Puis, un petit bruit de pas repris, un pas lent et discret qui pressait les feuilles et les brindilles jonchant la terre de façon délicate, comme s’il se voulait discret. Puis plus rien à nouveau.

Etaient-elles parties ? Etaient-elles toujours là ? Me regardaient-elles ? Que faisaient-elles ?

Je ne savais pas.

Je fis alors semblant de m’étirer, comme on fait quand on sort d’un long et profond sommeil, pour casser cet instant arrêté et silencieux, et j’entendis alors à nouveau le bruit de quelques pas dans les feuillages, à quelques pas de moi. Elles étaient toujours là. Elles me regardaient. J’étais le spectacle. L’uvre.

En repliant mon bras, celui-ci vint succinctement percuter mon sexe qui tomba alors à la renverse sur mon ventre. Je le récupérai de ma main gauche, puis le tenant, je me mis à le caresser doucement. Il avait débandé. Je pris pour projet de le rendre à nouveau dur. De le redresser. Je savais que j’étais observé, il fallait que je fasse bonne figure, et surtout savoir que se posait sur moi le regard de deux femmes me rendait passablement excité. Je me mis à me masturber vigoureusement, en gigotant du bassin, et je rouvris les yeux.

Elles ne bougèrent pas, et ne dirent rien, elles me regardaient.

Elles étaient là, à quelques pas de moi, je levai la tête, et plongeai mon regard sur la première. Il s’agissait d’une quadragénaire, voire quinquagénaire, elle avait des longs cheveux noirs, un visage plutôt fin, ovale, orné de lunettes de soleil rectangulaire, elle était plutôt grande, enrobée, et vêtue d’un pull noir qui lui moulait ses gros seins, et d’un pantalon de tissu gris.

La seconde était plus petite, teinte en rousse, elle avait le visage rond et l’air jovial, pleine de bonhommie. Elle avait des petits rieurs et souriait allègrement. Elle avait enlevé sa veste et portait un t-shirt rose qui s’accordait mal avec un petit short vert kaki. Cependant, il était dur de ne pas voir deux petites bosses se former derrière son petit t-shirt presque un peu trop petit.

Pour dire vrai, aucune des deux n’était belle.

Je continuai de me masturber tout en les regardant, comme si je les tançais, les défiais de continuer à me regarder me masturber devant elles. Et pourtant elles ne bougeaient pas.

L’instant était magique. Comme irréel. Toutes les barrières de la bienséance et de la pudeur s’écroulaient en même temps que je me branlais, nu devant ces deux parfaites inconnues. Je les regardais dans les yeux, persuadé que plus rien n’était impossible.

Restant allongé à me masturber, je lançai alors un laconique « j’ai trop envie de me faire sucer ». Elles se regardèrent, sans rien dire. Et me regardèrent à nouveau.

Je répétai mon envie, en me disant, dans un relent de socialisation, que si j’y mettais les formes cela passerait peut-être mieux. « S’il vous plaît, j’ai tellement envie que vous me suciez, ce serait trop bon, il n’y a personne, personne le saura».

C’est alors que la rousse fit quelques pas vers moi, et se stoppa net, debout à un mètre, au-dessus de moi, me cachant la lumière du soleil. Elle mit les mains sur ses hanches et me jeta un regard supérieur, et me fit « vous n’êtes pas gonflé quand même, vous vous montrez comme ça, nu comme un ver, vous n’avez pas honte ? »

Je ne sus que répondre à ce sermon venu à un moment où je ne l’attendais plus, je n’eus comme réaction que l’augmentation soudaine de mon excitation, le réflexe et l’envie de me masturber encore plus vite, plus vigoureusement, devant cette femme qui me le reprochait. Et pourtant, elle ne détournait pas les yeux. Elle me regardait même faire, fixait précisément mon entrejambe.

Je trouvai alors ma réponse et lui fit « et bien, faites comme moi ». Elle sourit et s’amusa de mon arrogance, mais ne répondit pas.

Son amie s’approcha à son tour et se posta de l’autre côté de mes jambes, j’étais ainsi totalement encerclé, surplombé par deux femmes d’âge mûr, qui me regardaient me masturber.

La brune ne souriait pas, elle leva ses lunettes sur son front, lança un regard sévère à son ami qui souriait, et me regarda non moins froidement.

Puis elle plia ses jambes, restant sur ses pieds, continuant à me fixer dans les yeux, elle passa la main sur la mienne, celle qui tenait mon sexe, et pris mon sexe dans sa main gauche, ainsi elle le tint un instant, puis commença à le branler. Je n’aurais pas cru que ça aurait vraiment pu arriver. Elle ne souriait pas, n’exprimait d’aucune manière son plaisir.

Pourtant elle était là, à me branler, avec un ton grave sur le visage.

Elle passa son autre main dans mes poils pubiens, et sur mes couilles, et devint de plus en plus entreprenante. Elle se mit à genoux, baissa sa tête, et prenant mon sexe du bout des doigts, le mis dans sa bouche, entre ses lèvres, et se mis à le déguster généreusement.

Je n’en croyais pas mes yeux.

Je levai les yeux vers son amie qui semblait tout aussi surprise que moi. Elle me regarda dans les yeux. Observa à nouveau la tête de son amie qui ondulait et s’abaissait au niveau de mon entrejambe. Profitant de l’instant, voulant frustrer cette dernière de ne pas participer, je mis les mains dans la chevelure de la brune et lâchai un soupir de plaisir en plissant les yeux de façon à lui faire ressentir et envier mon plaisir.

Elle ne savait pas où se placer, que faire, que décider. Je lui fis alors signe de s’approcher. Ce qu’elle fit. Elle se mit à genoux à côté de moi et je mis ma main sur sa poitrine. Je pelotai et triturai ses seins par-dessus son t-shirt. Je sentais la confortable fermeté de son soutien-gorge sous celui-ci.

La brune libéra mon sexe, et je fis signe à la rousse de me prendre à son tour dans sa bouche, ce qu’elle fit sans broncher. Elle mit ma queue dans sa bouche et se mit à me sucer de façon assez maladroite, il était aisé de deviner que malgré son âge avancé, elle n’avait pas eu beaucoup d’expériences. Cela était tout de même assez excitant de voir cette femme d’âge mûr, aux cheveux roux décolorés, aux sourcils très fins presque disparus, à la peau assez distendue et aux quelques rides apparentes, avoir sa petite bouche cerclée de petites lèvres très fines et peu pulpeuses, engrossée par ma verge. Je n’avais absolument aucune forme d’estime pour elle, ni de respect, et je n’eus pas de mal à lui faire décaler son petit corps chétif afin de la placer entre mes jambes. Je pus ainsi lui saisir la tête des deux mains et lui prendre la bouche avec ma queue. Je lui pénétrais plus qu’elle ne me suçait. De mon point de vue, elle était inférieure à moi par sa laideur.

De ce fait, elle devait être à mon service, moi le beau jeune homme plein de testostérone et de force, possédant encore toute ma jeunesse, je la laissais me sucer. C’était de mon point de vue une offrande que je lui faisais de mettre ma queue dans sa bouche, aussi elle n’aurait pas à se plaindre d’un peu de violence de ma part.

Je la prenais ainsi par la bouche, cette souillon de quarante ans, probablement secrétaire ou dame de ménage, qui n’avait pas d’expérience.

La brune m’impressionnait plus. Elle avait toujours son ton grave, et son regard presque dédaigneux. Elle ne se prenait pas pour de la merde. Ses seins étaient gros, bien plus que ceux de la rousse. Je les devinais aisément sous son pull. Ainsi je mis ma main sur son sein gauche, en la fixant du regard, elle ne bougea pas, alors que je lui triturais et empoignais le sein. Je relevai la tête de l’autre pour qu’elle me dégage la bite, et je me relevai moi-même, puis j’approchai ma verge dressée et poilue près du visage de la brune qui n’avait cessé de me regarder dans les yeux. Seulement, à cet instant, c’était moi qui étais dorénavant au-dessus d’elle.

Je la fis ouvrir la bouche, en frottant ma queue à ses lèvres, puis la fis avaler à nouveau ma queue, et mettant mes deux mains derrière son crâne, je fis des va-et-vient dans la bouche de cette femme, me délectant de l’imaginer habituellement s’enorgueillir du léger pouvoir professionnel qu’elle devait posséder, et totalement soumise à l’instant, en voyant mes poils pubiens venir frotter ses lèvres quand je lui pénétrais profondément ma verge au fond de la gorge.

Profondément excité et revigoré par ces pensées, je lui fis soulever son pull, découvrant un t-shirt gris à manches longues où deux belles auréoles avaient pris place sous les bras. Je sortis ma queue de sa bouche et vint la frotter sur son t-shit, précisément à l’endroit ou ses aisselles l’avaient inondée de sueur. J’enroulai ma queue avec le tissu humide et chaud, frottai mon gland dedans, elles me regardaient faire toutes les deux en souriant. Je lui ai alors fait retirer son t-shirt, elle a soulevé ses bras, exhibant totalement ses aréoles auxquelles frottait ma queue, puis j’ai tiré sur les manches et le haut est parti. Je l’ai mis sous mon nez, senti, humé, léché, pendant qu’elle me suçait à nouveau.

Puis je la fis sasseoir, j’ai pris son pantalon, l’ai rapidement déboutonné, et ai tiré à la taille vers le bas, emportant la culotte avec, j’ai ainsi libéré une belle toison noire, une vraie touffe de poils qui entoure les vulves qu’ont les femmes qui ne les exhibent plus à personne.

Me masturbant de la main droite, ma main était couverte de liquide préséminal que je m’essuyai dans les poils fournis et bruns de cette quadragénaire. Je passai ma main dans cette toison chaude et gluante, presque collante, puis passai un premier doigt puis un second par le dessous afin de découvrir et pénétrer son antre vaginal. J’avais envie de la baiser. De la défoncer. De l’embrocher. Je la fis donc se lever et la mis dos à moi contre l’arbre, j’avais un bel aperçu des fesses de cette femme mure cambrée contre le tronc, et je pouvais deviner quelques poils logés dans sa fente. Ma queue était tendue, et je l’approchai de ce corps qui n’attendait qu’une chose, que je le pénètre. J’approchai, je mis ma queue sous les fesses de cette femme et vint frotter la touffe brune de sa chatte avec ma queue. Puis d’un coup sec, je la pris, je la surinai, je la fourrai. Elle ne gémissait guère, mais je n’en avais que faire.

J’étais en train de fourrer cette supérieure, cette responsable, cette femme qui avait dû être irréprochable, mais qui n’avait sans doute pas assez profité des plaisirs charnels à en croire sa crispation que je n’aurais pas imaginé chez une femme de cet âge-là, la crispation apparut dès que je l’avais pénétré, crispée que je la baise.

Il faut dire aussi que je la démontais. Je n’y allais pas de main morte, j’avais empoigné ses seins généreux toujours couverts par un soutien-gorge blanc que j’avais soulevé, ainsi je la tenais bien et pouvais la baiser à ma guise. Et j’y allais, les coups de butée contre ses fesses faisaient claquer, je sortis ma main d’un de ses seins et vint tenir cette femme forte, qui était de vingt ans mon aînée, par les cheveux. Je la tenais, la défonçais. Elle était ma proie.

Mais j’en voulais plus. Je me dégageai alors de sa chatte, écartai ses larges fesses de mes mains, et vint coller ma queue dans son anus cerclé de quelques poils.

Quand elle sentit mon gland lui toucher la rondelle, elle se surprit et dit « mais qu’est-ce que vous faites », puis cria un « oooooohhhhh » mêlé de douleur et de plaisir, au moment où je poussai ma queue dans son fion. Ses fesses et son fion étaient larges, et ma queue rentra assez facilement sans avoir besoin de lui préparer le cul. Ainsi en un instant, je la sodomisai contre un arbre. Et là, elle gémissait. Elle passa une main sur ma cuisse comme pour retenir les mouvements de mon bassin, mais cela était assez inefficace tant je lui fourrais le cul avec mépris et brutalité.

Je faisais ce que je voulais d’elle.

La rousse était à côté, regardait faire, presque bouche bée, ne bougeant guère.

Voulant la prendre à son tour, je me dégageai de la première qui resta un instant cambrée sur l’arbre, comme si elle voulait récupérer d’avoir été autant défoncée, et vint vers la rousse, la retournai, la fis mettre à quatre pattes sur le sol, et baissa son short. Elle avait une petite culotte blanche tout en coton, sans fioritures, très sage, sur laquelle je devinais aisément une grosse tache incolore qu’un dégagement de mouille avait engendrée.

Elle était beaucoup plus fine, presque naturellement glabre, il n’y avait que quelques rares poils châtains sur ses lèvres. Elle avait les genoux dans la terre, les mains également, je pliai mes jambes, vint avancer mon chibre bandant vers ses fesses, et vint coller mon gland à lentre-coupure de ses lèvres. Je mis ma grosse bite poilue et brune au contact de cette petite chatte serrée, et la poussai d’un coup sec, bien au fond, venant jusqu’à faire frotter mes poils pubiens à son petit cul blanc et glabre. Elle lâcha un « aaaaannnn » d’effroi et de jouissance. Elle était bien plus serrée. Me confirmant ainsi dans ma croyance qu’elle n’avait pas dû avoir beaucoup d’expériences. Et aussi parce qu’elle jouissait bien plus, et bien plus fort. Elle criait presque. Je la surinais de façon violente et elle gueulait. Elle gueulait comme elle n’avait jamais dû gueuler.

Sa petite chatte n’avait que trop rarement servi, et n’avait reçu que trop peu de bites, donc l’accueil qu’elle faisait à la mienne était à la hauteur de la longue attente et de l’espoir qu’elle avait eus de recevoir en elle une verge en érection. Elle l’avait sa verge. Elle était baisée maintenant. Je la fourrais, et elle s’en délectait enfin. Elle finit par taire ses gémissements pour mieux se concentrer sur la sensation d’avoir une queue dans sa chatte. Et je m’immobilisai, la tenant sous moi par le bassin, ma queue s’immobilisa, un instant, apprécia, elle était dans sa chatte.

C’est alors que de ma queue sortirent plusieurs giclées de sperme, qui vinrent se loger au profond de la chatte de la rousse. Je lui giclais dans la chatte, et c’était sans doute sa première giclée de sperme en elle. Je me suis alors retiré, et la première voyant que j’avais giclé quitta sa position et vint se mettre à quatre afin de lécher les quelques gouttes restantes au bout de mon gland. Je pris ensuite son haut gris, et m’essuyai la queue avec. Plus précisément aux endroits où elle avait bien sué.

Je sais qu’elle n’a pas eu d’autre choix que de le reporter sur le reste de leur balade. Et je sais qu’elle l’a fait avec plaisir. Le plaisir de se souvenir d’avoir, pour une fois, été bien prises, par un jeune mâle, beau et vigoureux, ce qui ne leur était jamais arrivé, et ne leur arrivera probablement plus.

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