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Maman…pourquoi es tu aussi salope ? – Chapitre 8




Comme tous les soirs de la semaine , vers 19h00, Serge Vernon, le directeur, s’assurait que tout était en ordre dans son établissement. Que toutes les portes avaient bien été fermées, de même que les lumières. S’il y avait une chose que Serge Vernon exécrait, c’était le gaspillage d’électricité. Non pas que Serge Vernon fut écologiste, loin de là ! Mais il voulait que l’état n’ait pas à payer pour l’impéritie de femmes de ménage, qui nettoyaient les classes en fin de journée. Aussi Mme D’estran, la trésorière du lycée s’entendait très bien avec son directeur…trop peut être. Là, où celui-ci voyait de la considération et du respect pour son travail, exercé avec la minutie des hussards noirs de la république, certains voyaient des tentatives à visée plus sexuelles de la part de Mme D’estran

Seulement voilà, Le directeur ne voyait rien, hormis les grilles d’emploi du temps, les notes des élèves, et le classement en haut du top 10 des établissements scolaires français. Serge Vernon ne voyait ni la dépravation de sa femme qui venait de commencer, ni les avances sexuelles très crues de Mme Délos, sa prof d’électro mécanique…ni rien du tout en faittravail, travail, travail, performance !

Ce soir là néanmoins, il allait prendre une gifle de réalisme.

Alors qu’il passait dans la section études professionnelles/ industrie il entendit de drôles de bruits provenant d’une classe. Comme des râles de souffrance. Quelqu’un avait-il un problème de santé ? Une crise de quelque chose ? Et si c’était grave ? Un élève ou un personnel mourant dans son établissement, ferait le plus mauvais effet au rectorat, ainsi que dans les manchettes des journaux…de la pub, oui , mais toujours positive !

Serge poussa la porte de la classe de Mme Vernon, et ce qu’il vit le liquéfia sur place. Une jeune fille nue, plutôt pas mal d’ailleurs, était couchée sur le bureau de la prof, les cuisses toutes grandes ouvertes, tandis qu’une femme avait sa tête entre lesdites cuisses. Cette dernière, nue en porte jarretelles et bas, était penchée en équerre sur la jeune femme, tandis qu’un jeune homme la prenait par la taille, et la baisait comme un bûcheron . Les trois corps reliés les uns aux autres en connexion érotique, formaient comme un grand T, placé sur l’horizontale. Ce fut la première chose que le cerveau scientifique, axé sur la géométrie enregistra !

Puis ses idées se mettant en place, devant le choc de sidération causé par la scène : deux femmes et un homme faisaient l’amour dans des positions scabreuses, ( ce qui était formellement interdit par le règlement intérieur !), Serge Vernon reconnut l’homme comme étant son propre fils, et la femme qui se faisait prendre et gamahucher  par la jeune femme,(certainement une autre élève), comme Mme Délos, sa propre prof d’électro-techno !

Il resta là pendant 4 bonnes minutes, à regarder le trio exhaler des plaintes de jouissance, des gémissements, des ahanements, puis se dit que cela ne pouvait durer dans un établissement bien tenu !

Mais qu’est ce que c’est que ce bordel ! Nom de Dieu ! Luc, tu ramasses tes affaires, tu te rhabilles et tu files dans mon bureau ! Mlle, la même chose et vous partez, je ne veux même pas savoir qui vous êtes ! Mettez cela sur le compte de ma condescendance ! Quant à vous Mme Délos, vous m’avez beaucoup déçu, ce comportement est indigne d’une femme bien comme il faut, et encore plus venant d’une prof aimant son métier .

Luc blanc comme un linge se rhabillait aussi vite qu’il le pouvait, pour fuir la scène du désastre ! Sa copine idem. Quant à Henriette Délos, elle fut impériale, comme d’habitude ! Elle allait montrer à ce sale macho, la puissance psychique et morale des femmes sur les hommes !

Tttt, ttt,ttt ! Alors il fait son gros méchant, le directeur, mais ça se prend pour qui !? Sache pauvre con, que quand je me fais baiser, personne ne m’interrompt en plein coït !

Henriette s’avançait nue, implacable vers l’homme, qui étonné par sa réaction, perdit toute contenance et recula légèrement .

Mme Délos, je vous invite à obtempérer immédiatement !

— Mais c’est qu’il continue le con ! Il a pas compris; écoute pauv’ pomme, tu m’as fait rater un orgasme fabuleux avec ces deux jeunes, alors c’est toi qui va m’écouter !

Luc amène ton portable !

Henriette les seins arrogants, un rictus aux lèvres, le regard mauvais, avait tout d’une harpie des légendes, une succube en colère. Elle accula ( et pas avec un gode ceinture ), le pauvre Serge, qui commençait à regretter son intervention véhémente, et quand il fut contre le mur, lui toucha le front du bout du doigt de façon violente. Serge eut un mouvement de recul et se cogna contre le mur. Elle prit son entrejambes à pleines mains et serra :

Putain, il a une de ses plus belles profs à poil devant lui, il l’a vu baiser avec une fille et son propre fils, il pourrait la tirer comme une putain, là sur une table, et qu’est-ce qu’il fait le fonctionnaire miteux ? Il bande même pas ce con ! Je vais te montrer un truc qui, ou te fera bander, ou te fera à jamais te dégoûter des femmes, c’est selon !

Et Luc ayant apporté son portable, il avait compris qu’il ne risquait plus rien, Henriette avait gagné la partie, celle-ci reprit la vidéo zoophile où elle en était restée. Quand Serge Vernon reconnut sa femme en train de se faire saillir par le golden, il blêmit rapidement, ses dents s’entrechoquèrent, ses yeux se révulsèrent et il tomba dans les pomme !

Pfuuuu, mais quelle gonzesse ce mec ! ça fait les matamores et ça tombe dans les pommes au moindre choc émotionnel. Dire QUE JE VOULAIS ME FAIRE BAISER PAR CE TYPE ! Le fils, lui a plus d’intérêt ! (Et disant cela, elle lui ébouriffa les cheveux.)

— Bon, mais on fait quoi maintenant ? On est dans la merde quand même !

— Pas du tout, c’est LUI qui est dans la merde ! Aidez-moi à le déshabiller !

Aussitôt dit, les deux jeunes ne se posèrent pas de questions, et Serge Vernon se retrouva très vite à poil, allongé sur le dos, sur le sol, inconscient .

Luc tu te refous à poil, de même que Clara. On va organiser une mystification. Tu prends ton téléphone et tu nous photographies sous tous les angles, il suffit que personne ne s’aperçoive qu’il est inconscient !

Et Henriette se mit a califourchon sur son pubis, avec sa verge inerte, mais ce n’était pas cela le plus important; tandis que Clara se plaçait, elle, sur sa bouche. Après une dizaine de photos, Luc filma pendant 3 minutes, quand les deux femmes simulèrent un plaisir dingue, que leur "donnait" Serge par sa queue et par sa langue !

Ensuite Clara remplaça Henriette sur le directeur HS, tandis que celle-ci se faisait prendre en levrette par Luc, le portable avec son retardateur immortalisa la scène.

Au final pour un observateur non averti, il semblait qu’une partouze s’était déroulée dans cette salle de classe, avec un directeur ayant fait jouir l’une de ses prof et une élève; puis que son fils s’était occupé de sa prof, pendant que son père baisait sa copine ! Que du plaisir !

Henriette, en se rhabillant, un grand sourire aux lèvres, imaginait les manchettes des journaux, si Serge ne devenait pas son gentil petit toutou !

Il allait adorer, lui qui n’aimait que la bonne pub !

Les deux femmes et Luc sortirent dans le couloir et se séparèrent.

Peu après, Luc reçut un appel de son ami, Philippe Délos, le fils de sa prof.

Dis donc il y a des rumeurs, ça parle beaucoup dans le quartier, et ça va bientôt arriver dans le lycée. Parait que ta mère se fait baiser par la bande à Mario depuis une bonne semaine. Mais plus grave, elle serait tombée dans les griffes de Samir le tunisien. Tu sais celui qui fait pas de cadeaux.

Putain ! Si tout ça c’est vrai et que ton père l’apprend, ça va être une merde !!

De plus, les gitans et les tunisiens vont se disputer ta mère…pas bon ! Essaie de démêler le vrai du faux . C’est peut être un "fake" tout compte fait ? A plus .

Au fait tu as vu ma mère ? Elle est très en retard.

— Oui …oui, j’ai vu ta mère, ( de très prés, même !), je viens de la quitter. Merci pour le tuyau !

Putain si tu savais ce que j’ai fait avec elle ! Pensa-t il. Mais, c’était quoi cette affaire louche ? Il ne mit pas deux minutes pour le savoir ! Il reçut une vidéo très courte.

Il voyait sa mère en "cavalière", nue sur un arabe en train de la baiser. Pendant qu’un autre, qui maniait un long martinet de lamelles de cuir, lui flagellait le dos et les seins Le cameraman parlait à Josiane avec un fort accent du bled :

Dis lui à ton fils que tu prends ton pied avec nous…allez dis-le lui ! Salope !

— Ah mon dieu Luc … hhuuuum Ouuuuiii ! C’est trop bon ! Han !

Josiane avait du mal à formuler ses phrases, entre les coups de reins du mec, sur laquelle elle était empalée, et les coups de martinet qui la flagellaient.

Ne… ne t’inquiète pas mon chéri ! Je suis très bien avec Samir et sa bande…ils arrêtent pas de me baiser. Et ils me maltraitent…je me suis aperçu que j’adorais… hannn  ! Cela ! Aaahhhh ! OUUUUII ! Je rentrerai bientôt ! Ne t’in…inquiète pas. Je t’aime !

Puis le "cameraman" tourna le portable vers lui, et la tête de Samir apparut; pas vraiment le genre de gars avec qui on aurait envie de boire un café

"Tu vois mon pote, ta mère elle est a nous, maintenant ! T’essayes pas de la revoir. T’as compris ? Elle adore tout ce qu’on lui fait. On la renvoie dès qu’on en plus besoin ! Inch’Allah ! "

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