Il se fait tard. Je suis fatiguée de conduire. Je marrête devant un tout petit hôtel. Je suis visiblement la seule cliente. La patronne, une jolie rousse me sert le repas tout simple. Jai simplement emmené avec moi la petite mallette. Jen aurai assez pour la nuit et le lendemain matin.
— Vous devez aller loin, me demande la patronne.
— Assez oui, pourquoi ?
— Si vous voulez je peux vous tenir compagnie, jaime bien les femmes comme vous.
Est-ce un appel du pied, comment a-t-elle deviné que jaime baiser les filles ?
— Faites comme vous voulez, vous serez la bienvenue.
— Je viendrais vous voir plus tard, il ne faut pas que je ferme de suite à cause dun éventuel client.
Je la regarde partir avec au fond du ventre lenvie quelle vienne me voir tout à lheure. Si nous nous couchons plus tard, je ferai la grasse matinée avant de men aller.
En attendant elle ma excitée. Je maperçois que jai oublié la mallette en bas. Je nai pas à me déplacer, elle frappe à la porte pour me remettre mon bien. En partant elle se retourne pour menvoyer un baiser en faisant un clin dil.
Je me déshabille pour me masturber avant quelle revienne. De toute façon je suis prête pour me coucher. Je ne porte jamais de chemise de nuit ni de pyjama : ma peau seule me suffit.
Je massois dans un vaste fauteuil pour me soulager. Je ne regarde même pas devant quoi je suis. Mes mains caressent mes seins longuement. Ils sont rapidement durs comme mes tétons. Jinsiste sur eux justement. Si ma main gauche reste sur un sein, la droite descend lentement sur le ventre pour chercher ma fourrure que je peigne avant descendre encore.
Jarrête tout quand je maperçois que jai oublié de prendre mes godes dans la mallette. Je me fais des doubles pénétrations à la fin de mes masturbations. Je suis chagrine de cet oubli qui moblige à arrêter mon plaisir naissant. Je ne peux men passer. Jouvre la mallette, sors mes « copains », me remets en position, cette fois les jambes sur les accoudoirs, je suis ainsi plus ouverte. Ma main va directement sur le clitoris. Je le caresse doucement en rêvant à la venue certaine de la patronne. Je fantasme déjà sur ses capacités de me donner ce plaisir que seules les femmes arrivent à donner aux autres. Ma main se transforme en SA main. Je ne peux plus retenir mon orgasme. Je jouis toujours avec elle en tête. Je passe à létape suivante : jentre trois doigts dans ma gaine. Je suis sûre de bien remplacer ainsi une bite.
Ce nest pas que je naime pas une queue dans la chatte ou même derrière, mais je naime pas le sperme : je préfère la cyprine dune jolie fille.
Lheure tourne, il me tarde quelle arrive. Ouf elle ouvre la porte. La première vision quelle a de moi est mon sexe largement ouvert vers elle. Je me rends compte maintenant que je mexpose ainsi sans avoir pensé à regarder la porte. Jaurais dû me retourner pour lui faire la surprise.
Elle sapproche lentement en ne regardant que ma main qui branle. Elle vient enfin membrasser. Nos langues se mélangent avec plaisir. Jai cessé la masturbation pour me consacrer à son corps. Mes mains passent sous sa jupe, elle écarte vite les cuisses. Sa peau est douce, plus que la mienne. Quand jarrive à la fourche de ses jambes, jhésite à caresser quoi et comment. Si je la branle, ce quelle cherche sans doute, elle va vite jouir, si je branle son cul elle ne le voudra peut-être pas.
Durant mes hésitations elle en profite pour enlever le superflu : sa jupe et son haut. Elle me montre tout maintenant : ses seins sont magnifiques. Ses fesses attirent mes mains. Et puis je me lève pour me coller à elle. Quelle expérience jouissive. Nos seins se caressent sans cesse. Cest elle qui colle son pubis contre le mien.
Elle passe un bras autour de ma taille, lautre est autour de mes épaules. Je me laisse faire : elle connait sur le bout des doigts son abécédaire lesbien, mieux que moi sans doute.
— Couchons nous et baisons.
— Déjà ?
— Tu naimes pas baiser une fille ?
— Si je ne baise que des nanas.
Elle membrasse pour me faire taire et me pousse sur le lit. Toujours debout, je peux voir sa touffe rousse venir lentement vers moi. Que jai envie de lavoir dans ma bouche. On dit que les filles rousses sentent plus fort que les autres. Je pourrai le vérifier.
En attendant cest elle qui soccupe de la mienne. Sa tête passe rapidement entre mes jambes. Elle lèche les cuisses en montant vers le lieu de son futur forfait. Je sens enfin sa langue changer dendroit : maintenant elle est sur mon sexe. Elle lembrasse comme ma bouche. Cest sa langue qui est à luvre. Cest drôlement bon : je me sens encore mouiller davantage : cest ma cyprine qui lattire. Elle me lèche sans cesse avalant mon liquide sexuel. Je sens ses lèvres autour du clitoris quand elle laspire pour mieux le lécher dans sa bouche. Je ny tiens plus : je jouis comme rarement.
Nous sommes allongées ensemble. Je peux simultanément moi aussi lui faire des câlins particuliers. Jembrasse ses seins, je lèche son ventre, je pose ma main sur sa chatte. Elle est aussi mouillée que moi. Je ne cherche rien dautre que de la rendre heureuse : je crois y réussir quand elle gémit fortement. Je la sens jouir sous mes caresses.
Ma foufoune aussi a des spasmes, comme si je jouissais. Avec elle cest normal : elle mexcite tant, dabord en tant que fille et ensuite par son odeur qui devient plus forte quand elle jouit.
Elle vient sur moi, comme un amant, pose ses seins sur les miens, nos bas-ventres réunis. Je suis étonnée de la sentir venir sur mon con, comme si elle avait une bite. Ses poils frottent mes lèvres, entrainant une autre jouissance. Elle me baise comme si elle avait ce quil faut au bon endroit. Quand je jouis, elle se relève pour mettre toute sa fente sur ma bouche. Je ne refuse pas de la lécher. Ma langue pénètre au saint des saints. Je la fouille dans le cur de son intimité : Cest délicieux et dégoûtant à la fois. Pour elle cest normal. Elle se laisse aller vers moi, je la sens poser sa bouche que mon con.
Jadore faire les 69. Je renifle encore son odeur qui a les pouvoir de mexciter toujours plus. Je redouble les mouvements de ma langue sur son abricot, pendant quelle aussi se déchaine sur ma figue. Cest un concours entre nous deux : qui va faire jouir le plus lautre.
Mon visage est plein de sa cyprine comme doit lêtre le sien. Je descends ma langue, oublieuse que je suis de son sexe, pour aller vers son cul. Il faut croire quelle aime bien ça puisquelle écarte encore un peu plus ses fesses. Je trouve un anus qui souvre assez facilement sous la pointe de ma langue. Je dois y mettre en gros la moitié de mon appendice lingual.
Elle me rend la pareille. Je sens mon cul sélargir facilement, sa langue pénètre doucement dans ma pastille. Nous nous sodomisons ensemble. Je crois bien que, pour moi en tout cas, cest la première fois que je fais ça en même temps que mon amante du moment.
Il nous faut cesser un instant pour nous reposer. Nous nous embrassons encore, comme deux véritable amoureuses.
Pour changer je lui propose ne nous branler chacune de notre côté. Je lui donne un gode, elle sait sen servir comme il faut, me dit-elle.
Nous sommes presque assises à nous regarder faire. Je la vois quand elle prend le gode, quelle le mouille avec sa salive, quelle le pose juste à lentrée secrète. Elle lenfonce lentement millimètre par millimètre dans son ventre. Ses yeux sont fermés, sa bouche ouverte laisse passer des plaintes de plaisir. Elle la entré entièrement. Elle le laisse ainsi sans bouger un instant avant de se limer.
Elle a des secousses quand elle jouit. Je fais comme elle, sauf que je la regarde faire. Cest un plaisir différent que nous nous donnons lune devant lautre, mais un plaisir complet. Jai lavantage de jouir avant elle. Je lui mets mon gode entre ses fesses. Là, elle ouvre les yeux :
— Oui mets moi là.
— Je tencule.
— Je sais, jaime quand une fille me sodomise.
Je nai plus dhésitation lentement je lencule comme si nous faisions ça depuis des années. Elle continue de se baiser pendant que je la sodomise. Cette double pénétration est pour elle le summum du plaisir. Elle jouit tellement fort que je suis obligée de sortir de son anus.
Les plaisirs ont eu raisons de nous : nous endormons nues, sur le grand lit, sauf quelle se réveille au milieu de la nuit pour me branler lentement. Je le sens vaguement. Je me réveille complètement quand elle se met pour faire un 69. Son odeur me réveille : elle sent encore plus fort. Il faut dire qui nous ne nos sommes même pas lavées après notre amour précédent.
Je suis éveillée complètement, prête à recommencer. Nous jouissons trop vite. Alors, elle se lève, me demande de la suivre nue, vers le restaurant où elle minstalle au milieu.
— Branle-toi en attendant.
— Tu fais quoi ?
— Je prépare le petit déjeuner.
Je suis excitée de me branler, nue, dans une pièce où normalement les baises sont rares. Je suis sur le point de jouir quand elle revient. Je narrête pas ma caresse. Je continue même quand elle me sert. La seule différence est que sa main vient sur mon con, pendant que la mienne lui caresse maintenant et le con et le cul.
Elle est sur mes genoux : cest facile de la caresser, de la faire jouir. Normalement je devrais partir pour voir une tante, celle qui mavait initiée au plaisir de Lesbos. Je vais rester ici, jai une enseignante plus instruite que ma tante.
Jy ai passé une quinzaine, avec lespoir de revenir souvent en weekend : elle me baise trop bien.
Il faut que je lui demande son nom : cest, emportée par la frénésie de la baise, ce que jai oublié de demander. Cest mon inconnue.